Fally Ipupa et son attachement pour l’Est de notre pays

Dès l’abord, je donne raison à ceux qui disent que la haine et la jalousie rendent ridicules leurs auteurs. Ce que certaines personnes racontent sur la toile contre le seul congolais qui a déplacé un président français dans une quartier populaire de la capitale n’est que l’expression de la haine et de la jalousie. Ceux qui aiment le M23, ce sont ceux qui ont réveillé ce mouvement défait et vaincu en 2013 et non saint Fally Ipupa qui n’a fait que contribuer au rayonnement de notre culture.

Pour l’Est de notre pays, l’artiste Fally Ipupa n’a pas que de discours. Ses actions en faveur de ce coin de la république ne se comptent même plus. Tenez.
1. Il a passé Noël à l’hôpital Keshero à Goma le 24 décembre 2018 en y apportant des dons comme aucun artiste ne l’a jamais fait
2. Le 19 juin 2020, il a fait un don de 20 000 euros à l’hôpital Panzi du grand docteur Mukwege.
3. En 2013, alors qu’il n’avait que 36 ans, profitant de son séjour à Goma pour un concert programmé le 24 octobre 2013, il avait distribué aux victimes de la guerre le fruit de la vente des biens personnels (vareuses et bottines) des stars africaines du football évoluant en Europe arrivées à Kinshasa à l’occasion de la présentation officielle de son album « Power kosa, leka ».
4. Le 13 juin 2022, à la chute de Bunagana, il a affiché son soutien aux FARDC avec des vivres et un appui considérable (voir photo collée à ce texte. Dans une vidéo publiée sur Facebook, le représentant du chef d’état-major a déclaré ceci : *Je promets que ces vivres vont arriver à destination. C’est-à-dire aux militaires qui sont au champ de bataille”*

5. Le 14 octobre 2014, une ambulance médicalisée a été réceptionnée par l’hôpital de référence de Goma, dont de l’artiste.
La liste est longue…
Qui des warriors du gouvernement ou quel est la députée nationale qui a fait plus que l’artiste ? Certes, la haine altère souvent le discernement, mais je conseille une haine intelligente quand-même. *Recevoir Emmanuel Macron à Bandal est une prouesse à saluer. Accoler à une telle bravoure des visées politiciennes est une preuve de haine et je conseille vivement aux congolais de ne pas se laisser vaincre par la jalousie. Si un tel fait se produisait au siège de l’Udps à la 10ème rue, la toile serait inondée par des messages de suffisance. Circulez, il n’y a RIEN à voir*
Je souhaite un très bon jeudi à l’artiste Fally Ipupa, la fierté de toute la république.
L’archange Papy TAMBA,
Le Papy le plus célèbre de la RDC




08 mars : « L’ONU s’engage à aider à faire avancer la position des femmes congolaises dans le secteur des sciences (…)» (M. Bruno Lemarquis)

Dans son message prononcé à l’occasion de la Journée Internationale des Femmes, M. Bruno Lemarquis, Coordonnateur résident de l’Onu en Rdc indique qu’à travers cette date, nous honorons la force, la résilience, l’ambition et le courage de toutes les femmes et les filles en RDC, ainsi que leur pouvoir d’apporter d’immenses changements et de mener les dialogues de paix.

