Exercice de tir de missiles

Le 23 février à l’aube a eu lieu l’exercice de tir de missiles de croisière stratégiques.
Y a pris part une sous-unité de l’unité de missiles de croisière stratégiques du secteur est de l’Armée populaire de Corée.

D’autres sous-unités ont fait leurs exercices sans tir réel dans leurs positions-galeries.
L’unité mobilisée à l’exercice a lancé quatre missiles de croisière stratégiques de type « Hwasal-2 » en direction de la mer de l’Est de la Corée à partir des environs de la ville Kim Chaek, province du Hamgyong du Nord.
A travers l’exercice de tir, on a réaffirmé la fiabilité du système d’armes, vérifié et jugé la posture de riposte rapide des unités de missiles de croisière stratégiques, l’un des constituants importants de la force de dissuasion nucléaire de la République.
L’exercice de lancement a atteint avec honneur son objectif.
Lesdits missiles ont volé de 10 208 à 10 224 secondes suivant leur orbite elliptique et en forme de 8, établi au-dessus de la mer de l’Est de la Corée, pour atteindre la cible à 2 000 km.
La Commission militaire centrale du Parti du travail de Corée a exprimé sa grande satisfaction du résultat de l’exercice.
Ainsi, on a mis en évidence une fois de plus la préparation à la guerre des forces armées nucléaires de la République qui s’emploient à renforcer par tous les moyens leur capacité de riposte nucléaire mortelle contre les forces hostiles.




Le Maroc sort de la liste grise du Gafi




BM : Les Administrateurs dressent le portrait-robot du successeur de David Malpass

Les Administrateurs du Groupe de la Banque mondiale se sont réunis le 22 février sous la direction du Doyen du Conseil, M. Koen Davidse, pour examiner la question de la sélection du prochain Président du Groupe de la Banque mondiale, M. David Malpass ayant annoncé qu’il quitterait son poste le 30 juin 2023.
Le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale a affirmé son engagement à assurer un processus de sélection ouvert, fondé sur le mérite et transparent. Les candidats devront répondre aux critères suivants : justifier d’une expérience confirmée à des postes de direction et d’accomplissements tangibles, en particulier dans le champ du développement ; posséder une expérience de l’administration des grandes institutions d’envergure internationale et une bonne connaissance du secteur public ; être en mesure de présenter une vision claire de la mission de développement du Groupe de la Banque mondiale ; être fermement déterminé à promouvoir la coopération multilatérale et être convaincu de son importance ; et être en mesure de communiquer de manière efficace et diplomatique, et de faire preuve d’impartialité et d’objectivité dans l’exercice de ses fonctions.
Les candidatures devront être déposées entre le jeudi 23 février 2023 à 9h00 heure normale de l’Est (EST) et le mercredi 29 mars 2023 à 18h00 EST ; elles devront être soumises par les Administrateurs ou par les Gouverneurs par l’intermédiaire des Administrateurs qui les représentent. Les candidats doivent être des ressortissants des États membres de la Banque. Les Administrateurs encouragent vivement la nomination de candidatures féminines.
Au terme de la période de nomination, les Administrateurs arrêteront une liste restreinte comptant au maximum trois candidats, dont ils publieront le nom avec l’assentiment des personnes concernées. Les Administrateurs mèneront des entretiens formels avec tous les candidats figurant sur la liste restreinte en vue de procéder à la désignation du nouveau président d’ici le début du mois de mai 2023.
Les Administrateurs ont exprimé leur profonde gratitude au président Malpass pour l’action qu’il a menée à la tête du Groupe de la Banque mondiale, son administration efficace et les réalisations remarquables qui ont été accomplies durant son mandat, notamment dans la réponse rapide apportée aux crises mondiales. Sous la présidence de M. Malpass, le Groupe de la Banque mondiale a mis en œuvre des hausses de financements records pour aider à faire face, entre autres défis, à la pandémie de COVID-19, tout en s’employant à renforcer l’efficacité de ses opérations. M. Malpass a également œuvré à la consolidation de la situation financière du Groupe, à travers deux reconstitutions du fonds de l’IDA d’un montant sans précédent, des réformes des fonds fiduciaires et une intensification des émissions d’obligations à moyen et long terme. Il a présidé au lancement du Plan d’action sur le changement climatique 2021-2025, qui vise à mieux intégrer les enjeux du climat et de la biodiversité au développement et à la croissance ; sous sa direction, le Groupe a plus que doublé ses financements pour l’action climatique dans les pays en développement, qui ont atteint le montant record de 32 milliards de dollars au cours de l’exercice 2022. M. Malpass s’est fait le champion de la transparence de la dette et a défendu la nécessité de briser des cycles d’endettement insoutenable.
Le Président de la Banque mondiale préside ès qualités le Conseil des administrateurs de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’Association internationale de développement (IDA). Il préside également ès qualités le Conseil d’administration de la Société financière internationale (IFC), le Conseil d’administration de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et le Conseil administratif du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).




