Dans des lettres au Conseil de sécurité et au SG de l’ONU, Omar Hilale dénonce la complicité de l’Afrique du Sud avec l’Algérie et le Polisario

Dans deux lettres adressées le mercredi 8 mars au Secrétaire général de l’ONU, ainsi qu’au président et aux membres du Conseil de Sécurité, l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU Omar Hilale a dénoncé la complicité de l’Afrique du Sud avec l’Algérie et le Polisario, son appropriation inconditionnelle de l’agenda géopolitique de l’Algérie et son aveugle soutien idéologique au groupe séparatiste armé.

Réagissant à une lettre circulée par la Mission permanente de l’Afrique du Sud auprès de l’ONU sur le Sahara marocain, M. Hilale a souligné que le Royaume du Maroc «regrette profondément que l’Afrique du Sud se prête, une fois encore, au rôle de facteur d’un groupe séparatiste armé, dont les connexions avec le terrorisme au Sahel sont avérées», précisant que le tristement célèbre terroriste Adnan Abu al Walid Sahrawi était membre du Polisario avant de devenir chef du groupe terroriste «État islamique au grand Sahara», et rappelant que l’individu avait pour habitude de se réfugier dans les camps de Tindouf et de s’y faire soigner, avant qu’il ne soit éliminé le 15 septembre 2021.
M. Hilale a ajouté que l’adjoint d’Adnan Abu al Walid Sahrawi, le terroriste notoire Lakhal Sidi Salama, alias Abdelhakim Sahraoui, était lui aussi membre du Polisario, avant d’être également éliminé le 23 mai 2021.
Dans le même contexte, le diplomate a indiqué que le journal allemand «Die Welt» avait publié, dans son édition du 27 janvier 2023, une enquête basée sur les rapports convergents de plusieurs services de renseignement européens. Ses conclusions confirment, preuves à l’appui, que le Polisario a fait des camps de Tindouf une plaque tournante pour le financement du terrorisme au Sahel, à travers la «hawala» qui permet le transfert illicite et anonyme de fonds entre l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique et l’Amérique Latine, notamment à des groupes terroristes et des acteurs impliqués dans la déstabilisation régionale.
M. Hilale a, en outre, signalé que le Maroc regrette encore que la Mission permanente de l’Afrique du Sud serve de messager à une entité fictive non reconnue par l’ONU, et à de prétendus résultats d’une farce appelée «16ème congrès du Polisario», soulignant que l’Algérie avait déboursé des sommes colossales pour faire venir en jets privés, à ce prétendu congrès, des mercenaires de la parole d’Europe et d’ailleurs, alors que les femmes et les enfants des camps de Tindouf souffrent de malnutrition, d’anémie, de diphtérie et de manque de matériel scolaire.
Et l’ambassadeur d’ajouter que «parler de décisions de ce soi-disant “congrès” est une insulte à l’intelligence du SG de l’ONU et des membres du Conseil de Sécurité, car il s’agit de décisions préparées à l’avance par le pays hôte, l’Algérie, puis imposées aux participants à cette mascarade, tout comme l’a été la parodique “élection” du dénommé Brahim Ghali».
De même, le diplomate marocain a souligné que le Royaume déplore grandement que l’Afrique du Sud, qui participe au même titre que le Maroc à plusieurs opérations de maintien de la paix, notamment en Afrique, ait manqué l’occasion d’éviter de devenir complice par transmission d’un brûlot anti-ONU, dénigrant ses actions et s’attaquant aux efforts même du Conseil de Sécurité sur la question du Sahara marocain.
Il a indiqué que l’Afrique du Sud aurait dû se demander pourquoi l’Algérie, partie principale à ce différend régional, évite à chaque fois de transmettre les lettres de son Polisario, et charge un autre pays, en l’occurrence l’Afrique du Sud, de cette basse besogne, ajoutant que l’Algérie, qui a créé ce groupe séparatiste armé, l’abrite sur son territoire, l’arme, le finance et en fait l’agenda prioritaire de sa diplomatie, devrait avoir le courage politique d’assumer pleinement ses actes, et ce en faisant circuler, par sa propre Mission permanente, les manifestos propagandistes de sa création.
M. Hilale a précisé que «l’externalisation par l’Algérie de son service de transmission diplomatique est moralement dénuée de tout scrupule et politiquement irrespectueuse des Nations Unies».
