Fiasco de Tshisekedi dans le Kongo Central et carton plein de Katumbi dans l’Est du pays (Pius Romain Rolland)
Le 20 novembre 2023, La Commission Électorale Nationale Indépendante lance la campagne électorale pour le scrutin prétendument annoncé le 20 décembre. 26 candidats à la présidentielle sont en lice pour un fauteuil et plus de 29.000 candidats aux législatives nationales pour 500 sièges.
Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, candidat à sa propre succession semble mal parti dans sa campagne lancée au Kongo Central. 4 étapes soldées par un fiasco : Boma, Tshela, Matadi, Kimpese. Le Ne Kongo mobilisés comme un seul homme disent non au mensonges et promesses irréalisables du fils d’Etienne Tshisekedi. Ce peuple respectueux de valeurs ancestrales n’attend plus lui renouveler sa confiance.
Le Ne Kongo est un peuple introverti qui attend au tournant sa proie pour l’avaler. Ainsi, les propos des hommes et femmes de l’UDPS après la prise de pouvoir le 24 janvier 2019 ont frisé la conscience humaine : Bokanga minoko na bino ezali pouvoir na biso baluba.
Respectueux, le Ne Kongo ont rappelé par leur attitude à Félix Antoine Tshilombo que les injures ne font pas partie de leur culture. Un rejet total du pouvoir de Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi caractérisé par les fausses promesses etc…
A l’opposé, le camp Katumbi (Matata Ponyo, Franck Diongo et Seth Kikuni) fait carton plein dans la partie Est de la République où l’électorat n’est pas à négliger.
L’étape de Mahagi et Kamituga est plus rassurante au candidat numéro 3, très défavorable au candidat numéro 20 dont les populations meurtries de cette partie de la République attendent l’infliger une correction et sanction électorale.
S’hasarder sur une terre où les grands leaders sont la cible de Félix Antoine Tshilombo est un grand risque.
Le Maniema, terre ancestrale de Joseph Kabila de par sa mère, Emmanuel Ramazani Shadary, Alexis Thambwe Mwamba, Joseph Kokonyangi, Matata Ponyo Mapon et enfin Salomon Idi Kalondo, c’est méconnaître le stéréotype de Kambelembele. Ce peuple qui ne fléchit jamais devant n’importe qui, rappelle toujours à qui veut l’entendre : Kwetu haku tokake boyi. Entendez, chez nous il y a pas de domestique.
Au Maniema où Matata Ponyo surnommé waku mbingu, entendez : descendant du ciel, y aller est un grand risque pour Tshilombo. Tout Maniema garde à l’esprit que si cette province est viable et fréquentable, c’est grâce à la vision et leadership de Joseph Kabila Kabange et Matata Ponyo Mapon.
Félix Antoine Tshilombo qui s’est hasardé par défi d’y aller, et a laissé ses plumes et parti la queue entre les pattes.
Incapable d’afficher son bilan qui du reste est catastrophique et inexistant, Félix Antoine Tshilombo se lance encore dans les attaques personnelles avec un concept creux : les candidats des étrangers; des promesses irréalistes et irréalisables. Celle qui a fait rire tout Congolais est celle d’organiser la CAN en 2027. Accroc aux jeux, cette fois-ci Tshilombo ne sait pas que les trois pays organisateurs de cette CAN sont déjà connus à savoir le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie.
Cette promesse fallacieuse et mensongère se colle au championnat national qui est en berne depuis son accession au pouvoir avec comme conséquence : l’élimination précoce de nos clubs en compétition africaine.
Tshilombo n’ose même pas aborder la problématique de Congo Airways dont les quatre flottes laissées par Joseph Kabila et Matata Ponyo sont clouées au sol.
Cependant, il est rattrapé par l’inflation du franc congolais face au dollar américain. Son prédécesseur l’a laissé à 1 dollars 1600 fc, en cinq années, 1 dollars pour 2600 fc. Les congolais se souviennent de Joseph Kabila et Matata Ponyo. Ainsi, le kambelembele scandent : Tshisekedi toka pale, entendu Tshisekedi longwa kuna, soit Tshisekedi dégage.
S’hasarder d’aller défier ce peuple dont on sait leur ADN à ces grands leaders cités ci-haut, le Kambelembele ont rappelé à Tshilombo ses mensonges et fausses promesses puis lui coller ce qualificatif : mtoto wa rahamu, entendu : fils de la malédiction.
Très fâché du traitement injuste infligé à tous ses ressortissants plus particulièrement à Matata Ponyo et Salomon Idi Kalondo, Félix Antoine Tshilombo s’est rendu compte de l’évidence et la population ne faisait que crier dans ses oreilles: Libéré Salomon Kalonda.
Devant cette douche froide, après le fiasco du Kongo Central, au Maniema on ne d’hasarde pas après cinq années de gouvernance par défis et arrogance au point de mentir qu’il a des œuvres au Maniema de défier ce peuple qui n’est pas amnésique aux injures de membres de sa communauté aux autres communautés.
Lesquelles de ses œuvres si seulement si traquer tous les ressortissants du Maniema qui ne sont pas de l’Union sacrée ?
Fatshi qui a foulé les macadams asphaltés par Joseph Kabila et son Premier ministre Matata Ponyo, s’est condamné lui-même en infligeant un traitement inhumain à ces grands leaders du coin.
Les dés sont jetés, Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi ne peut que rendre le tablier car, les résultats du scrutin lui seront défavorables.
Vous êtes prévenus!
Depuis Londres, en Angleterre, Pius Romain Rolland