Feu SM Hassan 2 : « L’adversaire véritable n’est pas celui que nous combattons (…)»

« L’adversaire véritable n’est pas celui que nous combattons. L’adversaire véritable n’est pas le président Chadli ou l’ANP, se sont des moyens, logistiques qui sont mis à disposition du Polisario », disait déjà Feu SM Hassan 2 en 1980 comme un prophète prédisant une situation qui lui donne aujourd’hui raison.

Selon cette vidéo publiée sur le compte Twitter Maroc Archives, il affirme que ce ne sont pas les dollars de Kadhafi qui apportent l’armement quand on veut et comme on veut.

« Nous sommes en train de nous battre, pour défendre une fenêtre africaine et pour défendre une région d’une certaine idéologie et il est inimaginable que le Maroc puisse à la fois faire la jonction par le tunnel de Gibraltar entre l’Europe et l’Afrique et à la fois accepter d’être #colonisé intellectuellement et politiquement », souligne-t-il.

Dans un même extrait, Feu SM Hassan 2 affirme que nous pouvons être le carrefour, nous pouvons être le trait d’union entre l’Orient et l’Occident, le Nord et le Sud que si nous restons Marocains, authentiquement Marocains.

C’est-à-dire libres et aimant vivre en liberté. « Voilà la véritable guerre que nous menons », pense-t-il.




Risque Pays : Le Maroc parmi les pays africains aux économies les plus résilientes

Le Maroc s’est montré résilient face à la vague d’évènements successifs supposés impacter son économie et a réussi à maintenir une note globale de «B3» dans la nouvelle carte Risque Pays 2023 d’Allianz Trade, le classant au top 3 des pays africains.

Dans une nouvelle étude économique portant sur l’analyse des risques pays au premier trimestre 2023, Allianz Trade a accordé un «B3» (risque sensible pour entreprise) au Maroc, l’une des meilleures notes en Afrique, lui permettant de dépasser celles de l’Afrique du Sud (C3), l’Algérie (C3), le Kenya (C3), le Ghana (C4), le Nigeria (D3), l’Égypte (D4) et l’Éthiopie (D4).

D’après la carte risque d’Allianz, le Maroc figure dans le top 3 des pays africains, derrière Botswana (BB1) et partage le même rang que l’île Maurice (B3). A noter que le groupe évalue les pays concernés et octroie les notes selon des critères précis, en l’occurrence les déséquilibres macroéconomiques, l’environnement des affaires, la stabilité politique et les risques commerciaux et financiers. La note des pays est une évaluation à moyen terme allant de AA à D (risque le plus élevé).

Selon l’analyse d’Allianz, l’économie marocaine devrait afficher une croissance annuelle d’environ +3 % en 2023, reflétant la faible croissance de la demande chez ses principaux partenaires commerciaux, notamment la zone euro. L’exportation de produits agricoles, de phosphates et de produits manufacturés réduira le déficit extérieur, tandis que les pressions inflationnistes liées à l’alimentation devraient se normaliser, ajoute le groupe.

Celui-ci rappelle l’ensemble des événements qui ont frappé le Royaume à plein fouet, notamment la sécheresse, le stress hydrique, l’inflation annuelle qui a atteint 6,6 % en 2022, les prix alimentaires augmentant de 11,0 % et les prix non alimentaires de 3,9 %, principalement tirés par les prix des transports, qui ont augmenté de 12,2 % en 2022.

Toutefois, la prévision d’une accélération de la croissance économique en 2023 est principalement basée sur les attentes d’une reprise du secteur agricole, mais les conditions climatiques, la rareté de l’eau et la nécessité de prioriser la consommation domestique et la production d’électricité domestique pèseront sur les récoltes et pourront retarder cette croissance, bien que les progrès de la libéralisation du marché de l’électricité devraient accélérer la transition vers les énergies renouvelables.

Le niveau des précipitations en décembre était de 24 % inférieur à la moyenne décennale et de 8,4 % inférieur à la même période en 2021, évoque le rapport.

Par ailleurs, l’autre risque pesant sur les perspectives est la résurgence du prix des matières premières que le Maroc importe. L’économie est fortement dépendante des importations d’énergie et donc de la volatilité des prix du pétrole et du gaz.

L’année dernière, la facture énergétique a plus que doublé en raison de la hausse des prix du carburant. Le gouvernement prévoit en ce sens se mobiliser pour augmenter la capacité de stockage de carburant d’ici la fin de 2023.

Le tourisme, les envois de fonds et les exportations restent, pour leur part, les principales sources de devises fortes du Royaume, affirme Allianz.

