Une note déclassifiée de la CIA confirme la marocanité du Sahara oriental

Un document déclassifié du renseignement américain reconnaît la souveraineté marocaine sur le Sahara oriental s’étendant de Hassi Beida (province de Béchar) jusqu’à la ville de Tinjoub (sud de Mhamid Ghizlane) et tient la France, l’ancienne puissance coloniale, responsable du différend territorial entre le Maroc et l’Algérie, a rapporté North Africa Post.

Le média North Africa Post a rapporté qu’un mémo déclassifié par la Central Intelligence Agency (CIA) en 2004 a fait allusion de la position juridique et les droits historiques du Maroc pour la libération des derniers territoires sahariens occupés illégalement annexés pendant l’Algérie française au détriment du Maroc.

Selon le réseauté média, le document officiel américain déclassifié met en lumière la « guerre des sables » qui éclata en octobre 1963 entre les deux pays voisins (le Maroc et l’Algérie nouvellement indépendante), soulignant que le tronçon sud-saharien de la frontière maroco-algérienne de Figuig jusqu’au Le Sahara n’a jamais été délimité. Cela signifie que Washington tient la France pour responsable des problèmes frontaliers enchevêtrés dans la région, rappelle la source.

Pendant l’administration française du Maroc et de l’Algérie, les redéfinitions successives de la ligne administrative séparant le Maroc de la juridiction algérienne française ont favorisé l’Algérie, qui faisait légalement partie de la France, alors que le Maroc n’était qu’un protectorat, indique le document de la CIA.

Après avoir accédé à l’indépendance en 1956, les Marocains ont soulevé la question de la récupération de leurs territoires sahariens annexés à l’époque de l’Algérie française, ajoute la note de service des services de renseignement américains.

En 1958, alors que les rebelles algériens opéraient dans la zone saharienne, la France et le Maroc « se sont mis d’accord de manière informelle » sur des zones opérationnelles respectives afin d’éviter des affrontements entre leurs forces.

En vertu de cet accord informel, les Français ont étendu leur occupation au nord et à l’ouest des lignes précédentes, mais la nouvelle ligne n’a reçu aucun statut juridique, souligne le document de la CIA.

« Cette ligne est pourtant adoptée par les Algériens. Les Marocains insistent sur le fait que la véritable frontière est une ligne antérieure, qui place les postes de Hassi Beida et Tinjoub au Maroc. Ces postes sont importants car ils se trouvent sur la principale piste caravanière reliant Colomb-Béchar et Tindouf », révèle le document américain.

 

La note de la CIA cite un accord conclu en 1961 entre feu le roi Hassan II et Ferhat Abbas, alors Premier ministre du gouvernement provisoire algérien, pour récupérer le Sahara oriental marocain, mais les dirigeants algériens ont rompu leur promesse. Ils ont trahi les Marocains qui les ont soutenus pendant leur guerre d’indépendance. Ils ont refusé de restituer les territoires sahariens marocains, préférant s’en tenir aux frontières coloniales héritées.

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La Chine relance sa consommation à travers la 3e Expo de Hainan

Qu’est-ce qui est apprécié sur le marché chinois ? Quelles sont les nouvelles opportunités sur le marché chinois et à l’international ?

Lors de la 3e édition de l’Exposition des produits de consommation à Haikou sur l’île de Hainan dans le sud de la Chine du 11 au 15 avril, il est question de mettre en avant plan tout ce qui est lié à la consommation : nourriture, boissons, mode, logistique, commerce électronique, haute technologie, intelligence artificielle, tourisme, véhicules verts et équipements. Un grand moment annuel, lors duquel le monde entier peut prendre le pouls de la consommation chinoise.

De nombreuses activités sont aussi organisées autour de cet évènement : dégustations, négociations, visites et forums. C’est l’occasion pour les marques chinoises et étrangères pour lancer leurs nouveaux produits.

Des quatre principales expositions de niveau national, celle-ci sera également la première en présentiel cette année. De nombreux cadres et acheteurs professionnels d’entreprises mondiales de premier plan à l’étranger conduisent leur délégation pour participer à l’exposition et effectuer la promotion de leur marque.

Parmi l’effet marquant pour cette année, c’est la participation de l’Italie à cette exposition.

«Après la Suisse et la France, l’Italie sera cette année le pays invité d’honneur de cette 3e édition de l’exposition des produits de consommation. La France, l’Allemagne, les États-Unis, le Japon, la Corée du Sud et d’autres pays, ainsi que les pays membres du RCEP organisent activement leurs entreprises et leurs produits de consommation de haute qualité pour participer à l’exposition. Parmi eux, pour la première fois, l’Italie, l’Espagne et la Pologne enverront des délégations à l’exposition».

