La presse péruvienne dénonce “le scandale du détournement systématique” de l’aide humanitaire destinée aux populations des camps de Tindouf 

La presse péruvienne a épinglé le scandale du « détournement systématique de l’aide humanitaire destinée aux populations des camps de Tindouf », que le Maroc dénonce depuis des années auprès de la communauté internationale.

Ainsi, le quotidien Guik, le premier journal digital du Pérou, qui reprend les conclusions du rapport d’évaluation du travail du Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies en Algérie entre 2019 et 2022, écrit que « ces détournements ont été dénoncés par d’autres rapports d’inspection du HCR (haut-commissariat aux réfugiés), ainsi que d’autres organisations intergouvernementales et non gouvernementales ».

La publication note que « le PAM a documenté le détournement et la vente de nourriture provenant de l’aide humanitaire sur les marchés de la ville de Tindouf, en dehors des camps, et dans les pays voisins, alors que la population des camps vit dans des conditions indignes, marquées par une malnutrition chronique, en particulier chez les femmes et les enfants ».

« Plus grave encore, ajoute Guik, le PAM a réitéré sa préoccupation quant à l’absence de recensement de la population des camps de Tindouf et au risque de détournement que cette situation unique rend possible », soulignant qu’il s’agit « d’une situation exceptionnelle dans le monde du point de vue du droit international humanitaire, dans la mesure où depuis près de 50 ans, ces populations n’ont jamais été identifiées, ni enregistrées comme réfugiées, ni recensées ».

La publication péruvienne dénonce le fait que l’Algérie cède le contrôle des camps aux milices du polisario, qui est un « groupe armé séparatiste étroitement lié aux groupes terroristes opérant au Sahel ».

Pour sa part, le quotidien Prensa21 souligne que le détournement lucratif de l’aide humanitaire au profit des dirigeants du polisario, leur a permettent de « maintenir un train de vie luxueux, aux frais du contribuable européen et aux dépens des femmes et des enfants des camps de Tindouf, qui souffrent d’anémie chronique ».

Le journal rappel que l’Office européen de lutte antifraude (OLAF) avait pointé du doigt, dans un rapport publié en 2015, un « détournement méthodique, sur plus de quatre décennies, de l’aide humanitaire accordée aux Sahraouis, retenus en otage dans les camps de Tindouf, sur le territoire algérien ».

Le rapport de l’OLAF a mis en évidence « la responsabilité de l’Algérie, complice active du détournement de cette aide, qui commence généralement dès l’arrivée des cargaisons au port algérien d’Oran ».

De même, le Parlement européen avait noté que “l’Algérie a prélevé une taxe de 5 % sur cette aide et a refusé les demandes de recensement” de cette population présentées par le HCR.

En 2021, rappelle la même source, le rapport du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, avait attiré l’attention sur le détournement des fonds et de l’aide alimentaire destinés à la population prise en otage par le polisario.

Par ailleurs, toutes les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2011 ont demandé à l’Algérie d’autoriser le recensement de la population des camps de Tindouf, conformément au droit international humanitaire.

La même demande a été adressée aux agences de l’ONU pour qu’elles respectent les “meilleures pratiques” de l’ONU dans l’acheminement de l’aide humanitaire aux populations des camps.

Prensa21 déplore que « l’Algérie a constamment défié les demandes fermes et sans appel du Conseil de sécurité, se cachant derrière des prétextes fallacieux infondés », ajoutant que ce pays a « la responsabilité morale et juridique de cesser d’exploiter la situation des populations séquestrées sur son territoire et de s’en servir comme monnaie d’échange, tout en dépensant des sommes colossales pour maintenir le train de vie luxueux d’une poignée de dirigeants du polisario et en leur fournissant des équipements militaires de pointe ».

Mapexpress.ma




Iran : La diplomatie des drones pour déstabiliser l’Afrique du Nord et le Sahel 

Il est indéniable que les drones iraniens fournis au polisario par l’Algérie constituent une menace réelle à l’encontre du Royaume. Le Maroc n’est pas le seul pays à avoir alerté contre les conséquences des liens militaires entre l’Algérie et l’Iran pour l’Afrique du Nord et le Sahel. Aujourd’hui des voix s’élèvent un peu partout dans le monde pour dénoncer, condamner et alerter sérieusement contre cette coopération qui favorise la déstabilisation de cette région stratégique du monde.

Après l’expert américain en Affaires stratégiques, Llewellyn King, qui avait mis en garde contre les manœuvres du régime iranien -avec la complicité et le financement de l’Algérie- fournit des drones à la milice du polisario, c’est l’analyste géopolitique Alexander Grinberg qui explique la dangerosité des liens militaires entre l’Algérie et l’Iran.

« Les drones iraniens sont désormais déployés en Afrique du Nord et constituent une menace directe pour le Maroc« , a-t-il affirmé. Basé à l’Université de Tel Aviv, ce doctorant est un expert de l’Iran et parle couramment l’arabe, le farsi, le français, l’anglais, l’espagnol, le russe et l’hébreu, il a indiqué que, “l’exportation de drones par le régime iranien vers de mauvais acteurs déstabilise désormais non seulement la région mais, comme l’a clairement montré la guerre de Poutine en Ukraine, le monde entier”.

 

En effet, les missiles et principalement les drones font partie intégrante de la politique “des conflits et du chaos” depuis 2017, qu’a adoptée la République islamique des Ayatollahs afin de soutenir tout mandataire du terrorisme à travers le monde.

Le régime iranien a misé sur les drones comme atout militaire stratégique, car de prime ils reviennent à beaucoup moins chers que les avions de combat conventionnels, tandis que leur capacité à mener des attaques derrière les lignes ennemies les rend à la pointe et hautement souhaitables pour quiconque les utilise. Ainsi, l’exportation de ces drones vers ses alliés terroristes fait partie intégrante de la stratégie de production de drones iraniens depuis le premier jour. La diplomatie des drones iraniens renforce la quête du régime pour étendre sa base de pouvoir et dans sa région et au-delà comme en Syrie, au Liban, au Yémen… et actuellement en Algérie pour le polisario.

