« À quand la paix au Congo ? »

« À quand la paix au Congo ? Le cri de la société civile pour la paix en République démocratique du Congo », tel est le titre de la conférence de presse organisée à l’occasion du voyage apostolique du pape François à Kinshasa, la capitale de la RDC, prévu du 31 janvier au 3 février prochain, indique un communiqué publié ce mardi 24 janvier 2023 par la Fédération nationale de la presse italienne (FNSI), organisateur de l’événement.

La conférence voulue par les représentants de la société civile, des ONG, de la diaspora et des réseaux présents depuis de nombreuses années en Italie aura lieu le 25 janvier 2023, de 10h à 12h, à la Sala Azzurra de la FNSI, à Rome. À la conférence prendront part : Giuseppe Giulietti, président de la FNSI, P. Giovanni Piumatti, missionnaire en RDC depuis plus de 50 ans, don Tonio Dell’Olio, de la Pro Civitate Cristiana d’Assise, ainsi que les militantes des droits humains d’origine congolaise.

Une rencontre, expliquent les promoteurs, vise « à braquer les projecteurs sur la guerre de dix ans qui dévaste les régions de l’est du pays et qui a de fait entravé la possibilité pour le Saint-Père de se rendre dans la ville torturée de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu ».

Pour les organisateurs, « le silence assourdissant qui entoure cette guerre est sans doute aussi causé par l’implication indirecte de l’Europe et du système économico-financier qui gouverne le monde ».




Maroc/Résolution du Parlement Européen : “L’Algérie a mis beaucoup d’argent dans le lobbying”

Les récentes positions du Parlement européen (PE) et les allégations contenues dans la résolution votée par la majorité des députés européens le 19 janvier, ont fortement été dénoncées au Maroc. Réuni en session plénière commune lundi, le Parlement marocain, de ses deux Chambres, a décidé de « reconsidérer ses relations » avec le Parlement européen.

Sollicité à ce sujet par Hespress Fr, le politologue Driss Aissaoui, a estimé que le Parlement Européen, en affirmant que le Maroc a des problèmes de respect des droits de l’Homme, de respect de la liberté de la presse, et de la justice, etc., vient de se rendre coupable d’une « initiative qui est souhaitée ».

Une initiative « très très mal reçue par les politiques au niveau du Parlement marocain », a souligné Aissaoui. Le Parlement qui a d’ailleurs organisé une session conjointe entre la 1re et la 2e Chambre ce lundi, a permis aux deux chambres « d’exprimer leur désapprobation par rapport à ce qu’on pourrait appeler, l’immixtion du Parlement européen dans les affaires internes du Maroc », a soutenu le politologue.

« La résolution européenne remet en cause l’indépendance du pouvoir judiciaire au Maroc, alors que depuis 2017, nous avons une autorité judiciaire totalement indépendante du ministère public. Et c’est une première, même par rapport à un certain nombre de pays européens. C’est une première aussi dans la mesure où nous avons le ministère public qui est indépendant, légal et qui traite tous les justiciables sur le même pied d’égalité. Comment voulez-vous qu’un parlement par le truchement des jeux de majorité et minorité, etc., puisse juger un pouvoir judiciaire aussi fort que celui que nous avons au Maroc, et qui a fait l’objet de grandes réformes », a expliqué Aissaoui.

Concernant les parlementaires européens, le politologue a rappelé que ces derniers ont cité des cas où on parle de problématiques de libertés des médias, de la presse et de conscience, en citant des cas de journalistes qui sont aujourd’hui incarcérés pour des affaires qui les concernent.

« La haute autorité judiciaire au Maroc vient de faire un communiqué exprimant sa surprise par rapport à la réaction du Parlement européen et pour dire nous ne comprenons pas pourquoi le Parlement européen a pris cette initiative en condamnant l’indépendance de la justice au Maroc. Chose qui est inacceptable et qui ne pouvait pas être acceptée », a commenté Aissaoui.