Cette année, l’exposition est par ailleurs marquée par l’élargissement de sa superficie : la surface totale d’exposition de cette année s’est agrandit de 20 %, quant au secteur dédié aux marques, il représente 80 % de la superficie totale.

La Chine est aujourd’hui le deuxième plus grand marché de consommation au monde et la contribution de la consommation à l’économie nationale a augmenté. La consommation n’est pas seulement une force motrice majeure pour la croissance économique chinoise, mais aussi le résultat important du développement des affaires de la Chine.

En 2021, le revenu disponible par habitant des résidents en Chine a atteint 35 128 yuans (4 936 dollars), en hausse de 9,1 % en glissement annuel en termes nominaux. Le président chinois Xi Jinping a souligné, je cite, “La Chine suivra la tendance des mises à niveau de la consommation intérieure et adoptera des mesures politiques plus actives et efficaces pour promouvoir les revenus et la capacité de consommation des résidents, cultiver de nouveaux points de croissance pour la consommation de milieu à haut de gamme, continuer à libérer le potentiel du marché intérieur et élargir l’espace d’importation”, fin de citation. Un marché bénéficiant d’un vaste potentiel qui attire les regards du monde entier.

Par Zhang Shanhui, Présentatrice et journaliste, CGTN Français




Kinshasa célèbre la journée mondiale de Quds

Le dernier vendredi de chaque mois de Ramadan a été décrété comme JOURNEE MONDIALE DE QUDS. Pour ce Ramadan, cest le vendredi 14 Avril 2023.

Daucuns peuvent continuer à se poser la question de savoir ce que peut rapporter une telle manifestation aujourdhui.

En effet, le rappel profite à tous ceux qui se soucient du bien de lhumanité sans aucune distinction. Cette journée offre loccasion non seulement à tous les musulmans du monde entier mais aussi et surtout à tous ceux qui militent pour la paix, de compatir aux malheurs multiformes des palestiniens qui continuent à subir jour et nuit linjustice israélienne. Aussi longtemps que cette injustice persistera, les voix continueront à sélever pour la condamner. Ne dit-on pas que les droits humains sont les droits qui exigent des revendications ?

Quoi de plus choquant aujourdhui que dentendre à travers les ondes et de lire dans les dictionnaires dits modernes un Etat qui a comme préoccupation primordiale de conjuguer le verbe « OCCUPER ».

En effet, quand on parle dIsraël, on lit : « ISRAËL ET TERRITOIRES OCCUPES », et ce, à lheure où les droits de lhomme (droits humains) sont considérés par la Communauté Internationale comme la priorité des priorités, le cheval de bataille de tous les démocrates, de tous les défenseurs des droits humains à travers le monde. ISRAËL néglige, bafoue, rejette, piétine, sabote, ignore toutes les théories y afférentes, toutes les résolutions tendant à amener la paix en Palestine.

LImam AYATOLLAH KHOMEINY, fondateur et guide spirituel de la République Islamique dIran, en lançant ce cris dalarme pour la première fois, il na fait que rappeler le devoir dun chacun à venir au secours des victimes, des opprimés quelles que soient leur race, leur nationalité, leur conviction religieuse, etc.

Que ceux qui pensent que cest un problème qui concerne uniquement les palestiniens, attendent on ne le souhaite pas le jour où ils seront dans la même situation que les palestiniens, quand le reste du monde dira : « Cest leur problème ». Ce jour là, il ny aura plus personne pour intervenir parce que votre règle soutient que : « Le malheur des autres, la souffrance des autres, la mort des autres, les maladies des autres, loccupation des autres ne vous concernent pas ».

La République Démocratique du Congo, victime éternelle doccupation et datrocités surtout à lEst comprend à fond les termes « INJUSTICE » et « OCCUPATION » et leurs conséquences. Cest pourquoi, cette journée intéresse les congolais et, ils invitent les défenseurs des droits humains, les hommes qui militent pour la paix de se mobiliser comme un seul corps pour dire NON à linjustice subie inutilement par la Palestine.

Christophe Omela Losema

Défenseur des Droits Humains




Bien que dictateur brutal, pourtant l’un des meilleurs amis de l’Occident 

Sa mainmise sur le pouvoir est quasiment inattaquable. Depuis son accession à la présidence il y a plus de vingt ans, il a repoussé les limites des mandats constitutionnels, muselé la presse libre et réprimé la dissidence. Des journalistes ont été contraints à l’exil, voire tués ; des personnalités de l’opposition ont été emprisonnées ou retrouvées mortes. Son pays a été réduit à la tyrannie.

