Agriculture en Rdc : La CONAPAC reçoit la visite de l’EAFF pour le renforcement des capacités

La Confédération nationale de producteurs agricoles du Congo (CONAPAC), a reçu ce vendredi 24 février à Kinshasa, la visite de l’EAFF (Eastern Africa Farmers Fédération), une organisation des agriculteurs de l’Afrique de l’Est conduite par Mme Elisabeth, pour renforcement des capacités.

C’est au cours d’une conférence de presse tenue au siège nationale de CONAPAC au quartier Beau marché dans la commune de Barumbu, que la présidente de l’EAFF Mme Elizabeth a précisé les objectifs de cette visite qui sont notamment, voir et comprendre ensemble avec les membres de la CONAPAC les défis auxquels ils font face, savoir quoi faire et trouver des opportunités pour les accompagner au niveau des institutions nationales, visiter le ministre de l’agriculture pour déclencher des partenariats afin que l’organisation puisse accéder aux différents fonds destinés à l’agriculture en RDC.


“Nous sommes très heureux de cette visite et nous vous assurons de notre accompagnement. Si nous l’avons fait partout ailleurs, pourquoi pas à vous la CONAPAC que nous considérons comme notre bébé ?
Nous avons ouvert les fenêtres du ministère et autres partenaires, c’est maintenant à vous de pouvoir ouvrir les grandes portes pour accroître les relations et assoir le fonctionnement de cette organisation dans toutes les provinces.
En tant que membres, nous sommes venus comprendre avec vous ensemble les défis et parcourir aux partenaires gouvernementaux et privés pour trouver des solutions”, a dit Elizabeth
En Province de Nairobi, ladite délégation a été accueillie par la présidente de la CONAPAC Mme Espérance Nzuzi Muaka, du vice-président Paluku Muvemba et des présidents provinciaux qui à leurs tours ont remercié la cheffe de l’EAFF avec son équipe pour cette première visite depuis la création de cette organisation en RDC.
Mme Nzuzi Muaka a promis aux visiteurs leur fermeté de travailler avec le gouvernement et tous les partenaires pour épanouir les intérêts sociaux dans le domaine de l’agriculture en République démocratique du Congo

Jean-Luc Lukanda




Guerre en Rdc et ses conséquences : La gratuité de l’enseignement de base paye le pot cassé juste après 3 ans de son effectivité.

Ce programme considéré comme salutaire pour l’éducation en RDC va bientôt s’arrêter pour une seule et simple raison, l’État congolais ne sera plus en mesure d’en assurer son financement suite à la guerre qui se vit dans la partie Est de la RDC, a souligné Félix Antoine Tshisekedi au cours de la conférence de presse tenue à Kinshasa le 4 mars 2023 animée conjointement avec le président français Emmanuel Macron.

Plus de 2.500.000 enfants sur toute l’étendue de la République à l’âge de scolarisation sont retournés à l’école grâce au programme de la gratuité de l’enseignement de base en République démocratique du Congo. Ce programme a consisté en la suppression de tous les frais de scolarité payés par les parents. Mettre fin à ce programme la RDC va pouvoir régresser sur les avancées déjà enregistrés dans le domaine de l’éducation. Les parents congolais vont pouvoir reprendre encore la charge des personnels enseignants, une chose qui aura du mal à passer dans des oreilles des parents congolais.

Pour le président de la République, ” la RDC doit à présent concentrer ses ressources sur le renforcement des capacités de l’armée pour la sécurisation du territoire national ” la suspension de ce programme risque de mettre fin à la scolarité de beaucoup d’enfants à travers la Rdc et surtout les filles qui ont été bénéficiaires de ce programme à 60%. L’éducation en RDC rentre dans la case départ, le calvaire des parents d’élèves congolais pourra encore engendrer d’autres méfaits dans la société congolaise.

