Le Président Xi Jinping s’est entretenu avec le Président français Emmanuel Macron et la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen

Dans l’après-midi du 6 avril, le Président Xi Jinping a eu une rencontre à trois avec le Président français Emmanuel Macron et la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au Grand Palais du Peuple.

Le Président Xi Jinping a indiqué que le fait que le Président Emmanuel Macron et la Présidente Ursula von der Leyen effectuaient en même temps une visite en Chine montrait la volonté active de l ’Union européenne de développer ses relations avec la Chine, ce qui correspond, selon lui, aux intérêts communs de la Chine et de l’Europe. La situation internationale est complexe et changeante, la crise ukrainienne se prolonge et s’avère difficile à résoudre, a-t-il poursuivi, avant de rappeler le manque de force motrice dans la reprise économique mondiale dans l’après-COVID-19, les instabilités du marché financier international et les difficultés croissantes auxquelles font face les pays en développement. Il a souligné la nécessité pour la Chine et l ’UE de poursuivre le dialogue et la coopération, de préserver la paix et la stabilité dans le monde, de promouvoir le développement et la prospérité communs, de contribuer au progrès de la civilisation humaine et de relever ensemble les défis planétaires.

Rappelant que cette année marque le 20e anniversaire de l’établissement du partenariat global stratégique Chine-UE, le Président Xi Jinping a exprimé la volonté de la Chine de travailler ensemble avec l’UE pour maintenir l’orientation générale et le courant dominant du développement des relations Chine-UE, relancer les échanges sur tous les plans et à tous les niveaux, stimuler la coopération mutuellement bénéfique dans différents domaines et écarter les perturbations et les défis afin d’apporter une nouvelle dynamique au développement des relations Chine-UE et à la paix, à la stabilité et à la prospérité dans le monde.




Le Président Xi Jinping et le Président français Emmanuel Macron ont tenu une conférence de presse conjointe

Dans l ’après-midi du 6 avril, le Président Xi Jinping et le Président français Emmanuel Macron ont tenu une conférence de presse conjointe à l’issue de leur entretien. Le Président Xi Jinping a indiqué que le Président Emmanuel Macron était le premier Chef d’État européen qu’il avait reçu après les sessions annuelles de l’APN et du comité national de la CCPPC de Chine. Il a rappelé qu’ils venaient d’avoir un entretien amical et approfondi et étaient unanimes à estimer que la Chine et la France, membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies et grands pays dotés d’une tradition d’indépendance, devaient maintenir le cap du partenariat global stratégique sino-français stable, mutuellement bénéfique, entreprenant et dynamique, insuffler une nouvelle vitalité aux relations sino-européennes et apporter une nouvelle contribution à la coopération de la communauté internationale face aux défis planétaires.

Nous sommes convenus, a-t-il dit, de mener ensemble à bien les tâches suivantes :

Premièrement, maintenir la stabilité des relations bilatérales. Les deux Chefs d’État poursuivront une communication étroite. Les deux pays tiendront avant la fin de l’année une nouvelle session du dialogue stratégique, du dialogue économique et financier de haut niveau et du dialogue de haut niveau sur les échanges humains et reprendront rapidement les échanges en présentiel entre les organes législatifs, les armées et autres. La Chine et la France ont réaffirmé leur respect de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et des intérêts vitaux de l’autre.

Deuxièmement, poursuivre le bénéfice mutuel et le développement commun. Le Président Xi Jinping a indiqué qu’il avait assisté avec le Président Emmanuel Macron à la signature de documents de coopération importants dans divers domaines. Les deux parties approfondiront leur coopération dans les secteurs traditionnels comme l’aéronautique, l’aérospatiale et le nucléaire civil, tout en développant de nouveaux pôles de croissance dans leur coopération sur le développement vert et l’innovation technologique et autres, à travers notamment la création d’un centre sino-français de neutralité carbone et le renforcement de la formation conjointe de talents. Le Président Xi Jinping a affirmé au Président Emmanuel Macron que la Chine promouvrait son ouverture de haut niveau sur l’extérieur et partagerait avec les pays du monde les nouvelles opportunités offertes par son développement, en exprimant la volonté de la Chine de bâtir avec la partie française un mécanisme de coordination rapide sur toute la chaîne intitulée « de la ferme française à la table chinoise ». La France participera, en tant que pays invité d’honneur, à la Foire internationale du commerce des services de Chine (CIFTIS) de 2024 et à la 7e Exposition internationale d’importation de la Chine (CIIE). Les deux pays travailleront à fournir un environnement d’affaires juste, équitable et non discriminatoire aux entreprises de l’autre.

Troisièmement, relancer les échanges humains et culturels sur tous les plans. L’année 2024 marquera le 60e anniversaire de l’établissement de relations diplomatiques entre les deux pays et sera l’Année sino-française du tourisme culturel. Les deux parties saisiront les opportunités offertes par la reprise sur tous les plans de la mobilité humaine pour promouvoir les échanges dans divers domaines tels que la culture, l’éducation, la langue, l’édition, l’audiovisuel et le tourisme et entre les collectivités locales et les jeunes. Elles approfondiront leur coopération sportive dans la perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024.

