EPST: les syndicalistes au ministère du Budget pour tirer au clair les dossiers des primes dont la dénommée Equity

Les dossiers liés au paiement de la prime de la gratuité et celle d’encadrement de la paie, a une fois de plus fait objet d’une réunion entre le Caucus des syndicalistes et les autorités du ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, ce lundi 27 mars 2023.

Dans la salle des réunions du Cabinet de l’EPST, les syndicalistes étaient venus évaluer l’avancement de ces dossiers qui avaient occasionné, dans un passé récent, des mouvements de soulèvement des bénéficiaires de ces primes.

A l’absence du professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’EPST en mission à Londres, Mme le Vice-ministre de l’EPST Aminata Namasia Bazego a dirigé de main de maître cette rencontre dans un climat de paix et de convivialité.

Sous sa supervision, accompagnée notamment du Secrétaire général a.i à l’EPST, de la DINACOPE et d’autres Experts de l’EPST, il a été rappelé aux syndicalistes que lors de la dernière réunion, le Sous-gestionnaire des crédits au Secrétariat général avait indiqué qu’au 31 décembre 2022, le ministère des Finances avait annulé toutes les demandes de paiement car arrivées à la date échue. S’y référant, le ministre Tony Mwaba avait alors réengagé les dossiers pour leur exécution. Il se trouve alors que jusqu’à présent, le dossier traîne au niveau du ministère du Budget.

Les syndicalistes étant éclairés de la situation, ont décidé de se rendre au Budget pour tirer les choses au clair. Une démarche approuvée par Mme le Vice-ministre Aminata Namasia qui s’est décidée d’accompagner la délégation.

Sur place au ministère du Budget, les syndicalistes se sont rendus seuls de la réalité. Le Vice-ministre au budget, assumant l’intérim du ministre d’Etat en mission, n’a pas hésité un seul instant pour signer les états liquidatifs de la prime d’encadrement de la paie par les Services centraux de l’administration qui ont été directement envoyés au Ministère des Finances pour les mois de novembre et de décembre 2022. En ce qui concerne les trois premiers mois de l’année, le dossier est sur la table de Mme le Vice-ministre pour un nouvel engagement.




Selon l’UNICEF: Le conflit dans l’Est de la Rdc a un impact dévastateur sur l’éducation des enfants

L’éducation d’environ 750 000 enfants a été perturbée dans les provinces du Nord-Kivu et d’Ituri, deux provinces les plus touchées par le conflit dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC).
De nouveaux chiffres publiés par l’UNICEF montrent qu’entre janvier 2022 et mars 2023, au moins 2 100 écoles des provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri ont été contraintes de cesser leurs activités suite à la détérioration de la situation sécuritaire.
L’insécurité a particulièrement affecté près de 240 000 enfants récemment déplacés qui vivent dans des vastes camps autour de Goma. La violence des groupes armés a forcé des milliers de familles à quitter leurs domiciles en quête de sécurité, empêchant ainsi leurs enfants d’aller à l’école.
« Les enfants en âge scolaire paient un prix inacceptable à cause du conflit et de l’insécurité croissante dans l’est de la RDC », a déclaré Grant Leaity, représentant de l’UNICEF en RDC. « Des centaines de milliers d’enfants qui devraient apprendre en toute sécurité à l’école ont au contraire été déplacés suite à la violence et vivent dans des conditions déplorables, dans de vastes camps surpeuplés ».
L’ampleur de la crise signifie que la majorité des enfants qui vivent dans les camps de déplacés ne peuvent pas du tout aller à l’école. Seule une minorité d’enfants peuvent accéder à des « Espaces amis des enfants » soutenus par l’UNICEF ou à des Centres d’apprentissage temporaires.
Il existe peu d’installations permettant aux enfants déplacés de passer leurs examens de fin d’année en juin et d’obtenir leurs résultats.
Les chiffres collectés par un groupe de coordination de l’éducation dirigé par l’UNICEF composé d’autorités nationales, de réseaux d’ONG locales et internationales au Nord-Kivu et en Ituri, renseignent que 119 écoles ont été attaquées, occupées ou temporairement utilisées par des groupes armés ; Près de 1 700 écoles ont été contraintes de fermer en raison de l’insécurité persistante (principalement parce qu’elles se trouvent dans des zones contrôlées par des groupes armés) ; Près de 300 écoles ne peuvent pas fonctionner car elles sont utilisées comme abris par des personnes déplacées suite aux conflits ; Des chiffres distincts de l’ONU publiés plus tôt cette année indiquent que le conflit dans l’est de la RDC a causé le déplacement de plus de 5,3 millions de personnes, avec plus de 800 000 personnes forcées de fuir leurs foyers dans le seul Nord-Kivu depuis le début de la crise du M23 en mars 2022.
L’UNICEF soutient la construction d’espaces d’apprentissage temporaires et fournit du matériel scolaire aux élèves, en plus de former les enseignants sur des sujets pertinents, y compris le soutien psychosocial des enfants.
En mars 2023, l’UNICEF a également fourni des fournitures éducatives et récréatives à plus de 10 320 élèves déplacés et de la communauté d’accueil à Bunia, capitale de la province de l’Ituri, faisant suite à une précédente distribution de chaises et de tables pour les enseignants.
L’UNICEF s’est engagé à tenir à jour un aperçu des fermetures d’écoles et des attaques contre les écoles dans l’est de la RDC afin de connaitre le nombre exact d’enfants privés d’éducation.




