En ce mois de mars consacrée à la femme: La Fondation Fomenic du Prof Nicot Omeonga soutient les femmes et filles congolaises

Toutes les femmes du monde savent que le 8 mars de chaque année on commémore la journée internationale de la femme. Et tout le mois de mars est consacré aux droits de la femme. C’est dans ce cadre que le couple Nicot Omeonga au travers la Fondation Omeonga Nicot ‘’Fomenic’’ a organisé une journée consacrée aux femmes, le dimanche 12 mars 2023 à Yolo-Nord, commune de Kalamu. Le Couple professeur Nicot Omeanga a saisi cette belle occasion pour s’entretenir avec les femmes de leur fondation habitant le quartier Yolo-Nord pour une sensibilisation sur l’autonomisation de la femme.

Au cours de cette journée, à dire vrai, la Fomenic a saisi l’occasion pour célébrer la journée de la femme en honorant les femmes faisant partie de sa fondation. Pour ce faire, la fondation leur a remis des pagnes. Sous le leadership de Mme Gisèle Kisimba Omeonga, coordonnatrice des femmes vertueuses de cette fondation, toutes les femmes qui avaient répondu présentes, ont reçu chacune un pagne, don de la Fomenic.
Dans son mot de circonstance, la coordonnatrice de la Fomenic, Mme Gisèle Omeonga a dit merci à toutes les mamans qui ont répondu présentes à la manifestation du jour. Elle s’est déclarée honorée de voir toutes ces mamans répondre à son invitation. Et d’ajouter que cela l’a fait énormément plaisir de voir toutes ces mamans venir écouter le message de son mari. Elle a conclu en leur disant merci.

Pour sa part, le Professeur Nicot Omeonga, fondateur de la Fomenic a déclaré que la chose la plus importante, c’est de voir la maman jouir de l’autonomie. De telle sorte que vous ne pouvez pas avoir de l’autonomie sans moyens. De même que vous ne pouvez pas avoir des moyens si vous ne travaillez pas. Mais en ce qui le concerne lui, Prof Nicot Omeonga il a toujours dit aux mamans, celles qui vont travailler pour les autres, il est préférable pour toutes les mamans de la Fomenic, que chacune puisse entreprendre ses affaires elle-même. Ça s’appelle l’entrepreneuriat. Tout celui qui entreprend soit même, non seulement il va subvenir aux besoins de sa famille jusqu’à sa vieillesse ne manquera de rien.
Antoine Bolia




Goma : Marie Olive Lembe Kabila visite la Cathédrale Mama wa Amani

Ce mardi 14 février, Marie Olive Lembe Kabila a visité la Cathédrale Mama wa Amani, peu avant de prendre son vol pour Kinshasa, après un séjour de 7 jours dans le Nord et Sud-Kivu.

Les travaux de construction de la Cathédrale vont bon train ce, malgré quelques difficultés de parcours. M. Faride, architecte de la cathédrale indique que les travaux sont finis à 99%.
” Nous sommes au niveau de finissage, on a pris beaucoup de temps à cause de cette entrée monumentale. Une entrée de la façade principale qui définit la valeur où l’importance de cette bâtisse ça nous a pris beaucoup de temps, vous avez remarqué la structure métallique comment tout a juxtaposé, une pièce à côté de l’autre, mais gloire à Dieu nous sommes déjà à la fin 99% finis tous ce qui reste à la fin c’est l’habillage on va les maquiller on va l’habiller et c’est en cours maintenant des préparatifs “, a-t-il indiqué.
S’agissant du tonnage de la structure métallique, l’architecte, renseigne qu’elle pèse 255 tonnes selon les études approfondies qui ont été réalisées. La masse qu’il y a en bas c’est à chaque côté de semelle qui porte cette structure métallique et a englouti plus de 10000 sacs de ciment, 42.5 tonnes de chaque côté qui font une épaisseur d’au moins 5 mètres.
En sommes, en avril 2021, il y a eu éruption volcanique qui a paralysé les travaux pendant 2 ans.