D’autre part, le politologue a constaté que ceux qui ont voté pour cette résolution européenne sont pour la plupart « des Macronistes, des gens proches d’Emmanuel Macron, des gens du milieu droit de la France, et c’est des gens qui travaillent en étroite coopération avec le voisin algérien », a-t-il soulevé.

« Il ne faut pas oublier que les autorités algériennes ont mis beaucoup d’argent dans ce lobbying pour infléchir l’autorité du Maroc. Or, comment voulez-vous donner de la crédibilité à cette situation, alors que le Maroc est un partenaire stratégique de l’UE, et de l’Europe de manière générale« , a tenu à rappeler Aissaoui, notant que « le Royaume dispose depuis un bon moment, d’un statut avancé dans ses relations avec l’Europe« , citant comme exemple le Haut-commissaire européen, Josep Borell, qui était récemment en visite au Maroc et qui a déclaré que « le Royaume est un pays qui a de la valeur et avec lequel l’Europe travaille avec beaucoup d’intelligence« .

En somme, le politologue a estimé que le Parlement européen vient de créer un problème, rappelant ainsi la dernière décision du Parlement marocain de revoir les relations de coopération et les relations qui lient le Maroc au Parlement européen

« Finalement, c’est un évènement assez grave et très difficile que le Parlement européen est en train de vivre. Et ce qui est extraordinaire, c’est que les politiques européens, et français en particulier, ne regardent pas les choses dans le bon sens. Maintenant, on se demande bien pourquoi la France ou encore l’Europe ne remet pas en cause la stabilité ni le caractère, disons, incongru du pouvoir algérien, qui vient de dissoudre complètement une importante institution, celle des Droits de l’Homme en Algérie. C’est un évènement extrêmement historique, dont personne ne parle que ce soit au niveau du Parlement européen où au niveau des médias européens », a-t-il souligné.

Pour conclure, le politique Aissaoui a estimé que le Parlement européen « aura des choses à se reprocher et à faire, et très certainement, l’avenir nous dira comment le Maroc va pouvoir réagir « .

Mais ce qu’il y a d’extrêmement important à remarquer, dit-il, et ce qui dérange, « c’est la présence du Maroc en Afrique, et sa politique africaine qui lui créent des problèmes avec des pays européens, comme la France, qui ont perdu leur pied et leur position au niveau de l’Afrique et ne souhaitent pas que le Maroc puisse continuer dans ce sens-là », appelant ainsi à être « plus vigilants et attentifs à cette situation ».




Corée du Nord : célébration de l’année 2023 sur fond de la prospérité de la patrie

La célébration  de l’année sur fond de la prospérité de la Patrie, a fait l’objet d’une visite du Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC), au Palais du Soleil Kumsu-san, indique une note de l’ambassade  de la  Corée du nord en République démocratique du Congo parvenue vendredi à l’ACP.

« Les membres de l’organisme de direction central du PTC ont réaffirmé leur engagement à rester fidèles à l’idée et à la direction de KIM JONG UN, à s’acquitter de leurs responsabilité et mission assignées par le PTC et le Peuple pour atteindre l’objectif ambitieux présenté par la 6ème session (26-31/12/2022) plénière élargie du 8ème CC du PTC », note la source.

Le Maréchal KIM JONG UN a  rendu, à cette occasion, hommage devant les statues avec les membres de sa suite,  présentant ses vœux de nouvel an dans les salles de l’Immortalité où reposent en paix KIM IL SUNG et KIM JONG IL, respectueusement à ces 2 grands Hommes qui avaient consacré toutes leurs vies à l’œuvre sacrée de Juché (idéologie directrice éternelle créée par KIM IL SUNG en 1930) pour rendre le PTC, l’Etat et le Peuple puissants et dignes de souveraineté, d’indépendance économique et d’autodéfense. « Imprimer des changements en faveur d’un développement réel dans tous les secteurs de l’édification du socialisme, constitue un cheval de bataille du leader du PTC », précise-t-on.