L’Iran a fourni des drones au groupes terroristes qui lui sont fidèles à travers le Moyen-Orient, notamment le Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen, le Jihad islamique palestinien et le Hamas à Gaza, et les milices pro-iraniennes en Syrie et en Irak. Autre fait, les drones iraniens sont également assemblés au Venezuela et portent le nom de Antonio José de Sucre-100 (ANSU-100) en lieu et place des Mohajer-2 iraniens. Le président vénézuélien Maduro lors de sa dernière visite à Alger avait fait la promesse de fourniture de drones iraniens au polisario, en Algérie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à la stabilité en Afrique du Nord.

La Russie, n’a pas été en reste, l’Iran ne pouvait laisser échapper l’opportunité du conflit ukrainien. En effet, pour la première fois, la Russie a eu besoin d’une assistance en matière d’armement, pour avoir délaissé la production de drones en termes de quantité et de qualité. Ce sont ces liens qui ont attiré l’attention internationale sur la dangereuse « diplomatie des drones » des ayatollahs.

Du coup, les pays destinataires d’armes russes comme l’Algérie, s’intéressent de plus en plus aux drones iraniens et force est de constater que l’Iran est en train de devenir une « superpuissance des drones ». Le haut conseiller militaire du guide suprême de l’Iran, Rahim Safavi, a annoncé que plus de 20 pays étaient intéressés par l’achat de drones iraniens. “Après la Russie, l’Algérie arrive en tête de liste des clients” indique Alex Grinberg qui publie son article et analyse dans le magazine “Fathom”.

L’Algérie, poursuit l’analyste “est connue pour ses violations des droits de l’homme, y compris les restrictions à la liberté d’expression et de religion d’autres minorités, et sa population souffre de difficultés socio-économiques abyssales”. Tasneem, un média iranien affilié au Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI), a indiqué que l’Algérie avait l’intention d’établir un centre de recherche et de développement de drones dans la ville de Sidi Abdellah, dans le nord de l’Algérie.

Le média iranien a explicitement évoqué les inquiétudes du Maroc et d’Israël sur la coopération entre l’Iran et l’Algérie dans le domaine des drones. “La fourniture par l’Iran à la fois de munitions et de drones d’attaque à l’Algérie intensifiera les liens entre les deux régimes autoritaires. Par exemple, le pilotage de drones nécessite une longue formation sur place, et l’Iran est susceptible d’envoyer des instructeurs arabophones du Hezbollah à cette fin. Dans les deux cas, cet axe de plus en plus audacieux est une mauvaise nouvelle pour les intérêts occidentaux dans la région”.

Le polisario, chérubin algérien par excellence et allié iranien dans la région, “s’oppose fermement aux liens croissants entre son grand rival, le Maroc et Israël, et n’hésitera pas à utiliser des drones iraniens à l’encontre du Royaume” a-t-il encore indiqué. “Cela peut menacer la stabilité et la sécurité en Afrique du Nord, posant potentiellement une menace aiguë pour les intérêts occidentaux dans la région”. Ce n’est là, ni plus ni moins que la stratégie du régime des ayatollahs pour gagner en influence et déstabiliser la région.

Aussi conclut l’analyste géopolitique, “livrer des armes de l’Iran au polisario par la médiation incontestable de l’Algérie, c’est aussi accroître la présence du Hezbollah en Afrique du Nord. L’Algérie pourrait encourager le polisario à attaquer le Maroc plus violemment maintenant qu’il dispose de drones iraniens. Cela conduira à son tour à une réponse marocaine plus dure”.

fr.hespress.com




RPDC : Les quadruplés bénis

La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) considère la naissance des triplés et quadruplés comme un signe de grande prospérité et un heureux événement du Pays, et les élève aux frais de lEtat. Dans la Maternité de Pyongyang (ou Palais des Bébés le plus grand du Pays, inauguré en 1980 avec la superficie bâtie de 60.000m2 et la capacité de plus de 1.500 lits, NDLR) sont nés les triplés et quadruplés à 536 reprises, dont 7 quadruplés. Parmi eux, figurent les 7èmes quadruplés nés en décembre 2012, fille aînée JONG Uh Yong et 3 garçons JONG Ju Yong, JONG Kang Yong et JONG Kuk Yong habitant dans lArrondissement Ranam de la Ville Chongjin, Province Hamkyong-Nord.

Quand KIM Hyang Hwa était enceinte de 3 mois, elle a été diagnostiquée comme gestation de plusieurs ftus et hospitalisée dans la Maternité de Pyongyang. (Son mari JONG Tok Chan était élève de lEcole Spécialisée de Médecine de Kyongsong de la même Province.)

Le personnel de la Maternité a pris ses mesures nécessaires pour elle, y compris la fourniture de médicaments et de toniques. Les quadrijumeaux en bonne santé ont quitté la Maternité.

Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC créé par KIM IL SUNG en 1945, NDLR) et Président des Affaires dEtat de la RPDC a fait cadeau des bagues en or à la mère et à la fille et, des couteaux à manche dargent au père et aux fils. LEtat a offert un logement moderne à la famille JONG.

Les jumeaux JONG sont en 5ème année de lécole primaire, via la crèche et la maternelle. Ils donnent libre cours à leur talent au milieu de lattention profonde des enseignants et des villageois. JONG Uh Yong, JONG Ju Yong et JONG Kuk Yong sont membres du cercle de danse gymnastique de leur école, et JONG Kang Yong aime la littérature.

Pour rappel;

a eu lieu, ce 1er avril partout dans le Pays, les cérémonies de rentrée scolaire (année académique 2023-2024) attirant lattention des parents d’élèves et des autres travailleurs; les écoles étaient bondées du personnel enseignant et administratif, des écoliers et de leurs parents; le hissage des drapeaux nationaux était précédé desdites cérémonies; les cadres du PTC, des organes du Pouvoir populaire et des organismes concernés ainsi que les élèves ont félicité les nouveaux entrants en leur offrant des gerbes ou bouquets de fleurs; après les cérémonies, suivirent les 1ers cours

le Peuple de la RPDC a accès libre et gratuit, depuis les années 1950 (pendant ou après lâpre Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA finie par la signature de l’Accord d’Armistice, NDLR), aux soins médicaux de toute sorte, à l’enseignement obligatoire de 12 ans du préscolaire au secondaire (universitaire toujours gratuit mais non obligatoire, NDLR) et au logement (construction annuelle de plus de 10.000, NDLR) de dimension variée et ces privilèges ciblant toute couche sociale sont, bel et bien, garantis juridiquement et approfondis par le Généralissime KIM JONG IL 1942-2011 pour atteindre son point culminant à l’Epoque KIM JONG UN.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