Néanmoins, c’est aussi l’occasion de reconnaître le chemin escarpé qu’il nous reste à parcourir pour parvenir à l’égalité des sexes. Les femmes, à travers la RDC, continuent d’être victimes de marginalisation, de violence, d’injustice structurelle, de violations de l’autonomie corporelle et sont les premières touchées en temps de crise et de conflit.
A l’en croire, les secteurs technologiques et scientifiques n’échappent pas à cette tendance. Les femmes continuent de représenter moins du tiers des personnes travaillant dans les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques au niveau mondial. Elles ont également beaucoup moins accès à l’Internet que les hommes et sont souvent victimes de violence en ligne.
« Les femmes et les filles sont des actrices du changement. Elles méritent un espace sûr et équitable dans la technologie et la science. Le numérique peut être un moyen pour elles de connaître leurs droits, d’accéder à l’éducation et de devenir autonomes pour réaliser leurs aspirations », explique-t-il.
Comme l’a dit Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU, lors de son discours du 8 mars : « Investir en faveur des femmes bénéficie à l’ensemble des personnes, des communautés et des pays ». Il en résulte des économies plus fortes, des solutions plus innovantes aux problèmes de la société et des réponses plus inclusives qui tiennent compte des besoins des minorités.
L’ONU en RDC s’engage ainsi à aider à faire avancer la position des femmes congolaises dans le secteur des sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM). De nombreuses initiatives ont été entreprises par les agences onusiennes pour renforcer le rôle et les compétences des femmes dans le monde numérique. A titre d’exemple l’ONU appuie un projet de développement des micros, petites et moyennes entreprises sur la digitalisation de la diffusion des lois favorables à l’entrepreneuriat féminin. L’objectif étant d’assurer une divulgation plus rapide et plus large des droits des femmes. C’est dans cette perspective que, du 13 au 24 mars, nous organiserons un « Village numérique », dont l’activité phare sera un « camp de codage » pour les jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans. Il va s’agir d’un atelier pour doter les participantes d’outils nécessaires du secteur technologique.
En plus des nombreux efforts fournis dans le domaine de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes, martèle-t-il, nous saluons les efforts entrepris par le Gouvernement de la RDC à travers notamment la promulgation le 29 décembre 2022 de la loi N° 22/065 du 26 décembre 2022 fixant les principes fondamentaux relatifs à la protection, à la réparation des victimes des violences sexuelles liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité.
L’engagement du Système des Nations Unies à parvenir à l’égalité des sexes est inébranlable, et faire progresser l’accès des femmes aux STEM est un pilier essentiel pour atteindre l’ODD 5. Le Système des Nations Unies en République démocratique du Congo vous souhaite une bonne Journée internationale de la femme




Quatre solutions pour réduire les inégalités entre les genres et favoriser la croissance économique mondiale

Tirer parti de l’équité entre les genres sur le plan économique Le manque de débouchés économiques pour les femmes est encore trop important. Cela est injuste et nuit à la croissance et à la résilience de tous.

Il est admis que le simple fait de réduire les écarts dans la participation des femmes sur le marché du travail au sein des pays où les inégalités entre les genres sont plus marquées pourrait augmenter la production économique de 35 % en moyenne. Cependant, les signes d’amélioration tardent à venir et les chocs, tels que les catastrophes sanitaires et climatiques, les troubles sociaux et la guerre, continuent de creuser les inégalités entre les genres, en affectant directement la vie et les moyens de subsistance des femmes et des filles, ou en les empêchant de travailler et d’aller à l’école.
Des politiques économiques et financières adéquates peuvent contribuer à améliorer ces mauvais résultats, et ainsi stimuler les économies, en soutenant la reprise et en renforçant notre résilience face aux chocs futurs. En d’autres termes, si les femmes y gagnent, tout le monde y gagne D’ailleurs, si la pandémie a nui à la situation des femmes dans tous les domaines, elle a également conduit à quelques mesures innovantes. Plusieurs programmes extraordinaires d’aide en cette période de pandémie ont ciblé les femmes et permis à davantage de personnes de bénéficier des dispositifs de protection sociale. Il est ainsi plus facile de leur fournir une assistance ciblée face aux flambées actuelles des prix des denrées alimentaires et des combustibles.
Les dirigeants ont déjà à leur disposition des solutions sensibles au genre qui se sont avérées efficaces sur le plan macroéconomique.
Premièrement, il faut investir dans le capital humain féminin. Les avancées obtenues en permettant aux femmes d’accéder équitablement aux denrées alimentaires, aux soins de santé et à l’éducation sont particulièrement importantes dans les pays émergents et en développement. Les transferts monétaires sont notamment utiles car ils aident les familles à payer les produits de base dont elles ont besoin dans les pays proposant des dispositifs de protection sociale moins développés.

Deuxièmement, les femmes doivent pouvoir créer leur propre entreprise et travailler en dehors de leur foyer. Les réformes de la fiscalité, des dépenses publiques, de l’infrastructure et de la réglementation du secteur financier, ainsi que des marchés du travail peuvent être bénéfiques. La mise en place de services de garde d’enfants de qualité à des prix abordables permet à davantage de femmes de travailler et crée également des emplois directs.
Troisièmement, il faut en finir avec les préjugés inconscients. Sur 190 pays étudiés, la Banque mondiale a constaté que, sur le plan juridique, les femmes étaient sur un pied d’égalité avec les hommes dans seulement 12 pays. Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques, les discriminations basées sur le genre au sein des institutions sociales présentent un coût de 6 000 milliards de dollars pour l’économie mondiale. Mais ces dernières années, les pays ont limité ce coût grâce à des avancées sociales et juridiques, notamment la réduction du nombre de mariages précoces, la répression des violences domestiques par des sanctions pénales et l’augmentation du nombre de femmes élues.
Quatrièmement, il est essentiel d’accroître la proportion de femmes occupant des postes de direction. D’après une analyse du FMI, plus le nombre de femmes travaillant dans les institutions financières et participant à l’élaboration des politiques financières augmente, plus la résilience financière est renforcée. Si dans les sociétés de technologie financière, le fait d’avoir des femmes à des postes de direction mène à de meilleures performances, dans le secteur des entreprises, c’est la rentabilité qui est améliorée.