En outre, les mesures prises pour réformer les entreprises publiques, ainsi que l’activation du Fonds Mohammed VI et la mise en œuvre de la nouvelle Charte des investissements, sont largement considérées comme des catalyseurs potentiels pour les investissements directs étrangers, poursuit le groupe.

fr.hespress.com




Hommage à l’Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif au siège du gouvernorat d’Al-Qods

Le Gouvernorat d’Al-Qods a rendu un hommage, à son siège dans la municipalité d’Al-Ram, à l’Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif qui relève du Comité Al-Qods, émanant de l’Organisation de la coopération islamique, en reconnaissance des efforts de l’institution et de son parrain, le Roi Mohammed VI, au service de la Ville Sainte et de ses habitants.

Cet hommage a eu lieu lors d’une rencontre de la délégation de Bayt Mal Al-Qods, conduite par Mohamed Salem Cherkaoui, jeudi, avec le sous-gouverneur d’Al-Qods, Abdullah Siam, en présence d’Adnan Al-Husseini, chef du département des affaires d’Al-Qods, membre du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), de Raqi Ghazawneh, maire d’Al-Ram, et des directeurs généraux du gouvernorat.

Siam a remis au directeur de l’Agence un bouclier honorifique en guise de reconnaissance aux efforts bénis de l’Agence dans la Ville Sainte et de son soutien à de nombreux secteurs.

Dans une allocution à cette occasion, le sous-gouverneur d’Al-Qods a évoqué les conditions dont souffrent les habitants de la Ville sainte en raison des mesures d’occupation et des violations à leur encontre, et les moyens de soutenir leur résistance et leur présence sur leur terre.

Pour sa part, Adnan Al-Husseini a salué les efforts déployés par le Royaume du Maroc dans le gouvernorat d’Al-Qods et le soutien de nombreux secteurs dans ce gouvernorat.

A la fin de la rencontre, le sous-gouverneur d’Al-Qods a remis à l’Agence une copie du rapport annuel de l’unité des relations publiques et des médias du gouvernorat sur les violations de l’occupation israélienne dans le gouvernorat d’Al-Qods au cours de l’année 2022.




Collusion M23/Rdf : Enfin, Washington prend ouvertement position pour Kigali !

Le Conseil de sécurité de l’Onu a organisé le 29 mars 2023 une session consacrée à la situation sécuritaire à l’Est de la RDC. Une session très attendue par les Congolais du fait de se tenir après le séjour à Kinshasa et à Goma de sa délégation de haut niveau venue s’enquérir des informations utiles à la rationalisation de ses décisions. En attendant la Déclaration du Département d’Etat généralement relayée par l’ambassade des Etats-Unis en RDC avec la traditionnelle recommandation « Pour large diffusion », quelques médias ont fait écho le 30 mars 2023 de la position des Américains…

Sous le titre : « Au Conseil de Sécurité, les États Unis chargent la RDC malgré l’agression dont elle est victime », le premier média a repris les propos de l’ambassadeur Robert Wood, représentant permanent américain auprès de cet organe, à savoir : « Comme nous l’avons déjà dit à maintes reprises, nous réitérons notre appel au gouvernement de la RDC pour qu’il professionnalise entièrement ses forces de sécurité et mette immédiatement fin à sa coopération avec les groupes armés ».

Un autre media, dans un tweet intitulé « #RDC: La position des USA sur la situation dans l’Est de la RDC », résume la déclaration américaine par ces trois faits : « les actions du M23 et du Rwanda ont aggravé une situation humanitaire et sécuritaire déjà préoccupante », « Les États-Unis sont depuis longtemps préoccupés par la collaboration des FARDC avec les groupes armés de l’Est, en particulier les FDLR» et « La RDC doit immédiatement mettre fin à la coopération avec les groupes armés et faire cesser les discours de haine…».

En contrepartie de la paix à l’Est du pays

Une lecture simplifiée de cette position épouse et justifie toutes les revendications du Rwanda de Paul Kagame par rapport à la RDC.

Ainsi, les États-Unis affirment la double existence d’une collusion Fardc/Fdlr et d’un discours de haine contre une communauté non autrement identifiée. D’où le droit à la légitime défense que s’octroient le M23 et le Rwanda de Paul Kagame avec pour effets collatéraux la détérioration de la situation sécuritaire à l’Est.

En d’autres termes, Washington propose à Kinshasa ce « marché » : répondre positivement aux revendications de la collusion M23/Rdf en contrepartie de la paix à l’Est du pays.

En toute logique, la réaction de Kinshasa doit consister à demander aux Américains – ils en ont les moyens et la capacité – d’apporter les preuves de la complicité Fardc/Fdlr et du discours de haine à l’égard de la communauté concernée.