Il faut dire que l’édifice est composé de la grande cathédrale. Cette dernière du point de vue architecturale est équipée d’un espace prévu pour 3000 places assises. Ajouter à cela eux qui seront à l’extérieur on peut aller jusqu’à 5000.
La Cathédrale compte également le sanctuaire principal au rez-de-chaussée et le balcon où la masanine avec ses 1500 places au-dessus et puis tous ce qu’il faut pour une église.
Il faut en plus noter des annexes que le terrain a offert parce que ce n’était pas prévu initialement dans le projet. Au départ, il s’agissait juste de l’église, de la salle polyvalente et les sanitaires.
Sur l’autre terrain, la topographie a obligé de prévoir la cave. Cette année, la cathédrale sera remise entre les mains des Marie Olive Lembe Kabila. Qui à son tour la remettra à l’Eglise catholique.
Pour ce faire, les ingénieurs congolais dont une femme ont monté cette structure ; dont la main d’œuvre est à 100% congolaise, explique le maître de l’ouvrage.
Pour sa part, Monseigneur Willy Ngumbi, Évêque du diocèse de Goma a relevé que cela fait plus de 10 ans que les travaux ont commencé à Goma depuis 2014 à 2023. Nous remercions Dieu pour cette visite et nous estimons que les travaux vont continuer et avons cet espoir que les travaux vont continuer et arriveront à la fin.
En raison de cette œuvre grandiose, Monseigneur Willy Ngumbi a rendu grâce à DIEU, quand il voit le niveau de la Cathédrale quasiment terminé bien que cela à prit beaucoup de temps.
Dans la foulée, Monsieur Ngumbi a remercié Marie Olive Lembe Kabila pour tout l’investissement qu’elle a mis dans cette œuvre. C’est une œuvre de foi et d’espérance pour l’église. De poursuivre, qu’il n’a pas beaucoup de défis à relever, cependant Marie Olive Lembe Kabila brave l’obstacle et rend grâce à Dieu qui doit continuer pour que tout le monde soit heureux, a-t-il conclu.
Pour rappel, cette cathédrale est la troisième en Afrique après celle de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire et celle de Dakar au Sénégal, la Cathédrale Mama wa Amani sera bientôt inaugurée par l’initiatrice du projet Marie Olive Lembe Kabila. Les ingénieurs sont formels, la nouvelle cathédrale Mama wa Amani, soit Notre Dame de la paix sera livrée cette année. Les travaux de finitions avancent au pas de géant. Il y a lieu d’admirer ce chef d’œuvre futuriste et emblème d’une architecture époustouflante.
Marie Olive Lembe Kabila satisfaite du travail accompli, en attendant sa livraison à l’église catholique dont elle est fidèle pratiquante.
Depuis la Cathédrale Mama wa Amani, à Goma
Pius Romain Rolland




RD Congo : la crise humanitaire s’amplifie dans le Nord-Kivu

L’intensification du conflit armé dans la province du Nord-Kivu entre les combattants du Mouvement du 23 mars (M23) et l’armée congolaise a des conséquences dévastatrices sur la population civile. Les combats, qui ne touchaient que le territoire de Rutshuru, ont atteint celui du Masisi, provoquant le déplacement de milliers de personnes vers la capitale provinciale Goma.

« Les combats se rapprochent des zones urbaines densément peuplées et cela est extrêmement préoccupant. Le CICR rappelle à toutes les parties au conflit qu’elles doivent respecter le droit international humanitaire et notamment prendre toutes les précautions pratiques possible pour protéger les civils et leurs biens des effets des combats », rappelle Pascal Hundt, chef de la délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en République démocratique du Congo.

Les affrontements ont repris de manière significative entre les combattants du M23 et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), poussant des centaines de milliers de civils à fuir les combats.
« Cette crise est en train de se transformer en catastrophe humanitaire. Si les déplacements se poursuivent, elle va dépasser notre capacité de réponse, ainsi que celle des autres organisations humanitaires », estime Anne-Sylvie Linder, cheffe de la sous-délégation du CICR à Goma. « Il n’y aura peut-être pas d’endroits où recevoir toutes ces personnes. Il n’y a déjà plus de lieux disponibles dans le territoire du Nyiragongo qui avait accueilli les premiers déplacés. »
« Quand les affrontements sont devenus plus forts, les gens ont paniqué et se sont enfuis dans toutes les directions », témoigne Béatrice Ndayunvayino, 35 ans, habitante de Kingi, dans le territoire de Masisi. « J’ai fui avec mes six enfants, une casserole et un bidon jusqu’à une école à Sake où il y avait déjà beaucoup de monde. »