Quatrièmement, se soutenir mutuellement et contribuer au perfectionnement de la gouvernance mondiale. La Chine et la France doivent continuer de soutenir la multipolarisation du monde et la démocratisation des relations internationales, rejeter la logique de la guerre froide et la confrontation des blocs et relever ensemble toutes sortes de défis planétaires. La Chine soutiendra la France dans ses efforts visant à assurer le succès à la Conférence des Nations Unies sur les océans en 2025 et sera heureuse de voir la France participer au troisième Forum « la Ceinture et la Route » pour la coopération internationale. Indiquant que cette année marque le 20 e anniversaire de l’établissement du partenariat global stratégique entre la Chine et l’UE, le Président Xi Jinping a affirmé qu’il avait eu des échanges de vues approfondis avec le Président Emmanuel Macron sur les relations sino-européennes, lors desquels ils sont convenus de se concentrer sur les agendas positifs des relations sino- européennes et de relancer de manière globale les échanges, les dialogues et les coopérations dans tous les domaines. Nous tiendrons bientôt une rencontre à trois avec la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a-t-il poursuivi avant d’affirmer que la Chine considère toujours l’Europe comme un pôle indépendant dans un monde multipolaire, soutient les efforts de l’UE pour réaliser l ’autonomie stratégique, et préconise que les relations sino-européennes ne visent aucune tierce partie, ne dépendent d’aucune tierce partie, ni ne se soumettent à aucune tierce partie tout en restant convaincue que la partie européenne développera ses relations avec la Chine en toute indépendance.




RPDC : Les provocations dirigées par les USA dépassent la limite de tolérance

Voici les 2 déclarations (06/04/2023) des Autorités de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène de plus de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) qui se lisent en texte intégral.

L’expansion des exercices de guerre d’agression dirigés par les USA est un élément déclencheur poussant la situation de la Péninsule coréenne au point d’exploser (commentaire de CHOE Ju Hyon, l’un des analystes de la sécurité internationale de la KCNA -Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréene- de la RPDC)

L’hystérie de confrontation militaire imprudente des USA (agresseurs de la Corée depuis 1866, NDLR) et de l’horde à leur remorque contre la RPDC conduit la situation dans la Péninsule coréenne vers une catastrophe irréversible. Malgré les graves avertissements réitérés par notre RPDC, les USA qui lancent leurs exercices militaires conjoints et simultanés les plus importants anti-RPDC poussant la situation sécuritaire de la Péninsule coréenne au bord d’une guerre nucléaire vient d’organiser, ces 3 et 4 avril, les exercices navals conjoints avec;

– le Japon (agresseur de la Corée depuis 1592-1598 et Etat ennemi selon la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR)

– la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR).

Les forces alliées dirigées par les USA étaient occupées à attiser, plus que jamais, une atmosphère de confrontation avec la RPDC par leurs exercices de guerre anti-sous-marine et de recherche/sauvetage dans les eaux autour de la Péninsule coréenne; ont été impliqués, dans les exercices;

– le porte-avions nucléaire l’USS Nimitz (CVN-68; l’un des 11 porte-avions géants de la Marine US et l’un des plus puissants navires du monde, NDLR), les USS Aegis (mettant en œuvre des radars et différents armements tels que des missiles anti-navire et missiles anti-aériens, NDLR) comme Wayne E. Meyer (destroyer lance-missiles de classe Arleigh Burke, NDLR) et Decatur (DDG-73, destroyer de classe Arleigh Burke mis en service en 1998, NDLR)

– les navires d’agression du Japon et de la Corée du Sud.

Les forces hostiles n’hésitent pas à faire leur bla-bla de menaces contre notre RPDC affirmant que leurs exercices pour améliorer les capacités des Alliés à faire face à la menace sous-marine de la Corée du Nord (RPDC) ont favorisé le renforcement du potentiel de la dissuasion et la coopération de la sécurité au sein des Alliés.

Aujourd’hui, la Communauté internationale est unanime pour espérer que;

– les sombres nuages d’une guerre nucléaire qui planent sur la Péninsule coréenne soient dissipés le plus tôt possible

– la paix et la stabilité soient rétablies.

Néanmoins, les USA et leurs partisans sont en train de pousser, depuis le début de l’année, la situation dans la Péninsule coréenne à une phase extrêmement critique augmentant, régulièrement, l’intensité et l’ampleur des exercices militaires conjoints sous différentes appellations. Ils ont organisé;

– depuis ce mars avec la Corée du Sud, plus de dizaines d’exercices de guerre d’agression y compris les Freedom Shield («bouclier de liberté» les plus longs exercices militaires conjoints) et les Ssang-yong («double dragon» les plus grands exercices de débarquement conjoints) pour attaquer et occuper notre RPDC sacrée

– cette fois-ci avec l’implication du Japon (ayant participé dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA avec ses milliers d’hommes, en tant que guide secret des USA vu son statut d’Etat vaincu dans la seconde Guerre Mondiale 1939-1945, NDLR), de nouveaux exercices navals conjoints tripartites pour trahir, une fois de plus à la face du monde, leurs vraies couleurs dégoûtantes en tant que principal coupable de l’escalade des tensions dans la Péninsule coréenne et de l’entité semblable à un cancer menaçant la sécurité régionale et la paix mondiale.