Projet PROADER : La BAD supervise les activités dans le Kongo Central

La Banque Africaine de Développement (BAD), partenaire financier du Gouvernement congolais, continue sa mission de supervision des projets qui bénéficient de son appui en République Démocratique du Congo. Parmi ces projets figure en bonne place le Projet d’Appui au Développement Intégré de l’Economie Rurale (PROADER) encré au ministère du Développement Rural. Cette fois-ci ce sont les activités de l’Opérateur Agricole Layuka sous contrat avec le PROADER pour la production de la farine panifiable à base de manioc, notamment qui ont été visées dans le Kongo Central. Deux présences remarquables du côté Congolais dans cette mission, celle du Conseiller Spécial du Chef de l’Etat et coordonnateur de la Cellule d’Appui au Programme d’Urgence Intégré pour le Développement Communautaire (CAPUIDC), Philippe Ngwala ainsi que celle de Elvis Pekeyabo, Secrétaire général au Développement Rural et Président du comité de pilotage du PROADER.  

 

Le travail abattu par la Société Layuka à travers notamment l’ASBL « Nouvelle vie » dans la périphérie de la cité de Kimpese dans le territoire de Songololo au Kongo Central, a donné satisfaction à la mission de supervision de la BAD venue pour se rendre compte des réalisations du Projet PROADER dans la province de Simon Kimbangu. Le Professeur Sampasi Loko, chef de cette mission de la BAD et Task manager du PROADER a apprécié à sa juste valeur le travail que réalise ce projet du Gouvernent aux bénéfices des populations rurales de ce coin du pays.

Sampasi Loko est également revenue sur les dernières descentes de la mission de supervision de la BAD dans l’espace grand Bandundu. Dans le Kwango, plus de 1000 hectares de manioc sont visibles au parc de Bukanga Lonzo et environs. Selon lui, la délégation de la BAD a eu à palper la farine de manioc panifiable lors de la visite de l’usine qu’exploite ECOSAC.

Pour le Conseiller Spécial du Chef de l’Etat et Coordonnateur de la CAPUIDC, Philippe Ngwala, le PROADER vient là de concrétiser la vision du Chef de l’Etat congolais Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo, car les champs de manioc sont visibles et les populations rurales se retrouvent dans ce projet.

Même son de cloche du côté du Secrétaire général au Développement Rural et Président du Comité de Pilotage du projet PROADER, Elvis Pekeyabo Nzibukira. Ce dernier a, en outre, remercié le ministre d’Etat, ministre du Développement Rural qui a cru à ce projet et à ses dirigeants pour arriver ce jour à ces résultats spectaculaires.

