Lutte contre les faux Arrêtés : Tony Mwaba lance une application pour authentifier les Arrêtés sur internet 

Pour un retour qui sonne le gong du deuxième round, le ministre Tony Mwaba n’a de regard que vers l’horizon. Accueilli avec faste par les membres de son Cabinet célébrant sa reconduction à la tête du ministère de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique, le patron de l’EPST a procédé à la présentation du nouvel onglet de l’application de la DINACOPE pour faciliter le contrôle en ligne et répertorier les différents Arrêtés pris dans le sous-secteur de l’EPST.

En présence des partenaires techniques et financiers, le ministre a rappelé le contexte de la mise en place de cette plateforme.

Après les rubriques sur la consultation fichier paie, consultation fichier d’identification des établissements scolaires publics agréés, le répertoire de référence des établissements scolaires publics mécanisés, ainsi que le répertoire de référence des écoles privées agréées, cette application de référence compte désormais un nouvel onglet intitulé répertoire des Arrêtés.

Cet ajout, selon le ministre qui l’a présenté, répond au besoin de limiter ou éradiquer la circulation des faux Arrêtés qui dérange le bon déroulement du système éducatif.

Dans sa déclaration, le ministre dit “plusieurs fois j’ai été surpris d’apprendre que j’aurais signé un Arrêté d’agrément et même ceux de mise en place sur les médias et réseaux sociaux sans en être auteur, occasionnant parfois de frustration de certaines personnes qui seraient remplacées par moi”, a-t-il déclaré.

Autres conséquences néfastes, ce sont les Arrêtés pris à Kinshasa et utilisés dans d’autres provinces occasionnant l’anarchie dans la gestion de certains établissements scolaires.

Aux grands mots les grands remèdes, le ministre a annoncé une innovation pour remettre de l’ordre. ” Pour limiter la circulation clandestine des Arrêtés, nous allons innover avec le système de localisation dans les Arrêtés, au lieu de signer les Arrêtés sans définir l’espace géographique de son usage, il sera désormais inséré la rubrique localisation pour lutter contre ces antivaleurs “, a-t-il ajouté.

Dans la présentation technique la plateforme, l’usage est simplifié. Il suffit de cliquer sur l’onglet répertoire des Arrêtés puis insérer le numéro ou la date dudit document pour en avoir l’authenticité ou pas.

Loin d’en finir avec les innovations, le ministre Tony Mwaba promet l’insertion de nouveaux onglets dont celui de la participation des élèves aux examens d’État et celui sur la géolocalisation des écoles. Aussi l’identification des agents de la fonction publique affectés à l’EPST, question d’éviter les mouvements de troubles perpétrés par ces derniers.

Inscrit dans la vision du Chef de l’État de numériser l’administration, cette première action du Gouvernement Sama Lukonde dans le sous-secteur de l’EPST s’inscrit dans la continuité de la dynamique vers l’amélioration de la qualité de l’enseignement cheval de bataille du Ministre Tony Mwaba Kazadi.




Paludisme au Kasaï-Oriental : l’hôpital du Gouvernement provincial fait un don à la population de la ville de Mbuji-Mayi pour le traitement gratuit 

C’est dans une interview nous accordée le jeudi 23 mars 2023 que le médecin directeur de l’hôpital provincial du Kasaï-Orientale, Roger Mukendi a fait savoir que l’hôpital du Gouvernement Provincial organise les journées portes ouvertes au traitement du paludisme qui vont durer deux semaines dans le but de mettre fin à la montée de ladite maladie sur toute l’étendue de la province, pour donner l’accès à tout le monde et effacer l’image ternie de ce site médical réputé appartenant aux agents de l’État.

“Nous invitons la population de venir passer aux séances des consultations gratuites et dépistage pour savoir qui a le paludisme afin de soigner gratuitement ceux qui en sont positifs “, a-t-il dit.

Lutter contre la malaria, pour assurer la prise en charge gratuite au niveau de la communauté et aussi faire comprendre à la population que l’hôpital du Gouvernement Provincial est ouvert pour tout le monde et non seulement aux agents de l’État, ce qui constitue le but principal de ces journées.

Pour clore, le médecin Directeur de cet hôpital invite la communauté de venir nombreuse pour bénéficier de cette opportunité des soins du paludisme.