Après tout, si Washington utilise efficacement ses moyens de télédétection pour géo-localiser les ressources naturelles de la RDC – dont le désormais lithium – rien ne peut justifier de sa part l’incapacité d’identifier les personnes physiques et morales qui entretiennent à la fois les relations entre Fardc et Fdlr et le discours de haine envers cette communauté.

Seul le Kivu en offre les atouts

A dire vrai, la mission dévolue à la collusion M23/Rdf est ailleurs, pour reprendre le titre de la dernière livraison (BALISES) !

Cette mission n’a rien à voir avec les Fdlr, ni avec le discours de haine.

La menace que redoute Paul Kagame n’est même pas le contre-génocide continuellement brandi par l’autorité établie.

Cette menace a un nom : DÉMOCRATIE ! Car, si le Rwanda devient un pays démocratique selon les normes américaines, pardon occidentales fondées sur le concept « Un homme, une voix », la réalité démographique fera que la communauté hutue rwandaise va (re) prendre le pouvoir et le conserver pour longtemps, sinon pour de bon. Exactement sur le modèle américain avec la suprématie de la communauté blanche* ou sur le modèle sud-africain avec la suprématie de la communauté noire. D’où nécessité d’un tutsiland.

Des 6 provinces de la RDC héritées de la colonisation, seul le Kivu en offre les atouts aux plans géographique, historique, anthropologique, démographique, culturel et économique ! Entendez le Nord-Kivu, le Sud-Kivu et le Maniema.

Cela passe absolument soit par l’intégration de la communauté rwandaise tutsi, soit par la partition pure et simple du pays.

Véritable agenda : prendre par l’usure

A bien réfléchir, l’option de la partition l’emporte sur celle de l’intégration.

En effet, au cours des 63 ans (bientôt) d’indépendance, la RDC a tout donné à la communauté rwandaise, tutsi et hutu confondus. Quasiment tout. En témoigne : le Dialogue intercongolais.

Mais quelle réponse reçoit-elle en permanence ? Mutinerie, rébellion, agression et, désormais, terrorisme.

Comme pour persister et signer : même lorsqu’un panel des Nations-Unies prouve dans son rapport la collusion M23/Rdf, Washington agit et réagit de la même façon : imputer d’abord la faute à Kinshasa !

Le 4 mars 2023, Paris, par la voix d’Emmanuel Macron, a eu le culot de venir nous dire à Kinshasa en des termes crus : « Depuis 1994, et ce n’est pas la faute de la France, pardon de le dire dans des termes aussi crus, vous n’avez pas été capables de restaurer la souveraineté, ni militaire, ni sécuritaire, ni administrative, de votre pays. C’est aussi une réalité. Il ne faut pas chercher des coupables à l’extérieur de cette affaire ».

Pourtant, il est établi que depuis Berlin 1885 à ce jour, le Congo n’a d’intérêt aux yeux de l’Occident que pour les matières premières !

En vérité, Washington est en train de réussir son véritable agenda : prendre les Congolais par l’usure.

Pour ce faire, Paul Kagame, Yoweri Museveni, le Rwanda, l’Ouganda, le M23, les Adf etc. ne sont que des « armes de destruction de la RDC”.

Reste maintenant à savoir si le Congo a suffisamment de ressources pour de trouver la bonne parade devant lui permettre de conjurer le sort auquel l’astreignent Américains et Européens réunis…

Omer Nsongo die Lema




Allocution de l’Ambassadeur Dai Bing lors de la réunion d’information du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la MONUSCO

Je remercie la Représentante spéciale Bintou Keita de son exposé. Je remercie également les Représentants permanents de la France et du Gabon de leurs exposés sur la visite du Conseil. Je salue la présence des représentants permanents de la RDC, du Rwanda et du Burundi à la réunion.

Depuis un certain temps déjà, le gouvernement de la RDC a déployé des efforts actifs pour faire progresser la réforme du secteur de la sécurité, lutter contre les groupes armés, promouvoir le développement économique et préparer les élections générales. Cependant, la situation sécuritaire dans l’est de la RDC continue de se détériorer, exacerbant la crise humanitaire. Le Conseil a envoyé une mission en RDC ce mois-ci pour approfondir sa compréhension de la situation sur le terrain et écouter les opinions et les attentes des personnes de tous horizons en RDC. La Chine apprécie le gouvernement de la RDC et la MONUSCO pour le travail qu’ils ont accompli en accueillant la consultation et soutient la publication d’un PRST à la lumière de la visite. Je voudrais souligner les points suivants.