Selon les informations recueillies auprès de Carol Nzore Mozunge, Expert en Communication du PROADER, l’Opérateur Layuka est lié à ce projet du Gouvernement par une convention pour la production de manioc et par un contrat visant essentiellement la production de la farine panifiable à base du manioc en vue de juguler la pénurie de la farine de blé suite aux conflits armées Russo-Ukrainiens. Dans l’ensemble, le privé Layuka devra réaliser 2600 hectares de manioc dont 1000 hectares pour le manioc panifiable et 7500 des tonnes de farines de manioc panifiable attendus, a-t-il précisé.

Cependant, il y a encore des défis à relever notamment la production à grande échelle de cette farine panifiable à base de manioc. Ce qui nécessite pour les opérateurs agricoles l’acquisition d’autres usines de transformation à installer non loin de champs car les tubercules de manioc récoltés doivent impérativement atteindre l’Usine endéans 48 heures.

Soulignons que cette mission de supervision de la BAD au Kongo Central s’est clôturée par la visite de l’usine de transformation de Manioc de Layuka où elle s’est imprégnée une fois de plus du processus de transformation du manioc en farine panifiable.

Il sied de préciser qu’un aide-mémoire sanctionnera la fin de cette mission de supervision des activités du PROADER dans ses zones d’interventions avec des recommandations adéquates pour la bonne marche du Projet.

 

 




Nouveaux prix de transport : Les chauffeurs de frottent les mains, la population abandonnée

Le gouvernement provincial de la ville province de Kinshasa a signé, le 22 mars, un nouvel Arrêté fixant le prix de transport en commun. Ceci est en fait un réajustement du premier Arrêté boudé par la majorité des conducteurs soutenant que cela n’avait pas pris en compte la réalité sur terrain.

C’est ce qu’a dit Chardin Ngoie, Coordonnateur de la Synergie des associations pour la défense des droits des chauffeurs et pour la promotion du civisme routier (SADDCPCR).

Ce dernier a salué les échanges qui ont eu lieu autour des autorités provinciales avec d’autres acteurs impliqués dans le secteur pour arriver à ce nouvel Arrêté et il a promis de mettre à profit sa structure pour la sensibilisation afin que les prix fixés soient respectés par tous les chauffeurs.

Dans ce nouvel Arrêté, l’Hôtel de ville de ville a par exemple fixé à 1500 FC, la course allant de l’UPN jusqu’au marché central, ce qui est devenu un coup dur pour la population de la capitale qui se dit victime de tous moment et surtout de la hausse du prix dans plusieurs domaines.

Selon ces Kinois, l’hôtel de ville n’aurait pas accepté de sacrifier la population au profit d’un petit nombre de gens.

“Nous ne sommes pas contents de ce que le gouvernement provincial a fait. Sortir un Arrêté et ressortir l’autre dans peu de temps apparaît comme un coup dur pour nous qui subissons chaque fois. Nous déplorons ceci car chaque fois qu’il faut réglementer, c’est toujours à la hausse”, a dit un des passagers sur l’arrêt Kingabwa.

Signalons que cette nouvelle tarification s’applique aux bus, minibus et taxi-bus, les bus esprit de vie ainsi que les taxis collectifs (voiture Ketch ou autres).

Par ailleurs, Chardin Ngoie, défenseur des chauffeurs déplore le manque de respect de la décision du gouverneur par l’ACCHACO, en ce qui concerne la gestion des parkings.

 

Ces derniers, d’après la dernière décision de l’autorité provinciale, sont redirigés dans les parkings de marchandises, alors que l’ACCO est chargée d’assurer la gestion dans les parkings des personnes.

Jean-Luc Lukanda




Tshimpumpu wa Tshimpumpu fut le premier journaliste sportif ministre des Sports

Jadis, au cours des années ’80, le célèbre journaliste sportif africain et grand chroniqueur des Sports de notoriété internationale accéda aux fonctions ministérielles à l’ex-Zaïre.

Il avait plu, en effet, au Maréchal Mobutu de nommer Lucien Tshimpumpu wa Tshimpumpu, ministre de la Jeunesse, des Sports et Loisirs. Tout le pays fut en liesse. C’était une explosion de joie !