Durant son mandat, M. Malpass a renforcé l’efficacité de la gestion du Groupe de la Banque mondiale

Durant son mandat, M. Malpass a priorisé la transparence des activités internes et externes, notamment par la divulgation d’informations financières et climatiques détaillées ; effectué une importante réorganisation des opérations de la Banque mondiale afin de renforcer la collaboration et de mieux intégrer les pôles mondiaux d’expertise et les unités opérationnelles régionales ; œuvré pour garantir la discipline budgétaire, accroître le recouvrement des coûts des fonds fiduciaires et réduire l’empreinte immobilière du Groupe de la Banque mondiale .
David Malpass a établi des partenariats avec les présidents de six collèges et universités servant historiquement la communauté noire afin de promouvoir le partage des connaissances et des talents entre les institutions et les pays en développement ; obtenu une très forte satisfaction du personnel en matière de collaboration, clarté de la stratégie et de promotion d’une culture d’ouverture et de confiance ; présidé à la création d’un groupe de travail sur le harcèlement sexuel, d’une équipe spéciale pour la lutte contre le racisme et d’une équipe spéciale sur la culture d’entreprise afin de contribuer à la mise en place d’un cadre de travail plus cohésif, collaboratif et réceptif ; géré de multiples menaces pour la sécurité du personnel, dont l’évacuation du personnel d’Afghanistan, du Myanmar, du Soudan et de l’Ukraine, et à la suite de coups d’État au Sahel.




Une franche collaboration entre la Banque mondiale et le FMI

L’une des principales initiatives de M. Malpass a été de promouvoir la transparence et la viabilité de la dette, essentielles pour relancer l’investissement et la croissance. Sous sa direction, le Groupe de la Banque mondiale a lancé, en 2023, avec le FMI, la « table ronde » mondiale sur la dette souveraine pour renforcer le processus de restructuration de la dette ; publié, en décembre 2019, le rapport Global Waves of Debt qui appelle à ce que « la gestion et la transparence de la dette soient des priorités absolues pour les décideurs, afin qu’ils puissent accélérer la croissance et l’investissement et faire en sorte que la dette qu’ils contractent contribue à l’obtention de meilleurs résultats de développement au profit de la population ».
Il a aussi travaillé avec les dirigeants mondiaux pour briser les cycles d’endettement insoutenable ; mis en œuvre la nouvelle politique de la Banque mondiale pour le financement durable du développement qui vise à inciter les pays à s’orienter vers un financement transparent et durable ; renforcé le rapprochement et la communication des données sur la dette, y compris les accords de swap des banques centrales, au sein de la base de données de la Banque mondiale dédiée aux Statistiques sur la dette internationale (IDS) (a).




Que des réalisations pour Malpass à la tête de la Banque mondiale

Plusieurs réalisations sont à l’actif de David Malpass. Il s’agit par exemple de la mobilisation de financements records en réponse à la pandémie de COVID-19 (plus de 157 milliards de dollars) et à la suite de la guerre en Ukraine (plus de 170 milliards de dollars) ; Augmentations de capital de la BIRD et d’IFC, reconstitutions de fonds sans précédent dans le cadre des cycles IDA-19 et IDA-20, et intensification rapide des émissions d’obligations à moyen et long termes ; Réalisation d’opérations d’urgence dans le domaine de la santé et de la vaccination dans plus de 100 pays.

