Ituri : Une pluie torrentielle fait des blessés et des dégâts matériels à Bunia

Après plusieurs morts enregistrés à Kinshasa, c’est le tour de l’Est du pays où une pluie diluvienne qui s’est abattue dans l’après-midi du mercredi 01 février a fait des dégâts matériels et des blessés à Bunia dans la province de l’Ituri.

D’après les  premières observations, aucun mort n’est jusque-là enregistré, alors qu’il s’observe des toitures emportées dont celles des bâtiments de la société de Micro finance (Smico) et Moon pharma, situés sur le boulevard de la libération, ont blessé deux femmes et un bébé qui se protégeaient contre la pluie, a-t-on appris par Makati Élie, journaliste reporter du congopresse.net depuis la ville de Bunia.

Les panneaux implantés le long du boulevard de la libération n’ont pas échappé au vent violent qui accompagnait cette pluie torrentielle et  plusieurs d’entre eux sont tombés dit-il. Signalons qu’aucun bilan officiel n’est encore disponible pour les personnes disparues et leurs biens.

Jean-Luc Lukanda




Kinshasa : L’avenue Kabinda enfin réhabilitée

L’avenue Kabinda a été dotée des bétons sur sa partie comprise entre l’avenue Kasa-Vubu et Bokassa dans la commune de Kinshasa. Cette partie longtemps délabrée a reçu une main forte du gouvernement provincial dans le souci de faciliter la circulation de la population kinoise dans ce coin de la capitale.

Ce tronçon quitte de l’avenue de la Libération dans la commune de Lingwala jusqu’à Barumbu au quartier Beau marché, était en délabrement très avancé et avait coupé le passage au niveau de l’avenue du Marée, toujours dans la municipalité de Kinshasa.

Séchée près de trois mois, Kabinda est revenu sur la scène d’opération le mercredi 01 Janvier 2023 dans la matinée. Mais selon la population environnante, tout est bon sauf les caniveaux qui ne sont pas revus pour s’assurer  de la durabilité de cette artère principale.

Il faut préciser que les travaux de réhabilitation sur ce tronçon ont été exécutés par l’Office des voiries et drainage,  financés par l’Hôtel de Ville qui travaille au four et au moulin pour mettre fin aux embouteillages qui inquiètent la population kinoise.

Jean-Luc Lukanda




Lutte contre le VIH/SIDA pédiatrique : Douze pays s’engagent dans l’Alliance globale

Les ministres de la Santé de douze pays africains se sont engagés dans « l’Alliance globale » pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030, dont le lancement est intervenu ce mardi 1er février 2023 à Dars es Salam, capitale de la République unie de Tanzanie.

Parmi ces pays, il y a l’Angola, le Cameroun, la Cote d’Ivoire, la République démocratique du Congo, la Mozambique, le Nigeria, l’Afrique du sud, la Tanzanie, l’Ouganda, la Zambie, le Zimbabwe et le Kenya. Tous devront prêcher par le concret afin d’attirer d’autres pays vers cette noble initiative.

« Je remercie tous les pays présents et tous les partenaires pour avoir mis en place cette initiative afin de mettre fin au VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030. La République unie de Tanzanie est honorée de lancer cette alliance.  Nous reconnaissons que le traitement pour les femmes malades et enceintes ainsi que pour les enfants doit  être une priorité afin de sauver des vies. Pour cela, nous sommes convaincus qu’il faut développer une approche inclusive prenant en compte les hommes et en impliquant la communauté », a déclaré le vice-président de la République unie de Tanzanie, le Docteur Isdor Mpango, peu avant de procéder au lancement officiel de cette grande initiative salvatrice, qui devra combler les gaps au moyen des activités que chaque pays aura développées.

Profitant de cette occasion, le vice-président tanzanien a sollicité un renforcement des capacités des pays par les partenaires et bailleurs. C’était avant d’interpeller l’assistance et particulièrement les ministres de Santé en ces termes : «  Il faut de la volonté politique, un leadership politique fort afin de mettre fin au VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030 ».