A l’unanimité, tous crurent que, comme sur une baguette magique, les solutions étaient trouvées pour les Sports congolais.

Tshimpumpu était toujours très critique vis-à-vis de ses prédécesseurs Kibasa Maliba, Sampasa Kaweta Milombe et autres. Sans oublier les responsables de la Fécofa, Loango Belua, Mpembele Mimile et Tambwe Musangelu.

La suite ? Je préfère vous laisser à l’écart de tout cela. Car, même Kabamba Odia, l’arbitre international qui lui succéda sombra dans les délices de Capoue.

Seul Tshimbombo Mukuna fut mieux avec nos basketteuses.

Alors, pourquoi vouloir tromper l’opinion avec l’affirmation selon laquelle Kabulo est le premier journaliste sportif à accéder à ce poste?




Marie Olive Lembe Kabila met la main à la poche pour soutenir la coopérative Sisi Wote

Marie Olive Lembe Kabila qui jette un regard particulier à celle qu’elle appelle “Gagnent petits”, c’est à dire elle soutient nos mamans qui émergent, celles qui se battent, qui rivalisent dans les différentes fonctions réservées jadis aux hommes. “J’ai entendu dire, que les hommes sont les fils ainés de notre Dieu le Père. C’est vrai, mais n’oubliez pas, qu’à la création Dieu a endormi l’homme pour nous livrer un secret comment gérer ces hommes-là. C’est pourquoi nous les femmes sans les hommes nous ne valons rien, vice versa.

Dans cette optique, Marie Olive Lembe Kabila en appelle aux hommes et aussi aux dirigeants actuels de réaliser les différentes promesses en ce mois de la femme. Nous avons beaucoup entendu les discours de soutient de nos dirigeants sur l’émancipation de la femme, mais lorsqu’il s’agit de partage de postes, surtout les postes de responsabilité aux fonctions étatiques, vous avez constaté à ce dernier gouvernement, la femme est reléguée au second degré ; le quota n’est pas respecté. Lorsqu’il s’agit des partages des postes, les hommes nous étouffent. Cela est prouvé depuis longtemps que les mamans ont prouvé qu’elles ont le souci, l’intérêt de l’éducation des enfants et le bienêtre de nos familles respectives”, a souligné Marie Olive Lembe Kabila. Ceci explique cela, que la femme malgré la perte de son époux, elle est à même de garder la nourriture sous le lit pour ses enfants.

Par ailleurs, elle invite toutes les femmes à militer pour la parité, à atteindre 50% de chance par rapport aux fonctions de responsabilités étatiques. En outre, elle ne cesse de les encourager, les soutenir dans l’objectif d’avoir la couleur zébrée des postes aux fonctions de responsabilité et prouver que lorsque la parité sera de mise, beaucoup de choses vont s’améliorer. ” Aux hommes, sachez ceci, lorsqu’une femme est autonome, indépendante financièrement, vous serez épargnés des Accidents Cardiovasculaires ; vous aurez une longue vie. C’est justement vous épargner de toutes les petites demandes ménagères et tous les besoins de la maison ne peuvent pas être résolus par les hommes seuls. C’est pour cette raison, que nous devons continuer notre plaidoirie d’atteindre la parité en vue d’épargner nos hommes de maladies provoquées par le choc émotionnel”, a-t-elle souligné.

Et de rappeler toujours, que les armes d’un croyant c’est la prière et les munitions de maman sont les productions. Ceci justifie cela, qu’il faut toujours se rappeler de la recommandation de M’Zée Laurent Désiré Kabila qui parlait de l’auto prise en charge et que les femmes doivent s’inscrire dans cette dynamique de se battre pour atteindre cette auto prise en charge à 100% avant que l’homme ne puisse prendre n’importe quelle décision.

“Nous avons été enseignées que nos fils ainés sont nos maris. Nous avons intérêt de les protéger, de les bercer etc.”