Plus de 200 (193 reconnus par l’ONU parmi les 215, NDLR) grands et petits Pays existent sur notre Globe et chaque Pays organise ses exercices militaires en fonction de son droit à l’autodéfense; mais, les exercices de guerre anti-RPDC des USA et de leurs forces vassales sont seuls et uniques pour être poursuivis toute l’année, jour après jour et mois après mois, avec l’implication d’énormes matériels de guerre spécifiquement ciblés sur un seul Pays. Les exercices militaires conjoints dirigés par les USA autour de la Péninsule (224.252 km2) coréenne pas si grande avec des centaines de milliers de soldats alliés et des avoirs stratégiques essentiels appelés ultramodernes suffisamment importants pour une guerre totale ne sont que ceux de guerre d’agression (dans la Guerre de Corée 1950-1953, les USA provocateurs ont dépensé 165 milliards de $US en mobilisant plus de 2 millions d’hommes militaires, NDLR) sans précédent dans le monde en termes de nature belliqueuse, d’ampleur et d’intensité et incomparables à d’autres du monde. Témoin d’une situation aussi morne qui prévaut dans la Péninsule coréenne, toute personne ayant du bon sens et de la raison peut remarquer facilement;

– qui est l’auteur de l’escalade des tensions criminelles

– quel est le facteur malin d’amener les nuages de guerre.

Comme la Communauté internationale reconnaît unanimement, les exercices militaires conjoints frénétiques des USA et de leurs forces vassales transforment actuellement;

– la Péninsule coréenne en une énorme poudrière qui peut exploser à tout moment

– les environs de la Péninsule coréenne en un champ de tir exclusivement destiné aux agresseurs impérialistes US et une Expo d’armes stratégiques de classe mondiale.

Les provocations militaires des bellicistes dirigés par les USA dépassent la limite de tolérance;

– Cette réalité attend une position et une réponse plus explicites des capacités de défense de notre RPDC.

– Les forces de dissuasion de guerre de notre RPDC continueront de montrer leurs responsabilité et confiance dans leur mission cruciale par actions offensives.

La RPDC ne tolérera jamais aucun acte hostile des USA et des forces à leur remorque empiétant sur sa souveraineté et sa dignité (Communiqué de presse par HAN Tae Song, Représentant permanent de la RPDC auprès de l’Office de l’ONU et d’autres organisations internationales à Genève)

La soi-disant «Résolution sur la situation des droits de l’homme» anti-RPDC qui ne mérite aucune reconnaissance a été adoptée par coercition, ce 4 avril lors de la 52ème session (27/02-04/04/2023 à Genève) du Conseil des Droits de l’Homme (CDH) de l’ONU. La délégation de la RPDC dénonce fermement et rejette catégoriquement la «Résolution sur les droits de l’homme» anti-RPDC fabriquée par les USA et les forces à leur remorque comme un acte intolérable de provocation politique et d’hostilités.

– Ladite «Résolution» imposée unilatéralement par les USA et leurs forces vassales est un document de fraude le plus politisé qui regorge de faussetés et de fabrications tels que «violation du droit à l’information», «détention et punition arbitraires», «discrimination sociale», «enlèvement» et «surveillance de la vie privée» – des phénomènes inexistants et incapables d’exister dans notre Régime socialiste.

– Oser s’en prendre aux Lois de notre État (pour les contester) adoptées conformément à la volonté de tout le Peuple de sauvegarder la souveraineté de l’État et la sécurité du Peuple contre les tentatives scandaleuses des USA et d’autres forces hostiles de renverser notre Système et contre leurs menaces militaires est un acte d’ingérence intolérable dans nos affaires intérieures et une atteinte à notre souveraineté nationale.

Ladite «Résolution» est, en quelque sorte, composée des clauses qui correspondent, vraisemblablement, à la situation des droits de l’homme violés aux USA d’une façon cauchemardesque;

– Quel Pays a trompé la Communauté internationale avec ses informations frauduleuses et fausses et a, ouvertement, envahi des États souverains au 21ème siècle?

– Quel Pays est l’État policier où toutes sortes de crimes haineux sévissent en raison de la contradiction et des conflits sociaux et où les Hommes Noirs se tordent de douleur car ils ne peuvent même pas respirer sous le bras long du diktat?