Durant son règne, il aura réussi la mobilisation de 18 milliards de dollars de financement d’urgence pour l’Ukraine afin de soutenir le maintien des services publics essentiels ; Lancement d’un processus avec les actionnaires du Groupe de la Banque mondiale pour faire évoluer la vision, la mission et modèle opérationnel de l’institution, ainsi que ses capacités et son modèle financiers, avec l’objectif d’augmenter les ressources au service du développement ; Lancement du Plan d’action sur le changement climatique pour mieux intégrer les enjeux du climat et de la biodiversité au développement et à la croissance.
C’est lui qui a mis en à disposition d’une enveloppe de 30 milliards de dollars pour lutter contre l’impact des crises touchant les aliments, les engrais et l’énergie dans les pays en développement ; Lancement du Fonds de lutte contre les pandémies (a) pour améliorer la préparation, avec des promesses initiales de 1,6 milliard de dollars de la part de 25 pays et bailleurs de fonds ; Renforcement des ressources financières et humaines destinées aux régions en situation de fragilité et de conflit, ainsi qu’à l’accès à l’eau propre et à l’électricité et à l’amélioration de la nutrition ;
Évolution de la relation du Groupe de la Banque mondiale avec la Chine, en réduisant les prêts et en se concentrant sur les biens publics mondiaux et la réduction de la pollution plastique marine ; Lancement d’instruments financiers innovants, dont une émission obligataire conjointe avec l’UNICEF (a), des obligations pour la conservation de la faune et de la flore sauvages (a), une obligation liée à la réduction des émissions au Viet Nam (a) et un fonds fiduciaire de financement concessionnel destiné à fournir un soutien axé sur les résultats pour la réduction des émissions.




Banque mondiale : David Malpass s’en va précipitamment !

Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, a informé le Conseil des administrateurs de son intention de quitter ses fonctions d’ici la fin de l’exercice budgétaire en cours, le 30 juin, après plus de quatre années à la tête de l’institution. Durant son mandat, M. Malpass s’est attaché à renforcer les politiques destinées à accélérer la croissance économique, réduire la pauvreté, améliorer le niveau de vie des individus et alléger le fardeau de la dette publique des pays. Au cours des quatre dernières années, les cinq branches du Groupe (la BIRD, l’IDA, IFC, la MIGA et le CIRDI) ont réagi rapidement aux crises mondiales, mobilisant un montant record de 440 milliards de dollars pour aider à faire face à la pandémie de COVID-19, à la guerre en Ukraine, au grave ralentissement de l’économie mondiale, à des niveaux d’endettement non soutenables, au changement climatique et aux pénuries de nourriture, d’engrais et d’énergie.

« Ce fut un immense honneur et un privilège de présider la première institution de développement au monde, aux côtés de tant de personnes talentueuses et exceptionnelles, a déclaré M. Malpass. Alors que les pays en développement sont confrontés à des crises sans précédent, je suis fier que le Groupe de la Banque mondiale ait réagi avec rapidité, envergure, innovation et impact. Les quatre dernières années ont été parmi les plus riches de ma carrière. Après avoir réalisé d’importants progrès, et après mûre réflexion, j’ai décidé de me consacrer à de nouveaux défis. Je suis reconnaissant à nos personnels et à nos administrateurs d’avoir eu la chance de travailler chaque jour à leurs côtés afin de renforcer l’efficacité de nos opérations au cours d’une période particulièrement difficile. »
Alors que les pays en développement sont soumis à une forte pression financière, M. Malpass a multiplié les rencontres avec les dirigeants du monde entier afin de les soutenir dans leurs efforts pour briser des cycles d’endettement insoutenable, notamment à travers des mesures d’allégement de la dette. Sous sa direction, le Groupe de la Banque mondiale a plus que doublé les financements en faveur de l’action climatique dans les pays en développement, qui ont atteint le montant record de 32 milliards de dollars l’année dernière. M. Malpass a dirigé les efforts visant à catalyser et accroître les investissements privés et les échanges commerciaux, et a apporté son leadership intellectuel aux travaux analytiques du Groupe en matière de politique budgétaire et monétaire, de systèmes monétaires et de réforme de la gouvernance. Il a également renforcé la gestion et les ressources humaines de l’institution qui bénéficie désormais d’une situation financière plus solide et d’une plus grande capacité à lever des fonds pour soutenir sa notation de crédit AAA.
« Le Groupe de la Banque mondiale est fondamentalement solide, financièrement viable et bien placé pour accroître son impact sur le développement face à des crises mondiales urgentes, a indiqué M. Malpass. Cette situation devrait permettre une transition de direction en douceur alors que le Groupe s’efforce de répondre à des défis mondiaux croissants, de faciliter l’investissement privé, de se concentrer davantage sur les biens publics mondiaux et de maintenir une forte dynamique en ce qui concerne l’exécution des opérations et la performance du portefeuille dans les pays clients. »




Tweet du président Kais Saied : Un message incendiaire qui envenime la situation des Subsahariens en Tunisie

Dans un tweet devenu viral sur les réseaux sociaux, le président Kais Saied a qualifié l’immigration clandestine d’Afrique subsaharienne de « complot criminel » visant à « modifier la composition démographique » de la Tunisie et la transformer en un pays uniquement africain sans son identité arabe et musulmane.