A ce jour, pour soutenir les femmes qui se réveillent tôt le matin, celle qu’on appelle Gagne petit, Marie Olive Lembe Kabila a mis la main à la poche avec le concours de son cher époux, mis à la disposition de la coopérative SISI WOTE une somme de 100.000 dollars, un soutien qui vient du plus profond de leur coeur par rapport aux dividendes tirées de leurs travaux de champs. C’est dans la transparence que Marie Olive Lembe Kabila travaille pour éviter toute suspicion.

Je dis ceci, fait-elle remarquer l’équipe de IPOLK avec les autres partenaires de coopératives, des associations, nous travaillons dans la transparence totale. Ceci dit, qu’aujourd’hui vous n’avez pas produit comme vous le faites chaque jour parce que, je sais que nombreuses d’entre nous vivent au taux du jour. C’est notre mois, est ce mois nous ai dédié, mais chaque mois est les nôtre puisque chaque jour nous produisons pour nourrir nos enfants et nos maris. Je serais ici toute la journée pour me rassurer que chacune de vous à mis quelque chose dans la bouche et obtenu quelque chose.

Si le Christ avec trois pains et deux poissons a opéré un miracle de nourrir plus de cinq mille hommes et femmes, Marie Olive Lembe Kabila en ce jour de la clôture du mois dédié à la femme, avec les produits de ses champs, ce que ses mains ont produit a pu nourrir plus de 5000 femmes. C’est ce que témoigne Mme Ladiane Nyembo en ces termes : Ce qui est vrai, pour nous c’est une joie, et c’est un miracle. La journée à bien commencé avec la bénédiction divine et notre Maman Olive Lembe Kabila vient de faire un repas d’agapè. Nous avions invité 2500 personnes ; à notre grande surprise on ne sait pas comment les gens ont su, nous paniquions, nous avons intercédé auprès du seigneur comme allons-nous nous en sortir puisque Maman sert personnellement la nourriture. Si la nourriture se terminait qu’allons-nous faire Seigneur ? Nous avons intercédé, et Dieu reste le Tout Puissant. Imaginez que tout le monde a mangé. Tout ce qui étaient prévenus comme recette et fruit tout le monde a été servi. A notre grande surprise, la nourriture est là et on commence à faire appel aux autres de venir manger. On cherche le miracle, mais nous venons de vivre le miracle de Canan des enfants de Dieu. Que notre Dieu bénisse notre Maman Olive avec son grand cœur. Que Dieu bénisse les Mamans de Kipushi qui ont préparé ; aujourd’hui nous avons mangé la nourriture de Kipushi. Imaginez la nourriture qui vient de 30 Km, quelle mobilisation, nous avons valorisé notre milieu rural au-delà de service traiteur de renom de Lubumbashi”, a témoigné Madame Ladiane Nyembo.

Somme toute, les hommes genrés ne sont pas restés en marge. Que de fleurs, que de bénédiction à cette Femme exceptionnelle. Oui ! J’ai entendu dire qu’Olive Lembe Kabila c’est cette Force Exceptionnelle Multidimensionnelle qui Maintient l’Equilibre (FEMME).

De Goma, en passant par Bukavu et Kaziba, l’honneur revient à la province du Haut Katanga où elle a honoré encore cette femme rurale. Bien que les demandes fusent de la voir dans les autres provinces portées la voix de sans voix rurales, Marie Olive Lembe Kabila reste une référence du développement à la base ; de cette considération de l’être faible.

Les réseaux sociaux ne sont pas restés en marges. Que des éloges. Là où les unes et les autres se disputent les mines, l’épouse de Joseph Kabila prêche la revanche du sol sur les mines :

Marie Olive Lembe Kabila, femme aux mille bras, après avois distribué des pagnes à plus de 5000 femmes ayant participé au lancement du Programme de renforcement des capacités financières SISI WOTE, elle leurs a personnellement servi le repas.

A l’occasion de la clôture du mois de la femme dans la ville de Lubumbashi, Marie Olive Lembe Kabila, épouse du Sénateur Joseph Kabila partage un repas de cœur avec ses convives dans la salle Monté Carlo au Golf Plateau.

