Rodrigue Koffi : « L’Alliance globale représente beaucoup de choses car tout le monde a compris l’importance de rattraper le gap »

Le lancement de l’Alliance globale pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants représente beaucoup de choses. Ça matérialise l’engagement de beaucoup d’acteurs et les communautés notamment. Tout le monde a compris l’importance de rattraper le gap  qu’on a créé par le manque d’investissement, par le  manque d’intérêt sur les questions du VIH/SIDA chez les enfants et les adolescents surtout lorsqu’on est en Afrique de l’ouest et du centre, deux régions avec des statistiques moins bonnes dans l’accès au traitement, dans le taux de contamination (…)», a déclaré Monsieur Rodrigue Koffi, coordonnateur  du Réseau « Grandir ensemble », spécialisé dans la prise en charge des adolescents et jeunes malades de cette pandémie, lors du lancement de l’Alliance globale pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants à Dar es Salam, capitale de la République unie de Tanzanie.

A l’en croire,  le lancement de « l’Alliance globale » est vraiment important. Car, il se tient à un moment aussi sensible  où il y a beaucoup de pays qui sont dans des réflexions sur leur plan stratégique quinquennal, triennal, sur les nouvelles demandes, aussi sur les financements du Fonds mondial.
«  On est à quelques semaines de la prochaine réunion du Pepfar sur le Cop. On est à un moment stratégique où tous les acteurs sont représentés ici que ça soit ceux du système des Nations unies, communautaires (…). Mais déjà c’est une nouvelle alliance qui donne de la place à certains acteurs qui sont mis au second plan où on accepte que l’information remonte du bas vers le haut. Il y a encore beaucoup de retard sur certaines questions notamment sur la sérologie des enfants, le traitement, les questions de santé reproductive, la question des qualités de soins. J’espère que cette alliance sera un facteur que lorsqu’on parle de booster la place des communautés, mais c’est de retravailler sur le leadership des adolescents et jeunes notamment les non francophones. Et aussi j’espère que cette alliance va redonner de l’énergie pour travailler sur les nouvelles cibles  d’activistes dans des différents pays avec des adolescents et jeunes. Ils ont la légitimité, la crédibilité dans la parole », a souligné Rodrigue Koffi.
«  Grandir ensemble », est un réseau qui regroupe 11 pays en Afrique de l’ouest et du centre.
Rappelons que les ministres de la Santé de douze pays africains se sont engagés dans « l’Alliance globale » pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030.
Parmi ces pays, il y a l’Angola, le Cameroun, la Cote d’Ivoire, la République démocratique du Congo, la Mozambique, le Nigeria, l’Afrique du sud, la Tanzanie, l’Ouganda, la Zambie, le Zibambwe et le Kenya. Tous devront prêcher par le concret afin d’attirer d’autres pays vers cette noble initiative.

Prince Yassa depuis Dars-es-Salaam en Tanzanie.




«Environ 50 millions de personnes vivent actuellement avec l’épilepsie dans le monde »

Aujourd’hui, 13 février, c’est la Journée internationale de l’épilepsie. L’épilepsie est une affection neurologique dont on peut souffrir à n’importe quel âge. Dans le monde, environ 50 millions de personnes en sont atteintes, ce qui en fait l’une des affections neurologiques les plus fréquentes. Près de 80 % des personnes souffrant d’épilepsie vivent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Selon les estimations, 70 % des personnes vivant avec l’épilepsie pourraient ne pas subir de crises si leur état était correctement diagnostiqué et traité. Le risque de décès prématuré chez les personnes atteintes d’épilepsie est près de trois fois plus élevé que dans la population générale. Près des trois quarts des personnes affectées dans les pays à revenu faible ou intermédiaire ne bénéficient pas du traitement dont elles ont besoin. Les personnes atteintes et leur famille peuvent être confrontées à la stigmatisation et à des discriminations dans de nombreuses régions du monde.
L’épilepsie est une affection chronique du cerveau qui touche 50 millions de personnes dans le monde. Elle se caractérise par des crises récurrentes se manifestant par de brefs épisodes de tremblements involontaires touchant une partie du corps (crises partielles) ou l’ensemble du corps (crises généralisées). Elles s’accompagnent parfois d’une perte de conscience et du contrôle de la vessie et de l’évacuation intestinale.
Ces crises résultent de décharges électriques excessives dans un groupe de cellules cérébrales. Ces décharges peuvent se produire dans différentes parties du cerveau. Les crises peuvent varier en intensité, allant de brèves pertes d’attention ou de petites secousses musculaires à des convulsions sévères et prolongées. Leur fréquence est également variable, de moins d’une fois par an à plusieurs fois par jour.