Mais ce dictateur n’est pas un paria, comme le russe Vladimir Poutine ou le syrien Bachar el-Assad. Au contraire, il est l’un des meilleurs amis de l’Occident et l’un des plus fiables : il s’agit de Paul Kagame, président du Rwanda. Depuis son arrivée au pouvoir en 1994, M. Kagame s’est attiré les bonnes grâces de l’Occident. Il a été invité à s’exprimer – sur les droits de l’homme, comble de l’ironie – dans des universités telles que Harvard, Yale et Oxford, et a reçu les éloges de dirigeants politiques de premier plan tels que Bill Clinton, Tony Blair et l’ancien secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon.

Et ce n’est pas tout. Les amis occidentaux de M. Kagame comprennent la FIFA, qui a tenu son congrès annuel dans un brillant complexe sportif à Kigali en mars dernier, et la N.B.A., dont la Ligue africaine de basketball joue au Rwanda. Le plus grand constructeur automobile européen, Volkswagen, possède une usine de montage au Rwanda, et de grandes organisations internationales telles que la Fondation Gates et le Forum économique mondial sont d’étroits partenaires. Les bailleurs occidentaux financent 70 % du budget national du Rwanda.

Mais le plus grand soutien de M. Kagame est peut-être l’accord conclu avec le gouvernement britannique pour accueillir les demandeurs d’asile expulsés de Grande-Bretagne. Cet accord controversé, qui pourrait contrevenir au droit international, a renforcé la réputation du Rwanda en tant que partenaire inébranlable des pays occidentaux.

Loin du repli autoritaire qu’il est, le Rwanda de M. Kagame est aujourd’hui salué comme un refuge pour les personnes fuyant la dictature.

M. Kagame doit une grande partie de son succès à son habileté en matière de rhétorique politique, un art que les Rwandais appellent « ubwenge ». Dans les conférences de presse où les journalistes rwandais, conscients des risques encourus par des collègues moins dociles, lui posent des questions faciles, M. Kagame brille. Sa cible est souvent l’Occident. Il ne cesse d’exprimer un message anti-impérialiste sur la façon dont l’Europe « viole les droits des peuples » et dénonce le « complexe de supériorité » de l’Occident.

Cette posture fait de lui l’un des principaux avatars d’un nouveau type de dirigeant postcolonial. D’autres présidents nationalistes populistes tels que Recep Tayyip Erdogan (Turquie), Andrés Manuel López Obrador (Mexique) et Narendra Modi (Inde) rallient également leurs populations autour de sentiments similaires, s’érigeant en leaders mondiaux qui ne sont plus redevables à l’Occident. Souvent, au cœur de leurs discours de défi, on trouve des références à de vieux crimes – massacres, génocides et expropriations commis par les empires européens qui remontent au 16ième siècle.

Ces appels fonctionnent parce que les dirigeants occidentaux ne présentent encore que des « regrets » à contrecœur pour ces atrocités et s’excusent rarement, en partie par crainte que leurs nations n’aient à débourser d’énormes sommes en réparations. Cela permet aux griefs de perdurer. Nombreux sont ceux qui, dans les anciennes colonies, ressentent encore viscéralement ces humiliations passées, qui se manifestent aujourd’hui dans des institutions dominées par les intérêts occidentaux, telles que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, ou dans les négociations internationales en matière de commerce et d’aide. Les dirigeants postcoloniaux tels que M. Kagame trouvent une grande popularité dans leur insistance sur le fait que l’Occident devrait expier son histoire, aussi improbable que cela puisse être.

Le prix à payer pour éviter les excuses, cependant, est que les dirigeants occidentaux voient leur autorité morale diminuée. Au lieu de cela, ils s’engagent dans des comportements placides – en offrant des éloges et un partenariat, plutôt qu’une condamnation. Cette dynamique n’est peut-être nulle part plus claire qu’au Rwanda, où l’influence de M. Kagame sur les dirigeants occidentaux est particulièrement forte parce que les griefs du pays sont récents. Il est très doué pour culpabiliser l’Occident et ses coups de gueule font mouche.

Le génocide rwandais de 1994 – au cours duquel près d’un million de Rwandais, dont de nombreux membres de l’ethnie tutsie, ont été tués – a été perpétré au nez et à la barbe des forces de maintien de la paix des Nations unies, qui ont diligenté des rapports sur les massacres tout en semblant impuissantes à les empêcher. Bien que l’ancien ambassadeur de M. Kagame aux États-Unis et d’autres alliés politiques l’aient accusé d’avoir « déclenché » le génocide rwandais et d’avoir fait peu pour l’empêcher, il s’est présenté comme le héros qui y a mis fin.