Nous devons décourager la politique démagogique, faisant des promesses fallacieuses sans réaliser une seule. Au nom démon mari Joseph Kabila, nous mettons à votre disposition 100.000 dollars pour soutenir les projets des femmes au sein de la coopérative SISI WOTE.

Marie Olive Lembe Kabila annonce que le Sénateur à vie et son cher époux, Joseph Kabila va débloquer une somme de 100.000 dollars pour soutenir les projets des femmes au sein de la coopérative SISI WOTE installée à Lubumbashi.

Elle est une force et un symbole pour la femme congolaise. Marie Olive Lembe Kabila lance ce samedi 25 mars à Lubumbahsi le programme SISI WOTE, programme à travers lequel elle va aider plus de 1500 femmes exerçant le petit commerce dont le capital varie entre 20.000 fc et 100.000 fc.

Partout où elle passe, elle console les âmes et soulage les cœurs brisés. Pas avec une mobilisation réduite et résumée à une salle climatisée d’une province minière. Elle est partout, même dans les provinces à haut risque.

Le mois de mars se clôture sous une note d’espoir pour les femmes de Lubumbashi exerçant les petits commerces dont le capital varie entre 20.000Fc et 50.000 fc. Elles vont bénéficier ce samedi d’un soutien financier de Marie Olive Lembe Kabila grâce au programme SISI WOTE

Goma, Bukavu, Kaziba…comme une pélerine, Olive Lembe Kabila multiplie sacrifice et voyages pour soulager ses compatriotes. A Kinshasa, le couple jouisseur coule champagne et Tembo, invite JB Mpiana et danse, sans vergogne. Ba bijoux Kiyika, feti na feti. Couple à pétage, vivement leur départ.

En sus, elle n’a jamais bénéficié d’une faveur de l’Etat, ni occupé une fonction étatique. Seulement son cœur bat pour le démuni. C’est avec raison, elle se dit, si les prétendus 680.000 dollars mensuels seraient réellement versés à son mari comme les mauvaises langues ne cessent de colporter, elle construirait école ; orphelinats, centre de santé ; cultivait autant d’hectares de champs. Elle a seulement ses bras pour faire les champs, partage selon ce que son cœur lui dicte. C’est en ceci que se résume sa devise : Tenda mema pita ndjiya zako. C’est à dire, le chien aboie la caravane passe.

N’en déplaisent aux mauvaises langues.

Depuis Lubumbashi, dans le Haut Katanga, Pius Romain Rolland




Clôture du mois de la femme : Marie Olive Lembe Kabila lance le programme “Sisi Wote”

Pari gagné pour Chimène Zema Mercedes, Coordonnatrice Ipolk Haut Katanga. Au nom de Marie Olive Lembe Kabila, elle a offert à l’hôpital Provincial Jason Sendwe, un groupe électrogène de 55 Kwa, question de pallier les difficultés liées à l’énergie électrique qui paralyse le fonctionnement de cet établissement hospitalier de renom. Elle a été accompagnée de Nasson Kubuya Ndole, dit Kundos Coordonnateur national de IPOLK dans cette démarche philanthropique, au nom de la Présidente Nationale Marie Olive Lembe Kabila.

La journée de samedi 25 Mars 2023 était toute particulière. Sous des tentes pleines comme un oeuf de la salle Monte Carlos à Lubumbashi, Marie Olive Lembe Kabila a réuni plus de 5000 femmes, dans le cadre de la clôture du mois de la femme, ouvert à Goma, dans le Nord-Kivu depuis le 08 Mars dernier.

A Lubumbashi, l’épouse de Joseph Kabila a lancé officiellement le programme de renforcement des capacités financières des femmes. Ces dernières réunies en coopérative, elles ont sollicité l’appui financier de celle dont l’humanité entière ne cesse d’aduler et d’appeler affectueusement “Mama wa rohoo”.