En séjour à Kananga : Isaac Bakajika Diyi appelle la population à s’enrôler massivement

L’Assistant principal du Premier Ministre, Isaac Bakajika Diyi, séjourne à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Central, depuis mardi 07 mars 2023. Cette visite dans son fief a pour objectif, entre autres, la sensibilisation des populations à s’enrôler massivement pour les prochaines échéances électorales. L’Assistant principal du Chef du Gouvernement s’est rendu directement de l’aéroport national de Kananga au centre d’inscription de la CENI, situé au quartier Malandji dans la ville de Kananga où il a obtenu sa carte d’électeur.
Devant la foule compacte qui l’a accompagné de l’aéroport jusqu’au centre de la ville, Isaac Bakajika s’est exprimé en ces termes :
“Je suis venu dans la ville de Kananga pour m’acquitter d’un devoir civique, celui de m’enrôler pour atteindre les prochaines échéances électorales. Vous le savez, aujourd’hui les opérations d’enrôlement ne sont pas seulement pour avoir la carte d’électeur, c’est aussi un préalable pour avoir la carte d’identité. Le Gouvernement conduit par Jean Michel Sama Lukonde kyenge, Premier Ministre, Chef du Gouvernement, sous la conduite du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a pris l’engagement de donner à chaque citoyen sa carte d’identité. Ceci n’est qu’une étape pour avoir cette carte d’identité. Il était plus que normal, pour moi qui suis un natif de cette ville, de revenir et avoir ma carte d’électeur ici. J’ai trouvé cette mobilisation tous azimuts autour de cette campagne que nous sommes en train de mener pour amener les gens à pouvoir s’enrôler massivement. Je suis très heureux de me retrouver ici dans la ville de Kananga. Allons tous nous faire enrôler”.


Le Secrétaire général du parti Avenir du Congo qui l’accompagne dans cette visite a, dans sa brève prise de parole devant la foule, exhorté la population à profiter du temps qui reste pour rattraper le retard et s’enrôler massivement pour participer aux élections de décembre prochain.
Le séjour de l’Assistant principal du Chef du Gouvernement à Kananga est fort chargé. Plusieurs activités sont prévues à son agenda.




8 mars 2023: Paul Nsapu salue les efforts consentis par Félix Tshisekedi pour la valorisation de la femme au sein des Institutions

La Communauté tant nationale qu’internationale célèbre le 08 mars de chaque année la journée internationale de la femme. En République Démocratique du Congo, le thème national retenu pour 2023 est « le numérique, la paix et l’autonomisation » des femmes et des filles.

C’est dans cette optique que M. Paul Nsapu Mukulu, président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) salue les efforts consentis par le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Thilombo, défenseur de la masculinité positive, pour la valorisation de la femme notamment au sein des Institutions de la République et dans les sphères de prise des décisions.
C’est dans cet ordre d’idées que la CNDH-RDC a voulu donner le ton, en respectant le principe de la parité dans la composition de son Bureau et en ce qui concerne la désignation des coordonnateurs de ses Sous-Commissions permanentes.
A en croire Paul Nsapu Mukulu, la femme congolaise représentant plus ou moins 51% de la population totale de la RDC et, constituant une force non négligeable, doit être accompagnée et impliquée dans le processus de paix et de son autonomisation en vue de la rendre plus performante dans ce monde où le numérique est associé dans tous les secteurs de la vie humaine.
Pour le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), il est donc temps que cesse toute forme de discrimination faite à l’égard de la femme ; et la CNDH-RDC ne ménagera aucun effort pour veiller à ce que la dignité et les droits de la femme soient respectés dans notre pays.




Prêchant par l’exemple : Tony Mwaba visite le Collège la Rosée dans la commune de la N’sele

Mercredi terrain, la nouvelle tradition respectée par le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi. Conformément à sa note circulaire du 04 mars 2023 qui institue chaque mercredi, une journée de terrain pour tous les cadres de l’EPST, le Professeur Tony Mwaba a montré la voie à ses collaborateurs.

