Grâce au comité Blaise Zainda : Journaliste en Action en retrouvailles sous le signe de la cohésion

Jour tant attendu, le 1er mai 2023 restera dans les annales, parce qu’il aura permis au président Blaise Zainda alias « Ni bia nguvu » et son équipe, de réunir les chevaliers de la plume et du micro regroupés au sein de l’Asbl Journalistes en Action (JA).

Cadre bien choisi, tous en uniforme et en tenue décontractée, Journaliste en Action s’est retrouvé pour affermir ses liens et entrevoir l’avenir sous de belles perspectives. L’occasion faisant le larron, des nouvelles adhésions étaient au rendez-vous, question de renforcer cette grande famille des professionnelles qui s’est distinguée par sa résilience.

Après la présentation des membres du comité et de JA, la parole a été donnée à Blaise Zainda qui dit avoir hésité entre un discours populiste à la manière des hommes politiques, un discours cérébral à la manière des scientifiques ou un discours téléonomique à la manière des pasteurs. Finalement, dit-il, il a choisi ce ton convivial et familial.

« En effet, ici on est en famille. Une grande famille plurielle, une famille professionnelle certes mais surtout une famille nucléaire. Journaliste en action est notre œuvre commune : notre famille. Depuis les pionniers dont certains sont encore heureusement parmi nous jusqu’à la dernière génération de ceux qui vont nous rejoindre aujourd’hui, notre organisation a connu les hauts et les bas. Des moments de joie, d’intense communion, mais également des moments de peine et de tristesse », explique-t-il.

A l’occasion, une minute de silence a été observée en mémoire de tous les membres de JA qui ont quitté la terre des hommes. C’est avec émotion et reconnaissance qu’il a cité les noms de Désiré Baere, Alpha Mukadi, Esther Abedi, Olga Ngiana, Nadine Laini, Pepito Tuka Lino…

Des défis

Dans son discours, le président JA Blaise Zainda a reconnu que son Asbl a d’énormes défis à relever. « Le premier étant de retrouver notre cohésion. Et en voici l’occasion. Que nos différences ne nous divisent plus. Au contraire, qu’elles constituent notre force. Car, disons-le-nous, JA est certainement la plus grande association des journalistes actifs dans cette ville de Kinshasa de par la qualité de ses membres. Regardez autour de vous : tout le monde est professionnel ici. Il n’y a et il n’y aura jamais des moutons noirs ici », dit-il.

Un autre défi et non le moindre, indique le président de JA, est celui de nous distinguer des autres. Pour ce faire, montrons et affirmons notre identité par la participation à nos activités. Mon comité, votre comité insiste-t-il, entend réactiver toutes les activités encore en berne pour que nous reprenions notre place de leader sur la scène des organisations professionnelles des médias. Ceci requiert la participation de chacune et chacun d’entre nous. C’est le sens de notre engagement à la cause de notre association.

L’heure n’est pas au discours démagogique, souligne Blaise Zainda et c’est pourquoi il a rendu hommage à tous ceux et celles qui, présents ou absents, ont contribué et contribuent encore à la survie de notre association.

Un toast a été levé à l’honneur de Paulette Kimuntu, Joel Cadet, Jean Jeff Mwanza, Désiré Baere, Jean Jeef Caleb dit Obiang, Saleh Mwanamilongo, Bumba Elysée, Joe Bangato, Michel Issako, Mimie Engumba, Virginie Lofembe, j’en passe et des meilleurs….

Blaise Zainda a terminé par dire que nous avons des obligations vis-à-vis de vous. C’est ainsi qu’il a porté à la connaissance de l’assistance que JA dispose désormais d’une adresse. En effet, J.A est localisable sur l’avenue Colonel Ebeya numéro 195, immeuble Sadisa (appartenant à la famille Kisombe) voisin à l’hôtel Selton, dans la commune de la Gombe.




Félix Tshisekedi rend hommage à l’Abbé José Ntemo  

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a rendu un dernier hommage à l’Abbé José Ntemo Nsi, à Kisantu, ce samedi 29 avril 2023.

