Les hommes de Raoul Shungu en stage de 10 jours à Brazzaville

A quelques jours de son premier match de la phase de groupe de la Ligue des champions, les Moscovites vont se déplacer à l’autre bord du fleuve Congo pour un stage de 10 jours où ils vont livrer quelques matchs amicaux face aux équipes de la place, sauf changement de dernière minute.

En attendant le programme de la LINAFOOT qui tarde jusque-là, indique notre source, les poulains de Raoul Shungu vont préparer la reprise des activités au Congo Brazzaville.




Les Cyclistes/filles demeurent sans prime malgré les exploits réalisés

Les braves Léopards/filles ont brillé de mille feux à la 1ère et 2è édition du Tour cycliste international féminin du Burundi en 2021 et 2022. Par équipe, elles avaient terminé respectivement 4è et 2è. En individuel, Okito Hélène termina 3è et 2è. Ce qui est dommage, ces braves filles n’ont rien perçu à ce jour du trésor public. Même pas un franc congolais.

Pourquoi la gente féminine est négligée, marginalisée et l’on lui accorde peu d’attention ?

Dans la majeure partie de cas, dans les délégations sportives, on y amène souvent que très peu de filles. Mais là où nous perdons notre latin, c’est dans le football dames. Si on donne tout pour le football masculin, les filles sont négligées. Et parfois chassées de leur hôtel et ratent le voyage comme ce fut le cas en 2022.

Que dire de plus ?

D’ailleurs, au terme de la loi sportive depuis sa promulgation, toutes les disciplines sont mises sur le même pied d’égalité. Il ne peut plus avoir d’un côté les privilégiés et de l’autre côté, des laisser pour compte. Le ministère des Finances à dire vrai devra bannir la discrimination, le favoritisme et l’injustice. Si aujourd’hui, 24 disciplines ont la délégation de pouvoir, il faudra que toutes signent des contrats d’objectif. Le financement pourra dépendre des performances. C’est une option que l’on peut prendre. Le sport congolais n’a pas besoin de la discrimination. Cette journée nationale du sport devra être une journée de méditation pour repenser à tous ces problèmes. Le sport congolais ira mieux.

Antoine Bolia

 




Combats Libres : La Rdc déjà au diapason international et va abriter un championnat mondial

La Fédération Congolaise des Combats Libres et arts martiaux modernes ‘’FCCL’’ que préside Me Rodrigue Masuama a entrepris des efforts louables avec ses propres moyens. La FCCL dispose des matériels et équipements modernes appropriés (Ring et cage). Elle a eu à organiser le championnat d’Afrique central et s’apprête à organiser le championnat du monde au pays. Jusque-là, cette fédération ne bénéficie pas du concours et du soutien du gouvernement congolais.

Antoine Bolia

 




Judo : les sacrifices consentis par la Conaju sans bénéficier de l’apport du Trésor public

Au bord de l’abime, le judo congolais doit la vie à l’avènement de la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC ‘’Conaju’’. En six mois d’existence et sans l’aide du gouvernement congolais, la Conaju sous le leadership du coordonnateur Nico Liyanza a mené des actions à impact visible : formation des cadres (administratifs, coachs et arbitres), acquisition des matériels (tatamis et judogis), acquisition d’un siège administratif, organisation du tournoi de la sélection des léopards d’abord au niveau des ligues ensuite phase finale à Kinshasa. Avec des moyens propres, les Léopards ont pris part à l’Open international de Dakar, au Sénégal et à l’Open International de Yaoundé, au Cameroun. Et ici, l’on doit souligner que pour la 1ère fois de l’histoire un athlète congolais de pure souche a glané la médaille d’or. Il s’agit de Daso Kisoka dans la catégorie -60 kg/messieurs tandis que Chanceline Nsona avait glané la médaille de bronze dans la catégorie -78 kg/dames. Et ces deux jeunes judokas n’ont reçu aucune prime de l’état congolais.