RPDC-Japon : Les actes indiscrets allant à contre-courant

Il n’y a pas si longtemps (19/12/2022), le 1er Ministre (Mark RUTTE 1967- ) des Pays-Bas a attiré l’attention de la Communauté internationale en présentant les excuses officielles (lors de son discours à La Haye, NDLR) de son Gouvernement pour les actions de l’Etat néerlandais dans l’esclavage pendant 250 ans dans les colonies d’outre-mer telles que le Suriname et l’Indonésie. Le 1er Ministre néerlandais ;

– s’est repenti au fait que son Pays a infligé les malheurs et souffrances à d’innombrables personnes en imposant, en promouvant et en maintenant l’esclavage pendant des siècles

– a exprimé sa position selon laquelle les discussions et les débats sur la reconnaissance et les excuses des crimes passés ne font que commencer et qu’ils devraient être poursuivis.

Ces dernières années, de nombreux Pays se penchent, sérieusement, sur leur histoire non seulement du 20ème siècle mais aussi des siècles passés et, se repentissent et s’excusent pour leurs crimes; d’où le règlement du passé est la tendance internationale. Pourtant, il y a un Pays qui;

– s’évertue à ignorer la tendance générale

– fait semblant d’être sourd et aveugle

– est insolent sévèrement,

ce n’est autre que le Japon (Etat ennemi stigmatisé par la Charte de l’ONU, NDLR). C’est le Japon qui a commis les crimes supergrands contre l’Humanité au siècle dernier (1905-1945), même pas aux siècles lointains, pour stupéfaire le monde entier; mais même maintenant, il a une arrière-pensée constante lorsqu’il s’agit du règlement de son passé que la Communauté internationale réclame avec tant d’énergie. Aujourd’hui où la plupart des victimes se sont décédées vu leur âge, le Japon;

– est, peut-être, en train de calculer qu’il est temps que ses péchés passés soient pénétrés dans la mousse du temps

– fait du tapage autour de l’«insuffisance de preuves»

– s’efforce, même, d’embellir l’histoire de son agression (en Corée) tout en déniant, totalement, ses péchés sanglants (ayant massacré sauvagement plus d’un million des Coréens, et forcé les 200,000 Coréennes à servir d’esclaves sexuelles aux militaires japonais et plus de 8.4 millions pour les travaux forcés ou comme pare-balles etc., NDLR)

– fournit, aux élèves, des manuels dans lesquels les expressions symbolisant ses crimes passés tels que l’«enlèvement forcé» des Coréens et les «femmes (coréennes) de réconfort pour l’Armée japonaise» sont supprimées

– fait tout un plat de l’enregistrement des sites des travaux forcés tachés du sang des Coréens en tant que le patrimoine culturel mondial.

La mesure dans laquelle la vileté morale du Japon a atteint son extrême se traduit, également, par le fait que ce Pays veut démolir les statues des jeunes esclaves sexuelles érigées, un peu partout dans le monde, pour condamner les crimes d’esclavage sexuel commis par l’Armée japonaise, crimes supergrands contre l’Humanité, et harceler les Pays abritant lesdites statues. Le comportement sans scrupules du Japon est un défi odieux lancé à la Communauté internationale éprise de la justice et de la paix, et c’est, absolument, inacceptable.

Le règlement du passé par le Japon n’est pas une question de quelques centimes ou sous, mais plutôt celle politique sérieuse pour assurer la justice et l’équité internationales qui sont, brutalement, piétinées par le Japon. Par conséquent, régler le passé par le Japon est une tâche politique qui doit être accomplie, que le Japon le veuille ou non; c’est carrément la raison pour laquelle la Communauté internationale exige, dynamiquement, au Japon de se repentir et de s’excuser de l’histoire de son agression.

Si le Japon ne comprend pas la gravité du problème et continue de nier l’histoire de ses péchés comme il le fait actuellement, il sera confronté à l’isolement politico-diplomatique et à la ruine morale. Le comportement du Japon qui va à l’encontre de cela pour ses intérêts imminents ne fait que susciter le dégoût de ceux qui l’observent.

