Accès de la population de Kimbanseke à l’énergie Notables, chefs de quartiers et de rues conviés à une table-ronde

L’ONGD Action contre les violations des droits des personnes vulnérables, ’’ACVDP’’ que préside M. Crispin Kobolongo est à l’heure de sensibiliser les communautés de base sur l’accès à l’énergie. Dans cet ordre d’idée, le siège de cette structure à Mokali (commune de Kimbanseke) a abrité, mercredi dernier, une table-ronde d’information et de mobilisation de la population de Kimbanseke sur le droit d’accès à l’énergie. Cette initiative survient dans un contexte où l’accès de la population de Kinshasa à l’énergie, interpelle le gouvernement congolais sur ses engagements, voire son adhésion aux Objectifs du développement durable (ODD).

Sous la conduite du président de la structure organisatrice, deux intervenants ont entretenu l’assistance (constituée majoritairement de notables locaux, des chefs de quartiers, de rues et des leaders d’opinion) autour d’un centre d’intérêt commun à savoir, l’accès à l’énergie à Kimbanseke. En effet, M. ADA-Shabani est l’inspecteur chef de service Energie / commune de Kimbanseke. Sa communication a porté sur la politique énergétique de cette entité (de l’Est de la capitale, s’étendant sur quarante-six (46) quartiers). Pour sa part, l’Ir Mbalanga Katumba est à la tête du Centre de vente et service (CVS) de la Société nationale d’Electricité, SNEL/Kingasani. Il a épilogué sur la ‘’problématique de la distribution de l’énergie à Kimbanseke’’, en proposant des pistes de solution. La journée a bénéficié d’un regard témoin de CORAP, représentée par son porte-parole, ERIS Kashindi. Cette plateforme qui remonte en 2013, regroupe des ONG attentionnées sur différentes réformes amorcées par le gouvernement dans les différents secteurs vitaux. C’est le cas de l’accès respectivement à l’eau, à la santé, à l’électricité, à un environnement sain, à un logement décent… ‘’En dépit du potentiel hydrique de la RDC qui suscite envie et admiration ailleurs, l’accès de la population à l’électricité ne représente qu’environ 15% … La mission pour nous, c’est de créer le débat au niveau national (d’où, la collecte de tous les plaidoyers à la base). Nous sommes la première coalition d’ONG qui a produit un draft sur la politique énergétique en RDC. Nous sommes un grand pays mais dépourvu de politique énergétique’’, a relevé le délégué de la CORAP.




Après son plaidoyer à Londres en 2022 : Tony Mwaba fait bénéficier au pays la somme de 28 millions de livres Sterling

A la tête de du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le Professeur Tony Mwaba Kazadi, en bon manager, ne ménage aucun effort pour offrir aux élèves de la Rdc ce qu’il y a de mieux pour leur formation.

L’on se souviendra de la mission effectuée par le ministre Tony Mwaba au mois de mai 2022 à Londres. Il était question de prendre part au Forum Mondial de l’Éducation et à l’occasion, il avait plaidé pour un programme d’accès des filles à l’éducation.
Près de 10 mois après, le projet vient de prendre corps.
En effet, ce projet vient d’être lancé officiellement ce dimanche 19 mars dans l’espace Grand Kasaï, plus précisément à Tshikapa par le Ministre britannique du Développement et de l’Afrique, Mme Andrew Mitchell en séjour en RDC, en présence de M. Daniel Ebondo Kashama, Directeur de Cabinet adjoint du ministre de l’EPST qui représentait le professeur Tony Mwaba Kazadi à cette cérémonie.
28 millions de livres sterling, c’est le montant global de ce projet qui vise l’amélioration de la prise en charge particulière des jeunes filles.
Soulignons que le leadership de Tony Mwaba Kazadi à la tête du Ministère de l’EPST porte ses fruits. En sus de son engagement à pérenniser et à redynamiser la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics, il hisse haut l’étendard de ce stratégique Ministère.




Kasaï : La société civile plaide pour l’enrôlement des Congolais expulsés d’Angola

M. l’Abbé Trudon Keshilemba, Coordonnateur de la société civile de la cité de Kamako appelle la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à prendre les dispositions idoines pour identifier et enrôler des Congolais expulsés de l’Angola, arrivés dans la cité frontalière en fin de la semaine, pour qu’ils soient partie intégrante dans le processus électoral en cours en tant que congolais.