Jean Lucukanda

 




EPST : Sans surprise, Tony Mwaba kazadi garde son fauteuil après remaniement du gouvernement

Me Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique, a maintenu son poste après remaniement du gouvernement par le Chef de l’Etat, apprend-on de l’ordonnance présidentielle lue sur les antennes de la télévision nationale tard dans la soirée.

Pour le patron de l’Espt, ce maintien est une marque de confiance envers lui et il a présenté ses sentiments de gratitude Chef de l’Etat et au Premier ministre Sama Lukonde.

“J’exprime toute ma gratitude ainsi que mes vifs et sincères remerciements au Président de la République Fatshi pour sa confiance renouvelée en ma modeste personne. Ma loyauté toujours dévouée. Toute ma reconnaissance au 1er Ministre ”, a écrit Tony Mwaba.

“Être maintenu est une marque de confiance du Chef de l’Etat envers ce ministre. La gratuité de l’enseignement est un projet très technique où l’on ne pouvait envoyer ou maintenir n’importe qui. Si le Chef l’a gardé, c’est-à-dire qu’il n’y a pas mieux”, a-t-il mentionné sur Twitter.

 

Le ministre Tony Mwaba Kazadi lutte jour et nuit pour pérenniser et consolider la gratuité de l’enseignement selon la vision du Chef de l’État Félix Tshisekedi afin de voir tous les enfants sur le chemin de l’école.

Sa détermination lui a valu le surnom du gardien de la gratuité.

Depuis son avènement à la tête du ministère de l’Espt, Maître Tony Mwaba mène une lutte acharnée contre les antivaleurs dans le sous-secteur de l’Epst.

Rappelons que dans le nouveau gouvernement Sama, certains ministres n’ont pas gardé leur poste à l’instar des ministres des sports, santé et tourisme.




A Bujumbura : L’équipe dépêchée par Tony Mwaba visite le Groupe Scolaire congolais de Rumonge

Conduite par M. Patrick Talinabuna Basepelisa, Directeur à la DINACOPE, la délégation dépêchée par le ministre Tony Mwaba Kazadi à l’extérieur du pays pour vérifier l’effectivité de la gratuité de l’enseignement primaire dans les écoles consulaires continue sa mission.

Toujours au Burundi, cette équipe a tenu, le mercredi 22 mars dernier, une réunion avec les autorités scolaires concernées par leur mission. C’est le centre scolaire congolais de Bujumbura qui a servi de cadre à cette rencontre qui s’est avérée beaucoup plus pertinente.

Ensuite, elle a pris la direction de Rumonge, l’une des provinces du Burundi pour visiter le Groupe Scolaire congolais de Rumonge.

Sur place, un accueil chaleureux lui a été réservé par les chefs d’établissements, enseignants et élèves de ce Groupe Scolaire.

Sur le champ, le Directeur provincial et le Diprocope du Sud-Kivu 2, la province éducationnelle qui prend en charge ces établissements ont procédé au contrôle physique des enseignants.

Un exercice qui a permis à la délégation de déceler quelques cas d’irrégularités qui nécessitaient les orientations.




Grâce à un projet pilote d’ERA Congo: Bientôt le repeuplement des poissons dans le Lac Mai-Ndombe

Pour cette année 2023, le monde va célébrer la « Journée mondiale de la migration des poissons », le vendredi 21 avril ou le dimanche 21 mai prochains. L’Europe et le Canada la célèbre en deux dates différentes. D’autant plus que, par apport à la question de migration des poissons, ils émigrent à une période imprévisible, selon les zones polaires et selon les saisons en tenant compte des pertes d’habitats et de super exploitation. Le changement de climat en ai aussi la raison majeure. Donc, il n’y a pas de date fixe pour la migration des poissons.

En République démocratique du Congo, le gouvernement célèbre uniquement la Journée nationale du poisson, le 24 juin de chaque année. La 54ème et dernière célébration c’était en 2021 à Kinkole (cité des pêcheurs), devant la maison communale de la N’Sele. C’est seulement en 2020 que la Journée mondiale de migration des poissons a été célébrée en RDC, c’était le 24 octobre dans la ville de Bukavu (bordant le Lac Kivu), chef-lieu de la province du Sud-Kivu, avec l’appui de World Fish Migration Fondation.