– Quel est le seul et unique «Empire des écoutes» au monde qui mène une surveillance nationale imprégnant chaque seconde et chaque minute de la vie privée de ses propres Citoyens, et va, même, jusqu’à mettre sur écoute les appels téléphoniques des Chefs d’États, à travers ses moyens de reconnaissance et de surveillance les plus avancés?

– Quel est le Pays avec un Régime anti-populaire où plus d’un million (1.118.888 jusqu’au 05/04/2023, NDLR) de naïfs ont perdu leur vie précieuse à cause de l’échec de sa politique de prévention anti-épidémique?

Les USA sont, en effet, les pires violateurs des droits de l’homme et la toundra des droits de l’homme pour être jugés par la Communauté internationale. Le fait qu’ils font des efforts désespérés pour isoler et étouffer le Peuple de la RPDC par leurs sanctions et blocus anti-éthiques et anti-humanitaires sans précédent dans le monde jusqu’à aller oser contester la situation des droits de l’homme de chez nous est une insulte ou raillerie des droits de l’homme et un crime impardonnable contre les droits de l’homme.

De telles «Résolutions» absurde et stupide, remplies de fausseté et de fabrication, persistent à s’adopter depuis plus de 20 ans sur la scène des droits de l’homme de l’ONU; cette réalité tragique souligne, de plus en plus, la nécessité d’une réévaluation du débat international sur les droits de l’homme. Étant donné que les idéaux aussi nobles que les droits de l’homme est réduit, par les USA et l’Occident, à une «arme» d’agression la plus idéale adaptée à l’ingérence dans les affaires intérieures et à la violation de la souveraineté d’États souverains indépendants, le débat international sur les droits de l’homme a perdu sa valeur – véritable promotion des droits de l’homme.

Si le CDH de l’ONU avec son importante mission de protection et de promotion des droits de l’homme universellement reconnu est maîtrisé, comme maintenant, par le diktat et l’arbitraire des USA et de l’Occident pour être utilisé à mauvais escient en faveur d’un complot formant un bloc visant à désigner et à attaquer un Pays spécifique au lieu de représenter les intérêts communs de l’Humanité, il sera, certainement, blâmé par le monde entier et perdra la justification même de son existence. La campagne des “droits de l’homme” anti-RPDC dans l’arène onusienne par les USA et une poignée de leurs forces vassales ne représente, en aucun cas, le sentiment populaire ou l’opinion publique de la Communauté internationale éprise de la justice et à l’égalité.

Je profite de cette opportunité pour adresser un sévère avertissement à l’adresse de l’horde fantoche et traîtresse de la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR), simple serviteur colonial des USA même privé de sa souveraineté nationale, pour son impudence à provoquer notre prestigieuse RPDC avec la situation des droits de l’homme. La RPDC;

– ne tolérera jamais aucun acte hostile des USA et des forces à leur remorque empiétant sur sa souveraineté et sa dignité

– fera tout son possible pour défendre le Système et les droits véritables de son Peuple.




Les crimes du Japon les plus graves contre l’Humanité

Près de 80 ans se sont écoulés depuis la défaite du Japon (Etat ennemi selon la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR). Aujourd’hui le 5 avril, la Fête Chongmyong-nal ou la 5ème quinzaine du printemps en Corée, où le temps est le plus beau, le plus clair et le plus favorable de toute l’année pour aller rendre visite aux ancêtres de chaque foyer, toute la Nation coréenne;

– n’oublie jamais les crimes immoraux on ne pouvait plus monstrueux que le Japon avait perpétrés dans le passé

– se raffermit dans sa détermination de faire, sans faute, le règlement de compte avec son ennemi juré ou avoué.

Voici quelques 2 des centaines et des milliers des événements de l’époque des ténèbres.

Le pillage de gangster

Dès le début de son occupation de la Corée, le Japon portait son attention sur les terres fertiles de ce Pays-là. A l’époque, les rapports de propriété foncière féodaux régnaient dans les campagnes rurales de la Corée où les paysans occupaient 80% de la population active. Le Japon avait;

– considéré l’accaparement des terres comme la base économique de sa domination coloniale et fait flèche de tout bois à cette fin

– forgé, déjà, différentes lois vicieuses pour s’approprier les terres de la Corée et s’atteler, pour de bon depuis 1910, à son pillage sous prétexte du «recensement des terres»

– établi, en mars 1910, les «règlements du bureau de recensement des terres» pour justifier son pillage des terres en Corée et nommé un Japonais chef de service d’arpentage dudit bureau

– publié la «Loi sur le recensement des terres» et les «Règlements pour l’application de la Loi sur le recensement des terres»

– annulé les rapports de propriété foncière reconnus par la Dynastie féodale (1392-1905) Joson et déclaré que l’on ne pouvait posséder que les terres reconnues par lui-même

– rendu compliquées la méthode et la procédure relatives à la déclaration du droit de propriété foncière, de sorte que les terres d’un grand nombre de paysans coréens tombent en la possession des Japs et de leurs laquais (Le «recensement des terres» lui a permis d’arracher plus d’un million d’hectares de terres aux cultivateurs coréens)

– exploité, cruellement, les paysans coréens en pratiquant le prêt usuraire et appliqué, en vue de spolier ceux-ci même d’un grain de riz de plus, la politique agricole trompeuse et emporté, au Japon, même des semences sans parler des vivres des cultivateurs, sous prétexte de l’«offre au Gouvernement».