«Allons-nous continuer à courir dans l’abîme de la ruine avec une réputation honteuse ou devrions-nous rompre avec le passé malpropre et prendre un nouveau départ, une fois pour toute?»; c’est, pour le Japon, une tâche de destin optionnelle à accomplir d’une façon prioritaire et responsable. Comment résoudre ce problème et quel choix faire détermine le destin futur du Japon. Le Japon doit faire le bon choix même pour son avenir.

N’oublie pas que régler le passé est le seul et unique moyen de sauver le Japon de la ruine physique et morale!




Résolution du Parlement européen contre le Maroc: Une ingérence flagrance dans la justice d’un Etat souverain, selon Jean-Marie Heydt

A travers sa résolution sur le Maroc, le Parlement européen s’érige en justice parallèle, a souligné le politologue et écrivain franco-suisse, Jean-Marie Heydt. Le politologue relève un acharnement contre le Maroc alors que des situations similaires dans les pays de l’Union européenne sont passées sous silence.

Cette résolution a de quoi surprendre, car elle vient contredire toutes les normes et les règles internationales, notamment les principes et déclarations des Nations Unies relatives à l’indépendance de la justice », a relevé M. Heydt dans une déclaration à l’agence de presse MAP.

« Sans s’immiscer dans une procédure judiciaire (…) conduite avec rigueur par les tribunaux compétents d’un État souverain, conformément à la législation en cours et aux conventions internationales des droits de l’homme, ratifiées par le Royaume, nous pouvons nous interroger sur le fait que le Parlement européen se soit saisi d’une affaire intérieure », a ajouté le politologue.

Selon lui, le Parlement européen ne dispose ni des moyens d’investigations ni des garanties nécessaires pour un procès juste et équitable et encore moins de ces champs de compétences, lesquels relèvent pleinement d’une Cour de justice nationale.

« Le politique peut certes s’agiter, mais il n’a pas de pouvoir judiciaire en la matière, et de fait, il porte la lourde responsabilité d’influencer des populations et, plus grave encore, d’exercer des pressions sur le pouvoir judiciaire, en entravant l’impartialité de la justice”, a-t-il fait remarquer, déplorant le fait que de plus en plus fréquemment, certains dossiers (en cours ou jugés par les tribunaux) fassent l’objet d’un grave glissement depuis les prétoires vers une justice qui se voudrait être rendue par les réseaux sociaux.

“Nous sommes profondément attachés aux principes fondamentaux des droits de l’Homme et nous restons convaincus que la part des choses doit être faite, entre ce qui relève des libertés d’opinion et d’expression de la presse et tout ce qui se rapporte aux victimes des différentes violations des droits humains. On ne peut mettre en opposition ces deux grands principes, l’un ne peut cacher l’autre, car cela relèverait d’une forme de distinction laissant penser que l’un des droits serait plus fort que l’autre”, note M. Heydt.

Pour quelle raison le Parlement européen (certains parlementaires, semble-t-il) s’acharne-t-il, en plaçant sous le feu du projecteur ce qui serait devenu ‘’une affaire’’ (sic), alors qu’il semble exister des situations pouvant être similaires dans des pays européens et du pourtour méditerranéen ? s’interroge-t-il.

Et de poursuivre : Serait-ce finalement un faux combat qui n’a pour visée uniquement le Maroc, connu et reconnu pour sa remarquable évolution interne et mondiale ?

Il s’agit, aux yeux de M. Heyd, d’une “ingérence” dans les affaires intérieures du Maroc, doublée de pressions à l’encontre d’un État devenu l’axe essentiel dans les relations entre l’Europe et l’Afrique.

Le Parlement du Royaume du Maroc a annoncé lundi sa décision de reconsidérer ses relations avec le Parlement européen en les soumettant à une réévaluation globale, visant à prendre des décisions fermes et appropriées, suite aux dernières positions du Parlement européen à l’égard du Maroc.

Le Parlement marocain rejette l’instrumentalisation et la politisation d’affaires relevant de la compétence de la justice pénale et du droit commun; affaires ayant fait l’objet de poursuites voire de condamnations pour des faits n’ayant aucun lien que ce soit avec une activité journalistique ou la pratique de la liberté d’opinion et d’expression.