Pourtant, cette journée de migration des poissons devrait être célébrée régulièrement en RDC, comme la Journée mondiale de lutte contre la pêche illicite et non réglementée, célébrée le 05 juin de chaque année dans le monde. Puisque, le pays connaît également ce problème de dépeuplement des poissons dans ses différents cours d’eau, rivières, lacs et même au Fleuve Congo.

A l’occurrence, il y a le cas du lac Maï-Ndombe qui est la première et la plus grande richesse du territoire d’Inongo dans la province de Maï-Ndombe issue du démembrement de l’ex grand Bandundu. Ce lac est appauvri des poissons, et il n’y a plus rien pratiquement.

Cette situation s’explique par le fait que le Maï-Ndombe est un des lacs à eau noire (black water lakes en anglais). Et avec des lacs à eau noire, les poissons viennent beaucoup plus sur les rives pour trouver la nourriture, parce qu’en profondeur, il fait vraiment assez obscur.

Lorsqu’ils arrivent à la rive, les riverains les captures avec des moustiquaires, donc ils prennent tous les alevins. Une fois l’on a compté jusqu’à six millions d’alevins qui ont été capturés en une prise. C’est exceptionnel. Mais, il suffit que l’on puisse enlever les filets à moustiquaires pour que le lac puisse reprendre un peu sa richesse halieutique. Cependant, pour le moment, c’est plutôt l’inverse. Il y a davantage de filets à moustiquaire partout au niveau des bords du Lac Maï-Ndombe.

Heureusement que dans cette province il existe une société de droit congolais dénommée ERA ((Ecosystems Restauration Associates/l’association pour la restauration des écosystèmes) Congo Wildlife Works Carbon, œuvrant dans la monétisation de la valeur de la forêt à travers le crédit carbone, qui compte désormais palier à cette difficile situation de la pénurie des poissons pour les communautés riveraines. Selon son service de communication, d’ici quelques temps, cette entreprise va entamer un projet pilote de rempoissonnement du Lac Maï-Ndombe au niveau du village Loombe, riverain du lac, situé à plus de 50 kilomètres en face de la ville d’Inongo, chef-lieu de la province de Maï-Ndombe, sur la partie Nord du Lac Maï-Ndombe.

Il s’agit dans le cadre de ce projet pilote d’élever les espèces locales du Lac Maï-Ndombe dans des étangs piscicoles pour les relâcher plus tard dans leur milieu naturel. C’est un projet qui va certainement contribuer au développement de cette province.

ERA Congo assure la conservation des forêts du bassin du Congo à partir d’Inongo

Dans cette province de Maï-Ndombe, rappelons que la société ERA Congo WWC gère 300.000 hectares de forêt destinés à la conservation. Elle développe à cet effet un programme basé sur la foresterie communautaire. C’est donc le projet Maï-Ndombe REED+ lancé en mars 2011 et qui s’étend jusqu’en mars 2041.

Dans ce cadre, ERA Congo travaille avec les communautés riveraines pour conserver cette forêt et de ne pas la détruire. L’objectif étant de pouvoir conserver les forêts du bassin du Congo en République démocratique du Congo.

Ainsi, la société a commencé avec 300.000 hectares de la forêt bordant le Lac Maï-Ndombe, en face de la ville d’Inongo, chef-lieu de la province de Maï-Ndombe. « L’idée pour nous ce n’est pas d’aller chercher l’aide internationale pour le faire. L’idée pour nous c’est de pouvoir monétiser la valeur de la forêt. C’est ce que nous avons fait », a fait savoir M. Jean-Robert Bwangoy Bankanza, l’administrateur-gérant de la société ERA Congo et professeur des universités.

C’était au cours d’un entretien accordé aux médias le samedi 11 décembre dernier devant sa résidence de la ville d’Inongo, à l’issue d’une expédition médiatique effectuée à travers les villages du territoire d’Inongo bordant le Lac Maï-Ndombe. Le but de cette expédition était de s’enquérir des grandes actions, sans précédent, que la société ERA Congo a réalisé et continue à réaliser dans cette partie de l’Ouest de la République démocratique du Congo, au profit des communautés locales du territoire d’Inongo.