Premièrement, le cessez-le-feu et la cessation de la violence sont des priorités absolues. La poursuite des attaques des groupes armés dans l’est de la RDC pourrait aggraver la situation sécuritaire dans ce pays. Avec l’aide de l’Union africaine et de pays de la région tels que l’Angola, le M23 a annoncé début mars son accord de cessez-le-feu et de dialogue. La Chine appelle le M23 et les autres groupes armés à honorer sérieusement leurs engagements, à cesser toute activité violente et à se retirer des zones occupées. Récemment, le gouvernement de la RDC a lancé un programme de DDR couvrant 6 000 personnes dans les trois provinces de l’est de la RDC. La Chine s’attend à ce que les plans pertinents de DDR et de participation des groupes armés aux dialogues créent des conditions favorables.

Deuxièmement, les organisations régionales devraient être encouragées à jouer un rôle important. Nous nous félicitons des récents sommets de l’UA et de la Communauté de l’Afrique de l’Est sur l’est de la RDC. Nous saluons les efforts de médiation actifs déployés par les dirigeants du Kenya, de l’Angola et du Burundi pour désamorcer la situation. Nous espérons que les processus de Nairobi et de Luanda continueront de jouer un rôle important. Cette année marque le 10ème anniversaire de la signature de l’Accord-cadre de coopération pour la paix et la sécurité pour la RDC et la région des Grands Lacs. Nous espérons que les pays de la région résumeront leurs expériences, redynamiseront cet important processus et s’engageront à résoudre les différends par le dialogue et la consultation pour construire un avenir commun. La Chine encourage le Bureau de l’Envoyé spécial pour la région des Grands Lacs et la MONUSCO à appuyer conjointement les efforts régionaux de bons offices. La CAE et l’Angola mènent des opérations de maintien de la paix et de sécurité en RDC. Toutes les parties doivent se coordonner pour créer une synergie.

Troisièmement, la MONUSCO devrait être soutenue dans la fourniture d’une assistance ciblée. Le Représentant spécial Keita dirige la MONUSCO pour surmonter les difficultés et mettre activement en œuvre les mandats, et a accompli un travail important en menant des patrouilles conjointes, en soutenant la RSS, en faisant progresser le DDR et en soutenant les préparatifs des élections générales. Dans les circonstances actuelles, la MONUSCO devrait s’acquitter sérieusement de ses mandats fondamentaux en matière de protection des civils, de soutien à la construction d’institutions gouvernementales et de DDR en RDC. La MONUSCO, le gouvernement de la RDC et tous les secteurs de la société doivent renforcer les communications, renforcer la confiance mutuelle et assurer le bon déroulement des opérations de maintien de la paix. Le Secrétaire général présentera un rapport au Conseil en juillet sur la reconfiguration du personnel en uniforme par la MONUSCO. La Chine plaide pour qu’elle écoute les opinions des pays concernés afin de faire avancer le retrait de manière responsable.

Quatrièmement, la communauté internationale doit appuyer vigoureusement les interventions humanitaires. L’aggravation de la situation dans l’est de la RDC a déplacé six millions de personnes, ce qui a entraîné d’énormes besoins humanitaires. La communauté internationale doit fournir des ressources adéquates pour le plan de réponse humanitaire de la RDC. Les agences compétentes des Nations Unies et le gouvernement de la RDC devraient travailler ensemble pour maximiser les avantages de leurs évaluations humanitaires et assurer la livraison sûre et fluide des fournitures. Tout en répondant aux besoins humanitaires à court terme, nous devons également aider la RDC à renforcer sa capacité de développement indépendant en fonction de ses besoins réels. La Chine adhère au respect mutuel, aux avantages mutuels et aux résultats gagnant-gagnant dans sa coopération avec la RDC, et soutient la RDC dans la transformation de son avantage en matière de ressources en avantage de développement. Le projet de coopération Chine-RDC a obtenu des résultats remarquables en soutenant le développement industriel local, en développant l’emploi et en améliorant les moyens de subsistance de la population, et a été salué par le gouvernement et le peuple de la RDC. La Chine souhaite travailler avec la communauté internationale pour apporter davantage de contributions à la paix et au développement de la RDC.

Je vous remercie, Monsieur le Président.




Des missions diplomatiques visitent Lushui Nujiang, comté de Malio de la province du Yunnan 

1.-Du 20 au 21 mars 2023, grâce au genre et à l’invitation généreuse du Bureau de service de Beijing pour des missions diplomatiques (BDS), sous la direction de H.E Ambassadeur Li Li, DG de BDS, nous avons pu visiter Lushui Nujiang, comté de Malio de la province du Yunnan. La très petite minute nous sommes arrivés, nous avons senti l’atmosphère amicale et heureuse du peuple local, nous avons été chaleureusement reçus par le gouvernement du Yunnan, la pêche autonome de Wenshan Zhuang et Miao et le comté de MaliPo. Nous aimerions exprimer notre sincère gratitude à BDS et à l’organisation des gouvernements connexes et à leur personnel pour leur gentillesse, l’hospitalité sincère offerte pour notre confort.

