KIM JONG UN pour reboiser le Pays entier et le recouvrir de forêts

Aujourd’hui le 14 mars, c’est la Journée du Reboisement en République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong gang -fleuve arrosant la Capitale Pyongyang- fière de ses plus de 5.000 ans et Puissance nucléaire émergée dans la belligérance -techniquement parlant- avec les USA du temps des Guerres Froides pendant lesquelles la dignité et l’honneur n’appartiennent qu’aux forts et que la cause de tout Etat souverain ne peut être justifiée que par sa propre victoire, NDLR).

Le 14 mars 1952 au plus fort de la Guerre (1950-1953 RPDC-USA) de Corée, KIM IL SUNG avait dit d’entreprendre le mouvement de masse pour la remise en état des forêts ravagées par le barbare bombardement aérien (600.000t de bombes soit 18 bombes sur 1km2, NDLR) des impérialistes US (ayant largué, sans discrimination à plus de 1.400 reprises, quelques 428.000 bombes rien que dans la Ville Pyongyang, en alléguant; «Nous allons supprimer, complètement, des villes de la Corée du Nord sur la carte mondiale.», NDLR).
Dès lors et surtout dans la dernière décennie sous le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC créé par KIM IL SUNG en 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la RPDC, on a construit, partout dans le Pays (123.214km2), des pépinières modernes, et le mouvement patriotique pour le reboisement permet de recouvrir les montagnes du Pays d’une verdure luxuriante. En 2022, on a institué, officiellement, le 14 mars comme la Journée du Reboisement.
① «On doit faire la plantation d’arbres en creusant le trou soi-même.»
Un jour du mars 2012, KIM JONG UN;
– alla inspecter une unité de l’Armée Populaire de Corée (APC créée par KIM IL SUNG en 1948, NDLR)
– dit, à l’issue de son inspection, à ses accompagnateurs: Aujourd’hui, c’est la Journée du Reboisement. On plantera des arbres en souvenir.
– fit remarquer, en voyant des trous creusés d’avance; Cela relève du formalisme; on doit faire la plantation d’arbres en creusant le trou soi-même. La plantation d’arbres est une noble entreprise pour reboiser le Pays entier et le recouvrir de forêts
et choisit un emplacement convenable où il planta, avec soin, des arbres qu’il avait apportés tels que;
– un épicéa coréen (Picea koraiensis Nakai; arbre à feuilles persistantes de taille moyenne atteignant 30m de haut et avec un diamètre de tronc allant jusqu’à 0,8m, NDLR)
– un magnolia coréen grêle (Magnolia kobus; plante à fleurs de la famille des Magnoliacées qui comprend environ 110 espèces, essentiellement des arbres et arbustes, des régions tempérées chaudes, NDLR)
② «La création et la protection des forêts doivent être menées par des mouvements de masse.»
Un jour du novembre 2014, KIM JONG UN;
– se rendit à la Pépinière Centrale relevant du Ministère de la Protection du Territoire National et de l’Environnement
– fit remarquer; On ne procède pas bien à la création et à la protection des forêts, ressources précieuses du Pays et biens à léguer à la postérité. (Il invita le PTC, l’APC et le Peuple entiers à s’engager dans la remise en état des forêts en la considérant comme une guerre visant à dompter la nature.)
– affirma; Pour réussir la remise en état des forêts, il faut non seulement planter beaucoup d’arbres mais aussi renforcer la protection, la surveillance et le contrôle des forêts, conscient que la protection des forêts est justement la protection de la terre, de l’écosystème et de l’économie. Il faut lancer, vigoureusement au niveau de toute la Communauté, des mouvements de masse, tels que Mouvement des Forêts Patriotiques dignes du socialisme et celui des Arrondissements Modèles dans l’entretien des forêts; la création et la protection des forêts sont un devoir sublime qui nous incombe aussi bien qu’une entreprise des plus patriotiques parce que, visant à un bel avenir de la Patrie et à la prospérité des générations futures, cette entreprise doit, donc, être menée par des mouvements de masse.
③ «Voilà notre joie, notre fierté et notre bonheur!»
Un jour du décembre 2015, KIM JONG UN;
– alla visiter la Pépinière № 122 de l’APC
– dit aux cadres: La remise en état des forêts est une œuvre patriotique perpétuelle, entreprise à long terme prévue pour une dizaine d’années. Il ne faut, donc, jamais nous laisser décourager puisque des succès ne sont pas tangibles un ou deux ans après la plantation d’arbres. Bien que nous nous donnions de la peine aujourd’hui, nous devons planter et entretenir chaque arbre avec tout le soin possible en pensant au lendemain de la Patrie qui sera recouverte de forêts épaisses. Si le Pays entier sera reboisé et recouvert de forêts, la postérité en bénéficiera beaucoup. Dans un avenir lointain, notre postérité, admirant la verdure luxuriante, parlera de la justesse de la politique de notre PTC ayant défini la plantation d’arbres comme une tâche de haute importance et un objectif stratégique de l’Etat.
– résolut, sur place, tous les problèmes qui se posaient pour transformer la Pépinière № 122 en une pépinière moderne d’ordre mondial, économe en terre et en mains-d’œuvre, où la production de plants d’arbres se ferait de façon scientifique, industrielle, intensive, automatique et mécanique à un haut niveau
– déclara; Je suis vraiment heureux de ce que nous nous sommes, ainsi, chargés nous-mêmes d’une tâche pour réussir la remise en état des forêts, œuvre patriotique perpétuelle que nous devons accomplir, sans faute, pour le bien de la postérité; voilà notre joie, notre fierté et notre bonheur!