A savoir, après le Lac Maï-Ndombe, la forêt est la deuxième richesse du territoire d’Inongo. C’est essentiellement une forêt de bois Wenge. Cette forêt constitue la concession concernée par le projet Maï-Ndombe REED+ de la société ERA Congo. Elle a été exploitée depuis 1920 par la FORESCOM (Société forestière et commerciale), c’était une société d’Etat, qui par la suite a été privatisée, et devenue plus tard SODEFOR.

« C’est une forêt qui contient beaucoup de bois Wenge ainsi que d’autres espèces qui sont nobles. Lesquels auraient pu être non seulement exploités de manière assez archaïque, et qui pouvait finalement disparaitre », a fustigé le professeur Bwangoy.

Des réalisations sans précédent en faveur des communautés grâce à ERA Congo

Depuis plus de dix ans aujourd’hui, la société ERA Congo Wildlife Works Carbon s’investit intensément dans la conservation de 300.000 hectares de la forêt primaire de ce territoire d’Inongo, en province de Maï-Ndombe. Et elle tire des dividendes du crédit carbone.

Avec ce gain, ERA Congo réserve aussi une part considérable, en termes de contrepartie aux communautés locales et ayant-droits, pour contribuer au développement des villages riverains, conformément à la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE), tel qu’édictée par la loi. De ce fait, elle a eu à signer des cahiers de charge avec toutes les communautés riveraines, le but étant de les emmener à ne plus exercer la pression sur la forêt primaire d’Inongo avec leurs diverses activités champêtres et de survie, en leur proposant des activités alternatives.

Sur base de ces cahiers de charge, tous les villages du territoire d’Inongo concernés par ce projet d’ERA Congo bénéficient aujourd’hui des infrastructures de base (écoles et hôpitaux modernes), des forages d’eau potable, de l’éclairage public, et des projets connexes pour l’intensification agricole et l’agroforesterie, ainsi que d’autres activités alternatives de développement… Mais avant tout, ERA Congo remet annuellement à chaque clan, auprès de son chef, son droit de jouissance, qui s’élève cette année 2022 à 2.000 dollars américains.

En parcourant les villages bordiers du lac Maï-Ndombe, où une pauvreté criante contraste avec les potentialités et ressources naturelles du terroir, les grandes réalisations sans précédent d’ERA Congo au profit des communautés du territoire d’Inongo, sont très perceptibles. Dans les deux côtés Nord et Sud du Lac Maï-Ndombe, les communautés riveraines sont bénéficiaires de plusieurs réalisations de la société ERA Congo.

Parmi lesquelles, l’éclairage public, les forages d’eau potable pour permettre à la population de s’approvisionner aisément à cette denrée qui toujours été rare dans ces villages depuis leur existence. Ajouter à cela, des écoles modernes construites par ERA Congo, des centres de santé modernes. Sur le plan social et humanitaire, ERA Congo prend en charge les frais d’examen d’Etat de tous les élèves finalistes dans tous les villages se retrouvant dans concession. Et elle distribue chaque année, des fournitures scolaires à tous les élèves sans exception.

La société assure aussi la paie de certains enseignants/nouvelles unités (N.U). Mais également la prise en charge des soins de santé, pour des cas difficiles, de tous les membres des communautés.

ERA Congo a aussi amené la communauté à l’intensification agricole en vue de lutter contre l’insécurité alimentaire, d’améliorer les conditions de vie des habitants, ainsi que le rendement et la production agricole. Mais aussi, de réduire la pression anthropique sur la forêt. Pour cela, des semences améliorées, comme boutures améliorées de manioc (Obama), sont mises à la disposition de cette communauté par ERA Congo.

Cette société a également développé des activités de pisciculture en faveur de la communauté pour la production des poissons et palier à la sécheresse qu’il y a dans le lac, ainsi que celles de l’apiculture (élevage des abeilles) pour la production du miel. C’est pour renforcer les capacités économiques et financières des membres de cette communauté qui ne vit essentiellement que de la pêche et de l’agriculture.

Au Sud du lac (secteur d’Inongo), les villages N’Selenge, Ibali, Lobeke, Bokebeni, Mpatambalu, Kesenge, Inunu, ont bénéficié de toutes ces actions de la société ERA Congo. Dans la partie Nord du lac Maï-Ndombe (secteur Bolia), ce sont des villages Mbale, N’Songo, Ikita, Loombe, etc., qui sont bénéficiaires des réalisations de la société ERA Congo.