Osée Kalombo




EPST : Tony Mwaba décrète chaque mercredi, journée d’itinérance sur terrain dans tous les établissements scolaires publics et privés agréés

Le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, vient à peine de rentrer de Londres où il a été en mission et une fois les travaux de Mbuela III clôturés, de décréter chaque mercredi, une Journée d’itinérance sur terrain dans tous les établissements scolaires publics et privés agréés, ainsi que les bureaux gestionnaires dans toutes les provinces éducationnelles de la RDC par tous les cadres.

C’est ce que révèle une Note Circulaire n°MINEPST/CABMIN/001/2023, signée de sa main ce 04 mars 2023 où il est indiqué :”Dans le cadre de consolider et de pérenniser la gratuité de l’enseignement primaire, ainsi que la lutte contre toutes sortes d’antivaleurs dans les établissements scolaires publics et privés agréés, je décrète la Journée du mercredi, Journée d’itinérance à l’EPST”, lance le patron de l’EPST, avant de fixer :”Ainsi donc, j’engage tous les Cadres du Ministère à consacrer cette journée aux activités de terrain pour le suivi de l’exécution de toutes les instructions officielles”.
Le ministre circonscrit les concernés par cette mesure des descentes sur terrain : “Mme le Secrétaire Général à l’EPST, l’Inspecteur Général, Chef de Corps, les Directeurs Nationaux-Chefs des Services, les Proveds, les IPPs, les Diprocopes, les Inspools, les Inspecteurs itinérants, les Sous-Proveds, ainsi que les Chefs d’Antennes de la DINACOPE”.
Tous ces cadres, poursuit, le professeur Tony Mwaba Kazadi, sont tenus de descendre et travailler sur terrain, chaque mercredi et présenter un rapport d’itinérance, chacun à sa hiérarchie.
L’objet du rapport est ainsi libellé :”Relever les problèmes rencontrés, les mesures correctives et coercitives prises et, le cas échéant, soumettre des propositions à la hiérarchie”.
Tony Mwaba Kazadi insiste et tape du poing sur la table : « Il est interdit aux cadres susnommés de rester dans leurs bureaux le jour d’itinérance, de recevoir ou d’exiger des établissements et bureaux gestionnaires contrôlés, une quelconque rétribution. Tout contrevenant, sera responsable de son sort”, ordonne Ministre Tony Mwaba Kazadi.
Le professeur Tony Mwaba Kazadi donne cette instruction, certainement une leçon tirée, essentiellement de ses itinérances qu’il a initiées toute l’année passée qui lui ont permis de palper du doigt les réalités du terrain, relever les problèmes et y trouver des pistes des solutions. C’est le cas à Kananga où il avait fallu sa présence pour décanter le non-paiement des enseignants alors que l’argent était déjà versé à la banque locale.
Tous les responsables sont ainsi invités à suivre son exemple qui devrait en principe être copié par tous les ministres et cadres du Gouvernement, des établissements, services publics tant au niveau national que provincial.




« Zéro discrimination » Le Remapsen/Rdc sensibilise les professionnels des médias de la Rtnc

La coordination du Réseau des Médias pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (REMAPSEN/RDC) a organisé le mercredi 1er mars, une séance d’échanges avec les professionnels des médias de la rédaction Infos Tv de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC) sur l’importance de la journée internationale « Zéro discrimination ».