Prenant à son tour la parole, le  vice-président République et ministre de la Santé du Zimbabwe,  Constantine China dont le pays est fortement touché par cette pandémie, a fait savoir que 52 milles personnes âgées de 0 à 14 ans sont malades et doivent être protégées. Le taux de la couverture des Anti rétroviraux est de 14%.

« Nous avons été tous touchés par la Covid et il était question de soigner et d’éviter que la maladie se propage. Et donc il nous revient d’adapter des mesures concrètes qui veillent à ce que  la propagation du VIH soit stoppée », a indiqué le vice-président de la République et ministre de la Santé zimbabwéen soulignant la nécessité d’associer les hommes comme l’avait dit son prédécesseur. Monsieur Constantine China a aussi sollicité l’accompagnement des partenaires dans la mise en œuvre des plans stratégiques arrêtés par chaque pays.

Au nom de tous les partenaires des Nations unies, la Directrice exécutive du Programme commun des Nations unies  contre le VIH/SIDA (ONUSIDA), Winnie Byanyima a avant toute chose, interpellé les pays quant à l’injustice observée dans la prise en charge des enfants  et des  adultes malades.

A l’en croire, sur 160 milles enfants infectés du VIH seulement la moitié de ce nombre reçoit le traitement. Tandis que les adultes vivent avec la maladie et reçoivent le traitement.

«  C’est une injuste (…) », a décrié la Directrice exécutive de l’ONUSIDA, avant d’insister sur  le respect des droits humains : «  Nous devons réparer  cette injustice en disponibilisant le traitement pour sauver les vies des enfants et des femmes. Je suis sûre que les plans que vous avez élaborés joueront  un grand rôle dans leur exécution et que nous allons voir les résultats rapidement. Chers ministres faites en votre priorité ».

Winnie Byanyima a enfin, exhorté les pays  à se joindre au système des Nations unies pour un partenariat qui va gagner ce combat contre cette maladie.

Prince Yassa depuis Dar-es-Salam




Enrôlement des électeurs : La Monusco déploie des matériels électoraux à Beni

Environ 16 tonnes de matériels électoraux ont été transportés de Goma à Beni dans la province du Nord-Kivu le 26 Janvier 2023.

Ce déploiement a été effectué par la Monusco pour des opérations  d’identification et d’enrôlement des électeurs dont le démarrage est prévu le 16 février prochain dans cette partie du pays.

D’après les médias locaux,  le dernier lot constitué de 6 tonnes des kits d’enrôlement  est arrivé à Beni ce lundi 30 janvier.

 ” C’est d’ailleurs ce lot qui a fait passer à trois, le nombre total de vols effectués par la Mission des Nations Unies au Congo dans le cadre de son appui à la CENI au Nord-Kivu, après les rotations de jeudi et samedi de la semaine dernière”, ont déclaré des sources d’après lesquelles pour la centrale électorale antenne de Beni,  environ 1220 agents électoraux dont des opérateurs de saisie, récemment  recrutés vont suivre une formation avant le démarrage desdites opérations.

Il va sans dire que la MONUSCO pourrait étendre son appui  par l’acheminement des matériels  électoraux déjà à Beni vers certaines localités telles que Lubero et Kainama,…

Jean-Luc Lukanda




Assainissement de la commune de Kanzala : Bientôt des pénalités appliquées contre les inciviques

Les animateurs de la commune de Kanzala ont officiellement lancé une opération d’évacuation des poubelles publiques. Ceci, pour rendre cette commune très propre. Samedi dernier, Mme Esther Badiabiabia, ensemble avec son adjoint Jean-Luc Tshipamba Lukombo, ont visité  plusieurs avenues et arteurs principales pour avoir une idée sur l’applicabilité des mesures prises qui consistent pour les tenanciers des boutiques et maisons commerciales d’évacuer eux-mêmes les déchets devant leurs maisons. Cette inspection a donné place à une idée pour les dispositions d’urgence qui vont permettre aux habitants de la commune de Kanzala de participer d’eux-mêmes à l’amélioration de l’environnement chaque jour.

Selon un proche du bourgmestre adjoint, M. Jean-Luc Tshipamba Lukombo, des fortes pénalités seront appliquées d’ici quelques jours contre toute personne qui va tenter de saboter les dispositions prises.