Selon Morocco Intelligence qui a relayé ce tweet, le président Kais Saied a par la suite dénoncé des «parties ayant reçu des grosses sommes d’argent» après la Révolution de 2011 afin de faciliter l’immigration clandestine d’Afrique subsaharienne.
Il a annoncé des «mesures urgentes» et souligné la «nécessité de mettre un terme rapidement à ce phénomène», estimant que les migrants clandestins commettent «des violences, crimes, pratiques inacceptables et criminelles».
Ceci est à la base de la campagne de xénophobie et de maltraitance des originaires de l’Afrique subsaharienne constatée depuis un certain temps dans ce pays. Tout le monde a encore fraiche dans la mémoire les images de la maltraitance d’un subsaharien dans un des aéroports de la Tunisie ! Nombreux sont les appels au secours qui proviennent d’Africains habitant la Tunisie. Et c’est ce qui a poussé certains gouvernements à réagir, demandant à la Tunisie de mettre un terme à ce contexte rétrograde en plein 21ème siècle.
Ça s’annonce donc très mal pour les Subsahariens qui vivent dans ce pays et qui sont désormais obligé de penser à une solution de retour dans leurs pays d‘origine. « Bonjour Madame Mangaya, la situation des congolais subsahariens en Tunisie est alarmante, le président tunisien a tenu un discours irresponsable hier soir et aujourd’hui les attaques visant les noirs en Tunisie ont commencé. Veuillez interpeler nos autorités afin qu’ils puissent demander des explications à l’ambassadeur de Tunisie en RDC sur ce qui s’est passe ici. Nous sommes victimes de cette irresponsabilité. Nos sœurs sont « Vl0LEES » nos frères sont menacés de mort», c’est le cri d’alarme lancé par Pitshou Mangaya, un Congolais maltraité et habitant la Tunisie, qui espère une réponse conséquence des autorités de son pays.
Ainsi, Kais Saied, par son comportement, crache sur la mémoire des pères de l’indépendance tunisienne, à l’instar du nationaliste Habib Bourduiba qui ont fédéré les populations dans la lutte contre le colonialisme et dans la défense des intérêts communs.
Alors que les critiques fusent de partout sur Kais Saied, un nouveau parti proche du président est encore plus sulfureux. Le Parti Nationaliste Tunisie déclare vouloir « lutter contre la colonisation de la Tunisie par les Subsahariens » et a développé toute une idéologie complotiste. C’est quand même grave pour les autorités tunisiennes qui, au lieu de suivre la nouvelle politique de migration du Maroc, initiée par SM le Roi, sont en train de faire le sale boulot : servir les européens et prétendre obtenir quelques retombées.
Le comportement rétrograde de Kais Saied est même en contradiction avec les idéaux défendus par l’Organisation internationale de la Francophonie dont la Tunisie est membre. En effet, la Francophonie a toujours accompagné les aspirations des jeunes et les associe désormais pleinement à ses processus de décision ainsi qu’à ceux des plus grandes instances internationales. L’OIF a aussi choisi de faciliter leur mobilité et d’appuyer de nombreux projets en lien avec l’entrepreneuriat, le numérique et l’innovation, domaines dans lesquels leur dynamisme et leur immense créativité sont à l’œuvre.
Dans un contexte où les portes se ferment à un pan entier de la jeunesse africaine, comment alors concourir à la matérialisation des missions de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), qui vise à intégrer à terme l’ensemble des 55 États de l’Union africaine au sein de la zone de libre-échange ? Et l’Union africaine créée dans le respect des valeurs africaines de solidarité, d’entraide, d’amour, de partage, etc., ne peut qu’être qu’estomaquée face à cette attitude qui n’encourage pas le vivre collectif.
Le moment est donc venu pour les pays africains de se ressaisir, de ne pas voir les frères africains comme une menace, mais comme une opportunité. C’est en cela que l’on bâtira ensemble une communauté de destin commun ou communauté d’avenir partagé.