« Sauvons des vies : décriminalisons », tel est la thématique abordée au cours de cette journée qui a été une grande opportunité pour le secrétaire exécutif de l’Union des personnes vivants avec le VIH/SIDA (UCOP+), Ange Mavula d’édifier l’assistance, visiblement en quête d’informations sur la problématique. Ce qui a fait que l’exercice ne lui a pas été aisé face à un auditoire, lié, limité et réduit avec tendance de tout ramener à la culture alors que la réalité est toute autre.
« La première cause de la discrimination et la stigmatisation, c’est l’ignorance justement. Je vous invite à changer de langage. Si nous voulons mettre fin au SIDA d’ici 2030 mettons de côté la discrimination et la stigmatisation. Et les médias que vous êtes, vous devrez faire passer la bonne information, parce que nous avons tous les mêmes droits.  J’ai aimé la journée sur ce travail mais j’ai constaté qu’il il y a beaucoup à faire pour les journalistes par rapport au VIH, par rapport à l’homosexualité face à la discrimination et stigmatisation (…) Il faut sensibiliser les médias qui eux sont censés donner la bonne information et si eux n’ont pas la bonne information je doute fort que celle qu’ils vont donner soit la bonne. Et donc il faut commencer par sensibiliser les médias », a-t-il fait observer.
D’un ton ferme et haussé, le secrétaire exécutif de l’UCOP+ a exhorté les professionnels des médias à bannir toute pratique, tout comportements discriminatoires à l’égard des personnes vivants avec le VIH/SIDA, des populations clés afin de les permettre de pouvoir facilement et librement accéder aux services de soins et espérer éliminer en 2030 le VIH/SIDA.
« Ça été très bénéfique cet échange, et pour une épidémie qui a commencé vers les années 80 et atteindre aujourd’hui le nombre de plus de 450.000 personnes sous traitement Arv est un grand effort. Nous saluons ces efforts fournis par la communauté internationale, les partenaires multilatéraux et surtout les structures locales dans la sensibilisation.  Nous prenons à bras le corps cette sensibilisation. Nous sommes là et allons jouer notre rôle de répercuter les messages au travers de nos différentes émissions. C’est ça le rôle des médias », a déclaré le Directeur des Infos Tv, Blaise Bokokia.
S’exprimant à son tour, la coordinatrice du REMAPSEN/RDC, Mme Constance Mananga a invité les journalistes à lutter contre toutes les formes d’inégalités qui peuvent exister à l’endroit des PVVIH et des populations clés.
« Nous avons beaucoup travaillé dans la lutte contre le SIDA mais nous avons oublié de travailler sur la discrimination qui continue à se propager dans toutes les communautés », a-t-elle déploré avant de promettre de s’y pencher dans les prochaines activités de sa structure.
Soulignons que l’organisation de cet échange avec les professionnels des médias de la RTNC rentre dans le cadre d’une série d’activités prévues par le réseau, dénommées « Rendez-vous de Remapsen ».
Prince Yassa




La France appuie le PAM pour l’achat et l’approvisionnement de céréales en Rdc

Le Programme alimentaire mondial (PAM) accueille favorablement l’annonce, à l’occasion du déplacement du Président de la République française, M. Emmanuel Macron, en République Démocratique du Congo, d’une contribution de 5 millions d’Euros du gouvernement français pour l’achat et l’approvisionnement de céréales dans l’est du pays.

Cette contribution, qui s’inscrit dans le cadre du mécanisme de solidarité de l’initiative FARM (Food and Agriculture Résilience Mission), lancé conjointement par la France et le PAM en juillet 2022, aidera notamment le PAM à acheter auprès de fournisseurs locaux plus de 2 550 tonnes de céréales, avant de les acheminer et de les distribuer aux populations isolées de Lubumbashi, Goma et Bunia.
Selon la dernière analyse du Cadre intégré de la classification de la sécurité alimentaire (IPC), la RDC reste l’une des plus grandes crises alimentaires au monde, avec plus de 26 millions de personnes confrontées à une situation d’’insécurité alimentaire aiguë provoquée par les conflits, les mauvaises récoltes, le chômage et l’effondrement des infrastructures.  Quelque 5,7 millions de personnes ont été déplacées à l’intérieur du pays (le chiffre le plus élevé d’Afrique). Parmi elles, 1,5 million ont été déplacées au cours de la seule année 2022.
L’intensification du conflit dans l’est du pays a obligé les populations à se réfugier dans des endroits où les conditions de vie sont inhumaines. De nombreuses familles ont été contraintes de vivre dans des camps insalubres et surpeuplés. La détérioration de la situation sécuritaire a créé des problèmes d’accès pour le PAM, privant des milliers de personnes de la nourriture vitale dont elles ont besoin.
Dans ce contexte très difficile, le Représentant du PAM en RDC, Peter Musoko, se félicite de cette contribution du gouvernement français.  » Ce soutien arrive à un moment où les familles qui ont été déracinées par le conflit ont besoin d’une assistance alimentaire d’urgence, les plus vulnérables étant les jeunes enfants et les mères enceintes et allaitantes. Alors que le conflit persiste, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour aider à sauver des vies et apporter une aide d’urgence à ceux qui en ont le plus besoin et cela n’est possible que grâce au soutien généreux de nos donateurs. »
Soulignons que le Programme alimentaire mondial des Nations Unies est le plus grand organisme humanitaire au monde, il sauve des vies en situations d’urgence et utilise l’assistance alimentaire pour ouvrir une voie vers la paix, la stabilité et la prospérité au profit de ceux qui se relèvent d’un conflit ou d’une catastrophe ou subissent les effets du changement climatique.
Prince Yassa