Alors que considérée comme commune miroir de la ville, Kanzala compte plusieurs maisons sans installations hygiéniques, les caniveaux sont complètement remplis des déchets jetés volontairement par les responsables des maisons commerciales, même non loin du gouvernorat du Kasaï. En lieu et place de faire le Salongo chaque samedi,  les responsables des maisons commerciales pour la plupart des expatriés préfèrent fermer et reprendre tardivement les activités. Une façon pour eux de refuser les instructions des autorités. Ce comportement sera aussi sévèrement puni, note les sources proches des autorités communales

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Journée nationale de lutte contre la THA : Dr Jean-Jacques Mbungani réitère l’engagement du Gouvernement congolais à éliminer cette maladie en RDC d’ici 2030

Le Salon Congo de l’hôtel Pullman a servi de cadre à la commémoration ce lundi, 30 janvier 2023,  de la journée nationale de lutte contre la Trypanosomiase Humaine Africaine, sous le thème : “Mobilisons-nous pour éliminer la maladie du sommeil en RDC”. Cela en reconnaissance à la déclaration de Londres et à la journée internationale dédiée aux maladies tropicales négligées sur le plan international.

 Organisée par le Programme National de Lutte contre la Trypanosomiase Humaine Africaine (PNLTHA), cette cérémonie a été présidée par le ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani Mbanda, et a été marquée par la présence de nombreux responsables du ministère de la Santé, de l’ambassadeur de Belgique en RDC ainsi que des représentants des partenaires techniques et financiers de ce ministère.

 Dans leurs mots de circonstance, les délégués des partenaires techniques et financiers, ont, dans leur ensemble, salué les efforts consentis par le ministère de la Santé pour réduire l’ampleur de la THA en RDC, un pays qui reste le principal foyer mondial de la maladie du sommeil, avec 70% de cas recensés.

 Pour sa part, le ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani Mbanda, est d’abord revenu sur les efforts consentis dans la lutte contre cette maladie en République Démocratique du Congo.

“Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo et ses partenaires ont pris l’engagement d’éliminer la THA comme problème de santé publique d’ici 2030, s’axant ainsi sur les objectifs d’élimination prônés par l’organisation Mondiale de la Santé, qui est chargée de renforcer et de coordonner les efforts mondiaux, visant à éliminer la Trypanosomiase Humaine Africaine, une maladie vectorielle transmise par les mouches tsé-tsé d’une personne malade à une personne saine sévissant dans notre pays ; un milieu forestier, des savanes chaud et humide dans son ensemble. Cette situation naturelle fait de notre pays un habitat de la mouche tsé-tsé, reconnue et responsable de la transmission de la maladie du sommeil.

Cet écosystème rend nos populations paysannes qui représentent 70 % de la population, vulnérable à cette maladie et fait ipso facto de la RDC, un des pays les plus prévalents en Afrique et dans le monde, mais ; hélas, son ampleur n’est souvent pas reconnue par plusieurs, la reléguant au second plan dans la catégorie des maladies dites tropicales négligées à transmission essentiellement vectorielle”, a-t-il indiqué

 Par ailleurs, le numéro Un de la Santé en RDC a salué les progrès enregistrés dans la lutte contre la Trypanosomiase Humaine Africaine en RDC, avec comme résultat, la réduction des cas recensés. Cela en rappelant l’engagement pris par l’Exécutif national pour éliminer cette endémie d’ici 2030.

 “Le gouvernement de la République, dans son engagement d’éliminer la maladie du sommeil…

Cet engagement du gouvernement a eu des effets prometteurs tel que la réduction des cas de 2021 à 2022, passant de 6.000 à 510 cas. La commémoration de cette journée vise la sensibilisation des parties prenantes engagées dans la lutte et de sensibiliser aussi la communauté internationale dans la pérennisation des activités, et à l’adhésion et à l’appropriation de la lutte avec comme objectif, la conservation de la mémoire collective sur les acquis obtenue par cet engagement d’une part, et d’autre part, sur les conséquences sanitaires et socio-économique dévastatrice sur les familles et communauté dans le développement”, a martelé, Dr Jean-Jacques Mbungani Mbanda, Ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention.