Ces crimes perpétrés sous prétexte du «recensement des terres» montrent que le Japon était vraiment non seulement l’occupant de la Corée mais aussi le pillard abominable.

La «Loi de mobilisation générale de l’Etat»

Le Japon qui se livrait, pour de bon, aux manœuvres de guerre d’agression (contre la Chine depuis 1937, NDLR) dans la seconde moitié des années 1930 avait;

– publié, le 1er avril 1938, la «Loi de mobilisation générale de l’Etat» pour pallier le manque de mains-d’œuvre et appliqué même dans ses Pays colonisés

– réquisitionné, de force, des millions de Coréens sans distinction d’âge et de sexe pour les travaux forcés et emmené, de force, partout où son Armée allait y compris l’Archipel du Pacifique-Sud et les Philippines, sans parler de l’Archipel du Japon, et imposé les travaux d’esclave moyenâgeux

– enfermé dans les camps de concentration et privé même des droits élémentaires de l’homme. (Les Coréens étaient surmenés comme des bêtes de somme dans de mauvaises conditions de travail.)

– astreint à travailler dans les secteurs les plus dangereux et les plus pénibles tels que chantiers de construction des ouvrages militaires, houillères, mines et chantiers de construction du barrage.

Un Coréen qui avait été emmené, de force, à une houillère japonais déclara: Chaque groupe était composé de 2 personnes. L’une s’occupait de l’extraction et l’autre du transport. Si l’on ne terminait pas sa tâche de travail fixée, on ne pouvait sortir dehors. Il arrivait que l’on travaille pendant 19h à partir de 07h pour sortir le lendemain à 03h. On se nourrissait, d’habitude, de tourteau de soja, voire de ce que même le porc ne veut pas manger, et on n’avait pas de force de travailler.

Quant à ceux qui tapaient tant soit peu sur leurs nerfs, les Japonais leur infligeaient toutes sortes de punitions inhumaines. En outre, ils massacraient, sans merci, les Coréens. Selon les données, plus de 60.000 Coréens trouvèrent la mort, de 1940 à 1944 dans les houillères du Japon. Les Japonais assassinèrent ceux qui y avaient survécu heureusement, cela en vue de cacher la vérité des travaux forcés.

Cependant, le Japon s’évertue à farder leur passé criminel en prétendant que «ladite réquisition s’était faite selon le libre consentement des Coréens». C’est le comble du cynisme et de l’effronterie.




L’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud déconstruit les thèses de Pretoria sur le Sahara

L’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani, a fermement réfuté les fausses allégations sud-africaines sur la question du Sahara marocain, exprimées récemment par le vice-ministre des Affaires étrangères, Alvin Botes, dans une tribune consacrée à la question du Sahara marocain, et qui avait été publiée dans le magazine du parti du Congrès national africain «ANC Today».

Dans sa réponse à ces accusations dérogatoires, infondées et déplacées, le diplomate marocain déconstruit la rhétorique sud-africaine sur la question du Sahara marocain et rectifie les idées fausses, les allégations fallacieuses et les manquements intellectuels d’une vision idéologiquement biaisée et étriquée.

D’ailleurs, cet alignement aveugle sur les thèses algériennes pose des questions légitimes sur sa finalité et son utilité, trahissant l’essence même de l’ambition, la vision et l’idéal de la construction d’un continent africain fort et unifié. Il a, en effet, rappelé l’engagement historique du Maroc en faveur de la lutte contre la colonisation et l’apartheid qui a été instrumentale dans la mise en place du mouvement de libération en Afrique du Sud.

Renier cette vérité historique, admise par feu Nelson Mandela lui-même, est une insulte aux sacrifices du peuple marocain dans sa lutte contre le colonialisme et passe sous silence son soutien et sa solidarité indéfectibles et son appui volontaire aux peuples africains frères pour réaliser ce même objectif, a-t-il dit.

Pointant du doigt les contradictions dans la position sud-africaine, Amrani s’est interrogé sur comment l’Afrique du Sud qui avait, lors de son mandat au Conseil de Sécurité en 2007, voté en faveur de la Résolution sur la question du Sahara marocain consacrant la prééminence de «l’initiative d’autonomie» et du processus politique, peut-elle encore promouvoir des thèses dépassées et abandonnées depuis plus de 20 ans? S’obstiner, sans aucun sens de cohérence ni de raison, à considérer le référendum comme la panacée de la résolution de la question du Sahara marocain, ne fait que maintenir vivant un concept obsolète d’un passé révolu qui a été clairement abandonné et enterré par les Nations unies et la communauté internationale, a ajouté l’ambassadeur.