La gratuité des soins des accouchements effective dans 12 provinces pilotes de la République

Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a présenté aux membres du Conseil la situation globale de la santé dans le pays, principalement celle liée au le Covid-19.

La tendance à la huitième semaine de l’année 2023 est stable dans la mesure où il a été enregistré un seul cas supplémentaire par rapport à la semaine 7 de cette même année.
Il a, par la suite, fait rapport sur la situation de la gratuité des soins cibles des accouchements, projet financé par la Banque mondiale à travers le Programme de développement du système de santé (PDSS).
Cette gratuité est effective dans 12 provinces pilotes de la République, à savoir : le Kwango, le Kwilu, le Mai-Ndombe, le Sud-Ubangi, la Mongala, la Tshuapa, le Maniema, le Nord-Kivu, le Haut-Lomami, le Haut-Katanga, le Lualaba et la ville de Kinshasa. Le Conseil a pris acte de cette Note d’information.




Jean-Jacques Mbungani échange avec un groupe de médecins Australiens sur un projet de formation de médecins congolais en chirurgie anesthésique et trauma

Le Dr Jean-Jacques Mbungani, ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, a accordé une audience, dans son cabinet de travail, à Kinshasa, à un groupe de médecins Australiens en mission en République Démocratique du Congo pour conduire une série de formations en faveur des médecins congolais basés à l’Est du pays.

Au cours de leurs échanges, le chef de la délégation australienne a précisé qu’il s’agit d’une formation spécifique sur le système Sota, c’est-à-dire une formation orientée et concentrée sur la chirurgie, l’anesthésie et le trauma.
“Nous voyons beaucoup de catastrophes naturelles, d’atrocités qui se produisent dans cette région de la RDC, avec beaucoup de conséquences sur le plan sanitaire du côté des populations, qui sont, souvent, victimes. La prise en charge médicale est un peu faible parce que la plupart de médecins, qui sont affectés dans les zones rurales dans cette partie du pays, n’ont pas été suffisamment formés en la matière. D’autres ont appris surtout la théorie mais nous voulons améliorer leurs connaissances pratiques, afin de bien mener les interventions chirurgicales sur des malades, des blessés graves qui sont en urgence”, a expliqué le médecin australien, Dr Neil R. Wetzig, qui a renchéri :
“Ces formations vont durer deux mois. Elles commencent, d’abord pour les médecins qui ont déjà un niveau. Nous allons procéder par le recyclage des médecins dans différentes provinces afin d’améliorer leur qualité de prestation. Par la suite, il y aura des séances de renforcement des capacités.
Nous allons les observer et voir comment ils se sont améliorés au fur et à mesure qu’ils évoluent. Nous comptons aller partout au Congo mais nous pourrions aller petit à petit », a-t-il renseigné.