Il appelle également les forces politiques européennes à faire preuve de sagesse et de discernement et à rejeter tout amalgame délibéré entre les droits de l’Homme, protégés au Maroc par la Constitution, les lois et les institutions, d’une part, et les allégations véhiculées par certaines parties et organisations connues pour leurs positions hostiles et dogmatiques à l’encontre du Maroc, d’autre part.




Algérie : la principale ligue des droits humains dissoute par les autorités

La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH) a annoncé dimanche avoir été dissoute à son insu par les autorités algériennes lors d’un procès tenu en son absence, des faits “révoltants” et un “acharnement continu”.

Dans un communiqué publié en français sur son site, la LADDH estime qu’à l’instar d’autres organisations, elle “paye” son “engagement pour la démocratie, les libertés et les droits humains”. “Comme (pour) d’autres organisations, la question de la conformité avec la loi sur les associations a toujours fait objet de blocage et d’instrumentalisation de la part des pouvoirs publics”, a-t-elle dit.

Un “acharnement continu […] qui prend, avec cette dernière décision, une proportion d’une extrême gravité”, a regretté l’ONG, disant avoir été déclarée “coupable de s’occuper des droits humains” Vendredi, la LADDH avait dit avoir appris via un document anonyme publié sur les réseaux sociaux qu’elle avait été dissoute par une décision de justice le 29 septembre et qu’elle allait vérifier cette information. Information qu’elle a confirmée ce dimanche.

Cette dissolution faisait suite à une requête du ministère de l’Intérieur auprès du tribunal administratif d’Alger le 4 mai. Le tribunal a statué le 29 juin en faveur de cette requête. Selon la LADDH, l’ONG n’a été à aucun moment informée de cette procédure en cours. La justice algérienne lui reproche de “travailler sur la question des droits de l’Homme avec d’autres instances et organisations internationalement reconnues […] de militer pour les droits des migrants, pour les droits des travailleurs”, ce qui est “révoltant”, assure la LADDH.

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Abdellatif Hammouchi reçoit le vice-président de la Sûreté de l’Etat saoudien

Le directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi a reçu, mardi à Rabat, Abdullah Fahad Salih Al-Owais, vice-président de la sûreté de l’Etat saoudien, qui effectue une visite de travail au Maroc à la tête d’une importante délégation sécuritaire.

La délégation saoudienne comprend le directeur de la direction générale de lutte contre l’extrémisme et le directeur de la direction générale pour les conventions et la coopération internationale, ainsi que des experts et des responsables sécuritaires à la Sûreté de l’Etat saoudien, indique un communiqué de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).

Cette visite, qui reflète la solidité et la profondeur des relations de coopération en matière de renseignement et de coordination sécuritaire entre la DGST et la présidence de la Sûreté de l’Etat saoudien, illustre la volonté commune des deux parties de consolider cette coopération bilatérale au service de la sécurité et de la sûreté de leurs citoyens, précise la même source.

A la fin des travaux de cette visite, M. Hammouchi et M. Salih Al-Owais ont signé une convention de coopération entre la DGST et la présidence de la sûreté de l’Etat saoudien dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et son financement. Cette convention porte sur l’organisation et le développement de la coopération et de la coordination sécuritaire dans différents domaines liés à la lutte antiterroriste et les opérations de financement du terrorisme, ajoute-t-on.

La DGST et la présidence de la Sûreté de l’Etat saoudien aspirent à développer leurs relations sécuritaires et de renseignement, à coordonner les efforts de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, en vue de priver les organisations terroristes de toute base arrière, terreaux de recrutement et ressources financières, conclut le communiqué.

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Comment le Parlement européen s’est fait avoir comme un bleu par une ancienne compagne de Omar Radi

Le Parlement marocain a unanimement rejeté lundi 23 janvier les accusations fallacieuses des députés européens et toute ingérence dans les affaires du royaume. Barlamane.com démontre comment résolution du Parlement européen sur la liberté de la presse au Maroc a été le fruit d’une relation incestueuse entre une ancienne compagne de Omar Radi, devenu porte-voix des thèses du Polisario.