Chantage au Roi : Un an de prison avec sursis pour Eric Laurent et Catherine Graciet

Le jugement des journalistes français, Eric Laurent et Catherine Graciet, accusés d’avoir voulu faire un « chantage au Roi Mohammed VI », a été prononcé ce mardi 14 mars à Paris. Les deux journalistes ont écopé d’un an de prison avec sursis et 10.000 euros d’amende.

Ils ont ainsi été reconnus coupables d’avoir tenté de faire chanter le Roi du Maroc en 2015 en réclamant de l’argent en contrepartie de la non-publication d’un livre à charge contre le Royaume. Auteurs en 2012 de l’ouvrage « Le roi prédateur » sur le Roi Mohammed VI, Eric Laurent et Catherine Graciet, avaient signé un contrat avec Le Seuil pour un second tome sur le même sujet.
Les avocats des deux journalistes ont immédiatement fait appel de cette condamnation. Eric Laurent, 76 ans, et Catherine Graciet, 48 ans, ont toujours contesté avoir formulé une quelconque menace. Toutefois, ils ont reconnu avoir commis une « erreur déontologique » en acceptant une proposition d’arrangement financier émanant de Rabat.
Les deux journalistes sont jugés depuis janvier à Paris pour avoir voulu obtenir 2 millions d’euros en 2015 en menaçant de publier un livre à charge contre le Roi Mohammed VI, selon l’accusation.
Des enregistrements, deux enveloppes contenant 40.000 euros en liquide et des contrats signés avec un émissaire marocain après une plainte en France, constituent la base de ce dossier dans lequel Catherine Graciet se dit « victime d’un traquenard ».
De son côté, Eric Laurent, ancien journaliste pour Radio France et au magazine Le Figaro, et auteur de plusieurs livres, a reconnu avoir commis une « erreur morale » en acceptant d’être impliqué dans cette affaire.
Selon le tribunal, Eric Laurent et Catherine Graciet ont eu une « démarche commune » et ils ont exercé une « pression » sur l’émissaire en parlant, entre autres, d’un livre.




Conflit Arabie Saoudite-Iran: La Chine se félicite du rôle joué pour la restauration de la paix

Dans un échange avec la presse venue de plusieurs coins du monde ce mercredi 15 mars, le Directeur général en charge du Département des affaires de lAsie de lOuest et de lAfrique du Nord du ministère des Affaires étrangères chinois sest dit très satisfait du rôle qua joué son pays dans la crise arabo-iranien. Wang Di soutien que cest garce au dialogue franc entre les deux pays sous les bons offices de la Chine quune solution a été vite trouvée.