C’est tout le clergé et toute la notabilité de Kisantu qui se sont mobilisés pour rendre des hommages dignes, à ce prêtre du diocèse de la province du Kongo Central, dont le siège ecclésiastique est Inkisi- Kisantu.

Décédé à l’âge de 72 ans, l’Abbé Joseph Ntemo a passé toute sa vie au service de l’évangélisation et de la formation de la jeunesse congolaise dans le réseau des écoles catholiques de l’ex Bas-Congo.

En se rendant personnellement ce samedi à Kisantu, à 120 km au sud de Kinshasa, le Président de la République est venu honorer la mémoire d’un enseignant et un éducateur de notoriété qui l’a formé comme élève au Collège Notre Dame de Mbanza-Boma entre 1977 et 1983.

Accueilli par le Gouverneur de Province, Guy Bandu, et l’Evêque de Kisantu, Mgr Jean Crispin Kimbeni, le Chef de l’État s’est incliné devant la dépouille de l’illustre disparu exposée dans la Cathédrale Notre Dame des 7 douleurs de Kisantu, puis il a assisté à la messe des suffrages qui a précédé la mise en terre à la nécropole cléricale de Kisantu.

Toutes les personnalités laïques et religieuses présentes à Kisantu ont fait des témoignages élogieux de ce prêtre formateur. Formé à Mbanza-Mboma, au petit séminaire de Lemfu et au Grand Séminaire de Mayidi, Joseph Ntemo a été admis à l’ordre presbytérale en 1977.

Après avoir exercé son ministère de prêtre séculier comme vicaire et curé des paroisses, l’Abbé Joseph a travaillé pour les œuvres de développement. En tant que Directeur du bureau diocésain de développement de Kisantu, l’Abbé Joseph a laissé plusieurs traces indélébiles.

A la faveur de sa première visite à Mbanza-mboma, en tant que chef de l’État l’ancien élève Félix Tshisekedi, était particulièrement heureux de retrouver l’Abbé Ntemo, son ancien Recteur ainsi que ses condisciples regroupés au sein de l’Association des anciens élèves du collège Mbanza-mboma (ASSACOM).

Dans son homélie, l’Evêque de Kisantu a salué ” la profonde gratitude du Président Félix Tshisekedi et son sens élevé de compassion “. C’est en début d’après-midi que Joseph Ntemo est retourné à la terre qu’il a servie avec humilité et résilience. L’Abbé Joseph aura bien porté son nom de Ntemo Nsi, “la lumière du pays “, en kikongo, sa langue maternelle.




Félix Tshisekedi rend un dernier hommage à Albert Ndele Bamu en le décorant à titre posthume

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a décoré et rendu un hommage posthume à Albert Ndele Bamu à l’esplanade de l’hôpital du Cinquantenaire ce jeudi 27 avril 2023 à Kinshasa.

Décédé à Bruxelles, en Belgique, à l’âge de 93 ans le 1er Avril 2023, le Premier Gouverneur de la Banque Centrale du Congo, alors Banque Nationale du Congo de 1961 à 1970, a été élevé à titre posthume au rang de Grand officier dans l’ordre des héros nationaux ‘Kabila-Lumumba’ par le Chef de l’État, le Président de la République, lui-même Grand Chancelier des ordres nationaux. Albert Ndele était parmi les premiers universitaires congolais qui ont terminé en sciences économiques en 1958, il a aussi été membre du collège des commissaires Généraux en 1960 avec Étienne Tshisekedi, Lihau Marcel et les autres.

Il fut plusieurs fois ministre et une grande figure de la communauté Né-Kongo.

Après cette décoration à titre posthume, la dépouille de l’illustre disparu a été amenée à la cathédrale Notre-Dame de Kinshasa-Lingwala pour une messe de suffrage, avant le départ pour sa ville natale de Boma au Kongo-Central au Bas-Fleuve, où il sera inhumé sur la terre de ses ancêtres.