Pour cette première, c’est la province éducationnelle de la Tshangu qui a constitué la première étape de son itinérance. C’est le Bureau de l’Inspection Principale Provinciale qui a accueilli le Ministre. Ici le patron de l’EPST est venu se rendre compte du travail du nouvel Inspecteur principal Provincial ; mais aussi, de l’application de ses recommandations après les différentes rencontres sur le réveil de la trilogie inspectorale.
Constat fait, les choses évoluent pour le mieux et les instructions du Ministre ont été respectées. Deuxième étape, la Province éducationnelle de Kinshasa/Plateau, direction, le Collège la Rosée dans la commune de la N’sele
Ici, le constat est amer, cette école qui organise cinq options pourtant, n’a que six petites salles de classe dans un état très délabré. Avec un Bureau de Direction dans un hangar et une cour séparée par des tôles avec une maison d’habitation. En un mot, les conditions d’une école n’y sont pas.
Sur le champ, le ministre a convoqué d’urgence le Promoteur de ladite école. A son arrivée, l’homme se dit d’abord surpris de l’absence des cours pour une journée de 8 mars.
Après interrogatoire, l’école s’avère être une école privée, mais sous gestion d’une confession religieuse au nom de RENECO.
Sur le champ, le Ministre a instruit en présence de l’Inspecteur général a l’EPST, Jacques Odia Musungayi qu’une mission soit diligentée pour des dispositions pratiques contre ces établissements non viables et anarchiques qui salissent l’image du sous-secteur voulu assaini par le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi.
En attendant les rapports des cadres de son Ministère, Tony Mwaba a prêché par l’exemple avec cette veille décrétée chaque mercredi. Rappelons que ce n’est pas une première pour le numéro 1 de l’EPST qui en a fait une religion depuis son avènement à la tête de ce ministère.




08 mars : Isidore Kwandja Ngembo rend un vibrant hommage à toutes les femmes

Le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, est le jour où l’on reconnaît et l’on souligne, à l’échelle mondiale, les réalisations sociales, économiques, culturelles et politiques des femmes et des filles, et où l’on sensibilise le public sur la situation et le rôle des femmes dans la société.

À l’occasion de cette Journée internationale des droits des femmes de 2021, indique Isidore Kwandja Ngembo, Directeur du CNJF a d’abord commencer par rendre un vibrant hommage à toutes les femmes qui, partout dans le monde et en particulier en Afrique, font des sacrifices inlassables, chaque jour, pour faire vivre leurs familles et œuvrer à l’éducation de leurs enfants. C’est également l’occasion de souligner la nécessité d’encourager l’instruction des filles pour leur donner la possibilité de choisir et être en mesure de définir leur propre rôle dans la société, au lieu de laisser les hommes le faire pour elles.

Hommage à ma femme

Le 8 mars est une journée où les femmes sont également reconnues pour leurs réalisations personnelles et dans la société. Dans son un message publié sur son blog, Isidore Kwandja Ngembo rend un vibrant hommage à une femme, une battante, une femme de cœur et une grande dame, à son avis et pour moi. Elle s’appelle Bantu Mbempe Mayibungi Clémence. Une femme qui ne laisse rien au hasard et qui travaille fort, et ce, jusque tard dans la nuit et qui se lève toujours tôt. Comme qui dirait, « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ».

Avec en poche, son diplôme en développement des organisations de l’Institut supérieur de développement rural en République démocratique du Congo, elle débarque à Genève en Suisse à l’Institut universitaire d’études du développement (IUED) où elle poursuit ses études et obtient son diplôme en études de développement.

Elle accompagne son mari à Louvain-la-Neuve en Belgique où il poursuivait également ses études supérieures. Aussitôt arrivée en Belgique, elle comprend très vite la maxime qui dit : « il n’y a pas de sots métiers, il n’y a que de sottes gens ». Le marché du travail, dans son domaine d’études, étant extrêmement difficile pour les étrangers, elle entreprend immédiatement une formation accélérée d’auxiliaire gériatrique pour travailler comme préposée aux bénéficiaires, question de faire bouillir la marmite.

Arrivés tous au Canada, une semaine après, elle commence déjà à travailler dans ce domaine et décide en même temps d’entreprendre des études en soins infirmiers et décroche son diplôme. Elle ne s’arrête pas là. Elle décide de retourner à l’université où elle décroche également un Diplôme d’études supérieures (DES) à l’Université Saint-Paul d’Ottawa.