Lepetit Baende




40 jours après la mort de Maman Anne-Marie Mpemba : Une messe d’action de grâce a été célébrée ce mercredi à la paroisse Notre Dame de Fatima

Décédée le samedi 11 mars 2023 à Kinshasa, Maman Anne-Marie Mpemba totalise 40 jours dans l’au-delà. Pour honorer sa mémoire, une messe d’action de grâce a été organisée ce mercredi 22 mars 2023 en la paroisse Notre Dame de Fatima de la commune de la Gombe.

A cette occasion, la grande famille de l’illustre disparue aux côtés des amis et connaissances ont marqué de leur présence à cette eucharistie pour témoigner de leur amour indéfectible que chacun garde dans son cœur envers cette âme qui repose désormais dans la félicité éternelle.

Prenant la parole à cette eucharistie, l’Abbé Noël Bulandungu, l’officiant du jour tire son homélie dans l’évangile selon Saint Mathieu 28, 1. Dans ses mots, il a exhorté l’assistance que malgré la circonstance présente, ” bénissons Dieu qui avait donné la vie à Maman Anne-Marie Mpemba et qui a fondé en lui une dynastie qui comptera les générations”, avant d’inviter tout le monde à être vigilant et à demeurer dans le Seigneur. Car dit-il, nous vivons dans un monde où à chaque minute et seconde tout peut arriver ; seule notre foi peut nous aider à surmonter tous les obstacles qui peuvent surgir devant chacun.

Au nom de toute la grande famille, la parole a été accordée à M. Olivier Mulenda, l’un des fils de Maman Anne-Marie Mpemba qui, a à son tour remercié l’assistance d’avoir répondu présente à cette messe d’action de grâce, une manière d’honorer encore la mémoire de cette généreuse dame qu’il a qualifié d’une femme forte et exceptionnelle. Il faisait ainsi allusion à toutes les valeurs qu’elle a pu transmettre à toute sa progéniture. C’est aujourd’hui que nous procédons à la clôture du deuil de notre maman, fini les pleurs, c’est le moment de se lever et d’avancer, car la vie continue, ainsi a-t-il ajouté.

Soulignons que Mme Anne-Marie Mpemba était décédée samedi 11 mars à Kinshasa, de suite d’une maladie et fut inhumée le 19 février au cimetière Nécropole Entre Ciel et Terre.

Osée Kalombo

 




Sud-Kivu/Infrastructures : À Kabare Sud, Claude Nyamugabo s’érige aussi en bâtisseur

Il est venu rendre compte à sa base, une pratique devenue d’ailleurs coutume pour le Professeur Claude Nyamugabo Bazibuhe, l’élu adulé de la circonscription électorale de Kabare dans son Sud-Kivu natal. Il poursuit ses vacances parlementaires, les dernières pour la législature en cours.

Le député national et Autorité Morale du Parti Front pour un Congo nouveau (FPCN) se veut être un homme qui s’écarte des sentiers battus.

Les émoluments de Clause Nyamugabo ont pour orientation le financement des travaux de pont qui reliera les regroupements de Mudusa et Mumosho développement au bénéfice ses électeurs.

Mercredi, il a inauguré le Pont Nyachidera, un pont en béton armé de 6 mètres d’envergure et de dix mètres de long que les automobilistes, motards et piétons qui l’ont emprunté ont exprimé leur joie. L’Honorable Claude Nyamugabo Bazibuhe en personne qui l’a inauguré. Un pont qui, à y regarder de près, tranche avec la préhistoire et la modernité. Même les véhicules à tonnage important peuvent s’y rendre. De quoi contribuer au développement socio-économique des populations locales.

Les paysans qui l’empruntaient auparavant regardaient le député Nyamugabo en sauveur, car ce pont permet de relier au moins 15 villages.

L’Autorité morale du FPCN, fort de sa longue expérience politique, n’a qu’un seul leitmotiv, offrir haut la main un second mandat au Président Félix Tshisekedi et faire de son FPCN, l’une des plus grandes puissances politiques et mobilisatrices du Sud-Kivu.