Kasaï : Aurélie Tshikenda plaide pour l’accélération de l’éducation numérique des femmes et des filles

Alors qu’elle a prononcé un mot au nom des femmes du Kasaï à l’occasion de la clôture des activités dédiées aux droits des femmes au stade Kanzala devant les autorités de la province parmi elles le gouverneur Dieudonné Pieme et le président de l’Assemblée provinciale, Me Aurélie Tshikenda a estimé que l’éducation numérique des femmes et filles est encore très faible et que le gouvernement devrait accélérer le processus pour permettre aux femmes du Kasaï d’être à la page avec l’évolution numérique.

Au nom des femmes, Aurélie Tshikenda a suggéré à l’Assemblée provinciale et le gouvernement provincial de pouvoir prendre une mesure spéciale et contraignante contre toutes les personnes qui pratiquent les mariages précoces qui, selon elle, sont des freins au développement de la femme et de l’éducation numérique.

Qu’un programme élargi d’éducation numérique égalitaire soit rendu disponible dans les différents coins de la province du Kasaï à l’instar des kiosques des ressources installés dans la ville de Tshikapa à l’ONG AWLN, ADEDEFO, AFEJUC0, maison de barreau, maison de la femme, incubateur de paix, a déclaré Mme Aurélie Tshikenda devant le autorités de la province.

Cette recommandation semble avoir eu sa place à l’organe délibérant ou un édit du genre serait déjà en chantier pour permettre aux femmes et filles d’être en phase avec une éducation numérique.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




A cause des amandes arbitraires, l’unique Agence de transport en commun à Tshikapa a fermé ses portes

Pour avoir reçu depuis son ouverture plusieurs cas de tracasseries routière des éléments de la police de circulation, les amandes arbitraires mais aussi pour avoir vu sans raison valable les rétentions des leurs petits véhicule (motos tricycles) outre d’autres Actes d’anti valeurs contre ses agents, l’unique agence de transport en commun “Tatem Transport viens de fermer ses portes sur ordre de leur PDG. Selon le responsable qui nous livre cette information, cette agence compte plus de 100 agents parmi eux les chauffeurs, les mécaniciens, les éléments de sécurité et l’administration qui sont payés régulièrement, alors que les agents de certains services de l’Etat les fond perdre le peu de recettes réalisées avec un coup trop bas pour aider la population.

Dernièrement, c’est la SONAS qui est entrée en jeu et détient 3 véhicules depuis plus de 15 jours sous prétexte fallacieux, regrette Emmanuel Kuango, avant d’ajouter que les 3 véhicules (motos tricycles c’est plus de 10% de leur charroi sur la ville de Tshikapa.

« Nous avions 26, il y a 20 en circulation, 4 entre les mains des services de l’Etat, ce qui représente 20% du charroi en activité », regrette M. Tatem.

24 heures seulement après cette décision, le transport difficile si pas trop cher dans plusieurs coins de la ville tels que de Katshiongo au centre-ville, de Kamalenga vers Port tit, de 3z à Kamalenga ou de Milambu pour 3z, le transport passe de 500 Fc à 1000 Fc.

Maison Tatem promet de reprendre si seulement l’État leur garantie la sécurité contre la prédation de agents et la restitution des véhicules retenus au Commissariat de la Police de circulation routière, et au bureau SONAS/Tshikapa centre et suite au manque à gagner, la maison Tatem Transport promet de revoir ses tarifs légèrement à la hausse pour avoir l’argent qui va lui permettre de bien prendre en charge ses 100 agents.

Il appelle le gouvernement provincial à mettre en place les mécanismes de suivi pour combattre les antivaleurs dans le secteur de transport en commun.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Carnet Rose

Le ministre d’Etat, ministre de l’Urbanisme et Habitat, Puis Muabilu Mbayu a été dans l’allégresse, hier jeudi 27 avril, à l’occasion de son anniversaire de naissance.

Une journée que l’intéressé a bien voulu placer sous le signe de l’unité familiale et du maintien des efforts, dans la constance, au service de la République.