En cas de critique, la tactique éprouvée de M. Kagame consiste à réfuter tout dirigeant occidental qui a l’audace de sermonner les nations pauvres sur la démocratie, les droits de l’homme et l’État de droit. Sa rhétorique trouve un écho dans un monde qui a désespérément besoin de success stories africaines, notamment en Occident. En 2011, le journaliste Tristan McConnell décrivait comment le soutien de l’Occident à M. Kagame était motivé par « un désir sincère de lutter contre l’image d’un continent à la dérive ». L’année suivante, le magazine Time a qualifié M. Kagame d’« incarnation d’une nouvelle Afrique ».

Derrière cette adulation se cache une vérité plus sombre. En effet, depuis qu’il a pris le pouvoir en 1994 en tant que commandant en chef de l’armée rwandaise, puis en tant que président, M. Kagame a systématiquement truqué les élections, remportant près de 99 % des voix en 2017. Nombre de ses opposants ont disparu, certains ont été retrouvés assassinés, et dans un cas, virtuellement décapité. Le héros autoproclamé qui a prétendument mis fin au génocide rwandais était également à la tête d’une armée qui, selon l’ONU, était responsable du meurtre de dizaines, voire de centaines de milliers de Hutus et d’actes potentiels de « génocide » après avoir envahi à deux reprises la République démocratique du Congo.

Pourtant, quel que soit le bilan historique, M. Kagame crée une réalité alternative dans laquelle l’Occident est à blâmer pour les maux de son pays et dont il est le courageux défenseur. Ce récit anti-impérialiste ne tient pas compte des informations selon lesquelles des dissidents et des journalistes sont harcelés, emprisonnés ou contraints à l’exil. Le fait qu’il soit difficile d’obtenir des informations exactes sur le pays n’arrange rien : M. Kagame interdit les reporters étrangers critiques, ce qui fait que les médias internationaux répètent souvent la propagande du gouvernement.

La soif de dirigeants postcoloniaux qui s’opposent à l’Occident est parfaitement compréhensible, car elle est enracinée dans la manière dont l’impérialisme continue de structurer les relations entre les anciennes colonies et les anciennes puissances coloniales. La justice pour les crimes commis à l’époque coloniale serait également la bienvenue pour de nombreuses personnes dans le monde, même s’il est peu probable qu’elle intervienne de sitôt. À tout le moins, les dirigeants occidentaux (à commencer par la Grande-Bretagne) devraient faire quelque chose de simple et cesser de récompenser des autocrates comme M. Kagame.




Dérapage des entreprises chinoises dans les sites miniers en Rdc: Le gouvernement chinois promet de continuer à travailler dans leur encadrement

Il est vrai qu’il y a des dérapages de la part de certaines entreprises minières chinoises, mais le gouvernement chinois dit travailler déjà pour leur encadrement. Précision donnée le lundi 10 avril, par Luo Jianbo, professeur à l’Ecole du parti du Comité central et expert aux questions de l’Afrique lors de leurs échanges avec les journalistes membres du programme China International Press Communication Center.

Répondant à la question du journal L’Avenir, cet homme des sciences estime qu’il y a possibilité de mieux faire pour améliorer cette image. Il affirme cependant que son gouvernement demande aux entreprises publiques installées en Afrique de faire plus en matière de responsabilité sociale, afin de répondre au protocole d’accord signé entre le gouvernement chinois et les pays africains dans le domaine de coopération.

Mais concernant les entreprises privées, c’est le professeur de l’Ecole du parti du comité central du Parti Communiste de Chine, qui soutient que ce ne pas facile de le faire comprendre qu’elles doivent respecter leurs engagements en termes de responsabilité sociale.

« C’est vrai que nous travaillons pour les encadrer, mais il est plus difficile pour le gouvernement de faire comprendre à ces entreprises qu’elles sont dans l’obligation de respecter leurs engagements envers les populations locales », insiste cet expert en question d’Afrique.

Il estime qu’au vue la nature de la question, les gouvernements sur place doivent aussi aider la partie chinoise afin de mieux encadrer ces entreprises privées pour le bien-être de tous.

« Certes, il est un peu difficile, mais nous travaillons déjà sur la question, mais nous avons aussi besoin d’un accompagnement. Les politiques sur place doivent être très bien définies pour résoudre une fois pour toutes ce problème », ajoute Luo Jianbo.