Une crise unique ne signe pas l’épilepsie (jusqu’à 10 % de la population mondiale en a une au cours de la vie). La maladie se définit par la survenue d’au moins deux crises spontanées. C’est l’une des affections les plus anciennement connues de l’humanité, mentionnée dans des documents écrits qui remontent à 4000 avant J.-C. Elle a suscité pendant des siècles la crainte, l’incompréhension, les discriminations et la stigmatisation sociale. Cela continue de nos jours dans de nombreux pays et peut avoir des répercussions sur la qualité de vie des personnes atteintes et de leur famille.
Signes et symptômes
Les caractéristiques des crises sont variables et dépendent de la localisation de la perturbation à l’origine dans le cerveau et de sa propagation. On observe des symptômes passagers, comme une désorientation ou une perte de conscience, et des troubles du mouvement ou des sensations (visuelles, auditives, gustatives), ainsi que l’humeur ou les fonctions cognitives.
Les personnes souffrant d’épilepsie ont tendance à avoir davantage de problèmes physiques (par exemple, fractures ou hématomes dus aux crises), et une fréquence plus élevée de troubles psychosociaux, comme l’anxiété ou la dépression. De même, le risque de décès prématuré est jusqu’à trois fois plus élevé chez les personnes atteintes d’épilepsie que dans la population générale ; les taux les plus élevés se trouvent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire et dans les zones rurales.

Une proportion importante des causes de décès liés à l’épilepsie dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont potentiellement évitables (chutes, noyades, brûlures et crises prolongées).
Fréquence de la maladie
Environ 50 millions de personnes vivent actuellement avec l’épilepsie dans le monde. On estime que, dans la population générale, la proportion de personnes souffrant d’épilepsie évolutive (c’est-à-dire présentant des crises chroniques ou nécessitant un traitement) à un moment donné se situe entre 4 et 10 pour 1000 personnes.
À l’échelle mondiale, on estime que l’épilepsie est diagnostiquée chez cinq millions de personnes chaque année. Dans les pays à revenu élevé, le nombre de personnes diagnostiquées est estimé à 49 pour 100 000 personnes par an. Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, ces chiffres peuvent atteindre 139 pour 100 000. Ce phénomène est vraisemblablement dû au risque accru de maladies endémiques, telles que le paludisme ou la neurocysticercose, à l’incidence accrue des blessures liées aux accidents de la route et aux lésions liées aux grossesses, et aux variations des infrastructures médicales, à la disponibilité des programmes sanitaires de prévention et à l’accès aux soins. Près de 80 % des personnes atteintes d’épilepsie vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire.
Causes
L’épilepsie n’est pas contagieuse. Bien que de nombreux mécanismes sous-jacents de la maladie puissent provoquer l’épilepsie, la cause de la maladie est encore inconnue dans environ 50 % des cas dans le monde. Les causes de l’épilepsie sont classées dans les catégories suivantes : structurelles, génétiques, infectieuses, métaboliques, immunitaires et inconnues. En voici quelques exemples :
·une lésion cérébrale due à des traumatismes prénatals ou périnatals (manque d’oxygène, traumatisme à la naissance ou faible poids de naissance) ;
· des anomalies congénitales ou des troubles génétiques s’associant à des malformations cérébrales ;
· un traumatisme crânien sévère ;
·un accident vasculaire cérébral qui réduit la quantité d’oxygène dans le cerveau ;
·une infection touchant le cerveau, comme une méningite, une encéphalite ou une neurocysticercose;
· certains syndromes génétiques ;
· une tumeur cérébrale.
Traitement
Il est possible de contrôler les crises. Jusqu’à 70 % des personnes atteintes d’épilepsie pourraient ne plus avoir de crises grâce à une utilisation appropriée des médicaments antiépileptiques. L’arrêt du traitement antiépileptique peut être envisagé après 2 ans sans crise et doit tenir compte des facteurs cliniques, sociaux et personnels pertinents. Une étiologie documentée de la crise et une électroencéphalographie anormale (EEG) sont les deux prédicteurs les plus constants de récidive des crises.

·Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, environ trois quarts des personnes atteintes d’épilepsie ne reçoivent pas le traitement dont elles ont besoin. C’est ce que l’on appelle la « lacune thérapeutique ».
· Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, les médicaments antiépileptiques sont peu disponibles. Selon une étude récente, la disponibilité des antiépileptiques génériques dans le secteur public des pays à revenu faible ou intermédiaire est en moyenne inférieure à 50 %. Cela peut constituer un obstacle à l’accès au traitement.
· On peut diagnostiquer et traiter la plupart des personnes épileptiques au niveau des soins primaires sans avoir recours à un équipement sophistiqué.
· Des projets pilotes menés par l’OMS ont montré que la formation des agents de santé primaire au diagnostic et au traitement de l’épilepsie permet de réduire efficacement la lacune thérapeutique dans ce domaine.
· La chirurgie peut être bénéfique pour les patients ne réagissant pas aux traitements médicamenteux.
Prévention
On estime que 25 % des cas d’épilepsie sont évitables.
· La prévention des traumatismes crâniens est le moyen le plus efficace d’éviter l’épilepsie post-traumatique.
· La qualité des soins périnatals permet de réduire le nombre des nouveaux cas d’épilepsie dus à des traumatismes à la naissance.
· Le recours à des médicaments ou à d’autres méthodes visant à abaisser la température corporelle d’un enfant fiévreux peut réduire le risque de crises fébriles.
· La prévention de l’épilepsie associée aux accidents vasculaires cérébraux est axée sur la réduction des facteurs de risque cardiovasculaire, par exemple par des mesures de prévention ou de contrôle de l’hypertension artérielle, du diabète et de l’obésité, et sur la lutte contre le tabagisme et la consommation excessive d’alcool.
· Les infections du système nerveux central sont des causes courantes d’épilepsie dans les régions tropicales, où l’on trouve la grande majorité des pays à revenu faible ou intermédiaire. L’élimination des parasites dans ces environnements et l’éducation pour savoir comment éviter les infections sont des moyens efficaces pour faire baisser le nombre des cas d’épilepsie dans le monde, par exemple ceux dus à la neurocysticercose.
Conséquences économiques et sociales
L’épilepsie représente plus de 0,5 % de la charge mondiale de morbidité, une mesure basée sur le temps et combinant les années de vie perdues à cause de la mortalité prématurée et le temps vécu dans un état de santé qui n’est pas optimal. Elle a aussi des conséquences économiques importantes en termes de besoins de soins de santé, de décès prématurés et de perte de productivité.
Les conséquences économiques de l’épilepsie varient de manière significative en fonction de la durée et de la gravité de la maladie, de la réponse du patient au traitement, et de l’environnement médical. Les coûts directs et les pertes de productivité représentent une charge substantielle pour les ménages. Selon une étude économique menée en Inde, le financement public des thérapies de première et de deuxième intentions et des autres coûts médicaux permet de soulager le fardeau financier que représente l’épilepsie et est économiquement rentable
Bien que les répercussions sociales varient d’un pays à l’autre, les discriminations et la stigmatisation qui vont de pair avec l’épilepsie dans le monde sont souvent plus difficiles à surmonter que les crises elles-mêmes. Les personnes atteintes peuvent être victimes de préjugés. La stigmatisation de cette maladie peut conduire ceux qui en souffrent à ne pas consulter pour éviter d’être identifiés comme épileptiques.
Droits humains
Les personnes atteintes d’épilepsie peuvent avoir du mal à accéder à l’éducation, être empêchées de passer le permis de conduire, rencontrer des obstacles pour exercer certains métiers et avoir un accès restreint aux assurances-maladie et aux assurances-vie. Dans de nombreux pays, la législation témoigne encore des siècles de méconnaissance de l’épilepsie. Par exemple, les lois qui autorisent l’annulation d’un mariage pour cause d’épilepsie et celles qui interdisent aux personnes susceptibles d’avoir des crises l’accès aux restaurants, aux théâtres, aux centres de loisirs et aux autres bâtiments publics.
Les législations basées sur les normes reconnues au niveau international pour les droits humains permettent d’éviter les discriminations et les violations de ces droits, d’améliorer l’accès aux services de santé et la qualité de vie des personnes souffrant d’épilepsie.
Action de l’OMS
L’OMS et ses partenaires reconnaissent que l’épilepsie est un grand problème de santé publique. L’OMS, la Ligue internationale contre l’Épilepsie et le Bureau international de l’Épilepsie mènent une campagne mondiale, « sortir de l’ombre », afin d’informer, de faire mieux connaître cette maladie et de renforcer les efforts des secteurs public et privé visant à en atténuer l’impact et à améliorer les soins.
Ces efforts ont contribué à faire de la lutte contre l’épilepsie une priorité dans de nombreux pays, et se sont traduits par des déclarations régionales dans les six Régions de l’OMS. La Région des Amériques a adopté la Stratégie et le Plan d’action sur l’épilepsie en 2011 et la résolution de l’Assemblée mondiale de la Santé sur la charge mondiale de l’épilepsie (WHA68.20) a été approuvée en 2015. La résolution appelle instamment les États Membres à agir de manière coordonnée contre l’épilepsie et ses conséquences.
Dans de nombreux pays, des projets ont vu le jour pour réduire les lacunes au niveau du traitement et la morbidité pour les personnes atteintes, pour former et éduquer les professionnels de la santé, faire disparaître la stigmatisation, identifier des stratégies potentielles de prévention et élaborer des modèles intégrant la lutte contre l’épilepsie dans les systèmes locaux de santé. Ces projets, qui combinent plusieurs stratégies innovantes, ont montré qu’il existe des moyens simples et rentables pour traiter l’épilepsie dans des contextes dépourvus de ressources
Le programme de l’OMS pour réduire les lacunes thérapeutiques dans le domaine de l’épilepsie et le programme d’action Combler les lacunes en santé mentale (mhGAP) a atteint ces objectifs au Ghana, au Mozambique, au Myanmar et au Viet Nam. Ces projets étaient centrés sur le développement des compétences des agents de soins primaires et des professionnels de santé non spécialistes au niveau communautaire pour diagnostiquer, traiter et suivre les personnes atteintes d’épilepsie. Ces quatre programmes pilotes ont entraîné une augmentation considérable de l’accès, de sorte que 6,5 millions de personnes supplémentaires ont désormais accès à un traitement contre l’épilepsie si elles en ont besoin.