Des déplacements à répétition
Certaines personnes ont dû se déplacer à plusieurs reprises en raison des combats incessants. C’est ainsi que des milliers de familles sont arrivées jusque dans la ville de Goma. D’autres font des mouvements pendulaires pour s’adapter continuellement à ces conditions de sécurité qui peuvent se dégrader rapidement.
Rachel Masika, 30 ans, mère de six enfants, raconte : « J’avais pris la route de Tongo, puis j’ai atteint Kabizo, où je ne suis restée que quelques jours. J’ai poursuivi vers Katsiru. Ensuite, je me suis dirigée vers Kitchanga. Après une semaine, les gens ont commencé à fuir cette ville, alors j’ai encore marché pour atteindre Sake au bout de trois semaines et demie. C’est épuisant. »
Ces déplacements successifs de population, conjugués à la dégradation des conditions de sécurité, rendent encore plus difficile l’acheminement de l’aide humanitaire aux nombreuses victimes de ce conflit. Conditions de vie de plus en plus précaires
Outre les camps de fortune où s’entassent les personnes fuyant les affrontements, de nombreuses familles résidentes, vivant déjà dans des situations précaires, ont accepté de recevoir chez elles de nouveaux arrivants.
Les conditions de vie sont extrêmement précaires pour les déplacés. « Nous dormons comme des animaux entassés. Mais que faire ? Un déplacé n’a pas le temps de dormir, il ne se contente que de là où il peut poser sa tête parce qu’il n’est pas chez lui », confie Cécile Nabuko, déplacée à Sake.
A Goma, les acteurs humanitaires estiment qu’il y a actuellement plus de 300 000 personnes déplacées dans toute la ville. « Une partie de ces personnes se trouve à Bulengo, Lac Vert, où un site a été préparé, et également à Rusayo, un quartier périphérique de Goma, où plusieurs hectares ont été rendus disponibles par les autorités », indique Anne-Sylvie Linder. Le site du Lac Vert comporte néanmoins un risque important pour ces populations en raison d’émanations potentielles de gaz méthane.
L’arrivée quasi quotidienne de nouveaux déplacés à Goma et dans sa périphérie exerce une surcharge sur les services sociaux essentiels, affectant ainsi la capacité des populations locales et déplacées à accéder aux biens nécessaires à leur survie, dont l’eau, la nourriture, ou encore les soins de santé dans des structures médicales où affluent de nombreux blessés et malades.


Les actions du CICR
Le CICR a déjà mené de nombreuses actions en faveur des personnes touchées par le conflit, notamment dans les territoires du Rutshuru, du Nyiragongo et du Sud-Lubero.
Il soutient la prise en charge des blessés au centre hospitalier Bethesda-Ndosho de Goma, à l’Hôpital général de Beni et à l’Hôpital provincial de Bukavu où il dirige un programme de chirurgie de guerre. « Nous travaillons presque à pleine capacité de manière constante au centre hospitalier de Ndosho à Goma », précise Anne-Sylvie Linder. « Je pense que nous sommes face à une crise humanitaire de grande ampleur, dont les retombées se feront sentir à moyen et long terme. »
Le CICR travaille en étroite collaboration avec la Croix-Rouge de la RDC dans les interventions de premiers secours, l’eau et l’assainissement ainsi que le rétablissement des liens familiaux.




Faute de ponts sur les rivières Lomami et Lubilanji : Kabinda asphyxié !

Quasi absence des ponts sur les rivières Lomami sur la RN2 tronçon Kabinda-Lubao et sur la rivière Lubilanji tronçon Kabinda-Ngandajika, et sur la rivière Lubilanji tronçon Kabinda-Mbujimayi handicap le développement sociaux-économique de la province de Lomami. Voilà pourquoi cette population lance un SOS au gouvernement central de tourner son regard à la Lomami pour une solution immédiate.