La Chine estime que le seul moyen efficace pour régler un différend reste le dialogue et les concertations entre États. Cette position est de Wang Di, Directeur général en charge du département des Affaires de lAsie de lOuest et de lAfrique du Nord du ministère des Affaires étrangères chinois, soutenue devant les journalistes au cours dun échange sur la question de la crise entre lArabie Saoudite et lIran.
Pour cet agent du ministère des Affaires étrangères de la Chine, la stabilité et la paix dans la région dépendent également de bonnes relations diplomatiques entre ces deux pays.
« LArabie Saoudite et lIran sont deux acteurs majeurs pour la région, donc lamélioration des relations apportera des énergies positives dans la région, mais aussi la confiance entre les peuples de la région  et donc nous avons conduit les discussions entre les deux pays. Une solution a été trouvée, la communauté internationale et les USA ont salué les efforts de la Chine pour la résolution de cette crise », se réjouit Wang Di
« Son pays va toujours travailler ou encourager le dialogue franc entre États qui selon elle reste la meilleure option dans la résolution des crises au monde », renchérit Wang Di, Directeur général en charge du Département des affaires du département des affaires de lAsie de lOuest et de lAfrique du Nord du ministère des Affaires étrangères chinois
Parlant de ma crise République Démocratique du Congo et le Rwanda, Wang Di précise que la Chine attend linvitation de deux parties en conflit pour apporter sa contribution dans la résolution de cette crise. Mais il faut déjà savoir que la Chine est prête à jouer son rôle dans le règlement de toutes les questions des crises avec sa sagesse, mais jamais intervenir dans les affaires internes des pays.
Hugo Matadi




Un membre du Polisario abattu par l’armée algérienne près des camps de Tindouf

L’armée algérienne continue son carnage dans les camps sahraouis près de Tindouf. Dimanche 12 mars, en plein jour et à quelques encablures seulement de l’un des camps, dit «Laâyoune», elle a pris pour cible un véhicule pick-up transportant du carburant. Le chauffeur, un membre du Polisario, a été tué sur le coup.

Un jeune trafiquant du Polisario a été tué, dimanche 12 mars, par l’armée algérienne près des camps de Tindouf.

L’armée algérienne a tiré des coups de feu nourris, dans la matinée du dimanche 12 mars, à l’est de la ville de Tindouf, près du camp dit «Laâyoune», sur un véhicule de type pick-up transportant du carburant, apprend Le360 de sources bien informées.

Ces tirs ont causé la mort du conducteur du véhicule, un membre du Polisario dénommé Saïd ould El Bachir ould Chaabane et originaire de la tribu Rguibat Oulad Daoud. Habitant du camp «Laâyoune», il était connu pour être un trafiquant occasionnel de carburant subventionné.

Bien évidemment, ce genre d’incidents meurtriers ne relève aucunement d’une bavure militaire. Il constitue plutôt un acte délibéré de l’armée algérienne, qui ne prend jamais les précautions préalables de sommation quand il s’agit de Sahraouis. Plus grave, l’armée algérienne, qui fait étalage chaque mois d’un décompte, relayé par ses médias locaux, de ses opérations militaires contre les prétendus «terroristes» et autres trafiquants de tous genres, ne communique jamais sur ses nombreuses actions militaires dans lesquelles des Sahraouis des camps de Tindouf sont régulièrement victimes.

Ces exactions et atrocités sont devenues le lot de tout Sahraoui des camps qui tente de s’adonner au trafic de carburant, ou de tout autre produit de l’aide internationale, voire des armes, en dehors du circuit mafieux établi par les dirigeants du Polisario et leurs protecteurs militaires algériens. Même les jeunes Sahraouis des camps, qui ont récemment tenté de tromper l’oisiveté et l’enfermement en se lançant dans l’orpaillage, n’ont pas été épargnés.

L’on se rappelle l’horrible mise à mort, en octobre 2020, de deux orpailleurs sahraouis, Moha Ould Soueïlem et Ali Idrissi, aspergés d’essence et brûlés vifs dans une fosse par des soldats de l’armée algérienne, non loin des camps de Lahmada.

Malgré les dénonciations à l’ONU, et au sein des organisations des droits de l’Homme, la barbarie de l’armée algérienne continue à faire des victimes sahraouies, aidée dans cette tâche macabre par les milices du Polisario.

Ces dernières sont d’ailleurs en état d’alerte maximale depuis plusieurs semaines, particulièrement dans le camp dit «Aousserd», aux prises avec des actes continus de violences et de vandalisme, perpétrés par un groupe de jeunes trafiquants de carburant et de drogue.

Dans la nuit du 21 au 22 février dernier, ces jeunes ont incendié trois camions-citernes relevant du Polisario et entièrement saccagé le poste de police dudit camp, avant d’y mettre le feu.