KIM JONG UN à la NADA

Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC créé en 1945 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, NDLR) et Président des Affaires dEtat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée par KIM IL SUNG en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de lEsprit Paektu-san de la Nation homogène de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR), a;

inspecté, ce 18 avril, la NADA (National Aerospace Development Administration ou Administration Nationale du Développement de l’Espace créée en 2013, NDLR)
été accompagné par PAK Thae Song, Secrétaire du Comité Central (CC) du PTC, KIM Jong Sik, Chef adjoint de département du CC du PTC, les cadres détablissements denseignement et de recherche scientifique y compris KIM Sung Chan, Recteur de lUniversité (créée en 1946, NDLR) KIM IL SUNG et Ministre de lEnseignement Supérieur du Comité de lEducation, PAK Ji Min, Recteur de lUniversité Polytechnique KIM Chaek (1903-1951, Martyr de la Révolution antijaponaise, NDLR), des techniciens et spécialistes du secteur de la recherche télématique et le personnel dirigeant du service de reconnaissance technique de la Direction Générale de Reconnaissance de lArmée Populaire de Corée (APC créée par KIM IL SUNG en 1948, NDLR)
été accueilli, sur place, par les cadres dirigeants de la NADA et de lAcadémie des Sciences de Défense Nationale
fait le tour de plusieurs endroits, entre autres lAcadémie de la Science Spatiale et la base dexpérimentation de lenvironnement spatial pour se renseigner, en détail, sur laccomplissement des tâches de recherche immédiates définies par la politique de conquête spatiale du PTC consistant à étendre et à développer, avec prévoyance, lindustrie spatiale du Pays, et sur le développement de techniques essentielles et la production de ces temps-ci dans le secteur de la recherche en science spatiale
estimé que la NADA a remporté des succès spectaculaires dans sa recherche en science spatiale essentielle visant à réaliser lobjectif immédiat et ceux à long terme de la politique dexploitation spatiale définie par le 8ème (janvier 2021) Congrès du PTC et les 5ème (juin 2022) et 6ème (décembre 2022) sessions plénières de son 8ème CC
noté en proposant les tâches pour développer, remarquablement, la sci-tech spatiale; Le développement de lindustrie spatiale est très important pour édifier une Puissance économique socialiste soutenue et garantie par la sci-tech. … La croissance de lindustrie spatiale est essentielle dans le frayement du raccourci pour accéder au statut de Puissance économique et sci-tech dordre mondial, et la manifestation du potentiel densemble de lEtat. Il faut donner une impulsion durable à lexploitation spatiale indépendante pour créer une digne industrie spatiale à même de conduire, efficacement, le développement économique du Pays. En vue de connaître un développement accéléré dans le domaine spatial, il faut, à létape actuelle, réaliser, en priorité, les plans dune exploitation spatiale avancée et intéressante sur le plan des intérêts stratégiques de lEtat, puis, augmenter, sans cesse, les succès pour ériger, finalement, notre Pays en Puissance spatiale dordre mondial, telle est la volonté invariable de notre PTC et du Gouvernement de notre RPDC. Surtout, la possession du satellite dobservation météorologique, de celui dobservation de la Terre et de celui de télécommunications doit être considérée comme le 1er objectif pour ainsi procurer, au plus tôt, la possibilité de faire face au climat désastreux, de protéger et dutiliser, de façon efficace, les ressources du Pays, et de promouvoir, puissamment, le développement scientifique de léconomie nationale. Il est important de favoriser le développement du secteur de la sci-tech spatiale en établissant un système permettant, au secteur de lenseignement et de la recherche scientifique à tous les échelons, de prendre part active au développement de satellites utilitaires à divers usages et en accroissant les investissements de lEtat. Il faut produire en règle des fusées porteuses standardisées et fiables conformément à laccélération du développement de satellites variés et construire, à merveille, des aires de lancement de satellites reflétant laspiration et lidéal en matière dédification dune Puissance spatiale. Compte tenu du fait quactuellement, les impérialistes US transforment la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) en base avancée de lagression et en poudrière pour une guerre (la 1ère en 1950-1953, finie par la signature de lAccord dArmistice RPDC-USA, NDLR) en déployant au niveau de disposition permanent des moyens stratégiques pléthoriques et variés y compris porte-avions et bombardiers stratégiques nucléaires, dans la Péninsule coréenne et à ses environs et prévoyant quà lavenir, les USA (obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en agressant la Corée depuis 1866 et occupant la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) et la Corée du Sud se livreront, sous prétexte des préparatifs conjoints, à des actions militaires plus ouvertes menaçant la souveraineté et lintégrité territoriale de notre RPDC, le 8ème Congrès du PTC a, dans le cadre des 5 objectifs principaux du développement de la défense nationale, défini comme tâche primordiale la plus importante pour lédification des forces de défense de notre Etat de disposer des capacités de reconnaissance spatiale permettant de saisir, en tout temps, les tentatives et agissements militaires des forces ennemies.


mentionné, de nouveau, le rôle que remplit la possession du satellite de reconnaissance militaire, ainsi que la valeur et limportance stratégiques que cette entreprise acquiert dans le renforcement des capacités dautodéfense nationale visant à sauvegarder la circonstance de sécurité et lintégrité territoriale de lEtat comme la sécurité et les intérêts de développement du Peuple contre les menaces et défis militaires des USA et de la Corée du Sud qui se multiplient par escalade, et à employer, selon le cas, une force militaire préventive
poursuivi: Lacquisition de ce satellite constitue la tâche prioritaire et indispensable pour le renforcement de nos forces armées et relève, entièrement, de la souveraineté de notre Etat et de son droit de défense légitime. Cette tâche nest jamais abandonnable ni remplaçable du point de vue des exigences de la circonstance de sécurité actuelle de la Péninsule coréenne aussi bien que de la gestion des menaces futures. Comme, en cette année 2023, les USA et la Corée du Sud lont montré, par leurs actes clairs, en usant de lexpression rhétorique la plus hostile, ils cherchent à renforcer, encore à lavenir aussi, leurs préparatifs militaires contre notre RPDC sous prétexte de l«offre des de dissuasion élargie» et du «renforcement de lAlliance USA-ROK» (Republic of Korea; lappellation de la Corée du Sud, qui tire son origine en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurée rien quen 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR). Dans cette situation, il est trop naturel que notre Etat se dote des forces de dissuasion conformes à la circonstance de sécurité précaire daujourdhui et de demain. A cette fin, obtenir un moyen de reconnaissance militaire et en faire usage sont la tâche de haute importance et primordiale qui passe avant tout dans laccroissement de lefficacité et lutilité militaires des moyens de dissuasion variés. Il faut constituer un comité non-permanent de préparation du lancement du satellite afin de lancer, dans le délai prévu, le satellite de reconnaissance militaire N° 1 mis au point en avril, et achever les préparatifs finals au plus tôt. A lavenir, on disposera, successivement et de façon diversifiée, plusieurs satellites de reconnaissance pour, ainsi, créer une puissante capacité de recueillir des données de reconnaissance grâce au satellite.