La province de Lomami demande au gouvernement central de placer les ponts sur ces rivières. Il y a presque deux semaines, le bac Makole de la rivière Lomami n’est pas opérationnel. Plus de trois véhicules sont bloqués sur la rivière et les pirogues utilisés posent trop de soucis aux paisibles citoyens qui se recherchent en faisant leur commerce.
Benjamin Lubo depuis la ville de Kabinda




Lydie et Lefils Matadi pleurent leur père, papa Odon Matady

Les journalistes Lydie et Lefils Matadi pleurent leur père, papa Odon Matady Kibwila Yala, décédé le 7 mars dernier. Au nom du quotidien.cd, nous nous joignons à cette douleur qui frappe les deux confrères et implorons Dieu dans son infinie bonté pour qu’il daigne accueillir ce père de famille. Ci-dessous, le communiqué nécrologique :

Communiqué nécrologique

Les Familles MATADY, AKANA, NGWAMA, KAMIENDU, KIBIKULA, Madame Marie-Louise SONA, les Familles RUVOGO, ENGUMBA et HATIKA, ont la profonde douleur d’annoncer aux ressortissants des villages Yelenge et Kumbi Kangosa, dans la province du Kwilu, aux amis et connaissances, le décès de leur Père, Époux, Frère, Beau- frère, Beau-père, et Grand Père « MATADY KIBWILA YALA ODON CHARLES », Retraité de ARAUPHAR, Moyangeli de la CEVB5 à la Paroisse Saint Barthélemy de Masina.
Décès survenu le Mardi 7 Mars 2023 dans un centre hospitalier à Kinshasa, suite d’une maladie.
Le Programme des funérailles se présente comme suit :
*MERCREDI 15 mars 2023
*15h00* Messe à la Paroisse St Barthélemy/Masina
*18h00* VEILLÉE MORTUAIRE dans la salle *ATLANTIS* , limete 1ere rue à côté de l’église cité Bethel
*20h00* : *Messe*

**JEUDI 16* *mars* 2023
*9h00* : Levée du corps à la morgue de l’hôpital cinquantenaire et départ pour la paroisse St Raphaël.
*NB. AUCUNE CÉRÉMONIE N’AURA LIEU À LA MORGUE
*09h30* : Arrivée à la paroisse
Hommage
Témoignages
Dépôt des gerbes de fleurs
*10h30** Messe à la Paroisse Saint Raphaël, 1ere rue Limete
*12h00* levée du corps pour le Cimetière *NECROPOLE 3* N’sele Bambu
*15h30* Bain de Consolation dans la salle ATLANTIS Limete 1ere rue
Ce communiqué tient lieu de faire-part.
Pour la Famille,
Papa KAMIENDU et Papa KIBIKULA




EPST: Tony Mwaba pose la première pierre de construction des 150 écoles à Kinshasa/Maluku

Le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a procédé à la pose de la première pour le lancement des travaux de construction des 150 écoles à l’Ecole Primaire Maman Antoinette dans la commune Maluku à Kinshasa.

