Des hauts faits qui tapent dans l’œil du Magazine Forbes: Miguel Kashal primé parmi les meilleurs managers africains
En séjour aux Etats-Unis sur invitation du Magazine FORBES qui a suivi de près ses activités professionnelles, le Directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP) Miguel Kashal Katemb a reçu un diplôme de mérite décerné par ce magazine américain bimensuel pour récompenser son leadership exemplaire manifesté dans le domaine de l’entrepreneuriat en RDC, précisément dans le secteur de la sous-traitance où des entrepreneurs congolais jadis totalement absents commencent à acquérir des marchés réels dans les entreprises principales.
Cette année 2024, plusieurs leaders africains de différents pays ont été honorés par cette distinction destinée aux personnalités éminentes de différents pays et évoluant dans différents secteurs d’activités.
Après avoir eu son diplôme, le Directeur général de l’ARSP a rendu un vibrant hommage au chef de l’Etat Félix Tshisekedi qui lui a permis d’accomplir des grandes actions en vue de matérialiser sa vision dans le cadre de la création d’une vraie classe moyenne congolaise.
Parmi les autres mérites reconnus à Miguel Kashal Katemb par le magazine FORBES, il faut noter que grâce à son leadership, l’ARSP a connu une transformation significative, passant d’un établissement public marginalisé à un pilier essentiel pour le secteur de l’économie nationale.
Ses efforts ont permis d’améliorer la visibilité et l’efficacité de l’institution, contribuant ainsi à mettre en œuvre un cadre réglementaire plus solide pour les entreprises de Droit congolais désormais mises en avant sans toutefois marginaliser les étrangers avec lesquels des alliances sont possibles.
Opérant dans le domaine de la sous-traitance, l’autre principale réalisation de Miguel Kashal est l’accès des entrepreneurs aux marchés grâce à un processus d’appel d’offres qui favorise la transparence, le respect de la Loi et la promotion du contenu local. Cela a renforcé la promotion de la classe moyenne et la confiance des investisseurs.
Le Quotidien