2.- Pendant le temps à Malipo, nous avons été une fois de plus impressionnés par l’état de l’art en technologie, tout en visitant le port de bordure moderne, la mool de l’Ethnique, le parc de démonstration de la réactivité rurale et la limite si le village de démonstration moderne. Nous avons découvert et avons témoigné ce que le gouvernement local et les gens /cIl y a des efforts inégalés pour élaborer des industries caractéristiques, amélioration des moyens de subsistance des personnes et renforcer l’éducation et la formation en fonction des conditions locales. Nous aimerions exprimer nos félicitations pour les grandes réalisations réussies de consolider les résultats de la réduction de la pauvreté, de promouvoir la revitalisation rurale et de construire une vie moderne et un travail favorable. Vous avez également réussi dans le défi pour garder la belle campagne naturelle, de la manière la plus durable.

3.- Nous sommes heureux d’apprendre que le comté de MaliPo est le point de contact désigné du Ministère des affaires étrangères de la Chine dans la réduction de la pauvreté. Plus de 30 ans, les grands changements ont eu lieu dans son développement de l’économie et de la société. Nous apprécions très bien les efforts déployés par le Ministère des affaires étrangères de la Chine pour soutenir l’élimination de la pauvreté à Malipo et d’autres lieux pour un long temps. Nous apprécions fortement le gouvernement central chinois sur ses efforts créatifs pour établir des relations d’assistance désignées ainsi que l’attribution du personnel à travailler dans les zones défavorisées les plus éloignées et sur ses mécanismes de politique de réduction de la pauvreté pionnière et des réalisations remarquables. Nous croyons que c’est une voie de réduction de la pauvreté avec des caractéristiques chinoises. Le gouvernement chinois a non seulement conduit le peuple chinois à prendre des mesures solides sur la voie de la création d’une vie meilleure et de réaliser une prospérité commune et créé un modèle chinois de gouvernance de la pauvreté, mais aussi une importance importante pour promouvoir l’éradication de la pauvreté et le développement commun dans d’autres pays et régions du monde. Le succès de la Chine dans la mesure du premier but comme objectif principal de ses priorités de développement, et s’assurer qu’il ne reste plus, est une réussite remarquable, tous les citoyens chinois devraient être fiers. C’est la grande contribution de la Chine à la cause de la réduction de la pauvreté du monde.

4.- Nous sommes impatients de renforcer davantage la coopération avec le BDS et le gouvernement à tous les niveaux de la province du Yunnan dans la revitalisation rurale et le développement de beaux villages, partager les expériences réussies en profondeur et promouvoir conjointement la coopération internationale de réduction de la pauvreté pour un plus grand succès.

En tant qu’ambassadeurs, nous croyons fermement que, par ces efforts, l’éradication de la pauvreté apportera une prospérité mondiale et la paix bénéficiant davantage de l’humanité et de nos efforts pour un développement plus durable pour tous.

Nous exprimons notre spécial merci à H.E Ambassadeur Li Li, avec son équipe, avec succès nous conduit tout au long de cette visite.




Les Etats-Unis se servent des entreprises de technologie qui contrôlent Internet pour espionner le monde (Al Jazeera)

Tout en tentant d’interdire TikTok à la suite des affirmations selon lesquelles la Chine utiliserait cette application populaire pour espionner les Américains, le gouvernement des Etats-Unis espionne lui-même le monde en se servant des entreprises de technologie qui contrôlent Internet mondial, selon un article publié sur le site d’information en anglais d’Al Jazeera.

Ainsi, selon l’article publié mardi, le gouvernement américain autorise ses agences de renseignement à “espionner sans mandat” les courriels, téléphones et autres communications en ligne des étrangers.

Par rapport à d’autres pays, Washington a l’avantage d’avoir compétence sur le petit nombre d’entreprises qui gèrent en effet Internet moderne, notamment Google, Meta, Amazon et Microsoft, note l’article.

“C’est un exemple de ‘règles pour toi mais pas pour moi'”, a commenté Asher Wolf, chercheuse en technologie et défenseure de la vie privée basée en Australie.

D’après Al Jazeera, les Etats-Unis ont ciblé 232.432 “personnes non américaines” pour les surveiller en 2021, l’année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles.

Citée par l’article, l’American Civil Liberties Union (ACLU) estime que le gouvernement américain a collecté plus d’un milliard de communications par an depuis 2011.