Après 30 jours de jeûne et prière : François Mutombo dédie officiellement l’année 2023 à Dieu

C’était à travers une grande célébration organisée à l’esplanade du Palais du peuple à Kinshasa qui avait accueilli des milliers d’âmes pendant deux jours, soit le samedi 11 et ce dimanche 12 février 2023, que toutes les églises de la Communauté des assemblées chrétienne Voici l’homme (CAC/VH) se sont retrouvées à ce rendez-vous, pour dédier l’année 2023 entre les mains de Dieu et aussi clôturer les 30 jours de jeûne et prière. Et cela, dans une ambiance chaleureuse.


Pendant 30 jours, les fidèles de cette communauté étaient dans une série de prière et jeûne à l’initiative du Représentant légal de cette communauté, le Révérend pasteur François Mutombo Voici l’homme, question de remettre l’année 2023 sous la bonne couverture de Dieu et ainsi prendre possession de l’année toute entière. C’était en présence de plusieurs pasteurs de la CAC/VH.
De l’avis du RELEGAL, ces deux jours ont été un succès et Dieu a été au rendez-vous, au regard de tout ce qui avait été annoncé dans les prophéties. En effet, ni la pluie ou les mauvais vents contraires, rien n’a pu empêcher les fidèles de cette communauté et tous les autres chrétiens de venir prier et recommander l’année entre les mains de Dieu.
Prenant la parole à cette cérémonie, le Révérend Mutombo Voici l’homme qui s’est illustré par des déclarations prophétiques, a tiré son message dans 2 livres de la bible à savoir : Deutéronome 17:14 et 2 Chronique 7: 1-5.
Dans son message, le Visionnaire de la CAC/VH a expliqué à l’assistance comment l’Éternel avait donné la possession du pays de la promesse aux Israélites à son peuple d’Israël en son temps. A travers ces passages des écritures, le Pasteur François Mutombo a émis le souhait de voir tous les enfants de Dieu entrer en possession de l’année 2023, avant de les inviter à mettre Dieu à la première place pour vivre l’accomplissement des promesses de Dieu en cette année. L’homme à la tunique de plusieurs couleurs a encouragé les fidèles à ne pas désespérer, mais plutôt de croire en Dieu et d’espérer en la bénédiction de Dieu.
Après ce message fort et riche en révélation, le Pasteur Voici l’homme a exhorté les fidèles pour leur demander de prier et de prendre possession des mois de leur naissance, avant de prier pour les familles et pour chaque fidèle pour que le Seigneur accompagne chacun dans ses entreprises au courant de cette année. Car pour lui, une chose est de commencer une année, une autre est de la terminer.
Sachez que des milliers fidèles venant des 4 coins de Kinshasa avaient répondu présents à ce grand rendez-vous y compris quelques serviteurs de Dieu de la ville de Kinshasa et d’ailleurs. Car désormais, l’année dédiée ou recommandée à Dieu revêt un caractère sacré. Ce qui est sacré va exiger des procédures, parce que n’importe qui ne peut y toucher. Une fois que vous y toucher sans respecter la procédure, vous pêcher et vous tomber dans la profanation.