Revenant sur ces sémantiques injustifiées et infondées concernant la question des droits de l’Homme, l’ambassadeur a expliqué de façon intransigeante que le Maroc n’a rien à cacher et n’a ni complexes ni tabous, ni de leçons à recevoir. En effet, le Maroc, une nation millénaire, dont l’ADN est marqué par les idéaux de paix, de tolérance et d’ouverture, a consacré de façon irréversible les principes des droits humains dans leur universalité, dans la Constitution du Royaume. La participation massive des populations des Provinces du Sud aux élections législatives et locales de septembre 2021 traduit, sans équivoque, leur pleine adhésion au processus de construction démocratique du Royaume.

Dans sa lettre, l’ambassadeur a regretté que l’article fasse siennes les assertions mensongères faites à propos de la soi-disant «activiste» dénommée Sultana Khaya, allant même jusqu’à dévier du sujet principal pour simplement diffuser la propagande du «Polisario». À ce sujet, Youssef Amrani a rappelé qu’après que les intentions, mensonges et méthodes malhonnêtes de cette personne avaient été dévoilés au grand jour, plusieurs responsables et organes de l’ONU ont consciemment pris leurs distances par rapport à ses tromperies et ses allégations insidieuses. De même, l’ambassadeur du Maroc a réfuté, chiffres à l’appui, les allégations selon lesquelles «le Maroc exploiterait les ressources de la région du Sahara». Il n’a pas manqué de rappeler que depuis son indépendance, le Maroc a placé parmi ses principales priorités la construction d’infrastructures et le développement socio-économique de la région. Cette remarquable dynamique de développement humain et inclusif a été renforcée par l’adoption, il y a 8 ans, du Modèle de Développement dédié aux Provinces du Sud, conçu avec la participation pleine et entière de la population locale dans toutes les phases de sa planification et de sa mise en œuvre.

Les résultats de cette vision ont, aujourd’hui, atteint 80% de réalisation du budget alloué, qui s’élève à plus de 7,5 milliards de dollars, alors que les principaux indicateurs socio-économiques montrent de meilleures performances dans les Provinces du Sud que dans le reste du Royaume, notamment en termes de PIB par habitant, supérieur de 50% à la moyenne nationale, ou en termes de taux de pauvreté, trois fois inférieur à la moyenne nationale, a-t-il fait constater.

Dénonçant sans équivoque l’instrumentalisation à des fins politiques de la question des droits de l’Homme, l’ambassadeur Amrani a interpellé le vice-ministre quant à l’aveuglement et au silence coupable de Pretoria sur la situation humanitaire désastreuse dans les camps de Tindouf, en Algérie. Comment est-il possible que Tindouf soit le seul camp de «réfugiés» au monde où le HCR n’est pas autorisé à faire son travail? Comment est-il acceptable que l’Algérie ait sous-traité la protection des droits de l’Homme sur son propre territoire à un groupe séparatiste armé? s’est-il interrogé.

Cette dévolution de facto des responsabilités de l’Algérie au «Polisario» sur son territoire a placé les populations des camps dans une situation de précarité, d’abandon et d’insécurité, les privant de l’accès aux institutions de recours judiciaire, en violation totale des conventions et traités internationaux signés par l’Algérie. Il ne peut y avoir de délégation de souveraineté et donc de responsabilité par un État à une milice armée sur son territoire, a-t-il précisé à ce sujet.

Pour le peuple marocain, la question du Sahara est plus qu’un simple point à l’ordre du jour du Conseil de sécurité, a expliqué l’ambassadeur. Il s’agit de redresser un tort historique contre le Maroc dans la réalisation de son intégrité territoriale. C’est une question intimement liée à la souveraineté de la Nation marocaine, a-t-il précisé.

Le Plan marocain d’autonomie est non seulement reconnu par le Conseil de sécurité de l’ONU et les grandes puissances comme crédible, sérieux et réaliste, mais aussi comme le déclencheur du processus politique mené par l’ONU que nous cherchons tous à soutenir, a-t-il ajouté. Dans le contexte géopolitique complexe actuel, le Plan d’autonomie s’impose véritablement comme un témoignage de l’ouverture du Maroc à une solution constructive et pragmatique sans nuire à l’intégrité territoriale du Royaume. C’est la preuve, s’il en était besoin, de l’engagement sincère du Royaume en faveur d’une paix, d’une homogénéité, d’une intégration et d’une prospérité durables dans la région et dans l’ensemble du continent.

fr.le360.ma




Le Maroc condamne vivement l’incursion des forces israéliennes dans la Mosquée à Al Aqsa (Ministère des AE)

Le Royaume du Maroc condamne vivement l’incursion des forces israéliennes dans la Mosquée Al Aqsa ainsi que l’agression et la terreur des fidèles en plein mois sacré de Ramadan, a indiqué mercredi le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

Le Royaume du Maroc, dont SM le Roi Mohammed VI préside le Comité Al Qods, souligne la nécessité de respecter le statut juridique, religieux et historique d’Al Qods et des Lieux Saints et d’éviter toutes les pratiques et violations qui sont à même d’anéantir toutes les chances de paix dans la région, relève le communiqué.