Les deux chambres du Parlement marocain se sont réunies en séance plénière à Rabat, lundi 23 janvier, pour évaluer la résolution du Parlement européen (PE). Barlamane.com a appris qu’une partie extralégale est venue peser sur cette décision : il s’agit de Khmissa, un obscur «collectif féministe» ouvertement hostile à l’égard des institutions marocaines. Aux commandes de cette boîte, qui serait irriguée par le l’argent sale français, la malfamée Samia Errazouki, ancienne journaliste qui entretenait une liaison avec… un certain Omar Radi. Cette dernière, qui clame son soutien franc au mouvement du Polisario, jouit de l’appui effectif de quelques parties françaises qui agissent contre Rabat.

Dans un texte adopté la semaine dernière à Strasbourg, le Parlement européen n’a choisi de mettre en lumière que le cas d’Omar Radi, un agitateur condamné à six ans de prison ferme pour viol et espionnage. D’après nos informations, le Parlement européen s’est fondée sur les rapports tronqués d’un collectif qui compte quelques années d’existence pour motiver sa décision : du jamais vu dans les relations entre Bruxelles et Rabat. Les premiers débats, et surtout les manœuvres parlementaires qui les ont préparés, ont bien vite montré que la résolution européenne est un texte fallacieux. La politique pratique européenne a préféré sacrifier l’élévation d’idées qui font l’honneur et la valeur des grandes assemblées pour donner à de violentes rancunes contre le Maroc des validations illégales, partiales et intéressées.

Ce qui saute aux yeux tout d’abord, c’est que le Parlement européen a été infiltré par des individus unis contre le Maroc, des radicaux intransigeants habitués aux coups de force, d’en bas surtout. Comment une vile propagandiste ait pu trouver, dans la mêlée européenne, l’appoint dont elle avait besoin pour s’assurer le succès ses intrigues ? Cette alliance incestueuse, trouve compromettante et dangereuse pour l’avenir du Parlement européen, démontre que des pactes non annoncés régissent la vie de cette institution très critiquée. Voilà comment l’existence, l’action et l’influence d’un groupe illégal, fidèle à sa clientèle française, encourage un texte qui va l’encontre de toutes les valeurs politiques.

Le Parlement européen a laissé une porte ouverte à la politique du chantage qui a méconnu toutes les nuances. Que serait devenu le texte sur le Maroc sans les interventions illégales de quelques organisations politisées ? C’est là que se serait jouée la véritable pièce, dont les débats publics n’avaient été que la parade, seulement la parade après la pièce. D’après nos sources, l’entourage de Omar Radi hors du Maroc s’est mis tout en campagne afin d’entraîner le Parlement européen dans sa sinistre entreprise, malgré les hésitations très réelles de beaucoup de groupes.

Le Parlement marocain, pour rappel, a décidé de reconsidérer ses relations avec le Parlement européen et de les soumettre à une évaluation globale, a indiqué Rachid Talbi Alami, président de la chambre des représentants. Évidemment, le caractère des ingérences étrangères faites sur un mot d’ordre illégal sera profondément détricoté. Ce n’était pas le bon temps, assurément, de la vie parlementaire européenne, que celui où elle travaille avec des factions corrompues financées par les ennemis du Royaume. Au Maroc, l’union de tous les cœurs vraiment patriotes déjoue toutes les manœuvres ingrates.

Le Parlement européen a sacrifié toutes ses garanties d’ordre et de liberté pour devenir l’arène à toutes les compromissions. Le texte sur le Maroc méprise le principe démocratique sur lequel il repose, et constitue une attaque sans précédent contre la souveraineté nationale. Voilà pourquoi il n’est pas inutile d’inscrire dans le programme réformateur de cette institution la nécessité de condamner et d’interdire les entraînements inévitables de certains groupes illégaux qui agissent en dehors de toute transparence.

https://www.barlamane.com/f




L’Union interparlementaire arabe dénonce la résolution du parlement européen contre le Maroc

L’Union interparlementaire arabe a dénoncé, lundi, la dernière résolution du parlement européen (PE) à l’égard du Maroc, pointant une atteinte directe à la souveraineté judiciaire du Royaume.