L’ambassadeur a ajouté que le Maroc regrette également que la Mission permanente de l’Afrique du Sud accepte de faire circuler auprès des membres du Conseil de Sécurité une lettre signée par le chef du groupe séparatiste Polisario, le dénommé Brahim Ghali, poursuivi par la justice en Europe pour viol et torture, ajoutant que la transmission de cette soi-disant lettre, à la veille de la 67ème session de la Commission de la Condition de la Femme et de la Journée internationale des femmes, est un affront aux victimes du dénommé Brahim Ghali, qui traînent toujours les séquelles physiques, psychologiques et sociétales de ses crimes.
«Le Royaume du Maroc regrette fortement que l’Afrique du Sud distribue une lettre truffée de mensonges au sujet de la situation des droits de l’Homme au Sahara marocain, alors que le Conseil de Sécurité salue, dans ses résolutions successives, le rôle des deux Commissions régionales du Conseil national des droits de l’Homme à Laâyoune et Dakhla, ainsi que la coopération du Maroc avec les mécanismes onusiens des droits de l’Homme», a enchaîné M. Hilale.
Il a fait également remarquer que «les allégations colportées par cette lettre sont autant fallacieuses que contradictoires: la participation à ce prétendu “congrès” de quelques éléments séparatistes venus des provinces sahariennes du Maroc sont la preuve flagrante des mensonges du Polisario, et la confirmation irréfragable de la pleine jouissance par ces individus de leurs libertés de mouvement, de circulation et d’expression, et ce grâce à la démocratie et l’état de droit qui prévalent au Sahara Marocain. Ce qui n’est malheureusement pas le cas des populations séquestrées dans la prison à ciel ouvert des camps de Tindouf».
L’ambassadeur du Maroc à l’ONU a souligné que le Royaume regrette aussi que l’Afrique du Sud, qui ambitionne d’assumer un rôle important dans le maintien de la paix et la sécurité internationales, transmet aux membres du Conseil de Sécurité une lettre qui fait l’apologie de la guerre, appelle à la violence armée et aux actes terroristes, justifie fallacieusement la dénonciation du cessez-le-feu et viole les résolutions du Conseil de Sécurité.
À cet égard, M. Hilale a précisé que par son acte de facteur, l’Afrique du Sud participe au maintien du Polisario et son géniteur l’Algérie dans leur mirage Tindoufien du Plan de règlement et du référendum, bel et bien morts et définitivement disparus du lexique des résolutions du Conseil de Sécurité, de l’Assemblée générale et du Secrétaire général de l’ONU, et ce depuis plus de deux décennies.
L’ambassadeur a en outre indiqué que le Maroc voudrait rappeler à l’Afrique du Sud que son appropriation inconditionnelle de l’agenda géopolitique de l’Algérie et son aveugle soutien idéologique au groupe séparatiste armé Polisario n’aideront nullement au règlement de ce différend régional, ni ne mettront fin aux souffrances décennales des populations séquestrées dans les camps de Tindouf.
Il a de même martelé que le Conseil de Sécurité a, depuis plus de deux décennies, fait définitivement le choix de la solution politique, basée sur le pragmatisme, le réalisme, le compromis et l’acceptation mutuelle, relevant que c’est ce choix qu’un très grand nombre de pays ont suivi en reconnaissant la marocanité du Sahara pour les uns, le soutien fort et franc à l’Initiative marocaine d’autonomie pour beaucoup d’autres, et l’ouverture de Consulats généraux dans les villes marocaines de Laâyoune et Dakhla pour plusieurs.
«L’Afrique du Sud gagnerait à inviter l’Algérie et son Polisario à se conformer à la légalité internationale en mettant en œuvre la résolution 2654 du Conseil de Sécurité, et ce en participant de bonne foi au processus des tables rondes afin de mettre fin à ce différend régional», a-t-il estimé.
En conclusion, M. Hilale a souligné que l’Afrique du Sud peut faire l’histoire en se joignant à la dynamique de paix, portée par le Conseil de Sécurité et par une centaine de pays à travers le monde, précisant que cette large majorité de pays soutiennent les efforts exclusifs du Secrétaire général de l’ONU, de son Envoyé personnel et du Conseil de Sécurité, et appuient l’Initiative d’autonomie comme seule et unique solution à ce différend régional.
Par Le360 (avec MAP)