Le Royaume réitère son rejet de ce genre de pratiques qui ne font que compliquer et exacerber la situation dans les territoires palestiniens occupés et sapent les efforts visant à apaiser les tensions et rétablir la confiance, conclut le ministère.

www.mapnews.ma




Le Roi inaugure le centre de réhabilitation psycho-sociale du CHU Ibn Rochd de Casablanca

Le Roi Mohammed VI, a inauguré, ce mercredi, le centre de réhabilitation psycho-sociale du CHU Ibn Rochd de Casablanca.

Ce projet solidaire vient illustrer, une nouvelle fois, l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain à la promotion du secteur de la santé, en général, et de la santé mentale, en particulier.

Le Souverain a, à cette occasion, visité les différentes composantes de ce Centre qui a pour mission de prendre en charge les patients présentant un handicap psychique induit par des pathologies mentales graves et chroniques, en vue de réduire les effets délétères de leur handicap et de favoriser leur réintégration sociale et professionnelle.

Réalisé par la Fondation Mohammed V pour la Solidarité pour un investissement de l’ordre de 10,5 millions de dirhams, ce projet s’inscrit dans le cadre d’un plan d’action mené par la Fondation, visant à soutenir le secteur médical national, à travers le renforcement de l’offre médicale existante, l’amélioration de l’accès aux soins des populations les plus démunies, et l’intégration d’une approche sociale complémentaire dans les mécanismes d’accompagnement des patients et des bénéficiaires.

Mitoyenne au Centre Psychiatrique Universitaire Ibn Rochd, cette structure médico-sociale, d’une superficie couverte de 2.100 m2, compte un pôle thérapeutique comportant des salles de psychologie, de psychiatrie, d’ergothérapie et d’évaluation fonctionnelle, ainsi qu’un pôle socio-éducatif avec notamment une salle polyvalente et des ateliers de cuisine-thérapie, d’arts plastiques, de poterie, de coiffure-esthétique et d’informatique.

Ces ateliers thématiques ont pour objectifs de favoriser la prise de conscience par les patients de leurs émotions, d’améliorer leur capacité de concentration, de stimuler l’imagination et la créativité chez eux, de retrouver la confiance en soi, de participer à leur insertion sociale et professionnelle, de repérer des blocages possibles jusque-là non identifiés, et de leur faire vivre une expérience en groupe favorisant la communication.

Le nouveau Centre, qui abrite également un pôle administratif, des salles de formation, d’expression corporelle et artistique, de sport, une bibliothèque, une cafétéria, une buanderie et des espaces d’accueil et de détente, permet aux patients traités, estimés à plus de 1.300 par an, de rompre avec l’isolement provoqué par la pathologie mentale, comme il favorise le développement de leurs capacités relationnelles, l’acquisition de certaines compétences professionnelles et l’amélioration de leur sentiment de bien-être.

Afin de remplir pleinement sa mission, le Centre de réhabilitation psychosociale du CHU Ibn Rochd compte parmi ses effectifs 5 médecins spécialistes (3 psychiatres et deux neuropsychologues), 7 infirmiers en santé mentale, ainsi qu’un staff d’accompagnement, composé de 7 formateurs en coiffure, informatique, cuisine, sport, théâtre, poterie et art thérapie.

Fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la Solidarité et le CHU Ibn Rochd de Casablanca, le Centre de réhabilitation psycho-sociale est géré par le service de psychiatrie du CHU Ibn Rochd en collaboration avec «La Ligue pour la Santé Mentale», une association spécialisée œuvrant dans le domaine de la santé mentale.

Actuellement, 156 personnes sont suivies au niveau dudit Centre. Ce projet vient s’ajouter aux multiples initiatives médico-sociales menées par la Fondation et destinées au renforcement de la cartographie de l’offre de soins au niveau de la région, via notamment la création de Centres médicaux de proximité au quartier Sidi Moumen et à la ville nouvelle d’Errahma, et de Centres médicaux de proximité « spécifiques » à l’arrondissement Sidi Othmane (Centre de Santé de niveau II), et à l’arrondissement Moulay Rachid (Centre médico-psycho-social).

fr.hespress.com




Jeudi saint : le pape lavera les pieds de douze jeunes détenus

Le Jeudi saint, 6 avril 2023, le pape François se rendra à la maison de détention pour mineurs de Casal del Marmo, dans le nord de Rome, où il lavera les pieds de douze jeunes. Il célébrera avec les jeunes de cet institut pénitentiaire la Messe de la Cène du Seigneur, « In Cena Domini », comme il avait déjà fait, il y a dix ans.

Le 28 mars 2013, quinze jours après son élection à la tête de l’Église, le pape a célébré la messe du Jeudi Saint avec les jeunes détenus dans la chapelle dédiée au « père miséricordieux » de la prison pour mineurs de Casal del Marmo. Le pape François a lavé les pieds de 10 garçons et de deux jeunes filles, représentant les douze apôtres auxquels le Christ a lavé les pieds, la veille de sa Passion.