Pour la délégation australienne, ce projet répond justement aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui a voulu que les personnes vivant dans les zones rurales puissent avoir accès aux soins de santé sécurisés et complèts d’ici les années 2030. “Nous sommes un peu en retard. Raison pour laquelle, nous voulons vraiment commencer dès maintenant pour que la population accède à la chirurgie sécurisée, même dans les zones rurales.
Nous voulons que chaque zone de santé de référence soit capable de le faire correctement, surtout là où il y a des médecins. Beaucoup reçoivent déjà de bons soins dans les centres de santé mais nous voulons aider surtout les zones rurales là où il y a encore beaucoup de problèmes en termes de prise en charge”, a-t-il conclu.
Il sied de noter que cette initiative est saluée par le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, qui l’a assuré de son accompagnement et envisage de partager le projet aux autres membres du Gouvernement lors du prochain conseil des ministres. Car, il revêt une importance capitale qui va plus se justifier dans des zones où il y a carence des spécialistes en chirurgie.




Lutte contre le Paludisme en Afrique : Jean-Jacques Mbungani discute avec une firme pharmaceutique kenyane pour un projet de distribution du produit Mozzi en RDC

Dr Jean-Jacques Mbungani, ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, a reçu, dans son cabinet de travail à Kinshasa, une délégation de la firme pharmaceutique Kenyane « NoMaK » en mission en République Démocratique du Congo. Cette délégation a été conduite par Janvier Mukasa Sebareme, Directeur-Responsable de la société à Kinshasa. Les échanges de cette délégation avec le patron de la Santé en RDC ont tourné autour de la lutte contre le paludisme, qui constitue le cheval de bataille de NoMAK en Afrique.
A cette occasion, Chris Opar, Président du Conseil d’Administration de cette firme, a expliqué au Ministre Jean-Jacques Mbungani la vertu du produit Mozzi qui est un répulsif contre le moustique, fabriqué par NoMAK.
Ainsi, la délégation kényane a échangé avec le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, sur un projet de distribution, en RDC, de son produit antipaludéen, dénommé Mozzi.
« Nous sommes très contents de la façon dont le Ministre congolais de la Santé a accueilli notre projet qui vise le bien-être de la population. Nous allons assurer la distribution de Mozzi afin que les populations vulnérables, comme les plus aisées, y accèdent rapidement. Car, Mozzi est très efficace contre la malaria. Nous souhaitons que Mozzi ne soit plus considéré comme un produit mais plutôt un outil qui sera utilisé au quotidien par la population », a déclaré Chris Opar, Chairman/NoMAK.
Pour sa part, le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a exprimé son soutien à ce projet de distribution de la marque Mozzi. A travers son programme national de lutte contre le Paludisme (PNLP), il assure par son accompagnement afin que ce produit, essayé et testé, soit utile dans n’importe quel ménage et puisse desservir la RDC de manière économique et rapide.
Il faut noter que NoMAK, qui signifie ‘‘NO MALARIA KENYA’’, est une société kenyane dont l’objectif principal est de réduire l’incidence et les effets du paludisme avec l’aide de MOZZi.
NOMAK est là pour combattre le paludisme sur l’ensemble de l’Afrique. Un objectif qui est conforme au programme d’éradication du paludisme du ministère de la Santé.
Améliorer la gestion des soins de santé primaires dans le continent pour faire des progrès significatifs dans la prestation de soins de santé universels, est l’objectif de NoMAK, avec son produit MOZZi qui est considéré comme un outil supplémentaire pour booster la lutte contre le Paludisme.




Au Canada : Paul Muhindo tient un cadre de concertation avec les responsables des partis politiques et mouvements associatifs

Paul Muhindo, Rapporteur adjoint de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), a animé, à l’Ambassade de la RDC au Canada, un cadre de concertation auquel ont pris part les responsables des partis politiques et des associations des Congolais vivant sur le sol canadien.
Introduisant ces moments d’échanges, Paul Mihindo s’est attaché à sensibiliser l’ensemble de ces compatriotes à se soumettre à l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs.
Dans la foulée, il a fait part à l’assistance des efforts déployés par l’équipe dirigée par le Président Denis Kadima mettant en avant sa détermination à mener à bon port le processus électoral en cours dans le pays en vue des élections crédibles, transparentes et apaisées.
Non sans avoir abordé les différentes innovations apportées par la loi électorale et celle portant identification et enrôlement des électeurs.
Le Rapporteur adjoint de la CENI a expliqué le bien-fondé de la révision du fichier électoral prélude à l’organisation des consultations électorales prévues en décembre prochain et bien plus tard.