Depuis le début de cette pandémie de la Covid-19 qui sévit dans le monde entier et affecte négativement la vie sociale, Clémence Bantu est parmi plusieurs femmes à travers le monde qui sont aux premières lignes en tant que soignantes, pour lutter contre cette pandémie. « Je tenais à souligner la farouche bravoure de cette femme, en cette journée internationale de la femme, que nous sommes fières d’elle pour son courage et sa ténacité, en dépit de toutes les vicissitudes de la vie », souligne-t-il.

Qui est Isidore Kwandja Ngembo ?

Isidore Kwandja Ngembo est analyste des politiques publiques. Il a fait des études supérieures en Éthique publique à l’Université Saint-Paul d’Ottawa ; en Science politique & relations internationales à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa ; en Management public à l’École nationale d’administration publique (ENAP – Québec) ; en Droit international des droits de l’homme à l’Université catholique de Louvain & l’Université Saint-Louis de Bruxelles ; en Développement international à l’Université catholique de Louvain & l’Université libre de Bruxelles en Belgique. Auditeur en Droit international public, de l’Académie de droit international de La Haye.




Journée internationale des droits de femmes : Christelle Muabilu salue le sens d’adaptation des unes et des autres aux nouvelles exigences économiques et sociales

« En ce jour où la Femme est honorée par la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, je saisis agréablement l’occasion pour rendre un vibrant hommage à toutes les femmes de mon pays et particulièrement à celles de l’Office Congolais de Contrôle (OCC),  avec un regard porté sur les différentes luttes contre les inégalités, sur votre participation à l’œuvre nationale de construction, singulièrement à la réalisation des objectifs de l’Office », a indiqué Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’OCC.

Dans ce message, elle salue tout spécialement le sens d’adaptation des unes et des autres aux nouvelles exigences économiques et sociales, notamment par la formation plus que jamais indispensable au numérique. En effet, il est temps pour la femme de faire bouger les lignes, de faire preuve de capacités sur tous les plans, comme vous le faites déjà si bien, femmes engagées de mon pays et de l’OCC en particulier.

Elle prend modestement, pour ma part et du haut de mes fonctions, l’engagement de garantir à chacune de vous une formation continue de qualité. Mon implication personnelle vous est acquise, pour de meilleurs résultats dans la contribution autant que possible au changement du monde, du statut de la femme au sein du monde ainsi qu’à l’OCC.

Christelle Muabilu formule le vœu de trouver demain à l’OCC plus de femmes analystes de laboratoires, inspecteurs techniques et environnementaux, inspecteurs de conformité, métrologues, chefs de départements, chefs de directions provinciales, et pourquoi pas mandataires de l’Etat.

« L’heure est donc venue de nous mettre ensemble pour aller plus encore de l’avant, porter davantage haut l’image de la femme, valoriser sans relâche le travail qu’elle est capable d’accomplir », dit-elle.

En ma qualité de première femme de l’OCC par mes fonctions, souligne Mme Christelle Muabilu, je vous souhaite à toutes une heureuse Journée des droits de femmes, tout en attirant également votre attention sur vos devoirs et votre responsabilité sur le monde en construction.




A l’occasion du 8 mars : Kabasele Tshimanga invite les femmes congolaises à monter au front

Malgré son absence au pays, le Président National de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, Monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, vient d’adresser un message aux femmes de son parti politique. Et, à travers elles, ce message est également destiné à la femme congolaise qui doit s’engager au front pour la transformation de la société nationale. Ci-dessous, ce message signé depuis Caracas (Venezuela) où il se trouve encore :

“Chères Camarades,

“Comme toutes les femmes du monde, vous célébrez, ce 8 Mars, la Journée Internationale dédiée à la femme.

“Cette commémoration se passe au moment où je me trouve à l’étranger.

“Je tiens à féliciter les Camarades restées à nos côtés pour œuvrer ensemble en faveur de la transformation de notre société qui est plombée au sous-sol du développement et qui ne peut pas changer sans la participation de la femme.

“Si la société congolaise n’arrive pas à connaître un quelconque changement dans tous les domaines de la vie nationale, la responsabilité, même partagée, incombe surtout à la femme congolaise qui ne parvient pas à faire sa propre révolution mentale.

“La femme congolaise, à tous les niveaux et de tous les âges, préfère la médiocrité. Elle refuse de se remettre en cause et de s’interroger de manière consciente sur sa part de responsabilité dans la dégradation généralisée de la situation lamentable que connaît notre pays.