C’est au sein de cette école, qui se trouve depuis des lustres dans un état très critique et en délabrement très avancé, que le n°1 de l’EPST a lancé ces travaux, ce lundi 13 mars 2023, qui vont aussi contribuer à sa réhabilitation.
Après le Proved de Kinshasa/Plateau, Clément Mukanya, pour son mot de bienvenue, la parole a été accordée à Monsieur Élois Kumbo, Directeur-Chef de Service de la Direction Nationale de construction, d’entretien, de réhabilitation et de gestion des infrastructures scolaires. Éloïs Kumbo est revenu sur les détails techniques de ce projet.
Il s’agit d’un marché de construction des 30 écoles attribuées à l’entreprise Global Innovation SARL, outre les 1200 que compte le projet 145 territoires. Ce site de l’EP Maman Antoinette fait partie des 9 sites pilotes où les travaux seront lancés simultanément à travers l’ensemble du territoire de la République.
Pour cette école, le projet prévoit la construction des deux bâtiments des trois écoles chacun, un bâtiment administratif, un autre bâtiment latrine ainsi qu’une salle polyvalente sur un délai de sept mois.
Prenant la parole pour son allocution, les premiers mots du Ministre Tony Mwaba, ont été des remerciements à l’endroit du Chef de l’État, Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour sa vision de la gratuité de l’enseignement primaire public ainsi que les mesures d’encadrement prises pour contenir les effets induits de cette réforme majeure, en l’occurrence, le projet de construction et réhabilitation des infrastructures scolaires contenu dans le vaste programme des 145 territoires.
Engagé dans l’amélioration des conditions d’apprentissage des élèves, le patron de l’EPST a annoncé à l’assistance la clôture des études pour la reconstruction de l’Ecole Primaire Lufungula 5 ainsi que de construction de l’Institut et l’EP Félix-Antoine Tshisekedi dont les travaux vont intervenir incessamment.
Pour s’assurer du respect du délai et de l’efficacité du travail, le Ministre a instruit les autorités locales de l’EPST de veiller sur cet ouvrage et d’être régulièrement sur terrain dans le cadre de la journée d’itinérance instaurée chaque mercredi par son Autorité.
Après le discours, place à la pose de la première Pierre. Mais avant cela, le Ministre Tony Mwaba a mis en garde l’entreprise sur le respect du délai d’exécution et s’interdit cette culture de lancement de travaux non achevés devenue une tradition.
Comme l’EP Maman Antoinette, deux autres écoles ont été choisies pour le lancement officiel de ce vaste programme du Chef de l’État qui vise à réguler le déficit en infrastructures scolaires, constaté après la consolidation de la gratuité de l’enseignement primaire public qui a engendré un surpeuplement des salles de classe.
Ce programme comme celui de construction des 200 écoles s’inscrivent dans la dynamique de l’amélioration de la qualité de l’enseignement, cheval de bataille du Ministre Tony Mwaba Kazadi dont les œuvres sont plus que tonitruantes et éloquentes dans le respect strict de la vision et orientation du Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.




En vacances parlementaires dans le territoire de Kabare : L’honorable Claude Nyamugabo communie avec les chrétiens des paroisses de Nyantende et Mumosho

Après son enrôlement le samedi 11 mars, l’Honorable Claude Nyamugabo Bazibuhe, meilleur élu aux législatives nationales de 2018 dans la circonscription électorale de Kabare, s’est vite mis au travail d’itinérance.

En fervent catholique, l’honorable Claude Nyamugabo a tenu à commencer ses vacances parlementaires sous la bénédiction et protection divines en communiant tour à tour avec les chrétiens des paroisses de Nyantende et Mumosho dans le Territoire de Kabare.
Au-delà de sa participation à la messe, à Nyantende comme à Mumosho, l’honorable Claude Nyamugabo Bazibuhe dont les œuvres en faveur des différentes paroisses ne sont plus à démontrer, a, une fois de plus mis la main dans sa poche pour l’avancement de l’œuvre de Dieu.
Ainsi donc, les Paroisses de Nyantende qui construit une clôture pour la sécurisation du presbytère a reçu cent sacs de ciment. De même, la paroisse saint André de Mumosho qui construit un presbytère a reçu cent sacs de ciment.
Il faut rappeler que les deux paroisses ont toujours bénéficié de la particulière attention de l’honorable Claude Nyamugabo qui a construit à ses frais l’autel de la paroisse Saint André de Mumosho et qui a contribué substantiellement à la construction de l’église de la paroisse de Nyantende.
Prenant la parole au nom de tous leurs paroissiens, les deux Curés ont tenu à exprimer leurs remerciements à l’endroit de l’honorable Claude Nyamugabo Bazibuhe pour ce énième geste louable en faveur de leurs paroisses. Ils ont ensuite imploré la grâce divine sur cet élu afin que Dieu puisse continuer à le combler de ses bénédictions, une prière manifestement exaucée en faveur de l’honorable Claude Nyamugabo, un chrétien qui a toujours fait de l’Éternel ses délices.




Transport en commun : Les Kinois ont vécu un calvaire !

En fin de semaine dernière, l’Hôtel de ville a annoncé de nouveaux tarifs dans le transport en commun, des taxis, des bus, des mini-bus. Et les usagers souhaitent vivement les voir être mis en application. Et ce lundi matin 13 mars 2023 constituait bien le jour de cette vérification. Déjà, dès cette annonce, les transporteurs les ont boudés pour des raisons évidentes.