Les journalistes membres de cette délégation ont également saisi cette opportunité pour visiter le Campus de l’école du Parti comité central du parti communiste chinois qui est la centrale du parti et en même temps la plus haute institution pour éduquer et former des cadres du Parti communiste de Chine.

Petit rappel historique

Avant la création de celle-ci, il y avait tout d’abord l’école communisme marxiste établie dans la province de Ruijin, Jiangxi en mars 1933. Il a fait de grandes contributions à la cause du peuple et des gens, et a accumulé beaucoup d’expériences précieuses. En regardant son histoire, l’intention originale de l’école de fête a toujours été d’éduqué les talents et de fournir des suggestions pour la fête.

Dans la nouvelle ère et le nouveau voyage, les écoles du parti à tous les niveaux doivent contribuer à cette aspiration originale.

Le campus de l’école de fête du Comité central du Parti communiste de Chine (École nationale d’administration) est divisé en deux campus, le campus sud et le campus nord, couvrant une superficie totale de 1.788 acres et une superficie totale de plus de 900.000 mètres carrés. Il peut accueillir plus de 2.700 étudiants qui étudient ici en même temps.

Hugo Matadi/Chine




Fruit du contrat chinois: Le projet de réhabilitation de la route Mbuji-Mayi-Mwene Ditu contribue au développement économique de la province du Kasaï-Oriental

Mbuji-Mayi est le chef-lieu de la province du Kasaï-Oriental en Rdc et est le principal producteur de diamants industriels au monde. Afin d’améliorer les conditions de circulation extérieure de la ville de Mbuji-Mayi et d’aider au développement économique de la province du Kasaï-Oriental, le projet de réhabilitation de la route Mbuji-Mayi-Mwene Ditu dans le cadre des projets d’infrastructure du Contrat chinois a été mis en œuvre ici, qui est divisé en deux phases de construction, précise la Société d’infrastructures Sino-Congolaises, SA avec le conseil d’administration (SISC S.A.).

Le projet routier est une partie importante de la route nationale n ° 1 en RDC et est l’un des projets d’infrastructure importants du Contrat chinois. L’investissement total de la première phase du projet est de 15 millions de dollars américains. La route est revêtue d’asphalte avec une longueur totale de 16,62 kilomètres, qui a été achevé et ouvert à la circulation en 2018.

En présence et en témoignage du ministre d’État, ministre des Infrastructures et Travaux Public de la Rdc, indique la même source, la cérémonie d’inauguration de la deuxième phase du projet a eu lieu le 3 janvier 2023, avec un investissement prévu de 23 millions de dollars américains. Et un kilométrage de construction proposé de 38,8 kilomètres. À l’heure actuelle, le projet bat son plein.

À l’avenir, l’achèvement et l’ouverture du projet de réhabilitation de la route Mbuji-Mayi-Mwene Ditu amélioreront effectivement la capacité de transport entre les deux villes, raccourciront le temps de trajet, apporteront des avantages à la population locale et apporteront une contribution nouvelle et plus importante au développement de la République démocratique du Congo.




Exercice de lancement de missiles

Une unité des missiles chargée d’une mission de frappe importante au centre du front a effectué le 27 mars un exercice éducatif et démonstratif pour permettre à ses sous-unités de se perfectionner dans la méthode et le processus d’accomplissement de leur mission de frappe.

L’exercice a été dirigé par la Direction générale des missiles. Y ont assisté les commandants et les combattants des sous-unités.

Une compagnie d’enseignement relevant directement de l’unité a été mobilisée. Deux missiles balistiques tactiques sol-sol ont été lancés. Ils ont produit une explosion nucléaire en l’air.

La compagnie d’enseignement a lancé depuis l’arrondissement de Ryokpho de la ville de Pyongyang une attaque nucléaire imaginaire contre une île-cible devant la ville Kim Chaek de la province du Hamgyong du Nord en faisant exploser l’ogive du missile à l’altitude de 500 m.

Le commandant de l’unité a déclaré : « La mission de notre unité est claire. Nous savons bien ce que nous devons faire le cas échéant. Nous ne manquerons pas d’anéantir l’ennemi lors du combat. »

Tous les officiers et soldats de l’unité ont pris la ferme résolution de réaliser l’intention militaire et stratégique du Comité central du Parti grâce à leur capacité de combattre à un contre cent.