« Ces sœurs et frères congolais qui vivaient en Angola, aujourd’hui chassés en désordre, risqueraient de rester sans identité, au cas où ils n’obtiennent pas leurs cartes d’électeurs, étant donné que l’opération d’enrôlement des électeurs tend à sa fin dans cette deuxième aire opérationnelle. Il est temps que nos autorités politico-administratives et la Commission électorale nationale indépendante (CENI) se penchent sur la question pour crédibiliser les élections avenir au Kasaï, pour que ces 370 hommes et 42 femmes éligibles à l’enrôlement, sur le Total de 435 congolais expulsés d’Angola, retrouvent leur identité et participent aussi aux échéances électorales prochaines. C’est leur droit civique », a déclaré ce membre de la société civile de la cité frontalière de Kamako

Il sied de noter que la cité frontalière congolaise de Kamako, dans la province du Kasaï, située à plus de 120 km au sud-Est de la ville de Tshikapa a accueilli 435 congolais expulsés de l’Angola, dont 370 hommes, 42 femmes, 7 garçons et 16 filles, en fin de cette semaine.

Ces informations sont confirmées par les sources frontalières et la société civile locale de la contrée. Puis d’ajouter que ces derniers passent nuit à la belle étoile, et n’ont aucune assistance pour le moment.

Jean-Luc Lukanda




A la 10ème semaine de l’année 2023 : Il est noté une légère hausse de l’incidence de cas de Covid-19 allant de 25 cas (semaine 9) à 30 cas

Faisant le point sur la situation sanitaire dans le pays, le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, a focalisé son intervention sur la pandémie à Covid-19.

Il a indiqué que la tendance à la 10ème semaine de l’année 2023 a été marquée par une légère hausse de l’incidence de cas de Covid-19 allant de 25 cas (semaine 9) à 30 cas. Cette légère hausse s’est également observée au niveau du taux de positivité de tests passant de 0,5 % à 0,6 % ; une absence de nouveau cas importé ; aucun décès enregistré.

Le Ministère de la Santé, Hygiène et Prévention en appelle toujours à la vigilance, au respect des mesures barrières et à la vaccination comme moyen de prévention de nouvelles vagues et/ou pour minimiser l’impact au cas où elles surviendraient.

Il a terminé son intervention en faisant rapport sur la réactivation des pourparlers avec les syndicats des agents de la Santé Publique en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail du personnel de la santé.

C’est dans ce cadre qu’une réunion préparatoire a eu lieu, le jeudi 16 mars 2023, entre le banc gouvernemental représenté par le Ministre d’ Etat, Ministre du Budget et le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention. Cette réunion avait pour objectif de construire un compromis raisonnable avec le Banc syndical avant la tenue imminente des travaux de Bibwa.




Tshikapa : Quelques immeubles engloutis par le ravin Sogagik après la pluie qui s’est abattue dans la nuit du vendredi au samedi 18 mars

Parmi ces immeubles, on peut citer l’Ecole la providence qui est par terre, le dépôt de l’entreprise ELS, le mur de l’Eglise Kimbanguiste de par derrière, deux Eglises de réveil, plusieurs boutiques et pharmacies.

La population fâchée bloque le passage et exige la démission des autorités, car selon elles, il y avait moyen de prévenir le danger, car c’est depuis plus d’une semaine que le ravin progresse avec vitesse.
L’Ovd qui s’occupe des travaux fait face à un manque des engins et les ingénieurs semblent être limités.
La principale route de Tshikapa est dans un grand risque et il suffit seulement qu’une pluie supplémentaire, cette route ne va plus exister. Reliant le centre-ville à l’aéroport national jusqu’à au marché de Kamalenga, cette route et l’unique asphaltée de Tshikapa.
Joint au téléphone, le ministre provincial du Kasaï en charge des Travaux publics, M. Henry Ditunga Beya dit ne pas être informé des dégâts causés par la pluie.
Alors qu’une source parle aussi de l’écroulement du Pont Tshibinda, reliant la ville de Tshikapa au territoire de Luebo, passant par le secteur de l’entre Kasaï Kabambayi
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




EPST/Sud-Kivu : L’Assemblée provinciale prend une décision qui condamne les finalistes à l’Exetat et au Tenasosp

“Mon peuple périt par manque de connaissance”, indiquent les Saintes Écritures. Dans le cas d’espèce, ce ne sont pas les ignorants qui périssent, mais les élèves finalistes attendus à l’édition 2023 de l’Examen d’Etat et au Test National de Sélection et d’Orientation Scolaire et Professionnelle (Tenasosp) dans la Province du Sud-Kivu qui sont victimes de l’ignorance et de manque d’information des Députés provinciaux de cette province.