Osée Kalombo




Affaire arrêt de la Cour Constitutionnelle : Les Professeurs de l’UNILU défendent le droit positif

L’arrêt de la Cour Constitutionnelle rendu par Dieudonné Kamuleta, dans l’affaire qui oppose Augustin Matata Ponyo au Ministère public ne cesse de défrayer la chronique judiciaire. Après la Faculté de Droit de l’Université de Kinshasa, dont le corps scientifique avait sollicité et exigé la révocation de certains membres de la Cour Constitutionnelle qui ont jeté le discrédit sur la noble science, c’est le tour de l’Université de Lubumbashi qui s’inscrit dans la même logique.
A travers la lettre ouverte au Président de la République, le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais (CJCC) monte au créneau à travers leur communication issue des assises du 03 février 2023, à ARRUPE.
Dans cette correspondance, le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais qui a initié un débat scientifique et académique précise que ces assises ont été éclairées par la présence des éminents Constitutionnalistes près des Universités de la République Démocratique du Congo.
Ces assises, à en croire la correspondance nous parvenue dans notre rédaction, ont porté sur l’examen, à la fois, du contenu, de la valeur et des effets juridiques de la controverse occasionnée par les deux arrêts de la Cour Constitutionnelle.
Pour rappel, ces deux arrêts RP 0001, du 15 novembre 2021 et R Const 1816 du 18 novembre 2023 mettent en cause le Ministère public contre l’ancien Premier Ministre, actuellement sénateur à savoir Augustin Matata Ponyo Mapon créent une confusion scientifique. Une première dans les annales juridiques si pas du monde, mais du Congo au point d’étonner tout constitutionnaliste avéré. Une monstruosité juridique juste pour avoir la tête d’un potentiel candidat à la présidentielle de décembre 2023.
A en croire le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais, cette situation crée une dangereuse confusion en ce qu’elle paralyse, à la fois, la fiabilité et la stabilité ainsi que la solidité de la justice de la République Démocratique du Congo, par rapport, non seulement, à l’enseignement dispensé à l’université, dans le cadre du Cours de Droit constitutionnel congolais, mais aussi, à la pratique, tant au Barreau qu’au Prétoire, et surtout, à la sécurité judiciaire que ladite justice est appelée à rendre aux justiciables.
Il sied de noter qu’au cours de ces assises, l’accent a été mis sur le caractère : « immédiatement exécutoire et obligatoire » du premier arrêt, celui du 15 novembre 2021, tel que garanti par la Constitution de la République, en son article 168.
Le 2ème arrêt provoque l’hécatombe juridique
Le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais considèrent que le second arrêt du 18 novembre 2023, revêt un grand avantage notamment de l’inscrire exclusivement dans la logique de l’étendue de la doctrine juridique et ce, à la différence du Droit Positif. Cet arrêt crée et provoque l’hécatombe dans le monde juridico-scientifique. Il revêt un caractère politique et non scientifique.
” Son caractère positif ou objectif sera absolument subordonné à son entrée en Droit Positif congolais, laquelle sera sanctionnée par une Loi en la matière. A ce jour, il y a encore un vide juridique qui alimente divers débats, parmi lesquels, ceux qui ont fait l’objet des assises susvisées”, rappelle le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais au président Felix Antoine Tshilombo Tshisekedi de qui le droit est rendu au nom du peuple.
Ceci pour dire, que l’arrêt Constitutionnel de Dieudonné Kamuleta étant nouvelle sur le chemin de l’administration de la justice ne peut donc alimenter les débats quant à ce.
” Au regard de ce qui précède, force est de remarquer que, le premier arrêt, celui du 25 novembre 2021, avait objectivement, en droit clôturé tous les débats dans l’affaire Augustin Matata Ponyo Mapon”, souligne avec précision le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais.
Cependant, l’arrêt de Dieudonné Kamuleta, celui du 18 novembre 2023 son caractère exécutoire et obligatoire est absolument subordonné à sa consécration d’une loi qui doit passer au référendum, car l’article 168 de l’actuelle loi fondamentale ne peut souffrir d’aucune révision politique.
Ceci étant, le Club des Jeunes Constitutionnalistes Congolais interpelle le Président de la République, Magistrat suprême et Garant du bon fonctionnement des institutions de la République, en ce que son sens d’abnégation, ne laisseront pas indifférente son attention, pour la plausibilité de la justice, par rapport, tant à l’enseignement du Droit constitutionnel congolais, qu’à la pratique, aussi bien, au Barreau qu’au Prétoire, du Droit Positif Congolais. Ceci pour dire, que les deux arrêts portent confusion au sein des pratiquants de Droit, d’une part, le premier c’est à dire celui du 15 novembre 2021 respecte la Constitution de la République en ces dispositions qui ne confrère aucune juridiction aux anciens Président de la République et Premier Ministre dans l’exercice de leurs fonctions ; tandis que le deuxième arrêt de Dieudonné Kamuleta ouvre un débat juridique dont ses effets ne peuvent être soumises qu’à l’autorité de la Loi par le peuple.
A ce jour, seul l’arrêt du 15 novembre 2021 respecte les prescrits de la loi fondamentale en ses articles 164 et 168.
Pius Romain Rolland




Après avoir enterré Tshala Mwana avec honneur et dignité : Marie Olive Lembe Kabila vole au secours d’un autre artiste

La requête lui a été soumise ce samedi 05 février 2023 lors du bain de consolation, 40 jours après le décès de l’artiste musicienne Elisabeth Tshala Mwana, et le dévoilement de la pierre tombale de la Reine de Mutuashi.