Il y a des signes qui laissent entendre que les responsables américains considèrent la Chine, plutôt que TikTok lui-même, comme leur préoccupation ultime, indique l’article.

Les mesures prises par les Etats-Unis pour restreindre TikTok semblent être “plus politiques qu’une bonne politique”, a de son côté déclaré Vedran Sekara, professeur adjoint à l’Université informatique de Copenhague, au Danemark.




Le chef de l’ONU appelle à la guerre contre les déchets

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé jeudi à la guerre contre les déchets, demandant à l’humanité de cesser de traiter la Terre comme une décharge.

“Nous saccageons notre seule maison. Nous rejetons un torrent de déchets et de pollution qui affecte notre environnement, nos économies et notre santé”, a-t-il déclaré lors d’un événement de haut niveau de l’Assemblée générale de l’ONU sur le rôle du zéro déchet en tant que solution transformatrice pour atteindre les Objectifs de développement durable.

La pollution et les produits chimiques empoisonnent l’eau, l’air et le sol. Par ailleurs, 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre proviennent de la culture, du stockage et du transport de denrées alimentaires qui ne sont jamais utilisées, ce qui est scandaleux alors que plus de 800 millions de personnes souffrent de la faim chaque année dans le monde et que le temps presse pour éviter une catastrophe climatique, a déploré M. Guterres.

Les déchets tuent les gens, la planète, les ressources naturelles et les écosystèmes et les économies, “il est temps de riposter et de lancer une guerre contre les déchets sur trois fronts,” a lancé M. Guterres.

Premièrement, les pollueurs doivent prendre eux-mêmes l’initiative d’atténuer les effets des déchets, a lancé M. Guterres.

Deuxièmement, il est nécessaire d’investir massivement dans la capacité des pays, des villes et des gouvernements locaux à développer et à étendre des systèmes modernes de gestion des déchets, ainsi que des politiques qui encouragent les gens à réutiliser et à recycler tout ce qui va des bouteilles en plastique aux appareils électroniques vieillissants.

Troisièmement, les consommateurs doivent être beaucoup plus responsables.

Les économies circulaires et sans déchets pourraient permettre aux gouvernements d’économiser des milliards de dollars et de créer des centaines de milliers d’emplois. Mais pour en tirer profit, il faut une collaboration à l’échelle mondiale, a souligné M. Guterres.

L’événement de haut niveau coïncide avec la première Journée internationale du zéro déchet, qui a lieu le 30 mars.




La coopération pratique sino-africaine aide les Africains à franchir le “dernier kilomètre” vers une vie meilleure (REPORTAGE)

Des véhicules circulent sur la voie rapide construite par une entreprise chinoise à Nairobi, au Kenya, le 6 février 2023. (Xinhua/Hanxu)

Grâce à un grand nombre de projets et d’investissements, à l’assistance technique et à la formation du personnel, la Chine a aidé les pays africains à améliorer leurs infrastructures, à renforcer leurs capacités de développement économique indépendant et à franchir le “dernier kilomètre” vers une vie meilleure.

“C’est tellement facile de prendre la voie rapide! Avant, il fallait deux heures pour aller de l’aéroport au centre-ville et encore plus longtemps dans les embouteillages. Maintenant, ça ne me prend plus que 20 minutes”, s’enthousiasme John Andigo, un chauffeur de taxi à Nairobi, la capitale du Kenya.

La voie rapide de 27,1 km, reliant le centre-ville à l’aéroport international Jomo Kenyatta, qui a été développée par une entreprise chinoise, a changé la donne pour 4,4 millions de Nairobiens et constitue un exemple de la coopération fructueuse entre la Chine et l’Afrique.

Début février, le nombre total de véhicules circulant sur cette voie rapide a dépassé les 10 millions.

Grâce à un grand nombre de projets et d’investissements, à l’assistance technique et à la formation du personnel, la Chine a aidé les pays africains à améliorer leurs infrastructures, à renforcer leurs capacités de développement économique indépendant et à franchir le “dernier kilomètre” vers une vie meilleure. De plus en plus d’Africains comme M. Andigo ont profité des “dividendes” de cette coopération pratique.

Plus besoin d’aller à l’aube chercher de l’eau

Dans certaines régions de la province angolaise de Cabinda (nord), le manque d’approvisionnement en eau est un problème majeur pour la population. La plupart des zones ne sont pas équipées de robinets, de sorte que les gens doivent compter sur les camions-citernes pour avoir de l’eau sur une base limitée, tandis que ceux qui vivent plus loin doivent se lever à l’aube pour aller chercher de l’eau tous les jours.