À Genève, des ONG exigent une enquête sur les violations des droits des enfants dans les camps de Tindouf

Au Sahara oriental, où l’Algérie parque des Sahraouis dont elle est la seule à connaître -et à cacher- le nombre exact, les enfants de ces camps de la honte sont les premières victimes des violations des droits de l’Homme et des crimes de guerre de la part du Polisario et de son sponsor. Des voix s’élèvent à nouveau, depuis Genève, pour exiger une enquête internationale. Cet article est une revue de presse du quotidien Al Ahdath.

Mercredi dernier à Genève, le représentant de l’ONG «Promotion du développement économique et social» (PDES) a attiré l’attention de la communauté internationale sur les graves violations des droits de l’Homme, dont sont victimes les Sahraouis des Camps de Tindouf, et particulièrement les enfants.
Dans son édition du vendredi 10 mars, le quotidien arabophone Al Ahdath Al Maghribia rapporte que dans son allocution, le représentant de l’ONG «PDES» a affirmé que les exactions quotidiennes commises contre les enfants des camps de Tindouf «constituent des violations flagrantes des droits de l’Homme en raison de leur récurrence généralisée et systématique, et certaines d’entre elles constituent des crimes de guerre en raison de leur gravité. D’où la nécessité d’ouverture d’enquêtes et d’un monitoring sur place».
Cette ONG n’accuse pas seulement les dirigeants du Polisario, mais aussi et surtout les autorités algériennes qui ne respectent même pas leurs propres lois -dont celle adoptée en 2015 et dite loi 12-15 sur la protection des droits des enfants victimes de conflits armés- en laissant faire les milices séparatistes.
Ainsi, l’Algérie ferme les yeux face aux crimes commis «dans les camps où le Polisario continue de priver des groupes d’enfants de la scolarisation et de les contraindre à intégrer ses milices armées», accuse l’ONG «PDES», qui pointe également du doigt de nombreux cas de travaux forcés.
Pire, les rares enfants sahraouis de Tindouf qui ont la chance d’être scolarisés sont soumis à un embrigadement implacable, à travers un contenu qui n’a rien de pédagogique puisqu’il incite à la haine et à la violence en glorifiant le port des armes et le sacrifice de la vie.
Al Ahdath ajoute que PDES n’est pas la seule ONG à dénoncer les violations systématiques des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf et à appeler la communauté internationale à agir, et que nombre d’autres voix se sont élevées à Genève pour dénoncer la passivité internationale face à l’absence totale de dignité humaine dans les camps tenus par le Polisario.

Enfance volée
Lors d’une conférence, toujours à Genève, sur le thème «Violations des droits de l’Homme, traite des êtres humains et exploitation des femmes et des enfants dans les conflits armés», l’ONG «Afrique Cultures» a également soulevé la situation intenable des enfants et des femmes des camps de Tindouf, pris entre le marteau du Polisario et l’enclume du pays d’accueil, qui est loin d’être hospitalier.
Al Ahdath mentionne aussi l’intervention de la coordinatrice de l’ONG espagnole «La liberté est leur droit» qui, de par son expérience personnelle de plus de 12 ans de recherche sur la traite des êtres humains en tant que crime contre l’humanité, a affirmé que l’exploitation des enfants et des femmes est la marque de fabrique du Polisario. Elle a ainsi témoigné, en parlant «d’enfance volée», de nombreux cas d’enrôlement des enfants sahraouis au sein de l’armée du Polisario ainsi que leur éducation à la haine et à la violence.
Pour sa part, Aicha Douihi, présidente de l’Observatoire international pour la paix, la démocratie et les droits de l’Homme à Genève (IOPDHR), a déclaré que bien que l’enrôlement militaire des enfants soit «immoral, illégal, inhumain et condamné par toutes les lois, dont le droit humanitaire et les conventions internationales, il a toujours été pratiqué par le Polisario depuis la création par l’Algérie des camps de Tindouf».
Les faits de violations des droits des enfants sahraouis à Tindouf sont mis à nu, mais les enquêtes et réactions vigoureuses de la communauté internationale se font toujours attendre, depuis des décennies.

Par Mohamed Deychillaoui




L’Iran ouvre un front au loin (Ehud Yaari)