 

Antoine Bolia

 

 




Dossier : Quid de la Problématique de financement des fédérations sportives et la prime allouée aux athlètes

Le sport congolais souffre de la mauvaise répartition des ressources ou moyens lui alloués. Et nous dirons plus. On continue maladroitement à allouer trop de moyens au football qui, malheureusement ne réalise pas des bons résultats. Dommage que des disciplines performantes dont les dirigeants se sacrifient pour implanter et les vulgariser, souffrent de financement de l’état congolais.

Il y a lieu de s’interroger parce qu’il y a un ça ne va pas. A la demande du président de la République chef de l’Etat, il a été convoqué et organisé les Etats-Généraux des sports à Kisantu, dans le Kongo Central. On se demande à quoi ont servi ces assises ? A ce jour d’aucuns se demandent où sont les résolutions ? Pourquoi y-a-t-il toujours de problèmes qui se posent avec acuité notamment financement des fédérations sportives et primes des athlètes ? Et pourquoi continue-t-on à donner au football la part du lion et négliger les autres disciplines ? Pourquoi la gente féminine est marginalisée, abandonnée et sacrifiée ?

Le ministère des Finances serait-il le bouc émissaire des sportifs ?

Dans son communiqué de presse du 14 janvier 2023, le ministère des Finances a informé l’opinion nationale que son objectif n’est nullement de tuer le sport congolais comme le prétendent certains calomniateurs (sic). Il s’agit tout simplement de conformer aux principes modernes de gestion des finances publiques et mettre de l’ordre dans ce secteur, dans l’intérêt de tous.

Nous continuons à nous interroger sur ce qu’attend le ministère des Finances lorsqu’il souligne qu’il s’agit tout simplement de conformer aux principes modernes de gestion des finances publiques et mettre de l’ordre dans ce secteur, dans l’intérêt de tous (resic).

Comment peut-on parler des principes modernes de gestion des finances publiques et mettre de l’ordre dans ce secteur du sport lorsque les Léopards/football qui viennent d’échouer lamentablement, avant même qu’ils aient accompli leur mission, ils avaient 235.000 USD et 910.500 USD logés à la Rawbank ? Et le football, est la seule discipline que l’Etat finance la préparation. Toutes les autres, ce sont les dirigeants des fédérations qui financent. Et avec cette manière de faire et d’agir, on veut s’attendre à des bons résultats ? Nous répondons directement par la négative. En sport, il n’existe pas de génération spontanée. Tout est fonction des sacrifices consentis dans la préparation. Le comble en RDC, malgré les efforts consentis par les dirigeants pour préparer les athlètes qui ramènent des bons résultats, les moyens ne suivent pas. Des preuves abondent et l’espace va nous manquer pour démontrer. Enumérons le cas du judo, combats libres et cyclistes filles.

Antoine Bolia

 




Coup de théâtre au sein du DCMP/K : Le Comité de direction décide de mettre fin à sa collaboration avec le coach principal Joao Mota

La nouvelle ne manquera pas de surprendre plus d’un amoureux du club vert blanc. Il nous revient de la Direction de Communication de Daring Club Motema Pembe, qu’après réflexion et analyse, le comité de Direction de ce club a décidé de mettre fin à sa collaboration avec le coach principal Joao Mota.

Nos confrères nous précisent que c’est depuis le dimanche 22 janvier 2023 à l’Hôtel Belle vie à la Gombe où DCMP/K logeait le technicien portugais qu’ils ont appris la nouvelle.

Quant aux raisons d’une telle rupture, le manque d’un calendrier de la Linafoot, l’environnement et l’irruption des personnes extérieures à l’équipe, sont et figurent parmi les causes.

La Dircom de DCMP/K signale qu’en attendant de voir un peu plus clair, c’est le Burkinabé Amadou Sampo et le Congolais Djene Tumba Mukanda qui continueront de s’occuper de la technique et tactique du club. Dans les heures qui suivent, la Dircom de DCMP/K proposera l’intégralité de l’interview qui lui a été accordée par le technicien portugais Joao Mota avant son départ.