Afrewatch exhorte le Gouvernement à publier les informations sur le secteur minier

L’Observatoire africain des ressources naturelles (Afrewatch), que dirige M. Emmanuel Umpula, qui est en est son Directeur exécutif, a organisé une séance de travail à Kinshasa avec certains services de l’Etat pour leur rappeler l’obligation légale de publier certaines informations concernant les ressources naturelles, dans le cadre de la transparence et la traçabilité.

« L’activité d’aujourd’hui, c’était un échange sur la publication des données. Vous savez que le Code minier révisé oblige à l’Etat de publier les informations liées à la production et leurs méthodes d’évaluation, à la publication des études à impact environnemental et social, aux plans de gestion environnementale, aux plans d’activation et de réhabilitation. On demande aussi de publier les informations sur la propriété réelle, les informations sur la production, etc. », dit-il.

Selon Emmanuel Umpula, après la révision du Code minier, Afrewatch a voulu réitérer ses recommandations de voir la transparence être mise en œuvre. Il a rappelé qu’en 2022, nous avons publié la première note qui était adressée aux services concernés, notamment les services des ministères des Mines et des Finances, parce qu’il faut aussi publier les recettes de l’Etat trimestriellement.

On a constaté qu’une année après, cela n’a pas apporté des résultats. « Nous avons estimé faire la mise à jour de cette note et aussi faire un document qui donne l’économie des informations qui ne sont pas publiées. C’est ainsi que nous avons invité aujourd’hui les services des ministères des Mines et des Finances pour faire le point et voir quelles sont les recommandations pour satisfaire à ces obligations qui sont d’ordre légal.

La prochaine étape, dit-il, nous sommes très contents d’abord, parce que la discussion a été très technique. « Nous disons merci aux services de l’Etat qui sont venus, parce qu’ils nous ont envoyé les techniciens. En peu de temps, nous avons été à même de dégager des recommandations beaucoup plus précises sur comment on peut appuyer la mise en œuvre de ces dispositions, notamment la publication de ces recettes sur base trimestrielle par le ministère des Finances, publication des informations sur la production, la propriété réelle, les études à impact environnemental et social », reconnait-il.

La prochaine étape, ce que nous allons partager les recommandations que nous venons de formuler aux différents autorités pour qu’ensemble on essaye de voir comment on satisfait à ces obligations qui sont d’ordre légal. Mais aussi, qui touchent à la question de transparence et à l’accès à l’information. Entant que citoyen, notre constitution exige à ce que nous puissions avoir l’accès à l’information.

Que faire si l’Etat ne respecte pas ses obligations ?

A cette question, M. Emmanuel Umpula qui faisait la restitution des travaux devant la presse, a indiqué que c’est l’Etat lui-même qui a voulu que sa gouvernance soit transparente. Le Code minier, c’est l’Etat qui a décidé d’intégrer cette partie de la transparence. Peut-être si cela n’a pas été fait, il y a eu des raisons et nous pensons, moyennant les recommandations, que l’Etat est en mesure de mettre œuvre ses obligations légales. On fait confiance à l’Etat.

Pour ce qui est des études à impact environnemental, dit-il, la loi oblige à la fois à l’Etat et aux entreprises de publier ces études à impact environnemental. L’ajout ici est que les services de l’Etat qui interviennent doivent demander directement ces documents auprès des entreprises.

S’agissant de la question de la propriété réelle, il y a des améliorations, pense Emmanuel Umpula. A titre illustratif, la CTCPM est en train de travailler pour que nous puissions nous aligner aux standards.

« C’est le ministère des Finances qui doit publier trimestriellement les informations, nous avons demandé d’adresser une correspondance pour rappeler l’obligation. Nous avons aussi demandé à l’ITIE qui est l’organe en Rdc qui s’occupe des questions de transparence de jouer ce rôle, de contacter le ministère des Finances pour demander la mise en œuvre de cette obligation, d’autant plus que notre pays pourra être évalué et pour que nous ne puissions pas être sanctionné », martèle Emmanuel Umpula, Directeur exécutif d’Afrewatch.

JMNK

 




La diplomatie des drones de l’Iran est un danger pour l’Occident  

Alex Grinberg est un expert de l’Iran à l’Institut de sécurité et de stratégie de Jérusalem. Il prévient que l’exportation de drones par le régime iranien à de mauvais acteurs est en train de déstabiliser non seulement la région mais aussi, comme la guerre de Poutine en Ukraine l’a clairement montré, le monde entier.

Les drones et les missiles font partie intégrante de la course à la puissance asymétrique de l’Iran, aidant le régime à mener à bien ses politiques régionales en apportant son soutien à des mandataires terroristes et en favorisant le chaos et les conflits. Le régime iranien a misé sur les drones comme atout militaire stratégique, car les drones sont beaucoup moins chers que les avions de combat conventionnels, tandis que leur capacité à mener des attaques derrière les lignes ennemies les rend à la pointe de la technologie et hautement désirables pour le président Poutine. Ainsi, l’exportation de ces drones à des mandataires terroristes fait partie intégrante de la stratégie de production de drones de l’Iran depuis le premier jour. La diplomatie iranienne en matière de drones permet au régime d’étendre sa base d’influence dans la région.