Les gardiens de la révolution ne s’arrêtent pas et maintenant ils sont occupés en déclenchant une dangereuse flambée d’hostilités contre la Maroc, un vieil ami d’Israël, qui est le dernier à avoir adhérer, pour l’instant aux Accords d’Abraham.
L’approvisionnement de drones d’attaque au « polisario » pourrait mettre fin au cessez-le-feu autour du Sahara Occidental et même conduire à un conflit militaire entre le Maroc et l’Algérie.
Dans des conversations discrètes, les conseillers du roi Mohammed VI signalent déjà qu’ils nous demanderont à nouveau de l’aide.
Selon des informations provenant de diverses sources aux Etats-Unis, France et Espagne, les Iraniens ont l’intention -et ont peut-être déjà commencé- à transférer en Algérie une grande quantité de drones d’attaque des derniers modèles de Shahad, qui sont déjà exploités par les Russes en Ukraine.
Au moins certains d’entre eux sont censés être livrés aux combattants du « polisario » dans la région de Tindouf, dans le sud-ouest de l’Algérie. Là-bas se trouve les camps de réfugiés des tribus sahariennes, qui ont fui avec la prise de contrôle du Sahara Occidental par le Maroc lorsque les Espagnols l’ont évacué en 1975. Autour de ces camps se trouvent depuis des décennies les bases des rebelles, qui rêvent de conquérir ce qui leur appartenait. Jusqu’à présent, le Maroc a réussi à arrêter les raids dans le désert, entre autres au moyen des centaines de kilomètres de murs de terre qu’Israël a aidé à concevoir.
Ces dernières années, les combats se sont calmés et le Maroc a progressivement obtenu un soutien international de plus en plus important pour sa position d’accorder l’autonomie à ce territoire en grande partie inhabité. Le « poliserio » grince des dents, mais il n’a pas la force de renouveler la compagne. Leurs patrons algériens craignent d’avoir des ennuis et préféraient, par exemple, demander aux Etats-Unis d’essayer pour eux d’obtenir une route des Marocains pour transférer des marchandises vers la côte atlantique de la Mauritanie.
Aujourd’hui, l’Iran entre en scène, espérant créer un nouveau type de menace pour le Maroc : Transformer le « poliserio » en une force militaire comme les milices qu’il a diligemment établies en Syrie, en Irak et au Yémen – comme à Gaza- et celles qu’il essaie d’établir en Azerbaïdjan, en Afghanistan et dans d’autres coins du monde.
Les Iraniens, apparemment, ne sont pas les seuls : la Russie tente d’obtenir une base navale de l’Algérie, lui fournit des armes et a déjà transféré par son intermédiaire au Mali et au Burkina Faso (après les coups d’Etat militaires là-bas) les mercenaires du « Wagner Groupe ».
L’armée française fatiguée s’est retirée, et Putin vise à pénétrer davantage dans la bande désertique du « Sahel ». Rappelons qu’Israël espère établir des relations avec les pays du « Sahel », comme le Niger et la Mauritanie, afin d’ouvrir une route aérienne pour des vols à travers le ciel du Soudan et du Tchad, directement vers le Brésil et l’Argentine.
Si nous prévoyons des attaques de drones suicides contre le Maroc, la situation en Afrique du Nord changera. Il faudra un grand effort Américain pour empêcher une confrontation ouverte entre le Maroc et l’Algérie, qui se sont déjà affrontés dans la région de Tindouf dans le passé.
Les Iraniens peuvent acquérir de nouveaux avant-postes qui augmenteront leur capacité de chantage et de menace, et bien sûr permettront de nouveaux points de départs pour semer le terrorisme.
Tout cela se passe au loin, mais c’est encore trop près de nous.




Reportage de France 24 sur le Sahara : « Un dérapage suivi de fausses informations »

Dans une émission télévisée intitulée « En 5 minutes », la chaine française « France 24 version hispanophone » a diffusée un reportage sur le différend du Sahara marocain, dans lequel la journaliste relate de fausses informations sur le conflit récitant, ainsi, la version du front polisario et son mentor l’Algérie.

Dans le reportage, la chaine avance l’exploitation des ressources naturelles par le Maroc et la facilitation de l’installation des entreprises étrangères pour bénéficier du soutien international. Or, l’exploitation de ces mêmes ressources profite au premier rang aux habitants du Sahara marocain et sert à la réalisation d’infrastructures pour le développement des régions du sud à l’instar des autres provinces du Royaume.
Comment cette journaliste prétend défendre le droit d’une population en voulant priver cette même population des droits fondamentaux de développement et du travail ?
La même chaine a prétendu que le soutien du plan d’autonomie marocain par l’Espagne est exprimé en échange du contrôle par le Maroc des flux migratoire, oubliant ainsi, que le Royaume adopte une politique migratoire claire, connue et reconnue par les pays européens et africains, indépendamment de toute autre question.
Si, à la fin du reportage, la chaine parle de la souffrance de la population sahraouie, il serait judicieux de cibler la catégorie des populations séquestrées à Tindouf au Sud d’Algérie qui souffre réellement des conditions de vie précaires, qui est privée des droits élémentaires et qui est manipulée par le front Polisario et son soutien algérien, à des fins propagandistes.
Il est clair que ce reportage s’inscrit dans le cadre de la campagne menée par certaines parties connues par leur haine envers la Royaume chérifien visant dénigrer son image à l’international en s’attaquant à son intégrité territoriale




Un reportage à polémique sur le dossier du Sahara marocain

France 24 (Espagnol), destinée principalement à une audience latino-américaine, vient de consacrer son émission « En 5 Minutes » (“En 5 minutos’’) au dossier du Sahara marocain. Dans un reportage à polémique, favorable aux séparatistes, le narratif évoque un conflit d’intérêts entre plusieurs pays dont l’Espagne, la France et les États Unis

Les allégations contenues dans cette émission de France 24 (Espagnol) viennent jeter un pavé dans la marre du différend au Sahara marocain.

Le reportage rappelle que ce différend territorial dure depuis près de cinq décennies, avec des centaines de milliers de civils réfugiés. Il souligne un enchevêtrement d’intérêts pour l’Espagne, la France et les États-Unis.

Dans un reportage à polémique, favorable à la thèse séparatiste, Natalia Plazas évoque l’« exploitation des ressources de la région » par le Royaume du Maroc. « Le Front Polisario dénonce le fait que le Maroc exploite et accorde des concessions à des entreprises pour financer l’occupation de la région », allègue-t-elle.