« Voyez dans ce geste de vous laver les pieds une caresse de Jésus », a dit le pape, dans son homélie pour expliquer aux jeunes le rite du lavement des pieds. Il les a demandés avec insistance : « Ne vous faites pas voler l’espérance ».

C’était la première fois depuis des générations que le pape ne célébrait pas le Jeudi Saint ni à Saint-Jean-du-Latran – selon la coutume pour l’évêque de Rome – ni à Saint-Pierre. Mais le pape François avait l’habitude, en tant qu’archevêque de Buenos Aires, de se rendre dans un hôpital ou une prison ou un hospice pour les pauvres ou les marginaux à l’occasion de cette célébration.

Durant les dix ans de son pontificat, le pape a plusieurs fois célébré la Messe de la Cène dans les prisons et a lavé les pieds des détenus.

Maison de détention pour mineurs de Casal del Marmo

L’institut pénitentiaire pour mineurs (IPM) de Casal del Marmo est composé de trois centres de détention indépendants, lit-on sur le site ragazzidentro.it L’un accueille les garçons mineurs, l’un les garçons majeurs et l’autre les filles sans distinction d’âge. C’est l’un des rares instituts pour mineurs en Italie à avoir une section interne féminine. Selon la législation départementale, les garçons et les filles ne peuvent exercer des activités communes qu’à l’occasion d’événements particuliers, culturels ou religieux.

Bien que formellement considéré comme faisant partie de la zone urbaine, l’institut se trouve à la frontière nord-ouest de la ville de Rome dans une zone plutôt isolée. L’avantage de cette localisation est la possibilité d’avoir de nombreux espaces extérieurs communs.

Au début de 2022, il y avait 21 garçons et filles présents dans cette institution. Les jeunes participent aux programmes scolaires et aux activités récréatives, mais il n’y a pas de cours de formation professionnelle. En raison du court séjour moyen des élèves, les cours sont difficiles à organiser.




Le Maroc condamne vivement l’incursion des forces israéliennes dans la Mosquée à Al Aqsa (Ministère des AE)

Le Royaume du Maroc condamne vivement l’incursion des forces israéliennes dans la Mosquée Al Aqsa ainsi que l’agression et la terreur des fidèles en plein mois sacré de Ramadan, a indiqué mercredi le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

Le Royaume du Maroc, dont SM le Roi Mohammed VI préside le Comité Al Qods, souligne la nécessité de respecter le statut juridique, religieux et historique d’Al Qods et des Lieux Saints et d’éviter toutes les pratiques et violations qui sont à même d’anéantir toutes les chances de paix dans la région, relève le communiqué.
Le Royaume réitère son rejet de ce genre de pratiques qui ne font que compliquer et exacerber la situation dans les territoires palestiniens occupés et sapent les efforts visant à apaiser les tensions et rétablir la confiance, conclut le ministère.




AI: L’Algérie prend des mesures extrêmes pour étouffer les voix dissidentes

Les réactions dénonçant la condamnation du journaliste algérien Ihsane El Kadi, ne faiblissent pas. Selon Amnesty International, les autorités algériennes prennent des mesures extrêmes pour étouffer les voix dissidentes.

Dans un communiqué publié mardi, l’ONG a fustigé le totalitarisme qui sévit dans le pays, notant que les autorités algériennes doivent libérer tous les journalistes détenus à tort, abandonner toutes les charges à caractère politique retenues contre au moins six d’entre eux et annuler la condamnation du journaliste.

L’organisation basée à Londres a ainsi demandé la libération du journaliste Ihsane El Kadi, condamné le 2 avril par le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, « sur la base d’accusations infondées liées à la réception de fonds destinés à la propagande politique et à l’atteinte à la sécurité de l’État ».

« Ihsane El Kadi n’est que le dernier journaliste en date à être pris pour cible par les autorités algériennes dans le cadre de leur offensive incessante contre les médias indépendants », a commenté Amna Guellali, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.

Au cours des deux dernières années, les autorités algériennes ont poursuivi, arrêté ou détenu au moins 11 autres journalistes et professionnels des médias, a déploré AI, condamnant également la fermeture de plusieurs supports médiatiques indépendants.

Pour rappel, El Kadi, directeur de la station algérienne Radio M et du site d’information Maghreb Emergent, a été placé en détention provisoire le 29 décembre, après quatre jours de garde à vue. Des agents de sécurité en civil l’avaient arrêté à son domicile avant de le conduire menotté aux bureaux de ses médias où ils ont ordonné au personnel de quitter les lieux, saisi des ordinateurs et scellé les portes.

Depuis lors, l’ONG n’a cessé de dénoncer son incarcération « injustifiée », appelant les autorités algériennes à le libérer « immédiatement » et à autoriser ses deux médias à rouvrir leurs portes.