 




L’OCI réaffirme l’importance du rôle du Comité Al-Qods présidé par le roi Mohammed VI face aux dangereuses politiques israéliennes

Le Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) a réaffirmé l’importance du rôle du Comité Al-Qods, présidé par le roi Mohammed VI, pour faire face aux politiques dangereuses mises en œuvre par les autorités d’occupation israéliennes à Al-Qods Acharif.

C’est ce qui ressort de la déclaration finale publiée à la suite de la réunion extraordinaire à composition non limitée du Comité exécutif de l’Organisation, samedi à Djeddah, qui a discuté de la poursuite des attaques israéliennes contre la Mosquée Al-Aqsa.

L’organisation a réaffirmé l’importance du rôle du Comité Al-Qods pour faire face aux politiques israéliennes visant à «changer l’identité et le statut juridique de la ville, ainsi que sa composition démographique, culturelle et historique», tout en saluant le rôle joué par l’Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif.

Les Etats membres ainsi que le Secrétariat général de l’Organisation ont appelé à prendre des mesures urgentes pour faire face à ces graves attaques et mettre en œuvre les mécanismes stipulés dans les résolutions y afférentes pour agir à tous les niveaux et envoyer des messages urgents aux instances internationales concernées, y compris le Conseil de sécurité.

Ces messages doivent refléter les positions de l’organisation à cet égard, et insister sur la garantie d’une protection internationale au peuple palestinien, à la ville occupée d’Al-Qods Acharif et à ses sites sacrés, en particulier la Mosquée Al-Aqsa, face aux tentatives illégales de changer la situation juridique et historique actuelle.

fr.le360.ma




La RPDC pour le renforcement du potentiel de dissuasion de la guerre nucléaire

Voici les 2 événements (04-07/04/2023) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène de plus de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) dont le Président des Affaires d’Etat est le Maréchal KIM JONG UN.

L’essai d’un système d’arme stratégique sous-marine

Un établissement de recherche sur les sciences de défense nationale de la RPDC a effectué un essai de l’Haeil (ou raz-de-marée)-2, sous-marin nucléaire d’attaque sans pilote humain. Ayant fait son départ, ce 4 avril après-midi, du Port Kajin de l’Arrondissement Kumya dans la Province Hamkyong-Sud, le sous-marin a navigué, en plongée, pendant 71h6m suivant une route en forme elliptique et de «8» fixée dans la Mer de l’Est de Corée en supposant une distance de 1.000km pour;

arriver, ce 7 avril après-midi, au large du Port Ryongdae de la Ville Tanchon dans la Province Hamkyong-Sud

déclencher une explosion sous-marine exacte de l’ogive expérimentale.

L’essai a permis de vérifier, complètement, la fiabilité et les capacités de frappe mortelle de ce système d’arme stratégique qui servira d’un potentiel militaire supérieur des forces armées du Pays, indispensable et prospectif, pour;

maîtriser toute action militaire

juguler toute menace de l’ennemi

défendre la RPDC.

L’AUKUS perturbe le système international de non-prolifération nucléaire et déclenche une course aux armements

 

 

(commentaire de RI Jong Su, Analyste des affaires internationales de la KCNA -Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréene-) Récemment et publiquement;

les États-Unis d’Amérique (USA) ont annoncé leur décision de vente des 220 missiles de croisière Tomahawk (ou hache de guerre dont se servaient les Peuples indigènes de l’Amérique du Nord, NDLR) d’une valeur de 895 millions de US$ pour être montés sur des actuels destroyers et des futurs sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire de classe Virginia de l’Australie.

La Grande-Bretagne (G-B) a fait savoir que les 3 milliards sur les 5 milliards de £ (GBP) de dépenses militaires supplémentaires de 2 prochaines années seront alloués à l’AUKUS (Alliance militaro-stratégique créée en 2021 par l’Australie, la G-B et les USA, NDLR).

Auparavant ce 13 mars, le Président US (Joseph Robinette BIDEN 1942- ) et les 1ers Ministres britannique (Rishi SUNAK 1980- ) et australien (Anthony Norman ALBANESE 1963- ) ont publié, à la Base navale de San Diego en Californie des USA, le port d’attache de la Flotte du Pacifique, une Déclaration conjointe à l’effet que l’Australie établira, d’ici 2055, une Flotte de 8 sous-marins nucléaires par un investissement de 245 milliards de US$ en coopération avec les USA et la G-B.