La présentatrice de l’émission affirme que « Plusieurs pays ont exprimé leur soutien au Maroc, dont beaucoup ont des entreprises implantées dans la région et exploitent ses ressources, notamment l’Espagne, la France et l’Allemagne ».

Elle affirme aussi que « l’Espagne a soutenu le plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, en échange d’un contrôle et d’une détention accrus par Rabat des migrants qui cherchent à rejoindre l’Espagne via les villes de Ceuta et Melilla ».

Natalia Plazas ajoute que « le Maroc a laissé entrer des milliers de migrants en quelques jours, en réponse à l’autorisation donnée par Madrid au chef du Polisario, Brahim Ghali, de bénéficier d’une aide médicale sur son territoire ».

Dans ses propos, elle conclut que « ce scénario qui explique la souffrance de la population sahraouie, arrange les intérêts internationaux ».

Et d’ajouter que « la Minurso ne fait plus qu’assurer le suivi du conflit, sans agir ». Ce reportage fait économie de vérité sur le dossier du Sahara marocain, qui est toujours en examen aux Nations-Unies




Montréal: le consul d’Algérie et sa femme accusés d’«esclavage», de «maltraitance» et de «harcèlement»

Deux employées de maison traînent le consul général d’Algérie et sa femme devant la justice canadienne. Elles réclament un demi-million de dollars au couple.

Selon la presse canadienne, Elida et Marisa, deux Sud-américaines recrutées comme employées de maison par le ministère des Affaires étrangères algérien pour le domicile du consul, accusent ce dernier et sa femme de les avoir exploitées et humiliées. «Les plaignantes, Marisa Amaya, 65 ans, et Elida Rivera Lopez, 69 ans, allèguent avoir été victimes de harcèlement psychologique, d’abus de pouvoir, d’insultes, de cris et d’humiliation de la part du consul et de son épouse. Elles ont travaillé au consulat jusqu’au printemps 2021», rapporte Le Journal de Montréal.

En tout cas, cette affaire fait les choux gras de la presse canadienne depuis une semaine et le couple essaie, par tous les moyens, de nier les faits qui leurs sont reprochés.

Les deux employées affirment avoir été traitées en «esclaves» par Noreddine Meriem et sa femme dans leur résidence. «C’était des humiliations constantes», disent-elles au Matin d’Algérie qui les a interrogées au sujet de leurs accusations.

Et d’ajouter, dans le même journal : «Nous sommes des employées du ministère des Affaires étrangères algérien et pas celles de la femme du consul, nous expliquent-elles. Nous étions obligées de nous rendre à la résidence du consul pour faire à manger et effectuer des tâches ménagères pour la famille du consul comme du repassage, nettoyage ou du rangement de toutes sortes. Lorsqu’on expliquait que notre contrat ne comprenait pas les tâches ménagères de la famille, l’épouse du consul nous criait dessus en affirmant que c’était son mari qui les payait et qu’elles devaient se soumettre à ses volontés sans quoi elles seraient licenciées».

En fait, le consul, sa femme et leur quatre enfants habitent une «luxueuse résidence sur trois étages» dans laquelle servir d’employées de maison n’est pas de tout repos. Les deux victimes présumées affirment qu’elles avaient l’obligation de la «faire briller». «L’énorme résidence en question comportait sept salles de bain qu’on devait nettoyer aussi», précisent-elles.

Elles sont employées aux frais du ministère algérien des Affaires étrangères depuis longtemps, mais c’est avec le couple Meriem que les problèmes de maltraitance ont commencé à partir de 2019, toujours d’après leur propre version relatée par la même source.

«C’est à l’arrivée du consul Noureddine Meriem, en 2019, que tout a basculé et que nos vies ont été chamboulées. Nous avons tenté d’approcher le consul pour le mettre au courant des agissements intolérables de son épouse, il nous a carrément renvoyées de son bureau», dit Marisa.

C’est pour le couple de diplomates, l’erreur que les deux employées ne devaient pas commettre, car à partir de ce moment précis, leurs «vies étaient devenues un enfer». La surveillance vidéo sera de rigueur. «Humiliations, paroles dégradantes, harcèlement, propos racistes… nous nous sommes senties indésirables, on voulait nous casser psychologiquement», précise la femme de 70 ans.

«Quand je voyais les Algériens manifester devant le consulat lors du Hirak, je pleurais, parce que je sais ce qu’est l’oppression et le courage qu’il faut pour y faire face. J’aime les Algériens et j’en connais personnellement, mais ce consul a sali l’image de son pays», avant de fondre en larmes, affirme toujours la bonne dame écrit le journal.

«C’était de l’esclavage, j’ai pleuré pendant des nuits. Je me suis sentie dévalorisée» déplore toujours Marisa en sanglots, continuant de livrer un témoignage glaçant. Car, elles devaient travailler même en cas d’arrêt maladie prescrit par un médecin.