Les réactions faites à la rédaction de l’actualité.cd, font état de vérification de la mise en application de ladite mesure annoncée par le gouvernement provincial de Kinshasa.
Étant entendu que chaque conducteur imposait le tarif selon son humeur, le gouvernement provincial voulait y mettre bon ordre.
De beau marché jusqu’au centre-ville, les usagers font face au tarif imposé par les conducteurs, soit 1500 francs. Pour les autorités, il est question de 1000 francs. Cela laisse très peu de choix aux usagers contraints de se soumettre.
Le vœu collectif est que le gouvernement déploie des agents agréés pour faire respecter cette disposition afin que cela n’aille pas dans tous les sens.
“Dans ce pays, chacun fait ce qu’il veut, ce qu’il pense mieux pour son intérêt. Le gouvernement à ce jour devrait déployer les agents de transport pour faire appliquer ce nouveau tarif, sinon, ça sera un coup d’épée dans l’eau”, a indiqué un Kinois dans l’arrêt de bus beau marché ville, beau marché Kingabwa et plusieurs autres destinations.
Avant de se poser la question : “Comment peut-on publier une nouvelle tarification sans des mesures d’accompagnement pour la mise en application ?”
On en est à espérer que les transporteurs se plieront face à cette mesure prise pour soulager la population qui éprouve d’énormes difficultés à se mouvoir d’un point à un autre dans une ville en proie à de nombreux embouteillages, à certaines heures de la journée.

Il sied de dire que la faisabilité de cette méthode ne peut être concrète que par la rigueur des autorités compétentes dans l’accompagnement et le suivi digne de ce nom ainsi que la conscience de la population kinoise dans la dénonciation en cas de déviation.
Jean-Luc Lukanda




Eruption du volcan Nyamulagira : La population de Goma appelée à garder son calme et de vaquer librement à ses occupations

L’Observatoire Volcanologique de Goma en charge de la surveillance des volcans des Virunga et de l’activité sismique de la région porte à la connaissance de la population de Goma et de ses environs qu’à partir de 18h temps local une lueur ardente a été observée au sommet du volcan Nyamulagira.
« Les données actuelles de la sismicité indiquent un mouvement des magmas à de faibles profondeurs vers le cratère central du volcan Nyamulagira », indique un communiqué publié à cet effet par le Prof Dr Mohindo Alisembo Adalber.
Dans nos bulletins précédents, ajoute-t-il, nous avons annoncé la localisation de séismes hybrides (cassure suivie d’une intrusion magmatique) dans le champ du volcan Nyamulagira. « Signalons que, si l’activité actuelle au Nyamulagira conduit à une éruption sur le flanc, la lave s’orienterait dans le Parc National des Virunga », note le même document.
Toutefois, les produis volcaniques tels que des cendres, des cheveux de Pelé et des scories peuvent retomber dans les zones habitées consécutivement à cette activité dans le cratère. Voilà pourquoi il est recommandé à la population de Goma de garder son calme et de vaquer librement à ses occupations. L’usage concernant le lavage des légumes et la consommation d’eau de citerne doivent être suivis scrupuleusement.
« Nous recommandons aux aviateurs de tenir compte de la direction du vent en survolant la région des Virunga. L’OVG poursuit les observations sur terrain et à partir de son réseau de surveillance et vous tiendra compte de l’évolution de la situation », apprend-t-on de la même source.




Affaire Gilbert Kabanda-Stany Bujakira : Pascal Mulunda et PPJ préconisent la saisine du Tribunal des pairs de l’UNPC

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le Plaidoyer pour la Protection des Journalistes (PPJ) que préside le journaliste Pascal Mulunda est vivement préoccupé et inquiet au sujet de la procédure employée par le ministre de la Défense vis-à-vis du journaliste Stany Bujakera Tshamala et exhorte ainsi l’autorité gouvernementale concernée à saisir plutôt le Tribunal des Pairs de l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) pour trancher tout différend.

« Le PPJ qui fait confiance au gouvernement de la République, encourage les autorités institutionnelles à tous les niveaux à privilégier le règlement de toute incompréhension avec la presse par des voies recommandablement peu incendiaires », indique le même document.
Le PPJ rappelle que la presse est un partenaire incontournable du gouvernement. À ce titre, cette structure compte sur l’intervention du ministre sectoriel pour résoudre la crise.