En juin dernier, le projet d’approvisionnement en eau de Cabinda, construit avec le concours de China Railway Construction Corporation Limited (CRCC), a été achevé. Il s’agit du plus grand investissement dans les moyens de subsistance de la population locale.

Il comprend 74 points d’eau centralisés pour 24.000 ménages, soit 92% de la population de la province, leur permettant de ne plus parcourir de longues distances pour aller chercher de l’eau et améliorant considérablement la qualité de l’eau potable et les conditions de vie dans la province.

Des habitants félicitent les constructeurs angolais et chinois après avoir pris de l’eau lors de la phase d’essai du projet d’approvisionnement en eau dans le village de Gika, de la province de Cabinda, en Angola, le 31 mai 2022. (Photo fournie par China Railway Construction 20th Bureau Group)

A un point d’eau public, des centaines de personnes ont afflué, dont des adultes avec un seau sur la tête et des enfants tenant des bouteilles en plastique. Lorsque l’eau du robinet a jailli, des sourires ont éclairé les visages.

“Ce projet d’approvisionnement en eau a réalisé le rêve que nous avions depuis des générations et nous n’avons plus besoin d’aller à l’aube chercher de l’eau à la rivière située à trois kilomètres”, a confié à Xinhua Pedro Sigo José, un habitant de Lucola.

“L’Angola ne manque pas d’eau, mais les ressources hydriques ne sont pas utilisées efficacement. Grâce aux entreprises chinoises, la situation s’améliore”, a déclaré le ministre angolais de l’Economie et du Plan, Mario Augusto Caetano João.

Plus besoin de traverser le fleuve en canoé

“Le pont que nous attendions longtemps est enfin ouvert!”. Pour Amadou Diop, un habitant de Foundiougne au Sénégal, le meilleur moment de l’année dernière a été la mise en service du pont situé en face de chez lui.

Le pont de Foundiougne, achevé en 2022 par des entreprises chinoises, est le plus long pont du Sénégal avec ses 1.600 mètres. Il constitue désormais l’une des principales artères reliant le nord et le sud du pays, ainsi qu’un important nœud de transport vers les pays voisins.

Des personnes traversent à vélo le pont de Foundiougne, situé dans la région de Fatick, au Sénégal, le 16 janvier 2022. (Xinhua/Wang Zizheng)

“Avant l’ouverture du pont, il était très difficile pour nous de traverser le fleuve Saloum et son achèvement a énormément réduit la durée des trajets domicile-travail”, a confié M. Diop à Xinhua.

“Il prenait au moins une heure ou plus pour traverser le fleuve en canoë, mais maintenant il faut seulement quelques minutes par le pont”, a rappelé Moussa Aly Ba, adjoint au préfet du département de Foundiougne.

Avec le pont, la difficulté de traverser le fleuve Saloum est devenue de l’histoire ancienne pour les habitants de la région. M. Ba a salué le fait que ce pont était non seulement d’une grande importance pour le Sénégal, mais aussi un exemple parfait de l’amitié et de la coopération entre la Chine et l’Afrique.

Plus besoin de s’inquiéter des œufs cassés

Dans la commune rurale d’Antanetibe-Mahazaza, à 50 km au nord de la capitale malgache, Antananarivo, Anja Randriamananjara, 30 ans, aidé par sa femme Seheno, a investi dans le secteur avicole depuis six ans. Leur ferme comprend aujourd’hui 40.000 poules, qui pondent environ des dizaines de milliers d’œufs par semaine, livrés sur le marché des œufs de la capitale.

Cet aviculteur a doublé la taille de son activité par rapport à ses débuts. Il a construit un nouveau hangar qui peut accueillir 10.000 nouvelles poules pondeuses.

La “route des œufs” construite avec l’aide gratuite du gouvernement chinois, aux abords d’Antananarivo, la capitale de Madagascar. (Xinhua/Sitraka Rajaonarison)

“Le gouvernement chinois nous a donné un cadeau merveilleux (…) et nous en sommes très reconnaissants”, dit Anja, confiant dans les perspectives de son élevage.

Ce “cadeau merveilleux” est une route de 19 kilomètres baptisée “la route des œufs”. Cette route secondaire a été rénovée entre août 2018 et janvier 2022 par le groupe de BTP Zhongmei dans le cadre de l’Initiative “la Ceinture et la Route” (ICR) proposée par la Chine.

Antanetibe-Mahazaza est un véritable “village de l’œuf”. Comme Anja, entre 200 et 250 petits et grands éleveurs s’investissent dans l’aviculture. Selon son maire, Firmin Rakotonomenjanahary, la production actuelle de la commune représente 30% à 40% de la production nationale totale de la Grande Ile. “Nos œufs vont dans tout Madagascar. La majeure partie va à Antananarivo”, détaille-t-il.