«J’ai eu une fracture à l’épaule, raconte Elida, ce qui nécessitait normalement un arrêt total de plusieurs mois. Mais on nous a obligées à travailler sans ménagement et sans aucune empathie. Je ne dors plus sans médicaments depuis ce jour-là. Ma vie n’est plus la même».

En tout cas, les deux femmes réclament la rondelette somme de 452.452 dollars canadiens au gouvernement algérien, plus précisément au ministère des Affaires étrangères. Le diplomate Noureddine Meriem, brandit son immunité diplomatique pour échapper à des poursuites à titre personnel. En effet, écrit le Journal de Montréal, «dans un document déposé au palais de justice de Montréal il y a quelques jours, l’État d’Algérie a laissé entendre qu’il disposait d’une immunité, sans toutefois se prononcer sur les allégations».

Par Ismail Traoré




Des drones iraniens aux frontières du Maroc, une source d’inquiétude ? (Kieran BAKER)

L’Iran joue un rôle actif au Sahel et en Afrique du Nord avec différents groupes.
Le Royaume du Maroc a attiré l’attention sur la menace que représentent les ventes de drones iraniens à l’Algérie, à destination de la guérilla du Polisario.
À la fin de l’année 2022, des hauts fonctionnaires marocains ont mis en évidence la nouvelle alliance entre l’Iran et l’Algérie, ainsi que les déclarations de responsables iraniens concernant la vente de drones à l’Algérie, dans le cadre d’un important contrat d’armement. Les hauts fonctionnaires du Royaume ont également souligné les déclarations du Front Polisario, concernant la réception de drones et d’autres armes de l’Algérie, ainsi que la formation et le développement d’infrastructures pour les utiliser.
À la fin de l’année dernière, le Front Polisario a menacé d’utiliser des drones militaires contre les forces armées royales marocaines, positionnées le long du mur de défense du Sahara occidental. Cette annonce est intervenue alors que le chef du Polisario, Brahim GHALI, se préparait à lancer un mouvement militaire à partir de Tindouf pour la “guerre d’usure” du front contre le Maroc.
Omar MANSOUR, l’envoyé du Polisario auprès du président mauritanien, a révélé la nouvelle lors d’une conférence de presse à Nouakchott. “L’armée sahraouie utilisera bientôt des drones armés dans la guerre d’usure au Sahara occidental”, a menacé Omar MANSOUR.
La présence de drones iraniens aux frontières du Maroc constitue une grave préoccupation pour le pays, car les véhicules aériens sans pilote peuvent être utilisés à des fins de surveillance, de reconnaissance et même d’opérations militaires. Les drones sont capables de surveiller de vastes zones du territoire marocain, ce qui permet au gouvernement iranien d’avoir une idée de l’activité et des mouvements du Royaume. En outre, les drones pourraient être utilisés pour fournir des renseignements aux militaires marocains sur les positions du Polisario, ce qui les rendrait vulnérables aux frappes aériennes et à d’autres formes d’agression. Les drones iraniens devenant de plus en plus répandus dans la région, le Maroc est susceptible d’être confronté à un risque accru d’attaque, ce qui fait de cette question un problème urgent qu’il convient de résoudre.
En conséquence, les forces armées marocaines ont mis en place une zone d’exclusion terrestre
et aérienne, à l’est du mur de défense, et ont commencé à utiliser divers véhicules aériens sans