L’Iran a fourni des drones à ses fidèles dans tout le Moyen-Orient, notamment au Hezbollah au Liban, aux Houthis au Yémen, au Jihad islamique palestinien et au Hamas à Gaza, ainsi qu’aux milices pro-iraniennes en Syrie et en Irak. Le Venezuela assemble également des drones iraniens et, plus récemment, des informations sur la fourniture de drones iraniens au Front Polisario en Algérie ont suscité des inquiétudes quant à la stabilité de l’Afrique du Nord. Alors que les drones iraniens dans la région favorisent les conflits et le chaos depuis 2017, jusqu’à la fourniture de drones iraniens pour la guerre de la Russie contre l’Ukraine, cela s’est produit sous les radars des médias occidentaux et l’attention des décideurs.

Un exemple de déstabilisation régionale “made in Iran” au cours des cinq dernières années est l’utilisation de drones pour mener des attaques orchestrées par l’Iran, à travers les rebelles houthis du Yémen, contre la coalition dirigée par l’Arabie saoudite. Les Houthis ont lancé une série d’attaques le 23 mars 2017, faisant s’écraser des drones non armés sur le système de défense antimissile sol-air Patriot de la coalition. Depuis, ils ont déployé sur de plus grandes distances plusieurs drones de fabrication iranienne dotés de charges explosives. Le 14 septembre 2019, les Houthis ont utilisé des drones iraniens pour attaquer les installations pétrolières d’Abqaiq et de Khurais en Arabie saoudite, plus connues sous le nom d’attaques d’Aramco.

Le 30 janvier 2022, les Houthis frappent une frégate saoudienne en mer Rouge à l’aide d’un bateau-drone. Le 20 novembre 2022, des drones des Houthis ont attaqué un navire commercial au terminal pétrolier. Le 1er juillet 2022, l’Armée de défense d’Israël a abattu trois drones du Hezbollah qui tentaient de s’approcher du champ gazier de Karish. L’Iran utilise également des drones d’attaque directement, sans nécessairement passer par ses milices comme les Houthis ou le Hezbollah. L’Armée de défense d’Israël a signalé que l’Iran avait tenté d’envoyer des armes à feu et des munitions à Gaza à l’aide d’un drone. En septembre 2022, des drones iraniens ont été utilisés pour attaquer les bases de l’opposition kurde en Irak. Cette attaque a été l’une des plus meurtrières et a coûté la vie à au moins neuf personnes. L’attaque la plus récente (10 février) a visé un pétrolier appartenant à Israël dans la mer d’Arabie. Et la liste est longue.

Pour la première fois, la Russie a besoin d’une aide en matière d’armement. Au fil des ans, le Kremlin a négligé le domaine des drones et, par conséquent, l’armée russe ne dispose actuellement d’aucune capacité satisfaisante en matière de drones, tant en termes de quantité que de qualité. En revanche, l’Iran est le seul pays capable et désireux de fournir ces armes au Kremlin (car la vente de drones à la Russie est une autre source de revenus pour le régime de Téhéran) : une synergie puissante au potentiel immensément destructeur. Le ciblage récent d’infrastructures énergétiques et de civils en Ukraine par l’armée russe à l’aide de munitions et de drones iraniens a enfin attiré l’attention de la communauté internationale sur les liens étroits entre le régime iranien et le Kremlin et sur sa dangereuse “diplomatie du drone”. Si les attaques de drones contre l’Ukraine n’ont pas d’incidence sur le cours de la guerre, leur effet est dévastateur en termes de souffrances humaines et de destructions infligées aux Ukrainiens. En fait, les drones iraniens permettent au Kremlin de cibler directement la population ukrainienne, en contournant le combat avec l’armée ukrainienne.

D’autres acteurs déstabilisateurs de la région, qui ont toujours reçu des armes russes, s’intéressent désormais de plus en plus à la fourniture de drones iraniens. Les médias iraniens se sont vantés que le pays était en train de devenir une “superpuissance du drone”. Le principal conseiller militaire du Guide suprême iranien, Rahim Safavi, a annoncé que plus de 20 pays étaient intéressés par l’achat de drones iraniens.

Après la Russie, c’est l’Algérie qui figure en tête de liste des clients. L’Etat est connu pour ses violations des droits de l’Homme, notamment les restrictions imposées aux libertés d’expression et de religion des chrétiens et d’autres minorités, et pour les difficultés socio-économiques abyssales de sa population. Tasneem, un média iranien affilié au CGRI (corps des gardiens de la révolution islamique), a rapporté que l’Algérie avait l’intention d’établir un centre de recherche et de développement de drones dans la ville de Sidi Abdellah, dans le nord de l’Algérie.

L’organe de presse iranien a explicitement évoqué les préoccupations du Maroc et d’Israël concernant la coopération entre l’Iran et l’Algérie dans le domaine des drones. La fourniture par l’Iran de munitions d’attente et de drones d’attaque à l’Algérie renforcera les liens entre les deux régimes autoritaires. Par exemple, le pilotage de drones nécessite une longue formation sur place, et l’Iran est susceptible d’envoyer des instructeurs arabophones du Hezbollah à cette fin. Quoi qu’il en soit, cet axe de plus en plus audacieux est une mauvaise nouvelle pour les intérêts occidentaux dans la région.

Le Front Polisario, bienfaiteur algérien et allié iranien dans la région, s’oppose farouchement aux liens croissants entre son grand rival, le Maroc, et Israël, et n’hésitera pas à utiliser des drones iraniens contre le premier. Cette situation pourrait menacer la stabilité et la sécurité en Afrique du Nord et constituer une menace grave pour les intérêts occidentaux dans la région : une escalade potentielle du conflit du Sahara occidental, une atteinte à la sécurité énergétique que des pays occidentaux comme l’Allemagne attendent de l’Algérie et peut-être même des répercussions humanitaires, notamment des vagues d’immigration résultant de l’instabilité régionale.

Alors qu’aucun pays ayant un intérêt dans la paix et la stabilité régionales ne devrait acheter des drones au régime iranien, les États-Unis devraient faire pression pour empêcher cet axe impie de régimes autoritaires d’acquérir des capacités destructrices de pointe “made in Iran”. Et pas seulement en raison de la dimension morale de la géopolitique.

Les Iraniens utilisent souvent le personnel du Hezbollah pour instruire les milices arabophones. C’est pourquoi livrer des armes de l’Iran au Polisario par la médiation incontestable de l’Algérie signifie également renforcer la présence du Hezbollah en Afrique du Nord. L’Algérie pourrait encourager le Polisario à attaquer plus violemment le Maroc maintenant qu’il dispose de drones iraniens. Cela entraînera une réponse plus sévère de la part du Maroc. Par conséquent, la tension déjà existante entre les deux pays en raison du soutien de l’Algérie à la guérilla du Polisario risque de devenir incontrôlable.