Par Mohammed Ould Boah




Le cabinet royal recadre le PJD après sa sortie sur les relations Maroc-Israël

Le Cabinet royal a réagi après une déclaration du secrétariat du PJD concernant les relations Maroc-Israël. Dans un communiqué diffusé ce lundi, le cabinet royal a apporté plusieurs précisions sur la position du Maroc vis-à-vis de la question palestinienne et la politique extérieure, estimant que la sortie du PJD contient « des dépassements irresponsables et des approximations dangereuses, concernant les relations entre le Royaume du Maroc et l’État d’Israël, en lien avec les derniers développements dans les territoires palestiniens occupés ».

« La position du Maroc envers la question palestinienne est irréversible, et elle constitue l’une des priorités de la politique étrangère de Sa Majesté Le Roi, Amir Al-Mouminine et Président du Comité Al-Qods, Qui la place au même rang de l’intégrité territoriale du Royaume. Il s’agit d’une position de principe constante du Maroc, qui ne saurait être soumise aux surenchères politiciennes et aux campagnes électorales étriquées », tient ainsi à souligner le Cabinet royal.

En outre, ce dernier rappelle que la politique extérieure du Royaume est une prérogative royale, en vertu de la Constitution, que le Souverain exerce conformément aux constantes nationales et aux intérêts suprêmes de la patrie, et à leur tête la question de l’intégrité territoriale.

Ce n’est pas tout. Le Cabinet royal ajoute que les relations internationales du Royaume « ne peuvent être l’objet de chantage de la part de quiconque et pour quelque considération que ce soit, particulièrement dans ce contexte mondial complexe. L’instrumentalisation de la politique extérieure du Royaume dans un agenda partisan interne constitue ainsi un précédent dangereux et inacceptable ».

Enfin, il tient à souligner que la reprise des relations entre le Maroc et Israël a été effectuée dans des circonstances et dans un contexte que tout le monde connait. Elle est encadrée par le communiqué du Cabinet Royal du 10 décembre 2020 et celui publié le même jour à la suite de la communication téléphonique entre Sa Majesté Le Roi et le Président palestinien, ainsi que par la Déclaration Tripartite du 22 décembre 2020, signée devant le Souverain.




Ce mardi 14 mars 2023 à Genève : PDES organise une conférence sur : « le Maroc comme hub économique entre l’Afrique et le monde »

Promotion du Développement Économique et Social (PDES) est une organisation non gouvernementale, créée en 2013 et basée à Genève. Dotée du statut ECOSOC auprès du conseil économique et social des Nations Unies, PDES vise en particulier la promotion du développement économique et social des pays les moins avancés (PMA), des pays en développement (PED) et des pays émergents, le renforcement de la coopération Nord-Sud/Sud-Sud, ainsi que la coordination des partenariats publics-privés (PPP) pour le développement économique et social notamment en Afrique.

Dans ce sens, et pour promouvoir un décollage économique du continent africain, PDES organise une conférence sous le thème de « le Maroc comme hub économique entre l’Afrique et le monde » dans le but de mettre en lumière le progrès et le développement du Maroc durant ces dernières années,

Cet événement met l’accent sur les opportunités socio-économiques qui pourraient octroyées à l’Afrique à travers le Maroc comme Hub international.

Cette conférence aura lieu le mardi 14 mars 2023 à 17 :30 à Genève, en marge de la 52ème session des droits de l’homme qui commémore le trente-cinquième anniversaire de l’adoption de la Déclaration de l’ONU sur le droit au développement.

La conférence sera modérée par M. Noureddine OBBAD, essayiste et expert en développement durable, avec la participation d’un panel d’intervenants, experts en économie, en politique et en stratégies de développement : M. Christophe Pierre de Figuieredo : Président de la Chambre de Commerce Suisse au Maroc ; M. Alain Jourdan : Secrétaire général de l’Observatoire Géostratégique de Genève ; M. Amada Adjoumai : Head of Executive Search Switzerland chez Global Mind Search ; M. Pablo Demierre : Fondateur de Swiss Diplomacy Student Association (SDSA) PDES organise une conférence sous le thème : « Le Maroc comme hub économique entre l’Afrique et le monde »

Le Maroc a les atouts pour jouer « un rôle de locomotive »

Aujourd’hui, l’Afrique est un impératif stratégique. C’est un gisement de croissance à 2 heures de Genève, une réalité incontournable pour les entreprises européennes et le monde.

Certains pays africains connaissent un net dynamisme économique et semblent appelés à devenir les moteurs du développement du continent africain pour former le peloton de tête des lions africains pour le développement du continent.

Le Maroc fort de son identité africaine recèle bien des énergies et des potentialités qui lui permettent de créer des conditions favorables d’impulsion et de développement pour le continent africain.