Dar-es-Salam abrite les travaux du lancement de l’Alliance globale contre le VIH/SIDA pédiatrique

Dar-es-Salam, capitale de la République Unie de la Tanzanie abrite depuis ce lundi 31 janvier 2023, une réunion technique dans le cadre de la stratégie  « Alliance globale», qui vise l’élimination du sida chez les enfants d’ici 2030.

Selon le ministre adjoint tanzanien de la Santé,  le Docteur  Seif Abdallah Shekalaghe l’objectif de cette réunion technique est d’analyser  les plans d’actions des pays  dans la lutte contre le VIH/SIDA pédiatrique. Ces plans s’appuient sur 4 piliers,  à savoir : Dépister et offrir un service de qualité aux enfants et aux femmes enceintes, compléter les gaps constatés chez les femmes dans le but d’optimiser les tendances, prévenir les nouvelles infections chez les enfants.

«   Mon pays s’est réjoui d’abriter ces travaux. Aujourd’hui, nous allons finaliser  la réunion technique, qui va ouvrir le lancement de l’Alliance globale demain. Il s’agit d’une réunion importante car il s’agit de mettre fin au VIH/SIDA chez les enfants, qui  sont les mamans, les papas, les dirigeants de demain.  Nous sommes tous parents et ce qui a le plus important pour les  enfants », a-t-il déclaré en substance, avant de souhaiter voir les travaux de cette première journée aboutir sur les délibérations fructueuses.

A côté des gouvernements qui doivent s’approprier cette stratégie mondiale afin de renverser les tendances, les partenaires traditionnels, dont le Programme commun des Nations unies  contre le VIH/SIDA (ONUSIDA), l’organisation mondiale de la Santé (OMS)  et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) qui en assume le leadership, se réjouissent et ont déclaré leur disponibilité à accompagner les  pays.

«  Le moment est venu pour nous  d’éliminer cette maladie qui détruit  nos enfants. Nous sommes convaincus  que l’engagement de 12 pays ici représentés va nous permettre de réaliser les objectifs de mettre fin au VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030 », a indiqué le  Directeur-Pays de l’ONUSIDA en Tanzanie.

Même son de cloche pour ses collègues de l’UNICE et de l’OMS, qui ont dans leur intervention, ont insisté sur l’implication de la communauté.

« Ce moment est historique parce que nous sommes 12 pays pour s’attaquer à une seule question importante qui est le VIH/SIDA. Au niveau de l’UNICEF, nous sommes heureux de représenter les enfants. Notre appel va au-delà de l’engagement. Car ce que nous faisons aujourd’hui doit sauver nos vies », a déclaré-pays de l’UNICEF en Tanzanie, Shalini Bahuguna, d’un ton interpellateur à l’endroit de l’assistance.

Soulignons qu’au total 12 pays prennent part à cette grande activité, à savoir : Angola, Cameroun ; Cote d’Ivoire ; RD Congo ; Mozambique; Nigeria ; Afrique du sud ; Tanzanie ; Ouganda ; Zambie et Zibambwe, Kenya.

Prince Yassa depuis Dar-es-Salam




Dr Berthilde Gahongayire : « Le VIH/SIDA pédiatrique est l’une de nos Top priorités »

«  La lutte contre le VIH/SIDA pédiatrique est l’une de nos Top priorités pas seulement dans notre sous-région mais partout dans tous les pays et presqu’au niveau mondial. C’est un encouragement pour nous par le fait que les pays  qui ont signé  l’Alliance globale sont là.  C’est un encouragement à vraiment améliorer la qualité des services dans la prise en charge des enfants », a déclaré le Directeur régional du Programme commune contre le VIH/SIDA, Docteur Berthilde Gahongayire lors d’un entretien eu avec le délégué du Réseau des médias africains pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (Remapsen) présent à la journée technique, organisée en marge du lancement de la stratégie mondiale « l’Alliance globale » pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants.