Jeudi, il se rendra sur l’axe du littoral, car Nyamugabo veut à tout prix que ses électeurs sachent à quoi servent les projets de développement initié par leur élu. C’est d’ailleurs Claude Nyamugabo qui le dit: ” mes électeurs sont mes patrons “.




Du 21 au 22 mars 2022 : La Commission européenne et le FMI organisent le 11ème forum africain sur les finances publiques

Les chocs récents (COVID-19, hausse des prix des denrées alimentaires et des carburants) nous ont rappelé de manière brutale que de solides dispositifs de protection sociale étaient essentiels pour protéger les plus vulnérables et renforcer la cohésion sociale en lissant les effets des chocs sur la consommation et la croissance.

Ainsi, il importe de porter assistance aux 132 millions de personnes en Afrique subsaharienne (AfSS) en situation d’insécurité alimentaire aiguë selon le Réseau d’information sur la sécurité alimentaire (FSIN). Mais les pays d’AfSS manquent cruellement de ressources, notamment du fait de leur endettement élevé : il est donc indispensable que les dispositifs de protection sociale soient aussi efficaces et correctement ciblés que possible. Dans ce contexte, la table ronde permettra d’évoquer certaines des difficultés structurelles auxquelles se heurtent le financement et la mise en place de dispositifs de protection sociale, en abordant notamment les éléments suivants : les stratégies de remplacement des réductions d’impôts et des subventions non ciblées par des transferts plus ciblés ; les obstacles au renforcement des dispositifs de protection sociale ; le rôle de la communauté internationale dans le renforcement des dispositifs de protection sociale en Afrique subsaharienne.

Parmi les participants figurent des ministres et autres dirigeants africains, des partenaires bilatéraux et des institutions multilatérales, et des représentants de la société civile. La table ronde d’ouverture du Forum (le 21 mars) sera retransmise en direct sur cette page Web en anglais et en français. La participation aux autres séances se fera uniquement sur invitation (consultez l’ordre du jour en intégralité).




Kinshasa : L’Immeuble Botour en feu !

Quelques locaux de l’immeuble Botour, situé à Gombe, ont pris feu dans la matinée de ce lundi 20 mars.

Jusqu’à présent, la cause de ce violent incendie n’est pas encore connue.

Mais bon nombre des témoins rapportent que plusieurs pertes et des dégâts matériels ont été enregistrés durant cet incident.

Dans l’attente de l’apaisement de la situation qui a mis dans le suspens les vendeurs utilisant les locaux de cet immeuble, le feu a été maîtrisé grâce à l’intervention des sapeurs-pompiers.

Jean Luc Lukanda




Gratuité de l’enseignement : Tony Mwaba déploie des équipes dans les missions diplomatiques pour palper du doigt

Sur instruction du Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, suivant la vision du Président de la République, le professeur Tony Mwaba Kazadi vient de déployer des missionnaires dans différentes missions diplomatiques pour se rendre compte de cette obligation constitutionnelle qui rend l’enseignement primaire gratuit dans les établissements scolaires publics.

Il ne fallait pas que cette disposition constitutionnelle reste d’application au pays. Le professeur Tony Mwaba Kazadi l’a étendue non seulement sur toute l’étendue de la Rdc, mais aussi et surtout dans tous les pays qui organisent des écoles consulaires obéissant au programme du pays.

Après l’Angola, où le professeur Pascal Muteba, Coordonnateur de la Cellule des Experts venait de conduire une mission en compagnie des cadres de la DINACOPE, c’est le tour de l’Ambassade de la République Démocratique du Congo qui a reçu les délégués du Ministre, le professeur Tony Mwaba Kazadi pour non seulement s’enquérir de l’application de cette mesure; mais aussi et surtout donner des instructions de la Haute hiérarchie qui ne devront souffrir quant à leur mise en pratique, étant donné que la gratuité de l’enseignement primaire, quoique constitutionnelle, reste la vision phare du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

En effet, le professeur Tony Mwaba Kazadi n’attend pas se faire prier pour l’application de cette mesure dans toutes les écoles consulaires primaires du ressort public. Après le Burundi, la même mission se rendra en Tanzanie, Guinée Conakry, Sénégal, Cameroun, Burkina Faso…; bref, tous les pays où sont organisées les écoles consulaires.