Le Maroc a les Atouts pour jouer « un rôle de locomotive pour une co-émergence harmonieuse du continent » et devenir un futur Hub industriel d’intégration vers des changements de structures en diffusant des opportunités d’investissements intégrés et complémentaires entre l’Afrique et le reste du monde.

Le développement des vingt dernières années ont permis au Maroc d’arriver à un niveau économique suffisant pour aider à la modernisation de l’Afrique avec lui et porter ainsi la promesse d’une Afrique future pacifique et moderne.

Le Royaume du Maroc se donnant des ambitions audacieuses pour lui-même, et donc pour l’Afrique, il incarne une des locomotives résolues, dans la dynamique de l’esprit collectif à relever les défis pour la prospérité du Continent Africain

Le Maroc peut être l’initiateur d’un développement africain pour une relance économique européenne et donner un espoir à tous les pays d’Afrique.

Comme l’a dit Joseph Stiglitz – prix Nobel d’économie – dans son rapport pour les Nations Unies, la solution passera par « la coopération de tous les pays pour fournir ensemble une puissante stimulation mondiale […] Le monde devrait aider les pays en développement. Pas seulement dans un esprit humanitaire, mais dans son propre intérêt »




Face à la déclaration irresponsable du SG du PJD : Voici la réaction du Cabinet Royal en quatre points

 “Le secrétariat général du Parti Justice et Développement (PJD) a récemment publié une déclaration contenant des dépassements irresponsables et des approximations dangereuses, concernant les relations entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël, en lien avec les derniers développements dans les territoires palestiniens occupés.

A cet égard, le Cabinet Royal souligne ce qui suit :

Premièrement : La position du Maroc envers la question palestinienne est irréversible, et elle constitue l’une des priorités de la politique étrangère de Sa Majesté Le Roi, Amir Al-Mouminine et Président du Comité Al-Qods, Qui la place au même rang de l’intégrité territoriale du Royaume. Il s’agit d’une position de principe constante du Maroc, qui ne saurait être soumise aux surenchères politiciennes et aux campagnes électorales étriquées.

Deuxièmement : La politique extérieure du Royaume est une prérogative de Sa Majesté Le Roi, que Dieu L’assiste, en vertu de la Constitution, que le Souverain exerce conformément aux constantes nationales et aux intérêts suprêmes de la patrie, et à leur tête la question de l’intégrité territoriale.

Troisièmement : Les relations internationales du Royaume ne peuvent être l’objet de chantage de la part de quiconque et pour quelque considération que ce soit, particulièrement dans ce contexte mondial complexe. L’instrumentalisation de la politique extérieure du Royaume dans un agenda partisan interne constitue ainsi un précédent dangereux et inacceptable.

Quatrièmement : La reprise des relations entre le Maroc et Israël a été effectuée dans des circonstances et dans un contexte que tout le monde connait. Elle est encadrée par le communiqué du Cabinet Royal du 10 décembre 2020 et celui publié le même jour à la suite de la communication téléphonique entre Sa Majesté Le Roi et le Président palestinien, ainsi que par la Déclaration Tripartite du 22 décembre 2020, signée devant le Souverain.

Les forces vives de la nation, les partis politiques, ainsi que certaines personnalités de premier plan, de même que certaines instances associatives militant pour la question palestinienne, avaient alors été informés de cette décision, pour laquelle ils avaient exprimé leur adhésion et leur engagement”.




Réconduit à la tête de la Chine, Xi Jinping jure duvrer pour un grand pays socialiste moderne

Élu comme étant president de la République populaire de Chine par la majorité des députés présents dans le grand Palais du peuple lors de la premiere session de la 14e session de lAssemblée populaire nationale, tenue le vendredi à Beijing 2. Xi Jinping, president de la République populaire de Chine, mais aussi président de la Commission militaire centrale, jure doeuvrer pour un grand pays socialiste morderne qui est prospère, puissant, démocratique et hautement civilisé.