Les souffrances amères du peuple ukrainien ont révélé le potentiel destructeur du régime iranien à l’échelle mondiale, au-delà de la menace nucléaire. Il est grand temps que les intérêts nationaux et les valeurs démocratiques du monde libre convergent vers une stratégie unie pour empêcher la diplomatie destructrice des drones du régime iranien de se propager et de déstabiliser davantage.

Par Alex Grinberg




Nomination d’une Marocaine à l’UA: la réponse cinglante de l’UMA à la diplomatie algérienne

Dans un communiqué au vitriol rendu public ce mardi 18 avril 2023, le secrétariat général de l’Union du Maghreb arabe répond point par point aux attaques hystériques de la diplomatie algérienne contre la nomination, actée jeudi dernier, de la Marocaine Amina Selmane en tant que représentante permanente de l’organisation auprès de l’Union africaine. Et de rappeler ses vérités à un riche régime algérien qui ne s’acquitte même plus de ses engagements financiers envers l’organisation régionale. Voici ses arguments, et c’est du béton.

La réaction, sous forme de communiqué, a eu lieu ce mardi 18 avril 2023, soit cinq jours après la réception accordée par le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, au siège de l’organisation panafricaine à Addis-Abeba à la Marocaine Amina Selmane, venue lui présenter ses lettres de créance en tant que représentante permanente de l’Union du Maghreb arabe (UMA) auprès de l’UA. Elle intervient également deux jours après un communiqué à travers lequel la diplomatie algérienne réagissait avec violence à cette nomination, s’attaquant en des termes très peu diplomatiques tant au secrétaire général en exercice de l’UMA, le Tunisien Taïeb Baccouche, qu’au même Moussa Faki Mahamat.

Pour le pouvoir algérien, la nationalité de la nouvelle représentante permanente de l’UMA à l’UA ne passe pas et tous les moyens, et invectives, sont bons pour laisser éclater une inextinguible rage. La vérité est cependant ailleurs et c’est le communiqué du secrétariat général de l’UMA qui est venu la rétablir. Et c’est une véritable leçon tant de finesse diplomatique que de précision.

Une décision qui remonte à 2018

Dans sa missive, le secrétariat général de l’UMA commence d’abord par se féliciter de l’ouverture de sa représentation au sein de l’UA. Une décision «qui a fait l’objet d’un accord avec le président de la Commission de l’UA Moussa Faki Mahamat en janvier 2018», rappelle le communiqué. Cet accord a fait l’objet d’une large information «sans que nul n’y oppose de réserve». Son exécution a néanmoins été suspendue suite à la pandémie du Covid-19. Ce n’était que partie remise et «nous avons enfin pu nommer la directrice des affaires économiques au secrétariat général de l’UMA, dans un contexte où les Communautés Economiques Régionales (CER) sont considérées par l’Union Africaine comme ses piliers essentiels dans la mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, notamment en matière d’intégration économique continentale, dont le préalable est l’intégration régionale», souligne le communiqué.

Contrairement aux assertions de la junte, voulant que le mandat de Taïeb Baccouche à la tête de l’UMA ait pris fin le 1er août 2022 (et qu’il n’a donc plus qualité à procéder à une telle nomination), le communiqué indique que cette décision a coïncidé avec le prolongement dudit mandat, «Taïeb Baccouche ayant à maintes reprises demandé à ce qu’un successeur soit désigné», lit-on. La dernière occasion en date a d’ailleurs été la tenue à Alger, les 1er et 2 novembre 2022, du Sommet de la Ligue arabe. En guise de réponse, «la partie organisatrice (l’Algérie, NDLR) a omis de l’y convier pour ce faire, même si (Baccouche) a reçu une invitation officielle de la part du secrétaire général de la Ligue arabe pour y assister».

Des engagements financiers non honorés depuis 2016

Répondant au prétendu «attachement» exprimé dans le communiqué de la diplomatie algérienne à l’UMA, le secrétariat général de cette organisation rappelle que des cinq pays composant le Maghreb arabe, seule l’Algérie manque à l’appel de ses engagements. Si le Maroc, la Tunisie, la Mauritanie et la Libye sont à jour de leurs contributions financières jusqu’en 2022, l’Algérie elle n’a pas honoré les siennes depuis 2016. Mieux, Alger «a retiré tous ses diplomates accrédités à l’UMA, dont le dernier a quitté ses fonctions en juillet 2022. Tous ont joui de leurs droits et solde en puisant dans les contributions des autres Etats membres», indique le document. «Nous espérons que l’attachement témoigné par l’Algérie se concrétise par le règlement du restant dû et par le retour des diplomates rappelés», souhaite, non sans cynisme, le secrétariat général de l’UMA.

Mensonges et calomnies

Le communiqué insiste sur l’absence de toute réserve algérienne quant à toutes les initiatives prises par le secrétaire général de l’UMA jusqu’ici, et ce, en dehors de la récente nomination. Il déplore également le fait que la diplomatie algérienne ait qualifié ce dernier d’«ancien secrétaire général», en sachant que les plus grands hommes d’Etat algériens se sont toujours, bien après le 1er août 2022 et dans des messages écrits, adressés à lui en son nom et sa fonction (de secrétaire général en exercice). Le communiqué compte au moins neuf messages, dont un du ministre algérien des Affaires étrangères, un autre du Premier ministre et encore un autre du président de la République algérienne.

Dans son communiqué, le secrétariat général de l’UMA regrette également l’attaque algérienne contre Moussa Faki Mahamat, qualifié, entre autres, d’«irresponsable» par la diplomatie algérienne alors que son seul tort est d’avoir appliqué l’article 20 de l’accord entre l’UA et les huit organisations régionales du continent. Amina Selmane, de par ses fonctions passées en tant que directrice des affaires économiques au secrétariat général de l’UMA sur lesquelles elle a prêté serment, relève, elle, de la diplomatie maghrébine et elle travaille désormais à l’échelle du continent et sous les auspices du président de l’UA, souligne le communiqué. Sa nationalité marocaine est tout simplement un non-sujet. Même si la junte et ses relais ne l’entendent pas de cette oreille.