C’est tout joyeux que familles et sympas lui ont lancé en chœur : Bon anniversaiiiire ! !




Devant les Coordonnateurs des écoles Conventionnées catholiques Tony Mwaba promet de traduire en actions toutes les recommandations des travaux du Centre Nganda

C’est ce jeudi 27 avril 2023, au Centre Nganda dans la commune de Kintambo, que le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi a procédé à la clôture de l’atelier sur l’éducation à la paix, le développement et le vivre ensemble. Ces assises qui ont réuni tous les coordinateurs des écoles catholiques de la République Démocratique du Congo, ont abouti à des propositions idoines qui aideront le sous-secteur à atteindre les résultats escomptés.

Dans son discours prononcé pour la circonstance, le Ministre Tony Mwaba a remercié les participants qui ont sacrifié de leur temps pour aborder des vraies questions, surtout des maux qui rongent le sous-secteur de l’EPST. Le professeur Tony Mwaba a salué les recommandations formulées dans cet atelier et a promis de s’engager pour leur mise en œuvre.
“Ne vous doutez pas de mon engagement de traduire en action tout ce qui concerne la mise en œuvre à mon niveau de toutes les propositions et même au niveau des collaborateurs placés sous mon autorité”, a-t-il confié.
Le professeur Tony Mwaba Kazadi a rappelé qu’il a été porté à la tête du ministère de l’EPST pour accomplir deux missions principales : la consolidation et la pérennisation de la gratuité de l’enseignement primaire public et la lutte contre toutes sortes d’antivaleurs.
“Au jour d’aujourd’hui la gratuité est effective, par ce qu’elle n’est plus une lettre dans la Constitution. Elle est vécue sur le terrain. Tout ce qui reste à faire, c’est chercher à consolider et à pérenniser cette réforme par un certain nombre de mesures d’accompagnement”, a dit le professeur Tony Mwaba.
Le patron de l’EPST a souligné aussi que l’accord spécifique signé entre le gouvernement de la République et l’Église Catholique n’a pas supprimé la gratuité, non plus le rôle du Ministre dans le sous-secteur. D’où, il a appelé tous les coordinateurs des écoles catholiques, qui sont tous des gestionnaires des établissements scolaires, à respecter cet engagement.
Concernant la lutte contre antivaleurs, le professeur Tony Mwaba a expliqué la nécessité de cette démarche qui consiste à traquer tous ceux qui faisaient de l’EPST un secteur marchand, des acteurs qui n’avaient pas de vocation à l’instruction des enfants mais animés par le souci de se faire de l’argent.
“Les gens ne peuvent pas venir blaguer dans un secteur comme celui-ci. Il faut donc une rigueur sérieuse, car l’éducation c’est la seule richesse qu’on peut léguer aux enfants”, a déclaré le ministre.
Faisant un parallélisme avec les épreuves certificatives qui approchent, le numéro 1 de l’EPST a appelé les coordinateurs des écoles catholiques à appliquer le règlement lors du déroulement de l’Examen d’État et à pousser les finalistes à travailler pour obtenir des bons résultats, loin de la fraude qui fait partie des antivaleurs.
Complétant les propos du Ministre, l’Inspecteur Général de l’EPST a insisté sur des stratégies à monter pour éradiquer la fraude et la tricherie dans le sous-secteur de l’EPST.
“Tous ceux qui participent à la fraude (surveillant, enseignant et élève), doivent être sanctionnés sévèrement pour servir d’exemple aux récalcitrants”, a dit Jacques Odia Musungay.