pilote (UAV), y compris des drones Bayraktar TB2 de conception turque. Moins de vingt- quatre heures après que le Polisario a menacé d’utiliser des drones contre le Maroc, le ministre marocain des affaires étrangères, Nasser BOURITA, a mis en garde contre l’acquisition de drones armés par des groupes terroristes et séparatistes.
“L’Iran, après avoir sapé la stabilité de la Syrie, du Yémen, de l’Irak et du Liban, est en train de déstabiliser notre région”, a déclaré Omar Hilal, ambassadeur du Maroc auprès des Nations unies.
Alors que l’Occident a les yeux rivés sur le rôle des drones iraniens en Ukraine, l’Afrique craint de plus en plus que l’Iran ne joue un rôle déstabilisateur majeur dans la région, en soutenant des mandataires terroristes. Après avoir soutenu le Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen et les Fatimiyoun en Afghanistan, il est bien connu que l’Iran joue un rôle important en Afrique de l’Ouest. L’approche de l’Iran, en matière d’intervention à l’étranger, consiste à identifier les guerres par procuration et à offrir ensuite son soutien aux acteurs non étatiques qui ont besoin d’armes.
L’Iran utilise également sa puissance douce par le biais de l’éducation et du mariage, pour renforcer sa présence en Afrique du Nord. Dans le même temps, il fournit des armes, des formations et d’autres types de soutien aux milices de la région, avec l’engagement d’une série d’autres pays.
L’Iran joue un rôle actif au Sahel, dans toute l’Afrique du Nord, avec divers groupes, tandis que le Maroc, l’un des plus anciens alliés des États-Unis dans la région, s’est inquiété, dès 2006, du fait que la région devenait un vivier et un exportateur d’une nouvelle génération de terroristes.
En Afrique, on craint de plus en plus que le soutien et le matériel fournis à des individus par l’Iran, et d’autres acteurs malveillants en Afrique du Nord, n’entraînent une augmentation des attaques et de l’instabilité. Des attaques ont lieu contre les populations locales et les forces occidentales dans la région, les forces spéciales françaises et américaines ayant déjà subi des pertes.
La fourniture de drones au Polisario par l’Iran et l’Algérie, et leur diffusion probable à d’autres groupes, constituent une escalade majeure de leurs capacités offensives. Le Maroc, qui a subi des attaques terroristes dévastatrices dans le passé, en raison de son rôle pro-occidental de pare-feu contre l’extrémisme islamique, se trouve une fois de plus en première ligne.
Comme on le voit en Ukraine, les drones armés permettent d’attaquer des cibles à distance, ce qui, il n’y a pas si longtemps, n’était possible que pour les pays disposant de forces aériennes ou de missiles balistiques. La présence de drones armés à la frontière du Maroc, contrôlée par le Front Polisario, soutenu par l’Algérie, équivaut à la présence de missiles russes à Cuba.
De la même manière que cela a eu des conséquences géopolitiques majeures, des observateurs indépendants et des responsables marocains craignent que cette menace très réelle ne soit perdue dans le brouillard de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, de l’attention portée aux ballons espions chinois et du tremblement de terre entre la Turquie et la Syrie.
Le complexe militaro-industriel iranien, en pleine expansion, produit et expédie des drones et des armes, notamment des missiles et des bombes à fragmentation, pour attiser les conflits et l’instabilité dans le monde. Alors que le monde se concentre sur l’Ukraine, ses ventes d’armes

et sa capacité à contourner les sanctions, pour générer des revenus à l’intérieur du pays, devraient être une source d’inquiétude majeure pour l’Occident. L’axe Algérie-Iran, en relation avec le Maroc et le Polisario, doit faire l’objet d’une attention beaucoup plus grande de la part des États-Unis et d’autres pays, qui ont tendance à considérer la situation sous l’angle d’un différend entre voisins plutôt que, comme c’est de plus en plus le cas, sous l’angle du Polisario, en tant que mandataire de l’Iran et de l’Algérie, qui se dote de capacités pour attaquer un allié des États-Unis.
De même, l’invasion de l’Ukraine par la Russie fait partie d’une stratégie plus large visant à réformer le bloc soviétique, et l’engagement de l’Iran avec l’Algérie doit être considéré comme faisant partie de son objectif d’arc d’influence s’étendant du Moyen-Orient à l’Afrique de l’Ouest en passant par l’Afrique du Nord. Le Maroc est un tampon clé entre ces régions et revêt une importance cruciale.
Dans ce contexte plus large, il existe un réel danger que, comme par le passé, lorsque le Maroc tire la sonnette d’alarme au sujet des drones à ses frontières, les avertissements ne soient pas entendus et que l’axe Iran-Algérie se renforce et devienne plus dangereux pour la région




Conseil des cardinaux : cinq nouveaux membres

Le pape François renouvelle en partie léquipe des cardinaux appelés à le conseiller pour gouverner lÉglise : il nomme cinq nouveaux membres du Conseil des cardinaux, dont deux francophones les cardinaux Gérald Lacroix, archevêque de Québec (Canada), et Jean-Claude Hollerich, sj, archevêque de Luxembourg (Luxembourg). Le mandat du précédent C9 est expiré, indique un communiqué du Saint-Siège de ce mardi 7 mars 2023.

Le card. Lacroix se dit « touché par la confiance du pape ». Il a écrit sur sa page Twitter : « Je suis très touché par la confiance du Pape minvitant à me joindre au Conseil des cardinaux. Une grande responsabilité que je veux assumer avec générosité. Ma première responsabilité demeure lArchidiocèse de Qc. Cest ma famille, je veux bien la servir. Merci de votre prière. »
Parmi les neuf membres du nouveau conseil, il y a trois cardinaux qui travaillent depuis le début dans ce groupe consultatif institué par le pape, le 13 avril 2013, un mois après son élection: il sagit du cardinal Pietro Parolin, secrétaire dÉtat; du card. Oswald Gracias, archevêque métropolitain de Bombay (Inde) et du card. Seán Patrick OMalley, O.F.M.Cap., archevêque métropolitain de Boston (États-Unis dAmérique).
Voici une liste complète du nouveau Conseil: les cardinaux Pietro Parolin, secrétaire dÉtat ; Fernando Vérgez Alzaga, L.C., président du gouvernorat de lÉtat de la Cité du Vatican ; Fridolin Ambongo Besungu, O.F.M. Cap., archevêque de Kinshasa (RDC) ; Oswald Gracias, archevêque de Bombay (Inde) ; Seán Patrick OMalley, O.F.M.Cap., archevêque de Boston (États-Unis) ; Juan José Omella, archevêque de Barcelone (Espagne); Gérald Lacroix, archevêque de Québec (Canada) ; Jean-Claude Hollerich, sj, archevêque de Luxembourg (Luxembourg) et Sérgio da Rocha, archevêque de San Salvador de Bahia (Brésil).
Les cardinaux seront assistés dans leur travail de Mgr Marco Mellino, secrétaire, qui avait déjà occupé cette fonction en 2020.