La nature de l’AUKUS devient claire en tant que produit de la «nouvelle Guerre Froide (la 1ère ou l’ancienne; 1945-1991, NDLR)».

a) Destructeur du système international de non-prolifération nucléaire

Selon le Projet de coopération relative aux sous-marins nucléaires de l’AUKUS rendu public par les 3 dirigeants des USA, de la G-B et de l’Australie;

lesdits sous-marins commenceront à entrer, régulièrement, dans le Port australien respectivement à partir de 2023 et 2026, et seront mis en déploiement par rotation à partir de 2027

les USA construiraient, à partir du début des années 2030, les 3 sous-marins nucléaires de classe Virginia à vendre à l’Australie et les 2 autres de plus, si nécessaire; en particulier, ils remettront, officiellement, les sous-marins nucléaires de nouvelle génération baptisés SSN-AUKUS, construits conjointement avec l’introduction de la technologie ultramoderne des 3 Pays basée sur la conception britannique, à la G-B d’ici fin des années 2030 et à l’Australie au début des années 2040.

Le transfert d’uranium hautement enrichi de qualité militaire vers l’Australie, État non-doté d’armes nucléaires, par les USA et la G-B, États dotés d’armes nucléaires et dépositaires/signataires du Traité sur la Non-Prolifération des armes nucléaires (TNP conclu en 1968 et entré en vigueur en 1970 après ratification, NDLR), devient un acte explicite de la prolifération nucléaire selon l’évaluation unanime et impartiale de la Communauté internationale. Cependant, les USA, la G-B et l’Australie insistent, désespérément, sur le fait que les sous-marins en question;

ne sont pas chargés des missiles à ogive nucléaire

ne contreviennent pas, par conséquent, au système international de non-prolifération nucléaire.

Là réside;

l’arrogance des USA selon laquelle l’unique Superpuissance mondiale peut faire tout ce qu’elle veut

la croyance aveugle de leurs États vassaux.

L’arrogance et l’excès de confiance des USA en tant que le 1er utilisateur (1945) d’armes nucléaires au monde et l’État doté d’armes nucléaires de la plus grande quantité au monde ont atteint l’état de délivrer un laissez-passer gratuit au Club nucléaire pour les Pays «proches en termes de race et de parenté» et qui suivent les USA aveuglément; cela a créé un grand trou dans le système international de non-prolifération nucléaire. Si cet état est autorisé, il n’est pas difficile de prédire que;

soit les USA remettent, à l’Australie, des sous-marins chargés de missiles nucléaires

soit il peut arriver, à tout moment, un «grand événement» que l’Australie utilise, à mauvais escient, de l’uranium hautement enrichi dont le but initial est d’être utilisé pour sous-marin nucléaire.

Le fait que le Président US a fait remarquer que «ledit Projet ne fait que commencer» signifie, clairement, l’expansion de l’AUKUS avec d’autres Alliés que la G-B et l’Australie. Il y a, amplement, des possibilités que l’AUKUS pourrait être étendu à d’«autres États qui partagent les mêmes idées» des USA et qui sont tellement envieux de l’«aubaine» de l’Australie, comme le Canada et le Japon (agresseur de la Corée depuis 1592-1598, Etat ennemi selon la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc. et participant dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA avec ses milliers d’hommes, en tant que guide secret des USA vu son statut d’Etat vaincu dans la seconde Guerre Mondiale 1939-1945, NDLR); dans ce cas, le système international de non-prolifération nucléaire ne restera que de nom.

La situation montre que le système international de non-prolifération nucléaire souvent récité par les USA devient un outil pour renforcer la militarisation nucléaire exclusive des USA et de leurs Alliés.

b) Graine d’une nouvelle course aux armements

La fin de la Guerre Froide (1945-1991) qui coïncide avec la dissolution de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (1922-1991) a apporté de nouvelles préoccupations aux USA. La Chine, la Russie, l’Afrique du Sud, le Brésil et d’autres Puissances en développement ont émergé rapidement et la multipolarisation devient une tendance mondiale incontournable ou non négligeable; cela a poussé les USA à chercher l’issue de maintenir leur position hégémonique en;

augmentant les dépenses militaires

déclenchant une nouvelle Guerre Froide.

La transaction d’armement de l’Australie avec des sous-marins nucléaires coûterait, au total, 245 milliards de US$; ce qui alimentera, naturellement et davantage, la course aux armements dans le monde entier sans parler de l’Asie-Pacifique. Aucun Pays de la Région d’Asie-Pacifique ne dédaigne l’Australie située au milieu de l’Océan lointain. C’est au 1er Ministre australien d’expliquer, aux contribuables de son Pays, la dilapidation des fonds qui tourne au chiffre astronomique pour l’achat inutile des sous-marins nucléaires; mais, donner une réponse convaincante aux Pays d’Asie-Pacifique sur la raison de l’escalade des tensions, de la création de l’instabilité et du déclenchement de la course aux armements est la responsabilité inévitable de tous les chefs d’États-membres de l’AUKUS.