L’élimination sans panache des Léopards/football plonge les Congolais dans la méditation en cette journée nationale du sport

Le malheur du sport congolais a pour origine le football, considéré à tort comme sport roi. D’aucuns pourront nous prêter des intentions malveillantes. Nous le prouvons par des exemples probants.

En 1968, les Léopards de la Rdc battaient les Blacks Stars du Ghana 1-0  en finale de la 8è Coupe d’Afrique des Nations de football à Addis-Abeba en Ethiopie. But de feu Kalala Mukendi alias bombardier. A leur retour au pays le 28 janvier 1968, ils étaient accueillis en héros par la population kinoise. Feu président Mobutu Sese Seko leur décerna des médailles de mérite sportif. Et le président Mobutu prit la décision que désormais la date du 23 janvier de chaque année sera consacrée ‘’Journée nationale du sport en RDC’’.

En 1974, les Léopards font sensation à la CAN jouée en Egypte. En deux temps, ils battaient les Zambiens en finale. D’abord 2-2 lors du premier match et 2-0 lors du 2è match. Tous les 4 buts marqués en finale portent la signature de feu Ndaye Mutumbula. Ce dernier termina meilleur buteur avec 9 buts, record jamais battu bientôt 50 ans. La même année, les Léopards arrachèrent brillamment leur qualification pour la Coupe du monde en Allemagne Fédérale. Pour récompense, certains fauves congolais ont reçu une maison et une voiture. Tous les autres qui n’avaient pas reçus, n’ont rien eu jusqu’à ce jour (1er couac). Pour satisfaire les Léopards, le gouvernement de l’époque avait pris l’initiative d’opérer une collecte générale. Mais ceux qui devaient s’occuper de cela ont abusé. Des rafles des biens sans consentement ont été opérées dans l’ensemble du territoire national jusque dans les villages les plus reculés (2è couac). Au lieu de se limiter là, les anciennes autorités du pays ont fait accompagner les Léopards à la Coupe du monde d’une cohorte des marabouts, féticheurs, divins, voyants, etc. Conséquence, les Léopards vomis par la population (NDLR la parole a la puissance en Afrique. Quelqu’un qui parle de mal de vous pour lui avoir causé du tort, forcément malheur va vous arriver) dont certains n’avaient rien à voir ni de près ni de loin avec le football (3è couac). Et puisqu’il n’y a jamais eu réparation des abus causés à la pauvre population congolaise et que les léopards qui devaient bénéficier des récompenses au même titre que leurs coéquipiers, le football congolais a payé un lourd tribu. O point, 14 buts encaissés et 0 but marqué (4è couac). Il a fallu attendre 2009 pour voir les Léopards gagner un titre. Ils ont remporté la 1ère édition de Chan à Abidjan en Côte d’Ivoire. Et en 2016, ils remportaient leur 2è titre des champions à Kigali, au Rwanda.

Incorrigible, le gouvernement congolais opta par une politique injuste de ne financer que 4 disciplines dont le football. Les autres disciplines n’avaient que leurs yeux pour pleurer. Et elles pleuraient et maudissaient (5è couac). Plus tard, le gouvernement va revenir aux bons sentiments en élargissant le nombre. Et voilà qu’en 2022, le ministère des Finances veut replonger le mouvement sportif dans l’incertitude. Opte pour 4 disciplines à choisir (6è couac).

La Dynamique des Fédérations et Groupements Sportifs Congolais s’oppose à l’option du ministère des finances

La démarche du ministre des Finances n’a pas du tout plu à la Dynamique des Fédérations et Groupements Sportifs Congolais ‘’DFGSC’’. Cette structure a rédigé et déposé un mémorandum adressé au président de la   République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Lequel mémorandum avait comme objet : Demande d’une audience pour des propositions constructives relatives aux financements et promotion des structures sportives en République Démocratique du Congo.

