En mission officielle en France, le Président du CESAC Christian BOSEMBE copieusement frappé à Paris
En séjour à Paris en France où, dans le cadre d’une tournée européenne, il a pu rencontrer plusieurs partenaires le 31 mars dernier, notamment la Directrice des Affaires politiques et de la gouvernance démocratique de l’OIF, Léonie Guerlay et Jean Christophe Ramos, président de Canal + Afrique, Christian Bosembe, Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication CSAC, s’obstine à redynamiser son secteur, grâce à la transformation de l’écosystème médiatique congolais avec un programme chiffré à 17 millions de dollars américains sur une période de 2023 à 2027. poursuivant sa mission à Paris, le Président du CSAC a également rencontré le 1er avril 2023, les responsables des médias français, à savoir : TV5 Monde Afrique, Radio France Internationale (RFI) et France 24 associés avec à ceux de Canal France International ainsi que l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) ex-CSA.
Un voyage au pays d’Emmanuel Macaron qui s’est malheureusement transformé en cauchemar.
- Dans une vidéo (ci-dessous insérée) filmée la nuit et diffusée en boucle sur les réseaux sociaux dans la matinée de ce dimanche 02 avril 2023, l’on pouvait voir Christian Bosembe être violemment tabassé par deux gabarits, s’exprimant tous en lingala. visiblement, la scène aurait été filmée dans le couloir d’un hôtel de Paris, où la victime avait du mal à se débarrasser de ses bourreaux qui, le qualifiant de “collabo”, n’ont pas arrêté si vite de frapper copieusement Bosembe. L’on pouvait entendre l’infortuné hurler “naza ndeko na bino”, entendez, “je suis votre frère”. Un forfait qui semble avoir été planifié, à la lumière de la même vidéo montrant les bourreaux annoncer l’événement dans la journée, peu avant de passer à l’acte. “C’est une préméditation”, constate plus d’un analyste.
A Kinshasa, le bureau du CSAC a annoncé un point de presse dans les heures qui suivent, en vue de faire la lumière sur les circonstances de cet incident malheureux.
Selon plusieurs témoignages sur les réseaux sociaux, Christian Bosembe aurait été victime de son rapprochement avec le régime au pouvoir. Une attitude que désapprouvent plusieurs congolais de la diaspora appelés des “Combattants”, expatriés en France et en Belgique. mécontents selon eux de la gestion du pays, ces derniers ont combattu le régime de Joseph Kabila à l’étranger, et font la même chose sous Félix TSHISEKEDI.