“Je prête serment d’allégeance à la Constitution de la République populaire de Chine pour sauvegarder l’autorité de la Constitution et remplir mes obligations légales. Je m’engage à être fidèle au pays et au peuple, à être déterminé et honnête dans mes fonctions, à accepter la supervision du peuple et à uvrer pour un grand pays socialiste moderne qui est prospère, puissant, démocratique, hautement civilisé, harmonieux et beau.”
Le même vendredi, dautres institutions du pays ont vu également leurs dirigeants être changés, mais aussi être confirmées. Pour la vice-présidence du pays, Han Zheng a été élu vice-président et Zhao Leji a été élu président du Comité permanent de la 14e session de lAssemblée populaire nationale. Présidée par Li Ganjie, président exécutif et président permanent du présidium de la première session de la 14e APN, cette rencontre qui devait réunir 2.977 députés, a connue la participation de 2.952, en meme temps a d’abord adopté par vote la décision de la première session de la 14e APN sur un plan de réforme des organes du Conseil des affaires d’Etat et a approuvé ce plan.
Elle a également demandé au Conseil des affaires d’Etat de maintenir la direction centralisée et unifiée du Comité central du Parti, de faire des préparatifs minutieux et d’organiser avec soin pour assurer l’achèvement de la réforme des organes du Conseil des affaires d’Etat. Les élus présents à cette rencontre ont adopté par vote la liste de scrutateurs généraux et de scrutateurs composée de 35 membres.
Soulignons que conformément aux modes d’élection et de nomination, le président de la RPC, le président de la CMC de la RPC, le président, les vice-présidents et le secrétaire général du Comité permanent de la 14e APN, ainsi que le vice-président de la RPC sont élus à nombre égal.
Comme le Président de la République, avait devant les emblêmes du pays prêté solennellement serment d’allégeance à la Constitution, le président nouvellement élu du Comité permanent de l’APN, le vice-président nouvellement élu de la RPC, les vice-présidents et le secrétaire général nouvellement élus du Comité permanent de l’APN ont eux aussi pretés serment d’allégeance à la Constitution.
Hugo Matadi




Chine : Les journalistes africains et des autres continents au cœur de l’économie de Beijing

Il était question au cours de cette visite organisée en début de la semaine dans le district de Pinggu par China internationale Press Communication center (CIPCC), un programme de China public Association CPDA, de permettre aux journalistes venus de l’Afrique, de l’Asie et de l’Europe de palper du doigt les efforts fournis par la Chine, surtout par la capitale pour non seulement nourrir, mais aussi entretenir les peuples qui vivent à Beijing la capitale chinoise, sans oublier les environs. Les journalistes africains ont eu le privilège de visiter le cœur ou encore la Zone économique de Beijing.

Cette visite qui les a permis de se faire une idée sur la gestion de cette province qui est en même temps la capitale de la Chine, a commencée tout d’abord à Beijing Huadong musical instrument ou the Violin culture expérience Hall dans le district à Pinggun. En suite Zixinguyan ou the Food technology Co Ltd, tout juste après Beijing Huanu Yukou Poultry industry Co., Ltd et enfin Jingwa agricultural science and Technology innovation center, nanying doctor farm.
Il faut dire que partout où ils sont passés, les hommes des médias africains, mais aussi des autres continents ont eu droit aux explications détaillées sur la gestion de ces endroits par les responsables directs. Un véritable sujet de joie pour les journalistes africains en général, mais aussi camerounais en particulier. Alain Mazda du Journal du quotidien national bilingue camerounais, salue cette belle expérience. Pour ce journaliste camerounais, si l’Afrique copie le modèle chinois dans le domaine d’agriculture et élevage, mais aussi de la recherche en mettant en place une politique bien définie, avec ce terres arables le développement ne sera qu’une question des jours et des temps.
« Après avoir visité tous ces endroits, je pense que j’ai une idée sur c’est qui doit être fait dans mon pays surtout dans le secteur de l’agriculture, l’élevage et dans d’autres secteurs clés de la vie nationale. Contrairement à notre système éducatif qui est plus basé sur la théorique, les Chinois, après avoir volé du feu chez les autres, ils ont mis en place un nouveau type du système éducatif qui est plus basé sur l’entrepreneuriat. Comme pour dire qu’ils vont directement dans la pratique, soit moins parler, mais beaucoup plus de réalisations », soutien Alain Mazda, Journaliste du Tribune Cameroun.
« L’expérience que j’ai acquise ici va me permettre de me mettre en confiance, et avec les réalisations que mes yeux ont vues ici, j’ai compris que sur base de rien tu peux croire. Mais aussi je vais mettre en place une fois arrivé au pays le « Mojo» Mobile Journalisme qui est un nouveau système de faire les journalisme, se réjouit-il.
Visite très capitale surtout pour les journalistes africains qui peuvent s’en servir une fois de retour dans leurs pays avec les étendues des terres arables que renferme l’Afrique qui jusqu’ici ne sont presque pas exploitées comme il faut.