En bonne chrétienne, Marie Olive Lembe Kabila peu avant le lancement officiel dudit programme, a organisé une messe d’ouverture question de ne pas directement céder au lancement de ce programme. Il ressort de l’enseignement de l’officiant du jour tiré de l’épitre de Saint Paul aux Philippiens et l’évangile de Saint Matthieu. L’Abbé a encouragé les femmes qui travaillent, qui se réveillent tôt le matin, celles qui prennent en charge leurs foyers, à fructifier leurs économies. Car, la femme est le socle de la maison, elle est comparable à la personne qui bâtit sa maison sur le roc, quelles que soient les intempéries, la maison ne s’écroulera jamais, contrairement à celle qui bâtit sa maison sur le sable. Face aux intempéries, la maison s’écroule. En tant que Chrétien, notre Roc, notre Pierre est Jésus Christ, sur qui repose notre espoir.

Dans son allocution, Madame Chimène Zema Mercedes a insisté sur l’égalité pour l’éducation, la paix et l’autonomie des femmes et filles qui représentent 52% de la population. Elle l’a dit en ces termes : ” En cette période où le monde entier célèbre le mois dédié à la femme sous le thème : pour un monde digital inclusif : motivation et technologies pour l’égalité des sexes”, nous rappelons que l’éducation numérique égalitaire pour la paix et l’autonomie des femmes et filles en République Démocratique du Congo, n’est possible que si nous renforçons les capacités de ces dernières qui représentent 52% de la population et constituent une ressource importante qui ne peut être négligée; d’où le but de cette assise qui est le lancement du programme de renforcement des capacités financières des femmes comme levier économiques et vivier de l’émergence et moteur du développement de notre cher et beau pays afin de favoriser un monde où les femmes et les hommes vivent dans l’égalité et l’équité”, a-t-elle souligné.

Il faut rappeler que la Coordonnatrice provinciale de IPOLK/Haut Katanga croit dans la qualité de la femme parce qu’elle incarne une force tranquille qui est au-delà des forces visibles. “Les femmes jouent déjà un rôle capital pour la survie de ménages, comme notre Mama wa rohoo, elles sont majoritaires dans l’agriculture, secteur porteur de croissance et elles façonnent le devenir de la jeunesse congolaise, qui est l’avenir, elles sont donc des incubatrices dans la construction de la République Démocratique du Congo” a-t-elle renchéri. Ceci pour dire, qu’avec la bénédiction de Marie Olive Lembe Kabila, elle rappelle aux femmes qu’au-delà des choses normales, elles doivent travailler car, Dieu qui a créé les humains, a voulu qu’ils soient tous égaux, mais c’est le fruit du travail qui fait la différence aussi bien individuellement qu’entre nation.

Pour rappel, les femmes qui ont répondu favorablement à l’invitation de Marie Olive Lembe Kabila sont venues de quatre coins de la Province du Haut Katanga, a souligné Ladina Nyembo. Il y a celles qui se sont réveillées à 4h pour nourrir leurs familles. Elles ne vendent tout sauf rien pour subvenir aux besoins de leurs ménages.

De la théorie à la pratique, Ladiane Nyembo a précisé que la rêve d’hier, est devenu une réalité aujourd’hui grâce à Marie Olive Lembe Kabila. A l’entendre parler, malgré les meilleurs discours tenus dans ce pays pour éradiquer la pauvreté, rien ne s’améliore quel que soit le beau français de nos plaidoiries, par conséquent, la situation va de mal en pi et le beau français ne produit aucun résultat. De rappeler un adage qui dit “l’Union fait la force, la sollicitude entraine à la mort”. D’où, la nécessité de créer les structures de développement durables et ses mécanismes pour atteindre les objectifs millénaires de 2030, à savoir les mutuelles de santé ; les coopératives et les associations féminines bien organisées. Ces structures vont aider dans la communion de faire face à la pauvreté.

Qu’est-ce une coopérative ? C’est une association libre de personnes qui créent une entreprise économique, qu’elles gèrent, qu’elles dirigent et contrôlement démocratiquement pour la mettre à leur service et au service de la communauté. Elle est différente des ONG, de la ristourne, des associations culturelles…Elle est une entreprise que les hommes et femmes créent pour éradiquer la pauvreté. Elle réunit les différents domaines d’activités pour en tirer le bénéfice.