Selon l’ONUSIDA, un travail préliminaire a été fait en amont par les pays sur la situation du VIH/SIDA  chez les enfants.  Et donc aujourd’hui, a dit le Docteur B. Gahongayire, c’est le moment de mettre ensemble en dégageant  une orientation sur comment mettre en œuvre tout ce qui a été décidé au niveau pays.

«  Ce que nous attendons est que les pays  participent  mais  une fois rentrés qu’on essaye vraiment de les soutenir afin de mettre en œuvre  les activités qu’ils ont identifiées pour relever le gap qui est actuellement assez énorme dans la prise en charge pédiatrique », a plaidé le Directeur régional de l’ONUSIDA, avant de déclaré la disponibilité de son organisme à accompagner les pays.  Elle l’a dit en ces termes : « Bien sûr qu’ils peuvent toujours compter sur l’appui de l’ONUSIDA et des autres partenaires.  Bientôt il y aura des propositions Fonds mondial et on espère que cette partie de la réponse  qui est la prise en charge pédiatrique sera vraiment   un des points forts  (…) et nous encourageons les pays  à avoir cette partie dans leur demande de financement.  Pour les pays Pepfar, il y a le Cop 23 qui arrive. Partout il  y a une opportunité, et donc il faut mettre des actions  en matière de la couverture pédiatrique. C’est un domaine assez important pour la région ».

Au total 12 pays prennent part à cette grande activité, à savoir : Angola, Cameroun ; Cote d’Ivoire ; RD Congo ; Mozambique; Nigeria ; Afrique du sud ; Tanzanie ; Ouganda ; Zambie et Zibambwe, Kenya.

Prince Yassa depuis Dar-es-Salam




Messe papale : Les fidèles catholiques appelés à l’observance stricte des gestes barrières

Plus d’un million des personnes sont attendues à l’espace de l’aéroport de Ndolo, pour participer à la grande messe papale qui sera célébrée ce mercredi 1 février à Kinshasa.

Au regard des nombres très élevés de participants attendus à cette cérémonie, le comité multisectoriel de lutte contre le Covid-19 alerte sur le risque d’une contamination de Coronavirus dans toutes les activités prévues durant le séjour de saint père en RDC.

Dans son message adressé ce mardi à toute la population congolaise en général et les chrétiens catholique en particulier, le  Coordinateur du secrétariat technique de la riposte face à la pandémie de Covid-19 en RDC, le Docteur Jean-Jacques Muyembe invite toute la population au respect strict des gestes barrières. ” Je demande à toute la population de porter les masques et à se laver régulièrement les mains pour éviter toute contamination liée à la maladie de coronavirus”, a-t-il précisé.

A en croire le coordonnateur du secrétariat technique de la riposte de contre la Covid-19, malgré l’accalmie qui s’observe en RDC, cela ne veut pas dire que le pays est hors danger de la pandémie.

A noter que le programme de la visite du pape se trace comme tel : le 1er février, il célébrera la messe à l’aéroport de Ndolo dans la matinée.

Dans l’après-midi, il rencontrera des victimes des violences dans l’Est du pays. Le 2 février, une rencontre entre le Pape, les jeunes et les catéchistes est prévue au stade des Martyrs et dans l’après-midi, il participera, dans la cathédrale Notre Dame du Congo à une rencontre de prière avec les prêtres, les diacres, les personnes consacrées et les séminaristes.




Arrivée du Pape à Kinshasa : Les vendeurs limogés le long de l’avenue Bokassa

La situation de démolition et évaluation des attroupements à Kinshasa vient de coûter cher aux vendeuses et vendeurs kinois situés le long de l’avenue Luambo Makiadi ex-Bokassa entre Funa et Kabinda dans les communes de Kinshasa et Barumbu.

La police nationale congolaise a procédé dans la matinée de ce samedi 28 janvier à la chasse de ces derniers avec destruction des kiosques et des tables d’étalage qu’elle consume sur place avec le feu.

Déçus de l’opération, mais reconnaissants de l’avertissement, ces usagers du marché pirate se voient contraints d’aller ailleurs sans intervention.

Il faut préciser que l’avenue est nettoyée de Funa à Kabinda dans ces deux communes de la capitale.

Jean-Luc Lukanda