Clôturant sa mission d’appui à la Rdc: Dr. Anja Giphart d’EGPAF plaide pour la réduction de l’âge du consentement au dépistage

La Vice-Présidente exécutive de la Fondation Elisabeth Glaser, spécialisée dans la prise en charge du VH/SIDA pédiatrique, le Docteur Anja Giphart, a plaidé pour la réduction de l’âge du consentement au dépistage pour les adolescents, qui légalement ne peuvent se faire dépister qu’à 18 ans.
« (…) notre plaidoyer est axé sur les enfants et les jeunes car ils sont souvent oubliés. Il y a encore des obstacles importants pour réduire l’écart entre les adultes et les enfants en termes d’atteinte des droits (…). Selon l’ONUSIDA, en République démocratique du Congo l’écart de traitement entre les adultes et les enfants est si important. 90% pour les adultes et 38% pour les enfants. La Ptme est estimée à 61 %. Par conséquent, je voudrais solliciter votre attention et action pour ce qui suit : l’âge légal de consentement au dépistage au VIH est toujours fixé à 18 ans ici en Rdc. Ce qui entrave considérablement les services de dépistage pour les adolescents. De nombreux pays ont surmonté cet obstacle et donc j’aimerais demander votre aide pour la Rdc pour que l’âge de consentement soit réduit à 14 ans », a plaidé la Vice-président exécutive d’EGPAF. C’était lors d’une réception organisée le mardi 25 avril 2023, en présence de plusieurs autorités congolaises et des partenaires nationaux et internationaux œuvrant dans le secteur de la santé.
La Vice-président exécutive d’EGPAF s’est réjoui du fait que la République démocratique du Congo fasse partie de l’Alliance mondiale pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants, initiée lancée le mardi 2 février à Dar es Salam en République unie de Tanzanie. Ce qui est un point solide dans la lutte contre le VIH/SIDA pédiatrique, même si le pays est confronté à de nombreux défis en matière de santé. « Et que le VIh n’en est qu’un parmi tant d’autres », a-t-elle souligné.
S’exprimant à son tour, le directeur du Programme national de lutte contre le VIH/SIDA (PNLS), le Docteur Aimé Mboyo, représentant le ministre congolais de la Santé publique, s’est réjoui à son tour de cette visite de la Vice-présidente exécutive d’EGPAF, qui intervient dans un contexte particulier au niveau international marqué par le lancement de l’Alliance globale alors qu’au niveau national le pays fait face à la guerre d’agression dans sa partie orientale.
« … il faut relever que le Gouvernement de la République fait face à une guerre d’agression dans sa partie orientale, qui prive de milliers de femmes et d’enfants l’accès à des services de santé y compris les services de prévention. A travers cette visite, vous avez eu à échanger avec les différents acteurs, prestataires de soins, acteurs communautaires, les partenaires. Nous voudrions donc tout en saluant cette visite, vous inviter certainement parce que vous avez pris connaissance de nos efforts mais aussi des défis, à faire le plaidoyer à haut niveau puisque la Fondation en est capable de pouvoir porter la voix aux côtés des autorités congolaise mais aussi des différents partenaires techniques et financiers qui sont avec nous ici à cette réception », a déclaré le Directeur du PNLS d’un ton monté, avant d’atterrir pour souligner ceci : « La Fondation Elisabeth Glaser est l’un des partenaires sérieux pour la République et en particulier pour le ministère de la Santé publique, au nom donc du ministre je voudrai saluer ce partenariat et vous inviter encore à faire davantage comme vous le faisiez avant pour que la lutte contre le VIH pédiatrique soit éliminé d’ici 2030 ».
La Fondation Elisabeth Glaser est l’un des partenaires clés du gouvernement congolais. Et sa mission, a dit son Directeur Pays, le Docteur Aimé Mboyo Loando, est de contribuer à mettre fin au VIH/SIDA chez les enfants, les jeunes…
Outre Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, la Fondation Elisabeth Glaser intervient dans cinq provinces, à savoir : Le Haut Katanga, le Lualaba, le Sud Kivu, le Kasai Oriental, la Tshopo. Ce, en collaboration avec le ministère congolais de la Santé publique et grâce au support technique et financier de : Pepfar, Usaid, Cdc… « Malgré notre paquet complet, les enfants constituent une grande priorité pour nous. Les enfants et les jeunes », a rappelé le Directeur-Pays d’EGPAF en Rdc.
Soulignons que c’est depuis 2001 que cette Fondation soutient le ministère congolais de la Santé publique et son Programme national de lutte contre le VIH/SIDA (PNLS).
Prince Yassa