Dans un communiqué, la présidence de l’Union interparlementaire arabe a fustigé “les accusations et les actes de chantage politique exercés par le Parlement européen à l’encontre des autorités marocaines, dont le dernier en date a été la publication par le PE d’une résolution 19 janvier 2023”.

L’Union s’est élevée, dans ce sens, contre l’attitude du parlement européen “qui s’est arrogé le droit de juger la justice marocaine en s’immisçant dans les affaires internes d’un pays jouissant de sa pleine souveraineté et de son indépendance législative et juridique”.

Elle a aussi dénoncé la démarche du PE consistant à politiser et à dénaturer les faits, et à semer le doute quant à la légitimité des mesures judiciaires marocaines adoptées au sujet d’affaires internes traitées dans le strict respect du principe de la primauté de la loi et des garanties d’un procès équitable tel que reconnu universellement.

De même, l’Union interparlementaire arabe a exprimé son rejet de “la politique du deux poids deux mesures” appelant le parlement européen à s’abstenir de se laisser entraîner dans les fausses allégations et les informations dénuées de tout professionnalisme et de toute preuve juridique”. Elle a fait observer que les preuves juridiques montrent que les personnes, dont le Parlement européen souhaite la libération, sont impliquées dans des affaires de traite d’êtres humains, d’agressions sexuelles et d’exploitation de la vulnérabilité des personnes, des faits qui sont incriminés et punis de par le monde.

Dans ce contexte, l’Union a rappelé les grandes avancées réalisées par le Maroc afin de garantir l’indépendance du parquet général vis-à-vis de l’exécutif, ainsi que de l’autorité judiciaire, conformément à la Constitution de 2011.

L’Union interparlementaire arabe a fait part également de sa solidarité constante et permanente avec le Royaume du Maroc et son soutien à la dynamique des réformes menées par le Maroc, afin de répondre aux attentes de tous les citoyens et à leurs aspirations à davantage de progrès et de prospérité dans tous les domaines, dont celui de la liberté d’opinion, d’expression, de presse, et des droits de l’homme.

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Le Parlement marocain décide de reconsidérer ses relations avec le PE

Le Parlement marocain a réagi après la résolution du Parlement européen vis-à-vis du Maroc. Il a annoncé lundi sa décision de reconsidérer ses relations avec le Parlement européen (PE) en les soumettant à une réévaluation globale, visant à prendre des décisions fermes et appropriées, suite aux dernières positions du Parlement européen à l’égard du Maroc.

Cette annonce a été faite dans une déclaration des deux Chambres du Parlement marocain lue par le président de la Chambre des Représentants, Rachid Talbi Alami à l’issue d’une réunion commune co-présidée avec le président de la Chambre des Conseillers, Naam Mayara et marquée par les interventions des présidents et des représentants des différents groupes et groupement parlementaires et les parlementaires sans appartenance politique.

Le Parlement a ainsi dénoncé la campagne “tendancieuse” qui cible le Royaume, et dont le dernier acte en date a été l’adoption par le PE d’une résolution le 19 janvier 2023. Selon la déclaration, le Parlement a décidé d’informer la Présidence du PE du procès-verbal de cette séance contenant les positions et interventions des présidents et des représentants des différents groupes et groupement parlementaires et les parlementaires sans appartenance politique lors de cette séance, ainsi que des décisions qui seront prises à l’avenir.

“Le Parlement marocain prend note avec grand étonnement et profonde consternation de cette résolution, qui a gravement nui au capital confiance entre les deux institutions législatives, et porté profondément atteinte aux acquis positifs du travail commun sur plusieurs décennies”, indique-t-on dans cette déclaration.

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