Mais là, ils ont poussé trop loin le bouchon en s’attaquant à l’éducation des enfants finalistes. En effet, les élèves finalistes aux examens d’Etat du Sud-Kivu ne passeront pas les épreuves de l’édition de l’année 2023 à cause de cet organe délibérant qui ne comprend rien.
Selon les informations recueillies à Bukavu, la plénière de ce vendredi 17 mars 2023 vient de voter pour la suspension de la perception de 42$ des frais de participation aux examens d’État et TENASOSP, Édition 2023 déjà en cours jusqu’à nouvel ordre. Une commission spéciale sera mise en place pour examiner l’utilisation des fonds de l’Examen d’État, édition 2022 et le rapport sera déposé dans 4 jours.
Il nous revient que les députés provinciaux ignorent que l’organisation de l’examen d’État et le Tenasosp ne sont pas financés par l’Etat, mais par les frais de participation des finalistes. Quand on les supprime, on se prive de la participation, à moins de suppléer à la place des candidats comme le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso l’avait fait dans la Province du Kwango, l’année passée ou le Gouverneur Fifi Masuka au Lualaba.
Soulignons qu’il existe pour ce faire, un comité provincial qui gère ces fonds et organise l’examen d’Etat, sous la supervision du Gouverneur de la Province. Par manque d’informations, l’Assemblée incompétente vient de prendre une décision irréfléchie. Est-ce pour contrôler l’utilisation des fonds, il faut suspendre la perception ?
Voilà pourquoi, il y a urgence que le Gouvernement central, organisateur de ces épreuves certificatives se penche dans l’urgence pour sauver l’année scolaire des enfants.




Sud-Kivu : L’ANAPECO saisit Tony Mwaba pour dénoncer l’Abbé Patrice Mukata qui exige le paiement d’une prime illégale

*Malgré l’interpellation du Pape François aux religieux congolais de s’éloigner de Belzebul, l’Abbé Coordinateur des Écoles conventionnées catholiques Sud-Kivu, Mukata Bayongwa Patrice met en mal la gratuité de l’enseignement primaire public*

Le Comité Provincial de l’Association Nationale des Parents d’Élèves et d’Étudiants de la RDC (ANAPECO), vient de saisir le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi pour dénoncer la cupidité et la course effrénée au lucre de Monsieur l’Abbé Mukata Bayongwa Patrice, Coordinateur provincial des Écoles conventionnées catholiques du Sud-Kivu, en violation des dispositions constitutionnelles relatives au caractère gratuit et obligatoire de l’enseignement primaire dans les établissements publics.
C’est à travers sa lettre référencée n°VO 10/ANA/SK/CP/2023 du 08 mars 2023 que le Comité provincial saisit le ministre national avec copie pour information à Mme le Secrétaire général à l’EPST, au Gouverneur de Province du Sud-Kivu et de toutes les autorités provinciales de l’EPST pour déplorer cette mauvaise pratique qui démontre la tendance mercantile de certains religieux animés par le démon de l’argent (Belzébul) en s’éloignant de la propagation de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ. Un comportement qu’a fustigé le Saint Père, le Pape François lorsqu’il s’est adressé dernièrement aux clergés catholiques réunis à la Cathédrale Notre Dame du Congo.
Selon cette correspondance, Monsieur l’Abbé Mukata Bayongwa Patrice, rétablit tous les Chefs d’établissements suspendus qui perçoivent les frais illicites de scolarité des parents à l’Ecole Primaire, alors que le Gouvernement a fourni beaucoup d’efforts pour améliorer l’enveloppe salariale des enseignants.
C’est l’Abbé Coordinateur, Mukata Bayongwa Patrice qui ordonne la perception de ces frais dont il serait un grand bénéficiaire, s’obstinant de suivre les instructions du ministre provincial en charge de l’Education du Sud-Kivu et tout en bafouant les mesures d’accompagnement de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements publics prises par les autorités provinciales du Sud-Kivu.
Voilà pourquoi, le Comité provincial de l’ANAPECO demande au professeur Tony Mwaba Kazadi de se pencher sur ce dossier en vue de demander à l’Abbé Coordinateur Mukata Bayongwa Patrice de stopper cette pratique illicite et diabolique qu’il encourage et de rembourser les frais de la prime payée par les parents.
L’ANAPECO Sud-Kivu demande également au Ministre national de solliciter de l’Eglise catholique le remplacement de cet Abbé Coordinateur qui a fait la honte de la Province par son insoumission aux autorités de l’EPST/Sud-Kivu.
Pire, c’est cet Abbé qui est à la base de la détérioration de la qualité de l’enseignement dans cette province avec les grèves intempestives et illégales qui perturbent le calendrier scolaire, organisées par lui pour saper le programme phare de la Vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo relatif à la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires fixée dans la Constitution de 18 février 2006.