“Souvent, elle croit à tort à la facilité et à des coups de pouce hypothétiques. Elle oublie qu’elle doit se battre et lutter comme l’homme. Et sans complexe. Elle commettrait l’erreur de demeurer éternellement passive.

“Le jour où la femme congolaise s’engagera au front comme toutes les autres femmes révolutionnaires du monde, la situation du pays changera radicalement.

“Pour les Camarades de la LIFUDS, cette année doit marquer la rupture totale avec des anciennes pratiques qui ravalent la femme congolaise au niveau d’une éternelle assistée sans imagination créative.

“L’UDS d’hier ne sera plus l’UDS de demain. Il n’y aura plus de cadeaux pour telle Camarade ou telle autre. Tout le monde sera sur le même pied d’égalité. Seules les femmes imaginatives et entreprenantes mériteront de l’UDS.

“A ce prix, nous bâtirons ensemble et sans discrimination quelconque, un grand parti socialiste et révolutionnaire dans notre pays.

“Les pagnes, les défilés et les beuveries annuels vécus le 8 Mars ne défendront jamais la cause de la femme congolaise. Les autorités qui encouragent ces pratiques, ne contribuent jamais à la promotion de la femme congolaise. Elles, ces autorités, agissent ainsi par manque de vision.

“Je lance un appel patriotique aux Camarades de la LIFUDS pour qu’elles rompent définitivement avec ces agissements rétrogrades.

“Éduquer une femme étant éduquer tout un peuple, la femme de l’UDS doit devenir désormais un modèle à suivre et se mettre à l’avant-garde de la lutte pour un nouveau Congo.

“Fait à Caracas, le 08 Mars 2023.

“Le Président National de l’UDS,

“Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, “Sénateur honoraire”




En séjour à Buta : Mme Aminata Namasia portée en triomphe

Le soleil s’est arrêté ce lundi 06 mars 2023, dans la ville de Buta, capitale de la Province du Bas-Uélé. Pour cause, l’arrivée de la fille du terroir, l’ancienne Benjamine de la Chambre basse qui y a joué un rôle de premier rang comme Questeure, dans la reconfiguration de la majorité parlementaire qui a renforcé le pouvoir du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.


L’honorable Aminata Namasia Bazego, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, vice-ministre à l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a foulé le sol de sa province pour deux objectifs. Le premier se porte aux itinérances, mode de travail auquel elle a été associée par son titulaire, pour palper du doigt la mise en application de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics, la lutte contre les antivaleurs et le redressement du sous-secteur de l’Éducation.
Le deuxième objectif vise l’accomplissement de son devoir civique de se faire enrôler en vue de se mettre en ordre de bataille face aux joutes électorales prochaines.
Arrivée à 17h00, heure locale, le n°2 de l’EPST a été accueillie chaleureusement par une marée humaine qui l’a obligée à faire les pieds sur une très longue distance en vie de se frotter à la chaleur de sa base. Une obligation à laquelle elle s’est soumise, comme Servante du peuple.
Se livrant en première position à cette foule, l’élue de Bambesa a rendu de vibrants hommages au Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour une vision claire de son action dont le programme phare de la pérennisation et de la concrétisation de la gratuité de l’enseignement primaire. Une gratuité effective dans toutes les écoles primaires publiques en RDC et étendue aux écoles consulaires.
Voilà pourquoi elle n’a pas caché sa fierté de voir les retombées de cette mesure constitutionnelle mise en application par le Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a permis l’accroissement des élèves dans la Province du Bas-Uélé.
Respectueuse du protocole, après avoir parcouru toutes les artères de la ville de Buta, l’honorable Aminata Namasia Bazego s’est rendue au Gouvernorat de la Province pour présenter ses civilités au Gouverneur.
A l’autorité provinciale, Aminata Namasia Bazego a annoncé la mécanisation des 400 écoles de la Province par le Ministère de l’EPST. Une nouvelle qui a été accueillie avec joie par le Gouvernement provincial du Bas-Uélé qui a promis de ne ménager aucun effort pour s’engager dans le combat du Chef de l’Etat de pérenniser et de consolider la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics.
Après cette étape, l’élue de Bambesa est attendue dans son fief électoral où elle a été élue comme Députée nationale dans la Chambre basse du Parlement. Et là, elle va répondre à son devoir civique, celui de s’enrôler pour les échéances électorales prochaines.