“A l’époque, 10% à 20% des œufs cassaient (…) à cause de l’état de la route”, se remémore Anja, en ajoutant qu’il parcourait les 50 km séparant son village de la capitale en trois à quatre heures. Lui et sa famille devaient ainsi partir à 1h du matin pour assurer l’arrivée des œufs sur les étals d’Antananarivo avant 5h.

“La construction de cette route a vraiment changé notre vie”, assure Anja qui quitte aujourd’hui sa maison avec sa femme vers 4h du matin pour livrer ses œufs. “Actuellement, le pourcentage des œufs cassés est très bas. Il n’y a même plus de casse si vous faites plus attention en route et si vous arrangez bien votre chargement”, explique-t-il.

Comme c’est important de se mettre d’abord et toujours à la place de l’autre. Au cours des dix dernières années, la coopération sino-africaine n’a cessé de s’approfondir de façon pragmatique, apportant de nombreuses assistances concrètes aux pays africains afin d’aider leurs habitants à améliorer leurs conditions de vie.

A l’avenir, la Chine continuera à défendre les principes de sincérité, de résultats réels, d’amitié et de bonne foi pour guider ses relations avec l’Afrique et rapprocher les peuples des deux côtés.




Les relations sino-africaines entrent dans la nouvelle ère de la construction d’une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique de haut niveau (diplomate chinois)

Cette année marque le 10e anniversaire du lancement du principe de “sincérité, pragmatisme, amitié et franchise”, et d’une juste conception de l’équilibre entre l’équité et le propre intérêt, devenu la ligne directrice fondamentale de la coopération de la Chine avec l’Afrique dans la nouvelle ère, a déclaré Liu Yuxi, représentant spécial du gouvernement chinois pour les affaires africaines, dans une interview exclusive accordée à l’agence de presse Xinhua.

M. Liu a souligné qu’au cours des dix dernières années, la Chine et l’Afrique s’étaient toujours traitées d’égal à égal, et que leur amitié traditionnelle était devenue de plus en plus solide. Elles s’en sont tenues au pragmatisme, et l’élan du développement commun est devenu de plus en plus fort ; la coopération sino-africaine a toujours répondu aux circonstances actuelles et les caractéristiques gagnant-gagnant sont devenus plus distinctes ; les deux parties ont toujours défendu la justice, et leur volonté de braver ensemble vents et marées est devenue de plus en plus ferme.

Ce haut diplomate a déclaré que dans la nouvelle ère, la Chine s’abstenait toujours de s’ingérer dans la recherche par les pays africains d’une voie de développement adaptée à leurs conditions nationales, de s’immiscer dans leurs affaires intérieures, d’imposer sa volonté à l’Afrique, d’assortir son aide à l’Afrique de conditions politiques, ainsi que de rechercher des intérêts politiques dans sa coopération avec l’Afrique en matière d’investissement et de financement. Il s’agit là du “code de la réussite” pour que la Chine et l’Afrique partagent le même sort et un avenir prometteur.

Selon les propos du conseiller d’Etat et ministre des Affaires étrangères de la Chine, Qin Gang, les résultats de la coopération sino-africaine sont visibles et tangibles, et ont joué un rôle important dans la promotion du développement économique et social, ainsi que dans l’amélioration des conditions de vie des populations en Afrique, selon M. Liu.

Au cours des dix dernières années, des projets phares tels que le Centre de conférences et le complexe de bureaux de la Commission de l’Union africaine, le siège du Centre africain de contrôle et de prévention des maladies, le chemin de fer Mombasa-Nairobi, et le chemin de fer Addis-Abeba-Djibouti ont vu le jour, et des projets de coopération tels que des ponts, des routes, de l’électricité, des communications et des ports se sont étendus à toute l’Afrique. Quinze types de produits agricoles de onze pays africains sont entrés sur le marché chinois par le “canal vert”, et le volume des échanges commerciaux entre la Chine et l’Afrique a atteint un nouveau record de 282 milliards de dollars en 2022. De plus, 52 pays africains et la Commission de l’Union africaine ont signé le document de coopération “la Ceinture et la Route”.

Il a souligné que la promotion de la communauté d’avenir partagé Chine-Afrique pouvait se poursuivre en approfondissant les échanges d’idées et de concepts, en consolidant la chaleur des échanges économiques et commerciaux, en promouvant la qualité de la coopération pratique, et en renforçant la gouvernance mondiale.

La promotion de la communauté d’avenir partagé Chine-Afrique dans le “premier carré” de la construction d’une communauté d’avenir partagé pour l’humanité est la voie à suivre pour les relations Chine-Afrique, a conclu M. Liu.