EPST : Tony Mwaba et une délégation de la Banque mondiale évaluent le projet PERSE

Financé par la Banque mondiale pour un montant de 800 millions de dollars Us, le Projet d’Équité et de Renforcement du Système Éducatif (PERSE) exige une appropriation politique du ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique, le professeur Tony Mwaba pour sa réussite. C’est ainsi qu’il a donné des orientations précises pour l’exécution de ce projet qui doit intégrer le caractère national des objectifs du Gouvernement dans la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le Projet d’Équité et de Renforcement du Système Éducatif (PERSE), financé par la Banque mondiale, a fait l’objet d’évaluation de sa mise en œuvre par l’administration à travers ses directions, au cours d’une réunion présidée ce vendredi 17 mars 2023 par le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi, dans la salle des réunions du Cabinet en présence du Secrétaire général a.i à l’EPST et de l’Inspecteur général de l’EPST.
Premier à prendre la parole, le professeur Valère Munsya Mulomb, Coordonnateur du PERSE, a présenté le Projet d’une manière générale. Un Projet qui va recevoir dès que les objectifs atteints, un appui direct de la Banque mondiale des USD $ 800 millions dont USD $ 700 millions seront versés dans le compte du trésor public.
Les USD $ 100 millions seront répartis de la manière suivante, a-t-il poursuivi : USD $ 15 millions au Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) pour s’occuper de la lutte contre les violences basées sur le Genre (VBG) et les USD $ 85 Millions aux Directions chargées d’exécuter les réformes initiées en vue de pérenniser et consolider la gratuité de l’enseignement primaire, programme phare du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Selon lui, la présentation des Directions concernées par les réformes vise la mise à sa disposition des éléments de langage pour une prise en charge de ces réformes au niveau politique. Parce qu’il n’y a pas de réussite d’une réforme si elle n’est pas prise en charge politiquement par le Gouvernement, a souligné le professeur Valère Munsya.
A ce propos, il a tenu à recommander au ministre de s’approprier ces différentes réformes qui sont prises en charges par cinq Directions de l’Administration centrale de l’EPST. Il s’agit de la Direction d’Information et de Gestion de l’Éducation (DIGE) ; la DINACOPE, ex-Secope; la Direction d’Administration Scolaire (DAS) et Direction de la Formation (DIFOR); la Direction des Ressources Humaines (DRH) et la Direction Administrative et Financière (DAF).
Chacun des Directeurs a été invité à présenter sa réforme en indiquant les problèmes, l’objectif, les défis à relever de chaque réforme et les pistes de solutions.
Le professeur Tony Mwaba Kazadi, a, en pédagogue posé les questions pour s’approprier cette évaluation dans le but de sa prise en charge politiquement. Il a donné les orientations précises pour l’exécution de ce projet qui doit intégrer le caractère national des objectifs du Gouvernement dans la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Il faut souligner qu’avant même que le projet ne soit exécuté, il y a certaines réformes qui sont déjà d’application au niveau de l’EPST, grâce au dynamisme du ministre Tony Mwaba Kazadi.




Infrastructures routières à Kinshasa : Gentiny Ngobila satisfait de l’évolution des travaux de différents chantiers

M. Gentiny Ngobila Mbaka, Gouverneur de la ville de Kinshasa, a effectué, vendredi 17 mars 2023, une tournée d’évaluation de différents chantiers routiers en construction à travers la ville de Kinshasa. De l’avenue Birmanie dans la commune de Ngiri-Ngiri jusqu’à l’avenue Kikwit en passant par les avenues Ngiri-Ngiri et Elengesa, le premier citoyen de la ville de Kinshasa s’est dit satisfait de la qualité des travaux exécutés sur ces différents chantiers.