Lobsession marocaine de lAlgérie trahie par les chiffres

Il semble que la majorité écrasante de la matière médiatique chez les médias du voisin algérien ne porte que sur le sujet obsessionnel que représente le « Maroc ». On en juge par le seul fait que presque 60% des éléments à linternational, traités par lagence de presse algérienne (APS), concernent notre pays.
Cela fait des années que la propagande algérienne contre le Maroc ne sest jamais démentie. A preuve les chiffres relatifs aux informations concernant des pays tiers, telles que reproduites par lagence de presse algérienne (APS), confirment une fixation obsessionnelle sur le Maroc, qui plus est, en livrant un traitement distordu des faits. En effet, le Royaume a fait lobjet de 59,2% des articles de la rubrique monde de ladite agence, soit plus que tous les pays du globe réunis.
Les chiffres prouvent que sur un échantillon de 4600 articles publiés par lagence de presse algérienne depuis 2021, 3074 ont trait au Royaume, alors que la MAP « Maghreb Arabe Presse », na publié que 104 articles sur nos voisins, durant la même période.
Il convient de signaler que même le reste des articles publiés par lagence algérienne et qui portent sur dautres pays, ont le plus souvent un lien direct ou indirect avec le Maroc, c’est-à-dire que les articles algériens sur le Royaume dépassent de loin les 60% susmentionnés.
Selon les chiffres, la MAP, pour sa part, na cité lAlgérie que dans 3,9% de son produit médiatique total. Cette obsession ne concerne pas seulement lagence de presse nationale, mais affecte la quasi-totalité des supports algériens. A titre dexemple, TSA Algérie, le premier quotidien électronique algérien se livre depuis des années à cette propagande médiatique de bas étage, car obéissant à lévidence à des donneurs dordre devant lesquels les organes de presse du pays voisin sont impuissants.




Qin Gang répond à la presse au sujet de « la diplomatie chinoise »

Le ministre chinois des Affaires étrangères Qin Gang a tenu une conférence de presse mardi en marge de la première session de la 14e Assemblée populaire nationale (APN), répondant à des questions des journalistes.

Sur la « diplomatie chinoise »
Nous avons appuyé sur l’accélérateur et sonné le rassemblement pour la diplomatie chinoise.
Nous valoriserons le rôle d’orientation de la diplomatie de Chef d’État et mettrons tout en œuvre pour faire réussir le premier Sommet Chine-Asie centrale et le troisième Forum « la Ceinture et la Route » pour la coopération internationale, deux grands événements que la Chine organisera pour faire connaître les caractéristiques spécifiques de la diplomatie chinoise.
Nous remplirons la mission de défendre les intérêts vitaux du pays, en nous opposant fermement à toutes formes d’hégémonisme et de politique du plus fort, à la mentalité de la guerre froide, à la confrontation des blocs, à l’endiguement et à la répression, et en défendant résolument la souveraineté, la sécurité et les intérêts de développement du pays.
Nous nous appuierons sur notre réseau de partenariats, et travaillerons à favoriser les concertations et interactions saines entre les grands pays, à développer l’amitié et la coopération avec tous les pays, et à promouvoir la construction d’un nouveau type de relations internationales. Notre « cercle d’amis » dans le monde devient plus large, avec de nouveaux amis toujours plus nombreux et de vieux amis plus indéfectibles.
Nous poursuivrons l’objectif de promouvoir l’ouverture et le développement, et mettrons nos actions au service du développement de qualité et de l’ouverture de haut niveau de la Chine. Nous nous opposons au découplage, à la rupture des chaînes et aux sanctions unilatérales, défendons une économie mondiale ouverte et inclusive, et avec de nouveaux progrès de la Chine, apporterons de nouvelles opportunités au monde.
Nous suivrons le chemin du multilatéralisme, et œuvrerons à bâtir une communauté d’avenir partagé pour l’humanité, à promouvoir la démocratisation des relations internationales, à faire évoluer la gouvernance mondiale dans un sens plus juste et plus raisonnable, et à apporter grâce à la sagesse chinoise davantage de meilleures solutions aux problèmes communs qui se posent à l’humanité.