Par Tarik Qattab

 




Implantation de l’industrie iranienne de drones en Algérie, envoi d’instructeurs du Hezbollah pour former les milices du « polisario » à leur utilisation… Révélations explosives sur une sérieuse menace irano-algérienne sur la stabilité de la région

Le lièvre a été levé dernièrement par l’agence iranienne semi-officielle « Tasnim » mais l’information est passé sous le nez de l’Occident, notamment l’Europe qui doit s’inquiéter sérieusement tellement ses intérêts dans la région sont menacés. Tenez, « l’Algérie a l’intention d’établir un centre de recherche et de développement de drones dans la ville de Sidi Abdellah », située dans la banlieue sud-ouest d’Alger, a dévoilé le média iranien réputé être proche du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI).

Dans un article paru dans le magazine Fathom Journal, édité par le « Britain Israel Communications and Research Center « , – une organisation basée au Royaume-Uni qui agit pour promouvoir la sensibilisation à Israël et au Moyen-Orient au Royaume-Uni-, Alex Grinberg, un expert de l’Iran basé à l’Institut de sécurité et de stratégie de Jérusalem, revient avec plus amples détails sur ce projet de joint-ventre irano-algérien destiné à créer, dans la ville algérienne de Sidi Abdellah, un embryon d’industrie de drones, avec le soutien de Téhéran.

Sous ce titre « la diplomatie iranienne des drones est un danger pour l’Occident », l’expert israélien déplore le silence de l’Europe sur ce projet irano-algérien, malgré la menace qu’il fait peser sur la stabilité de toute la région. « Cela peut menacer la stabilité et la sécurité en Afrique du Nord, posant potentiellement une menace aiguë pour les intérêts occidentaux dans la région: une escalade potentielle du conflit du Sahara occidental; saper la sécurité énergétique pour laquelle les pays occidentaux comme l’Allemagne se tournent vers l’Algérie ; et peut-être même des répercussions humanitaires, y compris des vagues d’immigration résultant d’instabilités régionales », a-t-il averti.

« Après la Russie, l’Algérie arrive en tête de liste des clients. Le régime algérien est connu pour ses violations des droits de l’homme, y compris les restrictions à la liberté d’expression et de religion des chrétiens et d’autres minorités, et sa population souffre de difficultés socio-économiques abyssales », explique l’expert israélien.

Le média iranien « Tasnim » avait explicitement évoqué « les inquiétudes du Maroc et d’Israël sur la coopération entre l’Iran et l’Algérie dans le domaine des drones ». Alex Grinberg évoque à ce sujet « l’envoi d’instructeurs arabophones du Hezbollah sur place » pour former les algériens (et son proxit séparatiste) à l’utilisation des drones d’attaque.

« Les États-Unis devraient exercer des pressions pour empêcher cet axe impie de régimes autoritaires d’acquérir des capacités destructrices de pointe « fabriquées en Iran ». Et pas seulement en raison de la dimension morale de la géopolitique », estime l’expert israélien, ajoutant qu’aucun pays ayant un intérêt pour la paix et la stabilité régionales ne devrait acheter des drones au régime iranien.

Mi-cotobre 2022, Un haut général militaire iranien a déclaré que 22 pays envisageaient d’acheter les drones du pays, dans un discours vantant les progrès du pays dans la production d’avions militaires sans pilote.

S’exprimant à l’Université militaire Imam Hussein de Téhéran, le général de division Yahya Rahim Safavi a déclaré que l’Iran avait développé des drones « efficaces et dissuasifs », avait rapporté l’agence Tasnim.

« Aujourd’hui, nous avons atteint un point où 22 pays du monde exigent d’acheter des avions sans pilote à l’Iran », avait déclaré Safavi, qui est également conseiller du guide suprême Aytaollah Ali Khamenei.




Festival de la jeunesse Chine-Afrique: Les jeunes africains plongés dans le monde culturel traditionnel chinois

Ils sont plus de 40 jeunes qui participent au 7e festival de la jeunesse Chine-Afrique qui a ouvert ses portes ce mardi 18 avril à Beijing. Organisé conjointement par le Secrétariat du comité de suivi chinois de Foca et le centre d’échange scientifiques et culturels de la jeunesse, ces assises dont participent plus de 49 pays africains permettent à la jeunesse africaine et chinoise de partager les expériences, mieux encore s’inspirer des uns et des autres en vue de bâtir ensemble un avenir commun.

Vice-Présidente de la Fondation chinoise Soong Ching Ling, Shen Beili, a dans son mot, estimé que cette occasion va permettre aux jeunes africains de comprendre l’importance de cette coopération entre son pays et l’Afrique. Elle invite donc les jeunes africains de profiter de leurs visites pour ce faire une idée de la nature ou encore de l’importance de relation sino-africaine.

Représentant spécial du gouvernement chinois pour les affaires africains, Liu Yuxi a insisté sur la mission commune que partage la Chine et l’Afrique aux yeux du reste du monde. D’après lui, la Chine et l’Afrique ont un développement similaire. « La visite des autorités chinoises en Afrique a joué un grand rôle dans le renforcement de cette coopération estime l’homme ». Déjà pour cette année nouvelle, son pays compte mettre en œuvre l’esprit du 20è congrès national du Parti Communiste Chinois en faveur de l’Afrique pour rendre encore plus solide cette amitié.

Très heureux de voir la jeunesse africaine et chinoise mise en relation, l’ambassadeur sénégalais, estime que le présent festival est très important pour le renforcement des relations de la coopération sino-africaine. « L’Afrique et la Chine combinée égal à deux plus grand pays en développement, mais aussi du point de vue démographique les jeunesses africaines et chinoises, sont extrêmement importants. Donc cela donne une responsabilité à nos gouvernements de mettre en place des politiques qui permettent tout d’abord de former nos jeunes, mais aussi de renforcer leur capacité, l’Afrique en besoin », martèle Ibrahim Sory Sylla, ambassadeur du sénégalais en Chine.

Déjà il faut souligner que les bourses sont mises à la disposition de la jeunesse africaine pour étudier, mais il faut que ces bourses soient bénéfiques pour le continent. D’où l’appel d’Ibrahima à l’endroit des autorités chinoises pour diriger ces opportunités dans le domaine scientifique qui doit accompagner vers l’évolution et le développement africain. 