Laquelle requête consistait à aider un autre artiste comédien, décédé depuis le 22 septembre 2022, soit 4 mois avant Tshala Mwana. Il s’agit du caporal Murumba, de son vrai nom Tombe Nsita, l’un de trio d’Asufa (Abula ngando, Danga et Murumba). Le premier mort en Côte d’Ivoire, le dernier fait l’objet de la requête pour ses obsèques.
Il faut dire que la requête soumise par les artistes musiciens au dévoilement de la pierre tombale d’Elisabeth Tshala Mwana a trouvé son écho favorable auprès de celle que l’humanité entière appelle affectueusement : Maman wa rohoo. Ina banza dont le statut de première dame a changé, mais son cœur reste le même. Ce cœur qui sèche les larmes, donne le sourire au cœur brisé. Après plusieurs requêtes et démarches auprès des autorités compétentes pour rendre les derniers hommages au Caporal Murumba, dont les portes sont hermétiquement fermées, l’épouse de Joseph Kabila Kabange prend les choses en mains.


Désormais, le caporal Murumba Tombe Nsita décédé depuis cinq mois dont le corps gît encore à la morgue faute de moyens, sera bientôt conduit à sa dernière demeure par la volonté humaniste de Marie Olive Lembe Kabila.
Quid d’Asufa
Pour la petite histoire, le trio d’Asufa (Abula ngando, Danga et Murumba) fût amené en Côte d’Ivoire lors de la tournée de l’orchestre Zaiko Langa Langa en 1988. C’est à cette occasion que nos trois comédiens avaient jugé bon de rester sur les terres d’Houphouët Boigny en vue de poursuivre leur carrière humoristique.
A en croire Papa François Mansomi, grand frère du Caporal Murumba (père de 3 enfants : Lusevi Sofia; Funda Jenny; Tombe Salomon, issus d’une femme togolaise) après 34 ans de carrière, avait résolu de rentrer au pays le 20 décembre 2000, se dit surpris de la nouvelle lui parvenue aux oreilles que, son jeune frère mort cinq mois après sera enterré par l’ex first lady, Marie Olive Lembe Kabila.
“Je manque les mots, j’ai toujours entendu parler de Maman Olive Lembe Kabila, de sa magnanimité, de son amour. Aujourd’hui, j’en suis témoin. Désormais, mon jeune frère qui a fait rire les Zaïrois ce, avant la naissance de Marie Olive Lembe Kabila, sera enterré par cette dernière. Un seul mot me revient à l’esprit : Maman Olive Lembe Kabila merci beaucoup. Que le Seigneur Jésus Christ et la sainte Vierge Marie veillent sur votre famille”, a dit Papa François Mansomi. Et de renchérir, Maman Olive Lembe Kabila azali Maman ya bwanya.
Pour rappel, Caporal Murumba est issu d’une famille de 11 enfants, dont neuf garçons et deux filles. Deuxième de la fratrie de l’union de Mansoni Ndombasi François et de Funda Ndeo Madeleine, du secteur Ngombe Sud, territoire de Banza Ngungu, district de caractères au Kongo Central.
Désormais, la famille de l’illustre disparu trouve consolation pour les obsèques de Tombe Nsita, dit Caporal Murumba. C’est Mme Angel Kanam à travers l’ONG IPOLK qui a été chargée d’apporter l’enveloppe au nom de Marie Olive Lembe Kabila. Elle l’a remise à son grand frère aîné Mansoni François ce, en présence de Maman Ngana Pauline, petite sœur et l’autre témoin Nsaka Kongo.
A en croire Nsaka Kongo, le montant réuni la location du corbillard, de l’achat du cercueil, la mise en terre et l’organisation du deuil, cinq mois après.
Pius Romain Rolland




UPN : Les professeurs vont déclencher un mouvement de grève générale dès ce 15 février