La DFGSC dénonce haut et fort la pratique instaurée au ministère des Finances selon laquelle les fédérations sportives doivent y laisser 30, 40 et voir même 50 % des Etats des sommes leur destinés pour des championnats et autres activités sportives tant nationales qu’internationales. Elle dénonce avec la dernière énergie cette pratique (7è couac). Et nous pensons sincèrement que cette dénonciation doit faire l’objet d’une enquête. Le Procureur doit être saisit. L’IGF doit également s’impliquer pour que la vérité éclate et que les coupables sévèrement punis.

Un traitement de faveur accordé aux Léopards/football Chan Algérie 2023 par le ministère des Finances

Engagés à la 7è édition du championnat d’Afrique des Nations Algérie 2023, le ministère des Finances a dévoilé le montant des primes de ces Léopards/football pour le match amical contre la Libye et les matchs de la phase des groupes du CHAN 2023. Montant respectif alloué 235.000 USD et 910.500 USD logés à la Rawbank.

Alors qu’ils n’ont pas effectué la mission, ces Léopards ont déjà eu leur prime faramineuse. Les autres n’ont fait que murmurer (8è couac). De même, on a amputé quelques animateurs spécialisés dans l’accompagnement des Léopards en compétitions internationales, mais ils ont été remplacés. Ces derniers ont maudit l’équipe (9è couac). Conséquence de tout ce qui précède, les Léopards ont fait piètre figure. Eliminés au premier tour, ils n’ont marqué le moindre but. C’est la pire des prestations des Léopards en 7 participations.

Antoine Bolia




Dossier brûlant : Ce que nous inspire le cuisant échec des Léopards/football au Chan Algérie 2023

En ce jour mémorable de lundi 23 janvier où la République Démocratique du Congo célèbre la journée nationale du sport, nous la voulions une journée de méditation. L’élimination sans panache des Léopards/football à la 7è édition du championnat d’Afrique des Nations Algérie 2023 est venue ajouter de l’huile au feu. Nous reparlons de l’épineuse question de financement des fédérations sportives et de la prime des athlètes. Nous revenons sur le plaidoyer des sports  féminins et enfin évoquons une question pertinente sur les états-généraux tenus à Kisantu en 2022.




La Lijukin annonce un changement radical dans l’organisation de son championnat saison 2022-2023

La saison sportive 2022-2023 en ce qui concerne le championnat de judo court encore. Sur les six entités que compte la Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’ à savoir :

  1. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est ‘’Eujk-Est’’
  2. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Ouest ‘’Eujukino’’
  3. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Centre ‘’Eujk-Centre’’
  4. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Lukunga ‘’Eujk-Lukunga’’
  5. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Tshangu ‘’Eujk-Tshangu’’
  6. Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’

Il reste plus que l’Eujk-Est, l’Eujk-Lukunga et l’Eujk-Tshangu qui continuent leur championnat respectif pour voir la Lijukin entamer le sien. Ces entités ont 20 jours pour clôturer leur championnat respectif.

La Lijukin que préside Me Eugène Aliwu Tshiam, CN 6è Dan compte, suivant le calendrier de la fédération, organiser son championnat au mois de mars ou avril pendant 10 jours seulement. Les clubs ayant déjà terminé leur championnat et qui sont éligibles à ce championnat, peuvent passer au bureau de la Lijukin pour se mettre déjà en ordre.

Réforme au niveau du championnat

Les clubs de la ville province de Kinshasa doivent savoir que le mode de championnat pour 2023 a changé. Il y aura plus de compétitions en individuel que par équipe au niveau des ententes et ligue. Elle aura l’occasion d’expliquer aux clubs comment ça va se passer. Cependant, la ligue a besoin des sponsors pour réussir son pari. Quant au lieu où se dérouleront toutes les finales, la ligue opte pour le studio Mama Angebi de la RTNC.

Conditions à remplir pour les anciens clubs

  1. Identification des athlètes et recensement des clubs se feront début mois de février. Les clubs doivent présenter les documents ci-après :
  2. Autorisation d’ouverture du club délivrée par le chef de service des sports et loisirs de sa commune
  3. Attestation d’affiliation du club délivrée par la Lijukin moyennant 20 $
  4. Diplôme du responsable du club 3è Dan minimum
  5. Les P.V de l’Assemblée Générale de deux dernières saison (2020 et 2021).