De l’apport de l’Afrique dans cette coopération

La Chine nous aide déjà et c’est une bonne chose. Mais c’est un échange, l’Afrique a aussi des choses offrir et à proposer à la jeunesse chinoise. Dans le cadre de cette coopération, nous sommes en train de voir avec la Chine quel type de modèle proposé à nos amis. Bien que beaucoup de choses sont faites dans le cadre de la coopération entre la jeunesse africaine et chinoise, il y a encore des choses qui doivent être réalisées, ajoute Ibrahima Sory Sylla.

Et de préciser que jusqu’ici, les deux jeunesses ne se connaissent pas trop bien, alors qu’il faut d’avantage mutualiser nos efforts, bien que nos cultures soient différentes mais elles sont complémentaires. Cet effort doit être fait dans les deux sens. Il faut aider la jeunesse chinoise de mieux connaitre la jeunesse africaine et ce festival tombe à point nommé, estime l’homme surtout après cette période de la pandémie.

Il faut dire que c’est depuis le 16 avril que cette jeunesse africaine a mis ses pieds sur le sol chinois dans le cadre de ce forum qui va fermer ses portes le 23 avril 2023. Ainsi donc, la jeunesse a l’occasion de se plonger au cœur de la culturelle traditionnelle chinoise, mais aussi à renforcer leurs liens d’amitiés avec la jeunesse chinoise durant cette période d’échange.

Hugo Matadi, depuis Beijing en Chine     




Ferme est la position davertissement de la RPDC face aux provocations des USA

Voici une déclaration (17/04/2023) de RI Pyong Chol;

Maréchal de lArmée Populaire de Corée (APC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, NDLR)

membre du Présidium du Bureau Politique et Secrétaire du Comité Central du Parti du Travail de Corée (PTC créé par KIM IL SUNG en 1945, NDLR)

Vice-Président de la Commission Militaire Centrale (dont le Président est KIM JONG UN, Maréchal de la République Populaire Démocratique de Corée -RPDC- créée par KIM IL SUNG en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de lEsprit Paektu-san de la Nation homogène de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) du PTC;

Les USA (agresseurs de la Corée depuis 1866 et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) et lhorde à leur remorque tentent la convocation coercitive dune nouvelle autre réunion publique du Conseil de Sécurité (CS) de lOrganisation des Nations Unies (ONU) pour contester les mesures prises par notre RPDC pour renforcer ses capacités militaires dautodéfense. Les tentatives des USA dinciter le CS de lONU pour décrire et contester lexercice du droit légitime de notre RPDC à son autodéfense comme des quelconques «provocations» et «menaces», je le dénonce, fermement, comme;

un mépris non déguisé de la souveraineté nationale de la RPDC

une ingérence manifeste dans ses affaires intérieures.

Le développement par notre RPDC darmes stratégiques de type nouveau (13/04/2023; essai dun missile balistique intercontinental Hwasongpho-18, NDLR) nest quune des mesures légitimes pour renforcer son potentiel dautodéfense contre les menaces militaires toujours croissantes des USA et avec ses préoccupations de sécurité à long terme dans la Région, visant à;

sauvegarder la RPDC et dissuader une guerre

sauvegarder la vie et lavenir du Peuple pacifique.

Cette année 2023, les USA et le groupe de traîtres fantoches de la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR);

ont jailli leurs propos insensés les plus hostiles et agressifs de nature évidente tels que l«Occupation de Pyongyang (Capitale de la RPDC)», l«Opération de décapitation (contre la Direction Suprême de la RPDC)» et la «fin du Régime (socialiste de la RPDC)» qui nadmettent aucune excuse

ont organisé, sans cesse ou discontinuité, leurs exercices militaires conjoints à grande échelle simulant une frappe nucléaire préventive et une guerre totale (la 1ère en 1950-1953, finie par la signature de lAccord dArmistice RPDC-USA, NDLR) contre notre RPDC

vont organiser, en juin, un autre plus grand «exercice conjoint dannihilation par la puissance de feu» (dans le cadre de la «commémoration» du 70ème anniversaire de la signature de lAccord dArmistice de 1953, NDLR) denvergure sans égale dans lhistoire, en Corée du Sud, pour conduire la situation au bord de lexplosion

ont organisé, de nouveau pendant 2j (13-14 avril), un exercice aérien conjoint en mobilisant les bombardiers nucléaires stratégiques.

Cest une preuve évidente que leurs menaces et le chantage nucléaires contre notre RPDC ont atteint un niveau qui ne peut jamais être négligé. Il est, tout à fait, naturel que notre RPDC sefforce de disposer de moyens dautodéfense légitime plus superpuissants pour faire face à la grave situation qui prévaut et aux menaces à long terme et, ce nest que de cette manière quil sera possible de maintenir léquilibre des forces et de maîtriser la situation sécuritaire dans la Péninsule coréenne.

Cest une expression claire de 2 poids 2 mesures et une grave insulte à la souveraineté de notre RPDC que le CS de lONU tente de contester, à nouveau et unilatéralement, notre RPDC sur lexercice de son droit légitime à lautodéfense, sans exprimer ne serait-ce quun iota de préoccupations sur les USA, principaux auteurs de laggravation de la situation dans la Péninsule coréenne. Si le CS de lONU est, vraiment ou véritablement, intéressé à assurer la paix et la stabilité dans la Péninsule coréenne, il devrait, sur les principes de légalité et du respect de la souveraineté et de la non-ingérence dans les affaires intérieures spécifiés dans la Charte de lONU, mettre les USA en cause de leurs;

pratiques illégales du diktat et de larbitraire

accumulations darmes de toutes sortes et démonstration de forces armées qui exacerbent les tensions dans ladite Péninsule.

Les USA;

sont, toujours, obsédés par une confiance excessive en leur propre force, ignorant la structure mécanique RPDC-USA fondamentalement modifiée (émergence de la RPDC en Superpuissance nucléaire, NDLR)

devraient bien discerner la tendance de lépoque en cours, bien que tardivement, et cesser, immédiatement, leurs provocations politico-militaires dénerver notre RPDC.

Si les USA persistent à mettre en danger lenvironnement sécuritaire de la Péninsule coréenne au mépris des avertissements réitérés de notre RPDC, cette dernière prendra ses mesures dactions nécessaires pour exposer les USA à une crise de sécurité plus claire et à des menaces insurmontables.