C’est une mauvaise nouvelle pour la Communauté de l’Université Pédagogique Nationale qui voit le début de l’année académique connaître de perturbations un mois après son ouverture.
Au cours de l’Assemblée générale ordinaire du jeudi 09 février ténue à son siège, l’Association des Professeurs de l’Université Pédagogique Nationale (APUPN) a décidé de déclencher un mouvement de grève générale, sèche et illimitée, dès ce 15 février.
Selon les membres de cette association, composés des professeurs, cette décision de la grève est consécutive au non-respect des engagements pris par le banc gouvernemental et les différents syndicats de l’Enseignement Supérieur et Universitaire.
L’APUPN a constaté que seuls 3,89% des frais relatifs à l’achat de véhicules ont été payés par le Gouvernement, tous les autres acquis portés par l’accord de Bibwa n’ont fait l’objet d’aucune exécution.
Pour rappel, l’accord de Bibwa signé en avril 2022 entre le Gouvernement congolais, les syndicats de Professeurs, des Chefs de Travaux, des assistants, des administratifs, prévoyait : l’élaboration d’une grille barémique actualisée, la récupération du pouvoir d’achat, la réduction des écarts des salaires, l’octroi des véhicules aux professeurs dès le premier trimestre de la signature du protocole d’accord, pour compenser le manque à gagner depuis des années ainsi que le paiement d’une prime annuelle de recherche évaluant à 320 dollars pour les professeurs Ordinaire.
Signalons que le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi avait remis le premier lot de véhicules aux professeurs Émérites de l’Université de Kinshasa à l’esplanade du Palais du peuple.
Jean-Luc Lukanda Mutombo




Délabrement du pont Lubilu : Le député Zobel Milolo dénonce ” la négligence et la mauvaise volonté” du gouvernement Pieme

Le pont sur la rivière Lubilu est dans un très mauvais état depuis plusieurs mois maintenant et constitue un grand risque pour les passagers. Certains membres du gouvernement passent par là pour atteindre Mweka, Luebo ou Ilebo, mais sans songer à une réhabilitation rapide de ce pont.
“Le gouvernement provincial attend que les gens meurent sur ce pont pour le réhabiliter ? ou venir organiser un deuil et demander une minute de silence », s’interroge le député Milolo Dibondo, élu du territoire de Tshikapa.
“Le président de la République ou le gouvernement central ne doit pas tout faire pour nous. Avec le peu que nous avons, nous devons faire quelque chose”, dit-il
“Est-ce que dans cette province on ne mobilise pas l’argent ? Le gouvernement provincial ne fréquente pas ce tronçon ? Pourquoi une telle mauvaise volonté jusqu’à ce niveau ?”, regrette le haut cadre du Parti Travaillistes de Steve Mbikayi lors de sa tournée de sensibilisation de la population à l’enrôlement débutée dans le secteur de l’entre Kasaï Kabambayi.
“Si quelqu’un d’autre le fait, il y aura des problèmes”, conclu l’élu de Tshikapa, qui a financé la construction d’un pont à Mpampa dans le secteur de l’entre Kasaï Lunyeka, mais fait face à d’énormes problèmes d’ordre politique qui tentent de le décourager.
Le député Zobel a aussi dénoncé l’existence des plusieurs barrières de la police sur l’axe Kabambayi. Et pourtant, le chef de l’Etat avait interdit les barrières. Mais comment sur un seul axe vous trouvez 7 barrières ? Ce n’est pas logique, regrette l’élu du peuple.
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Covid-19 : Il est observé une baisse des cas de 83 à 22, soit une baisse de 73,49%

Le Dr Jean-Jacques Mbungani, ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a présenté au Conseil la situation globale de la santé dans le pays, avec un accent particulier sur la pandémie à Covid-19.

A la 5ème semaine de l’année en cours, il a été observé une baisse des cas de 83 à 22, soit une baisse de 73,49%. Le taux de positivité de tests a également baissé de 2,04% à 1,80% avec une absence de nouveau cas importé. Aucun décès n’a été déploré au cours de la semaine.
Malgré le contrôle de cette situation, le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a réitéré sa recommandation à la population pour plus de vigilance, le respect des mesures barrières et la vaccination massive afin de prévenir des nouvelles vagues de Covid-19 en République Démocratique du Congo.




Opération coup de poing : Gentiny Ngobila supervise la démolition des constructions anarchiques sur l’avenue de Libération

Initiée par le Gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka dans le but d’offrir aux Kinois un environnement de vie sain, l’opération “coup de poing” se déroule avec succès dans la capitale. Après avoir opéré sur les avenues des Huileries et Nyangwe dans la commune de Lingwala, les bulldozers de l’hôtel de ville étaient samedi 11 février sur l’avenue de Libération, ex 24 novembre, précisément dans les communes de Bandalungwa, Ngiri-Ngiri, Bumbu et Selembao. Toujours sous la supervision du premier citoyen de la ville, l’opération a consisté en la démolition de toutes les constructions sur les emprises publiques. De Rond-point Moulaert jusque sur l’avenue Landu, des maisons d’habitation, des immeubles et des commerces sont tombés en présence de la population visiblement satisfaite de cette mesure de l’autorité urbaine.
Face à la presse, le Gouverneur Gentiny Ngobila a fait savoir que la force revient à la loi. «La loi n’autorise pas les gens à construire sur les emprises publiques», a rappelé le patron de l’exécutif provincial de Kinshasa. Il a rassuré que la ville de Kinshasa va aménager les espaces où des démolitions ont eu lieu, en construisant des parkings ainsi que des arrêts de bus pour permettre une bonne circulation.
S’agissant du suivi des travaux, le premier citoyen de la ville s’est dit rassuré car il y a des équipes de la ville qui sont mises à contribution pour suivre de près cette opération, notamment le vice-gouverneur, la commissaire générale en charge de l’environnement.
«On ne peut pas occuper anarchiquement les emprises publique, nulle part au monde, tout contrevenant, tout celui qui a construit sur les avenues, ruelles, caniveaux, verra tout simplement sa construction anarchique être détruite», a souligné l’autorité urbaine. En fin, il a demandé à la population de ne plus construire sur les avaloirs, les caniveaux et emprises publiques.
Après l’avenue de la libération, la prochaine étape c’est dans la commune de Lemba.