La situation prouve que la cause de courses aux armements régionales ou mondiales au cours des siècles dernier et actuel réside à l’augmentation des dépenses militaires des USA et de leurs Alliés. Les USA ont;

commencé les Freedom Shield (ou bouclier de liberté), exercices militaires conjoints simulant une guerre totale contre notre RPDC à partir de ce 13 mars

organisé, après 5 ans de hiatus, les Ssang-yong (ou double dragon), les plus grands exercices conjoints de débarquement, du 20 mars au 3 avril, avec la participation du groupe de frappe du porte-avions nucléaire l’USS Nimitz (CVN-68; l’un des 11 porte-avions géants de la Marine US et l’un des plus puissants navires du monde, NDLR).

Dans le même temps, ils exercent une pression militaire extrême sur notre RPDC, poussant la situation dans la Péninsule coréenne au seuil d’une guerre nucléaire. Ce qu’il ne faut pas négliger, ce sont les critiques contre la RPDC formulées sur la table de conspiration des chefs de l’AUKUS organisée au-delà du Pacifique et programmée pour coïncider avec lesdits exercices.

Le 1er Ministre britannique a déclaré dans le but de justifier la «nécessité» de l’AUKUS; L’invasion illégale de l’Ukraine par la Russie, le diktat croissant de la Chine, le comportement déstabilisateur de l’Iran et de la Corée du Nord (RPDC) menacent de créer un monde défini par le danger, le désordre et la division.

Un haut responsable du Département d’État US, notant que l’AUKUS contribuerait à la paix et à la stabilité de la Région, a déclaré; Notre constat est la croissance des défis posés par la Chine, la Russie, la Corée du Nord et, de plus, ces défis ne se limitent pas à l’Indo-Pacifique, mais au-delà.

Cela indique que les sous-marins de l’AUKUS peuvent émerger à n’importe quel endroit nécessaire au maintien de la position hégémonique des USA, que ce soit la Mer Méridionale de Chine ou les parages de la Péninsule coréenne.

La G-B a envoyé plus de 40 militaires (56.000 hommes dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA, NDLR) de la Marine Royale aux Ssang-yong, exercices conjoints de débarquement, visant l’«occupation de Pyongyang»

L’Australie y a participé en tant qu’observateur (17.164 hommes dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA, NDLR).

Cela prouve que l’AUKUS peut être utilisé, à mauvais escient, pour les nouvelles tentatives de guerre d’agression des USA dans la Péninsule coréenne. L’environnement sécuritaire dans la Région d’Asie-Pacifique qui s’aggrave, quotidiennement, en raison des USA et de leurs forces vassales prouve que le renforcement du potentiel de dissuasion de la guerre nucléaire en RPDC est une garantie fondamentale pour le maintien de la paix et de la stabilité de la Région et de l’équilibre de force.

 




Diplomatie : Serge Tshibangu porteur d’un message de Félix Tshisekedi à son homologue Zimbabwéen

Le réengagement et l’engagement du Zimbabwe continue de porter ses fruits au fur et à mesure que plus de pays s’adressent au Président Mnangagwa pour la relance et le renforcement des liens.

Ce vendredi 7 avril 2023, le professeur Serge Tshibangu, Envoyé spécial de la République démocratique du Congo et du président Félix Tshisekedi, a rencontré le président Mnangagwa à la Chambre d’État avec le message d’amélioration de la coopération entre les deux pays.

Après cette rencontre de haute portée, le Prof. Serge Tshibangu a déclaré à la presse locale que son pays envisageait des liens encore plus forts avec le Zimbabwe.

“Nous sommes venus apporter un message à Son Excellence Monsieur le président Mnangagwa de son frère, Son Excellence Félix Tshisekedi de la République démocratique du Congo”, a-t-il dit. “Le message de paix, le message de vouloir relancer et renforcer les liens entre les deux peuples, ceux du Zimbabwe et les peuples de la RDC”

Le Prof Tshibangu a exprimé sa gratitude au Président Mnangagwa pour son hospitalité et sa réponse positive à cette démarche.

“Nous sommes si reconnaissants au président Mnangagwa pour l’accueil chaleureux et son hospitalité, ainsi que pour cette réponse positive de sa part que nous ramenons en Rdc, à son frère », a-t-il ajouté.

Le Prof Tshibangu se dit être charmé par la politique de porte ouverte du Président Zimbabwéen Mnangagwa