A ce jour, la Coopérative SISI WOTE compte en son sein plus de 5000 adhérentes.




Haut Katanga : Le 100eme anniversaire de la communauté hellénique célébré à Lubumbashi

La communauté grecque célèbre le 25 mars de chaque année, l’anniversaire de sa présence en République démocratique du Congo.

Pour ce samedi 25 mars 2023, la commémoration a concerné les 100 ans de la présence de cette communauté dans le pays de Félix Tshisekedi Tshilombo.

La question a été débattue au cours d’une rencontre entre le Gouverneur du Haut Katanga, Jacques Kyabula Katwe et l’Ambassadeur de Grèce accrédité en Rdc, Penny Fouti.

En outre, les deux personnalités ont échangé sur différentes opportunités d’investissement surtout dans le domaine de l’agriculture.

Il faut ajouter que cette célébration coïncide avec la commémoration de 400 ans de l’accession à l’indépendance de la Grèce.

Roger Ngandu wa Mitaba




Situation humanitaire en Ituri: plus de 720. 000 déplacés ont regagné leurs milieux d’origine

  1. Les villages des territoires d’Irumu, Djugu, Mahagi et Mambasa qui furent infestés par les groupes armés, sont de nouveau occupés par leurs habitants ayant fuit l’activisme des milices opérant dans la Province de l’Ituri.

Selon l’armée, Sept-cents vingt mille trois-cents déplacés (720.300) sont retournés dans leurs villages respectifs entre juin 2021 et janvier 2023.

Un retour au bercail, rendu possible grâce à la maîtrise des violences et la stabilisation de ces villages par les Forces Armées de la RDC, indique
le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole du Gouverneur et des opérations militaires de l’Ituri qui se félicite de ces résultats, tout en estimant que beaucoup reste à faire.

Sur un million cinq-cents déplacés, aujourd’hui nous comptons 720.300 personnes déplacées qui sont retournées dans leurs milieux d’origine”. Confie à notre rédaction, le Lieutenant Jules Ngongo. Et à lui de renchérir : “ceci est rendu possible grâce à l’approche globale utilisée par le Gouverneur militaire de la province de l’Ituri et commandant des opérations, Lieutenant-Généra Luboya Nkashama Johnny. Dans cette approche il y a eu les opérations que nous menons contre les groupes armés hostiles d’une part, et d’autre part, l’approche non militaire qui favorise la sensibilisation et le dialogue des communautés vivant en Ituri”.

Le lieutenant Jules Ngongo, a par ailleurs rassuré que l’administration militaire sous l’état de siège, va tout mettre en oeuvre pour “sécuriser les population, les assister, et les encourager à rentrer dans leurs milieux d’origine car les sites de déplacés, ce n’est pas leurs milieux“, a-t-il conclu.




Goma: Trois morts et quatre blessés graves dans une fusillade

Le carnage a été perpétré par les bandits armés ce samedi 25 mars 2023 dans l’avant-midi au quartier Ndosho à Goma, Chef-lieu du Nord-Kivu. L’on dénombre au total, trois civils assassinés.

Parmi les victimes, un préfet d’études d’une école secondaire de Saké. A en croire un témoin ayant vécu l’événement, le nommé Bayeke Yengayenga a été ciblé de balles, lui et ses deux enfants par les assaillants qui ont décidé de mettre fin à leurs vies. Les quatre blessées ont été acheminés à l’hôpital pour des soins appropriés.

Les habitants des quartiers situés à l’Ouest de la ville de Goma, notamment Ndosho et Kyeshero, se plaignent ces derniers temps, du regain de la criminalité dans leurs milieux.

Des hommes armés opérant souvent en groupe et d’autres en uniforme, sont à la base de cette insécurité, qui prend des allures inquiétantes en plein état de siège.

Ces hors la loi s’illustrent notamment par des cambriolages, des assassinats, des braquages contre la paisible population civile. cette situation devenue récurrente, nécessite l’implication des autorités compétentes en vue d’assurer la protection des Gomatraciens.