8ème Congrès du GIERAF: « L’infertilité d’une pathologie qui peut souvent être évitée » (Jean-Jacques Mbungani)

Dr Jean-Jacques Mbungani, ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, a présidé la cérémonie d’ouverture du 8ème congrès du Groupe Interafricain D’étude, Recherche et d’application sur la fertilité (GIERAF), ce jeudi 09 février 2023, à l’hôtel Béatrice, à Kinshasa.

Organisé sous le thème principal : “Défis de la prise en charge de l’infertilité dans le contexte africain”, le 8ème Congrès du GIERAF a connu la participation de plusieurs pays dont les délégations ont fait le déplacement  de Kinshasa. Il s’agit notamment du Benin, du Cameroun, du Congo-Brazzaville, du Gabon, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, du Mali, du Togo, de la Russie, de la France ainsi que de la Tunisie, la Suède et de l’Inde, qui ont participé à ces assises par visioconférence.

Dans son allocution, le ministre congolais de la Santé, Dr Jean-Jacques Mbungani, a évoqué quelques difficultés liées à la lutte contre l’infertilité avant de proposer des pistes de solutions pour lutter efficacement contre ce fléau.

(..)” La disponibilité des interventions de lutte contre l’infertilité, l’accès à celles-ci et leur qualité continuent de poser des difficultés dans la plupart des pays. Le diagnostic et le traitement de l’infertilité n’ont souvent pas la priorité dans les politiques nationales démographiques et de développement ni dans les stratégies de santé reproductive, et ces éléments sont rarement couverts par le financement de la santé publique. Ajouter à cela le manque de personnel qualifié et l’absence des équipements et des infrastructures nécessaires ainsi que les coûts actuellement élevés des médicaments, constituent des obstacles majeurs, même pour les pays qui répondent activement aux besoins des personnes concernées par l’infertilité”.

Abordant les pistes de solutions pour lutter efficacement contre l’infertilité, le numéro 1 de la Santé Publique en République Démocratique du Congo préconise que les politiques de santé doivent reconnaître qu’il s’agit d’une pathologie qui peut souvent être évitée, ce qui diminue le besoin de traitements coûteux et peu accessible ; l’intégration de la sensibilisation à la fécondité dans des programmes nationaux globaux d’éducation sexuelle ; la promotion des modes de vie sains pour réduire les risques comportementaux, y compris la prévention, le diagnostic et le traitement précoce des IST; la prévention des complications liées aux avortements à risque, etc”.

Et le Ministre de la Santé, Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, a indiqué que “le cadre de ce 8ème congrès est l’occasion d’examiner les tensions qui traversent le système de prise en charge de l’infertilité, de relever ses failles et ses fissures, pour réfléchir ensuite à ce que peut être, demain, une bonne régulation de cette prise en charge. L’objectif étant de lutter contre l’infertilité en partageant les expériences et informations pratiques avec les acteurs engagés dans cette lutte”.

Dr Jean-Jacques Mbungani a terminé son allocution en exhortant tous les participants à ce congrès, à capitaliser les résultats de ces assises afin d’arriver à une bonne prise en charge des cas d’infertilité et minimiser ainsi son impact sur la qualité de vie et le bien-être des populations.

Quant au Président du Congrès, le professeur  Justin Mboloko, il a remercié le ministre Jean-Jacques Mbungani d’avoir rehaussé de sa présence ces assises, malgré ses multiples occupations.

Signalons que le Groupe Interafricain D’étude, de Recherche et d’Application sur la Fertilité, GIERAF en sigle, a été créé en 2009 à Lomé et réunit des chercheurs et des professionnels africains, ayant un intérêt dans la prise en charge de l’infertilité du couple afin de leur permettre de mettre en commun les connaissances et partager leurs expériences pour améliorer la prise en charge en la matière.

CEllCOM/MINSANTE