Hugo MATADI

 




Dans des lettres au Conseil de sécurité et au SG de l’ONU, Omar Hilale dénonce la complicité de l’Afrique du Sud avec l’Algérie et le Polisario

Dans deux lettres adressées le mercredi 8 mars au Secrétaire général de l’ONU, ainsi qu’au président et aux membres du Conseil de Sécurité, l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU Omar Hilale a dénoncé la complicité de l’Afrique du Sud avec l’Algérie et le Polisario, son appropriation inconditionnelle de l’agenda géopolitique de l’Algérie et son aveugle soutien idéologique au groupe séparatiste armé.

Réagissant à une lettre circulée par la Mission permanente de l’Afrique du Sud auprès de l’ONU sur le Sahara marocain, M. Hilale a souligné que le Royaume du Maroc «regrette profondément que l’Afrique du Sud se prête, une fois encore, au rôle de facteur d’un groupe séparatiste armé, dont les connexions avec le terrorisme au Sahel sont avérées», précisant que le tristement célèbre terroriste Adnan Abu al Walid Sahrawi était membre du Polisario avant de devenir chef du groupe terroriste «État islamique au grand Sahara», et rappelant que l’individu avait pour habitude de se réfugier dans les camps de Tindouf et de s’y faire soigner, avant qu’il ne soit éliminé le 15 septembre 2021.
M. Hilale a ajouté que l’adjoint d’Adnan Abu al Walid Sahrawi, le terroriste notoire Lakhal Sidi Salama, alias Abdelhakim Sahraoui, était lui aussi membre du Polisario, avant d’être également éliminé le 23 mai 2021.
Dans le même contexte, le diplomate a indiqué que le journal allemand «Die Welt» avait publié, dans son édition du 27 janvier 2023, une enquête basée sur les rapports convergents de plusieurs services de renseignement européens. Ses conclusions confirment, preuves à l’appui, que le Polisario a fait des camps de Tindouf une plaque tournante pour le financement du terrorisme au Sahel, à travers la «hawala» qui permet le transfert illicite et anonyme de fonds entre l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique et l’Amérique Latine, notamment à des groupes terroristes et des acteurs impliqués dans la déstabilisation régionale.
M. Hilale a, en outre, signalé que le Maroc regrette encore que la Mission permanente de l’Afrique du Sud serve de messager à une entité fictive non reconnue par l’ONU, et à de prétendus résultats d’une farce appelée «16ème congrès du Polisario», soulignant que l’Algérie avait déboursé des sommes colossales pour faire venir en jets privés, à ce prétendu congrès, des mercenaires de la parole d’Europe et d’ailleurs, alors que les femmes et les enfants des camps de Tindouf souffrent de malnutrition, d’anémie, de diphtérie et de manque de matériel scolaire.
Et l’ambassadeur d’ajouter que «parler de décisions de ce soi-disant “congrès” est une insulte à l’intelligence du SG de l’ONU et des membres du Conseil de Sécurité, car il s’agit de décisions préparées à l’avance par le pays hôte, l’Algérie, puis imposées aux participants à cette mascarade, tout comme l’a été la parodique “élection” du dénommé Brahim Ghali».
De même, le diplomate marocain a souligné que le Royaume déplore grandement que l’Afrique du Sud, qui participe au même titre que le Maroc à plusieurs opérations de maintien de la paix, notamment en Afrique, ait manqué l’occasion d’éviter de devenir complice par transmission d’un brûlot anti-ONU, dénigrant ses actions et s’attaquant aux efforts même du Conseil de Sécurité sur la question du Sahara marocain.
Il a indiqué que l’Afrique du Sud aurait dû se demander pourquoi l’Algérie, partie principale à ce différend régional, évite à chaque fois de transmettre les lettres de son Polisario, et charge un autre pays, en l’occurrence l’Afrique du Sud, de cette basse besogne, ajoutant que l’Algérie, qui a créé ce groupe séparatiste armé, l’abrite sur son territoire, l’arme, le finance et en fait l’agenda prioritaire de sa diplomatie, devrait avoir le courage politique d’assumer pleinement ses actes, et ce en faisant circuler, par sa propre Mission permanente, les manifestos propagandistes de sa création.
M. Hilale a précisé que «l’externalisation par l’Algérie de son service de transmission diplomatique est moralement dénuée de tout scrupule et politiquement irrespectueuse des Nations Unies».