Aux différentes questions soulevées, dans la partie consacrée aux échanges ayant abordé différents sujets qui préoccupent les compatriotes, Paul Muhindo a apporté des éléments de réponse en rassurant ses interlocuteurs sur la volonté et la crédibilité du bureau actuel de la CENI qui prône le “Rebranding”, le changement de paradigmes pour redorer l’image de la Centrale électorale pour accroître la confiance en elle.
Il a invité les Congolais vivant au Canada à s’approprier ce processus électoral qui leur offre la possibilité de se choisir, en toute liberté, le moment venu, de nouveaux dirigeants devant présider aux destinées du pays pour les prochaines années.
Il a exhorté les responsables politiques à amener leurs bases vivant en terre canadienne à s’impliquer dans cette opération d’identification et d’enrôlement des électeurs lancée depuis le lundi dernier à Ottawa.
Il a rappelé le rôle majeur que doivent jouer les Congolais vivant à l’étranger, dans leur ensemble, en vue de contribuer au changement des dispositions législatives du pays si leurs revendications sont portées au Parlement par des députés issus de leurs rangs.




Palmarès des 50 femmes qui Inspirent : La remise des trophées intervient ce 04 mars

La soirée de remise des trophées aux 50 Femmes qui inspirent édition 2023, aura lieu ce 04 mars dans la salle Show buzz, dans la Ville de Kinshasa. L’annonce a été faite ce jeudi 02 mars par la Directrice générale adjointe de pourelle.info, média initiateur de ce Palmarès.


Devant la presse, Esther Mpezo Omba a précisé le but de ce Palmarès qui consiste  à présenter des femmes modèles pour les jeunes filles de la RDC, qui prennent parfois comme modèle les femmes occidentales ou asiatiques. Elle a éclairé l’opinion sur les critères de sélection de ces femmes. ” Nous ne prenons pas les femmes au hasard. Elles sont des exemples de détermination, de lutte et de réussite. Celles-ci sont sélectionnées sur base de certains critères, notamment : l’engagement, le courage, l’innovation, la créativité, la sociabilité et le savoir-faire”, a-t-elle souligné.

Cette édition certaines s’illustrent dans le combat des droits des femmes, d’autres brillent dans le domaine scientifique, artistique, politique, financier, religieux, médiatique, sportive et dans la mode.
Esther Mpezo Omba a par la même occasion remercié les partenaires qui ont accepté d’accompagner pourelle.info dans cet événement notamment : RawbanK, FBNBANK, Level Up Makutano, Hodari, INPP, Magic touch, Showbuzz, l’agence Guyanne Group, la fondation Grame, l’agence événementiel Succès 360, exploit Crea, Jefferson Hardy, Ley’s Wisdom, les écoles chrétiennes la source de vie ainsi que les médias Ztm Tv, Mandiko, Arts.cd et bien d’autres.
Abordant la question sur la qualité des photos, Jefferson Hardy Tshimanga, photographe de cet événement, a précisé que la qualité des images fait partie intégrante d’une bonne communication pour les femmes. D’où la nécessité de mettre un accent particulier là-dessus. Il a par la même occasion, précisé le pourquoi des couleurs choisies cette année : le rose et le vert qui symbolisent l’équilibre dans leur vie professionnelle et l’amour de ce qu’elles font.
Hope Mangulu Event planner du Palmarès des 50 femmes qui inspirent a rassuré les médias que cet événement sera haut en couleur.

Dave Ngonde