En présence de la Première Dame Denise Nyakeru: Tony Mwaba procède à la remise officielle des diplômes d’État de l’édition 2015

Ça y est ! Les diplômes d’État de l’édition 2015 sont déjà disponibles au profit des récipiendaires. Ce mercredi 26 avril 2023, le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a fait le déplacement du Complexe Scolaire La Grâce dans la commune de Kinseso pour la remise officielle des diplômes d’État de l’édition 2015 et la remise des actes juridiques de l’école maternelle, primaire et de l’Institut La Grâce, en présence de la Première Dame de la République, Denise Nyankeru Tshisekedi.

La Grâce, une école réhabilitée grâce à l’implication personnelle de Madame Denise Nyakeru, épouse du Chef de l’État. Une cérémonie riche en couleur au bonheur des centaines de milliers de jeunes et élèves. C’est aux alentours de 10h30 que les hostilités sont lancées.

Premier à prendre la parole, indique une dépêche parvenue à notre rédaction, l’élève Manu Kayisa a, dans son bref mot de circonstance, remercié la Première Dame et lui a souhaité la bienvenue.

Pour sa part, le Directeur de l’EP la Grâce qui s’est réservé de long discours, a fait savoir que la Première Dame, outre le financement de la réhabilitation de ce complexe, elle s’est fait le devoir de suivre l’évolution des travaux jusqu’à sa remise en service. Un motif de remerciement pour le personnel de l’école maternelle, primaire et secondaire la Grâce.

Le Président de l’ANAPECO, M.Diatezua a également remercié la Première Dame tout en lui promettant le soutien des parents d’élèves de toute la République dans sa mission.

Grâce à la gratuité de l’enseignement primaire publique, plus de 5 millions d’enfants ont retrouvé le chemin de l’école. Et pour cela, les parents d’élèves et étudiants de la RDC lui rendront l’ascenseur au moment venu.

S’en est suivi le discours du Ministre de l’EPST, le Professeur Tony Mwaba Kazadi qui d’entrée de jeux, a rendu un vivant hommage à la Première Dame qui s’est donnée corps et âme pour réaliser cette œuvre qui permet désormais à 834 élèves de ce complexe d’étudier dans des bonnes conditions comme en est le cas des nombreuses écoles du centre-ville. Une école construite selon les normes dans une commune urbano-rurale.

Il a également remercié le Chef de l’État, le Président Félix Tshisekedi pour sa détermination à offrir aux enfants congolais un cadre propice pour leur apprentissage.

Par la même occasion, le Ministre Tony Mwaba Kazadi a annoncé la mécanisation et la paie des enseignants de ce complexe et l’octroi des frais de fonctionnement, question de permettre aux enseignants d’être à l’abri des multiples besoins qui pourraient ralentir l’essor dans cette contrée.

Il a cependant demandé aux gestionnaires de ce complexe d’imprimer une gestion orthodoxe et harmonieuse pour permettre à ce que les générations futures de cette commune d’étudier dans des bonnes conditions que leurs ainés.

Occasion faisant le larron, le ministre Tony Mwaba Kazadi a annoncé la disponibilité de plus de 368 mille diplômes d’État au bénéfice des enfants qui ont attendu 8 ans pour s’en procurer. Ce, grâce à l’implication personnelle du Chef de l’État.

Un échantillon de 4 récipiendaires reçoivent les diplômes

Moment tant attendu, la remise des diplômes d’État. Aux mains du Ministre Tony Mwaba, un échantillon de 4 récipiendaires concernés représentants tous les élèves de la RDC ont reçu les leurs.

Faisant d’une pierre deux coups, le Professeur Tony Mwaba, Ministre de tutelle a remis les actes juridiques de l’école à la Première Dame qui à son tour les a remis au Directeur de l’EP la Grâce. Un acte sanctionnant ainsi la fin de la cérémonie.