Conditions à remplir pour les nouveaux clubs

  1. P.V de l’Assemblée Constituante datant de 2 ans
  2. Seuls les clubs viables seront conviés à participer à l’assemblée générale de la Lijukin.

Le souhait de la Lijukin est que les présidents des clubs fassent un effort pour que leurs clubs respectifs se mettent en ordre. Il ne voudrait pas entendre des gens crier après que leurs clubs ont été écartés surtout pendant les élections.

Antoine Bolia     




Actions menées par la Mutuelle des Dirigeants de Judo de Kinshasa

A l’actif de la Mutuelle des Dirigeants de Judo de Kinshasa ‘’M.D.J.K’’, l’on dénombre plusieurs actions à impact visible.

La MDJK a apporté secours à 100 % aux soins de santé du secrétaire exécutif de l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est ‘’Eujk-Est’’, ‘’Des AS’’. Malheureusement, c’était contre la volonté divine. Le seigneur a rappelé à lui son serviteur. A la mort de ce dernier, la MDJK avait pris totalement en charge ses obsèques (achat du cercueil, corbillard, cimetière etc).

Il faudra retenir que la MDJK a apporté concours aux obsèques des judokas ci-après :

-Gd Me Mvambanu ‘’Chiku’’

-Me Elim Tozo

-Me Bongwanzi ‘’Fusco’’.

En outre, la MDJK était présente et a apporté assistance aux obsèques de Me Samuzu ‘’Tchetche’’ en remettant une enveloppe à la veuve. L’on a revu la MDJK aux obsèques de Me Bob Ngoy. Là également elle a remis quelque chose à la veuve.

Signalons que les activités de la MDJK s’étaient par la suite refroidies suite aux désintéressements de certains dirigeants. En tant qu’initiateur de la mutuelle, Me Aliwu s’est évertué à faire revivre celle-ci. Bon nombre des dirigeants ont accepté de lui prêter main forte. Des Haut gradés se sont manifestés. Il s’agit de :

-Me Day Lukembeso

-Me Matondo Ndombolosi Matis

-Me Lihonge Mo Lihele

-Me Lungikama Sobin

Ces hauts gradés ont déjà commencé à contribuer pour aider la mutuelle à renflouer ses caisses. Aujourd’hui, point de doute possible. La MDJK est belle et bien de retour dans l’arène. A titre illustratif, elle s’est illustrée positivement aux obsèques du Grand Me Nzuzi Nguidi ‘’Chaolin’’. Sans la présence des sportifs, on ne sait pas ce qui devrait advenir des obsèques du précité puisque sa famille était dépourvue des moyens. D’où, il a fallu plus d’un mois pour que ce grand Me de Tai Jitsu soit enterré.

Par ailleurs, ayant reçu la demande de la veuve de Me Samuzu Tchetche et Me Bob Ngoy, la MDJK envisage de faire quelque chose pour la scolarité des enfants de ces deux maitres.

Pour Me Aliwu, le bienfondé de l’existence de la MDJK pour mieux le démontrer, il se réfère au passé en faisant allusion à feu Me Diomi Ndongala. Ce dernier avait créé l’Union  Sport de combat du Congo pour être comme un syndicat des sportifs. Dommage, note-t-il, ce dernier n’avait pas été soutenu. La MDJK fait appel aux gens de bonne volonté et surtout ceux qui font partie de la fédération. Ils sont des produits de la ville de Kinshasa. Avec le concours de tous, cette structure ira loin. L’appel est donc lancé à tous ceux qui aiment le judo d’apporter leur pierre à l’édifice de cette structure. L’objectif est clair, bannir la pauvreté grâce à l’entraide et l’assistance d’un dirigeant de judo qui est dans le besoin. La MDJK fait appel aux dirigeants des clubs qui veulent adhérer, de venir la rejoindre. Le faisant, ça va aussi aider leurs clubs.

Antoine Bolia