A l’occasion de la Fête significative de Février

A l’occasion de la Fête de l’Etoile, fête nationale suprême, ont eu lieu le 17 février des compétitions sportives entre les membres du Cabinet et du ministère de la Défense nationale.
Kim Jong Un, Secrétaire général du Parti du travail de Corée et Président des affaires d’Etat de la République populaire démocratique de Corée, a bien voulu y assister.
Son apparition sur la tribune a été saluée par une tempête d’acclamations de « vivats ! » de tous les joueurs et spectateurs.
A ces épreuves sportives ont assisté Kim Tok Hun et Jo Yong Won, membres du Présidium du Bureau politique du Comité central du PTC, les cadres du CC du Parti, dont Ri Il Hwan et Kim Jae Ryong, secrétaires du CC du Parti, le personnel du Cabinet, les responsables des ministères et autres organismes du niveau central.
Y étaient également présents les commandants du MDN, entre autres Kang Sun Nam, Pak Su Il et Jong Kyong Thaek, des officiers et soldats, le personnel enseignant et administratif et les élèves des établissements d’enseignement militaire.
D’abord, a eu lieu un match de football entre les membres du Cabinet et du MDN. L’épreuve s’avérait tout le temps échauffée.
Vers la 32e minute de la première mi-temps, le joueur n° 12 de l’équipe du MDN a réussi à arriver jusqu’au-devant du but adverse et à marquer un but le premier.
Entre les deux mi-temps, les sportifs du club d’aviation de Pyongyang ont fait une démonstration de vol délicat de modèles réduits d’avion, réjouissant les spectateurs.
Vers la 55e minute dans la seconde mi-temps, le joueur n° 22 de l’équipe du Cabinet a réussi un penalty. Depuis, le match se déroulait de façon plus acharnée.
L’enthousiasme des supporteurs aussi allait croissant. A ce match de football, l’équipe du MDN a battu son adversaire par 3 : 1. Ensuite, a eu lieu une lutte à la corde entre ces deux équipes.
A cette compétition, l’équipe du MDN a triomphé par 2 : 0. Le match terminé, s’est déchaînée une nouvelle tempête d’acclamations.
Les cadres du Cabinet et du MDN ont adressé leurs remerciements sans bornes au Secrétaire général Kim Jong Un qui avait veillé à ce qu’on organise les festivités sportives et culturelles significatives à l’occasion de la Fête de l’Etoile, même en les honorant de sa présence malgré son emploi du temps surchargé et leur insufflant de la force et du courage inépuisables.
Tous les participants étaient fermes dans leur volonté de donner toute mesure de leurs intelligence et ardeur dans une lutte pour faire de cette année une année de grand tournant, année de transformation digne d’être inscrite dans l’histoire de développement de la RPDC.




États-Unis : homicide de Mgr O’Connell, évêque auxiliaire de Los Angeles

L’évêque auxiliaire de Los Angeles, Mgr David O’Connell, 69 ans, a été retrouvé tué par arme à feu dans une maison à Hacienda Heights, à 30 kilomètres du centre-ville de Los Angeles, en Californie, le 18 février dernier. Les circonstances de sa mort font l’objet d’une enquête, indique Vatican News.

Un homme soupçonné d’être lié à la mort de Mgr O’Connell a été interpellé lundi 20 février par les autorités de la ville. Il s’agit de Carlos Medina, le mari de la femme de ménage de l’évêque assassiné, indique le site officiel de l’archidiocèse Angelus News.
Né en Irlande, Mgr O’Connell a servi dans l’archidiocèse de Los Angeles pendant les 43 dernières années en tant que prêtre puis évêque auxiliaire, nommé à ce poste par le pape François en 2015.
Mgr José Horacio Gomez, l’archevêque de Los Angeles, a exprimé sa « tristesse » et « un choc » après avoir appris la nouvelle sur l’assassinat. Mgr O’Connell « était un homme de paix avec un cœur pour les pauvres et les migrants, a dit l’archevêque, et il était passionné par la construction d’une communauté où le caractère sacré et la dignité de chaque vie humaine étaient honorés et protégés ».
Plusieurs personnes se sont rassemblées sur le lieu du décès pour allumer des bougies et prier le chapelet.