L’ambassadeur a ajouté que le Maroc regrette également que la Mission permanente de l’Afrique du Sud accepte de faire circuler auprès des membres du Conseil de Sécurité une lettre signée par le chef du groupe séparatiste Polisario, le dénommé Brahim Ghali, poursuivi par la justice en Europe pour viol et torture, ajoutant que la transmission de cette soi-disant lettre, à la veille de la 67ème session de la Commission de la Condition de la Femme et de la Journée internationale des femmes, est un affront aux victimes du dénommé Brahim Ghali, qui traînent toujours les séquelles physiques, psychologiques et sociétales de ses crimes.
«Le Royaume du Maroc regrette fortement que l’Afrique du Sud distribue une lettre truffée de mensonges au sujet de la situation des droits de l’Homme au Sahara marocain, alors que le Conseil de Sécurité salue, dans ses résolutions successives, le rôle des deux Commissions régionales du Conseil national des droits de l’Homme à Laâyoune et Dakhla, ainsi que la coopération du Maroc avec les mécanismes onusiens des droits de l’Homme», a enchaîné M. Hilale.
Il a fait également remarquer que «les allégations colportées par cette lettre sont autant fallacieuses que contradictoires: la participation à ce prétendu “congrès” de quelques éléments séparatistes venus des provinces sahariennes du Maroc sont la preuve flagrante des mensonges du Polisario, et la confirmation irréfragable de la pleine jouissance par ces individus de leurs libertés de mouvement, de circulation et d’expression, et ce grâce à la démocratie et l’état de droit qui prévalent au Sahara Marocain. Ce qui n’est malheureusement pas le cas des populations séquestrées dans la prison à ciel ouvert des camps de Tindouf».
L’ambassadeur du Maroc à l’ONU a souligné que le Royaume regrette aussi que l’Afrique du Sud, qui ambitionne d’assumer un rôle important dans le maintien de la paix et la sécurité internationales, transmet aux membres du Conseil de Sécurité une lettre qui fait l’apologie de la guerre, appelle à la violence armée et aux actes terroristes, justifie fallacieusement la dénonciation du cessez-le-feu et viole les résolutions du Conseil de Sécurité.
À cet égard, M. Hilale a précisé que par son acte de facteur, l’Afrique du Sud participe au maintien du Polisario et son géniteur l’Algérie dans leur mirage Tindoufien du Plan de règlement et du référendum, bel et bien morts et définitivement disparus du lexique des résolutions du Conseil de Sécurité, de l’Assemblée générale et du Secrétaire général de l’ONU, et ce depuis plus de deux décennies.
L’ambassadeur a en outre indiqué que le Maroc voudrait rappeler à l’Afrique du Sud que son appropriation inconditionnelle de l’agenda géopolitique de l’Algérie et son aveugle soutien idéologique au groupe séparatiste armé Polisario n’aideront nullement au règlement de ce différend régional, ni ne mettront fin aux souffrances décennales des populations séquestrées dans les camps de Tindouf.
Il a de même martelé que le Conseil de Sécurité a, depuis plus de deux décennies, fait définitivement le choix de la solution politique, basée sur le pragmatisme, le réalisme, le compromis et l’acceptation mutuelle, relevant que c’est ce choix qu’un très grand nombre de pays ont suivi en reconnaissant la marocanité du Sahara pour les uns, le soutien fort et franc à l’Initiative marocaine d’autonomie pour beaucoup d’autres, et l’ouverture de Consulats généraux dans les villes marocaines de Laâyoune et Dakhla pour plusieurs.
«L’Afrique du Sud gagnerait à inviter l’Algérie et son Polisario à se conformer à la légalité internationale en mettant en œuvre la résolution 2654 du Conseil de Sécurité, et ce en participant de bonne foi au processus des tables rondes afin de mettre fin à ce différend régional», a-t-il estimé.
En conclusion, M. Hilale a souligné que l’Afrique du Sud peut faire l’histoire en se joignant à la dynamique de paix, portée par le Conseil de Sécurité et par une centaine de pays à travers le monde, précisant que cette large majorité de pays soutiennent les efforts exclusifs du Secrétaire général de l’ONU, de son Envoyé personnel et du Conseil de Sécurité, et appuient l’Initiative d’autonomie comme seule et unique solution à ce différend régional.
Par Le360 (avec MAP)