Se livrant à la presse, le préfet de l’Institut La Grâce a remercié le Président de la République, son épouse et le Ministre de l’EPST pour s’être impliqués, d’une part pour la réhabilitation et d’une autre pour la mécanisation des enseignants de ce complexe.

“Les mots même me manquent pour exprimer ces sentiments. Mais, ça ne peut rien d’autre être que les sentiments de joie et d’allégresse. Nous remercions d’abord le Président de la République, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour s’être impliqué dans la situation de notre école et aussi son épouse, la Première Dame qui est venue inaugurer cette école, et c’est elle aussi qui revient pour que nous recevions officiellement l’arrêté ainsi que la Mécanisation. Nous ne pouvons pas non plus oublier le Ministre de l’EPST, Monsieur Tony Mwaba Kazadi. Que Dieu les bénisse tous”, a-t-il dit.

Il sied de signaler que plusieurs autorités politico-administratives étaient présentes à cette cérémonie notamment le Ministre provincial de l’EPST, Charles Mbuta Mutu et le Secrétaire général de l’UDPS, Augustin Kabuya.

JMNK




Le 22 avril courant à la Communauté musulmane Ahmadiyya/Grand Bandundu : La fête d’Aïd-ul Fitr marquant la fin du Ramadan célébrée dans la solidarité

La fête d’Aïd-ul-fitr qui marque la fin du Ramadan a vécu. A propos, la   Conformément aux enseignements du livre saint des musulmans, le Coran, et du prophète Muhammad, la communauté musulmane Ahmadiyya en RDC (Comaco) a organisé plusieurs programmes humanitaires dans tous les coins du pays, montrant ainsi l’esprit philanthropique de cette communauté religieuse tel que recommandé par son fondateur Hazrat Mirza Ghulam Ahmad, dans un de ses couplets écrits en langue persane : « Mon désir, mon souhait et mon objectif sont au service de l’humanité. C’est mon travail, ma foi, mon inspiration et mon chemin ».

Le missionnaire du Comaco/grand Bandundu, Farid Ahmed Bhatti, a confié à la presse que sa mission a distribué des produits alimentaires (huile végétale, foufou, maïs, riz, spaghetti, savon en poudre, savon de toilette, thé, sucre, boîte de tomate, biscuits dans le territoire de Mushi, Nioki, Kwamouth, Bandundu-ville et Gemena (Sud Ubangi). Il a estimé à 6 milles le nombre des bénéficiaires de ces programmes. Ces programmes, a noté le missionnaire du Comaco/Grand Bandundu, ont été organisés par la Communauté musulmane Ahmadiyya et son ONG « Humanity First ».

Parmi les bénéficiaires de ces programmes figurent des nécessiteux, des orphelins, des vieillards et des handicapés, sans distinction de race ou de religion ainsi que les réfugiés du conflit de Kwamouth et les prisonniers de la Prison Cinquantenaire de Bandundu. En plus, la Comaco/Grand Bandundu a également aidé financièrement des centaines de personnes (étudiantes, malades et nécessiteuses).

Cette journée est célébrée pour rendre grâce à Allah pour les bénédictions accordées à tous les fidèles au cours du Ramadan. Pendant cette fête d’Aïd-ul-fitr, à l’accoutumée, les musulmans ont assisté au service de prière de la congrégation de l’Aïd qui a lieu le matin. Ils ont porté de nouveaux vêtements, cuisiné des plats délicieux et invité amis et voisins à cette célébration.

Il est également noté que le jeûne, qui est le troisième pilier de l’Islam, n’est pas à considérer pendant le Ramadan comme un fardeau inutile. « Il inspire la sympathie pour les affamés et les nécessiteux, et encourage les musulmans à faire un don généreux aux pauvres ». C’est dans ce contexte que la Communauté musulmane Ahmadiyya du grand Bandundu a visité la prison du cinquantenaire de cette partie de la RDC et remis des vivres aux 450 pensionnaires de la prison.

Très ému, le directeur de cette maison pénitentiaire, Danny Kilanga Muyumba, a remercié la Comaco et salué ce geste de solidarité.

Payne