Le patron de la Ville de Kinshasa a débuté sa tournée d’évaluation des chantiers routiers par les avenues Birmanie et Ngiri-Ngiri en cours de construction dans la commune de Ngiri-Ngiri. Après avoir reçu des amples explications de la part du Chef de Chantier, le gouverneur Gentiny Ngobila a, à son tour, donné quelques orientations dans le sens d’accélération des travaux.
De là, il s’est rendu sur l’autre bout de l’avenue Birmanie dans son croisement avec l’avenue Landu, où les travaux évoluent à pas de géant. Ensuite, l’autorité urbaine est allée visiter le chantier de l’avenue Kikwit qui a déjà fait jonction avec l’avenue Elengesa à la hauteur de la commune de Makala. Là aussi, Gentiny Ngobila a été émerveillé par la qualité du béton posé par l’entreprise Safrimex.


Ovationné par la population riveraine de l’avenue Kikwit, il a marché jusqu’au niveau du premier pont en phase de construction. Ensuite, le cortège du gouverneur de Kinshasa a repris l’itinéraire de l’avenue Elengesa pour déboucher sur la route Bypass dans la commune de Mont Ngalula. Longue de 6,5 km, l’avenue Elengesa qui traverse 6 communes attend d’être ouverte à la circulation dans quelques jours.
Le gouverneur de la ville a loué le génie de l’entreprise Adi Construct de droit RD-Congolais qui a réalisé un travail exceptionnel. Gentiny Ngobila Mbaka a bouclé sa tournée par l’avenue Kikwit à l’entrée de la deuxième porte de la Foire internationale de Kinshasa, après avoir visité le deuxième pont en construction à quelques encablures de là.
Devant la presse, il a fait savoir que depuis son avènement, la ville de Kinshasa a déjà fait beaucoup de réalisations sur le volet infrastructures dans la capitale. Il a cité quelques routes secondaires dont l’avenue Cecomaf dans la commune de N’djili. Longue de 15 km, cette route fera l’objet de la deuxième étape de la visite d’évaluation du gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka.




Bibwa 3 : Jean-Jacques Mbungani, Aimé Boji et l’intersyndical du secteur de la santé s’accordent sur les termes de référence des prochaines discussions

Les travaux de l’atelier en Commission mixte Gouvernement et Intersyndical du secteur de la santé, sur les avantages sociaux des médecins, infirmiers et pro santé, démarrent, ce vendredi 17 mars 2023, à Bibwa, dans la ville-province de Kinshasa.
En prélude de l’ouverture de cet atelier de négociations entre les bancs syndicaux et le banc gouvernemental (interministériel), le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Jean-Jacques Mbungani, et le ministre d’Etat en charge du Budget, Aimé Boji, ont co-présidé, ce 16 mars 2023, une réunion d’échange avec les représentants des délégations syndicales en vue de préparer ces assises et s’accorder sur les termes de références des travaux proprement dits, qui feront l’objet des discussions durant les trois jours de concertation.


Les représentants des ministères des Finances et de la Fonction Publique ont également pris part à cette rencontre. Le Syndicat National des Médecins (Synamed), le Syndicat des Médecins du Congo (Symeco) et le Collectif des médecins non primés ont représenté les professionnels de santé à cette réunion préparatoire.
Cette réunion a essentiellement porté sur les avantages sociaux des médecins, infirmiers et autres professionnels de santé œuvrant dans le secteur public. Il s’agit, entre autres, du dossier relatif au transport, au logement ainsi qu’aux questions liées aux taux et barèmes salariaux et à l’alignement à la prime de risque professionnel pour les autres agents du secteur de la santé. L’objectif de ces assises était de trouver un consensus entre les deux parties (Gouvernement et syndicalistes) afin d’apporter une amélioration sur leur rémunération du deuxième trimestre et répondre aux revendications des professionnels de santé en général.
Au terme de leurs échanges, le Gouvernement et ses interlocuteurs ont pu convenir sur des options pratiques qui seront prises, en tenant compte de l’environnement et de la situation économique actuelle du pays.
Il faut souligner que c’est le ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, qui va présider la cérémonie d’ouverture officielle de ces travaux de concertation entre les délégués syndicaux du secteur de la Santé et le Gouvernement de la République.