« Il a réussi là où les autres ont échoué et est devenue la bête noire !»
« Pour avoir réussi là où les autres ont échoué, le Directeur national des Jeux de la Francophonie Isidore Kwandja Ngembo fait l’objet d’un lynchage médiatique sans précédent », apprend-t-on sur son poste Facebook.
Le même post poursuit qu’il est victime des attaques personnelles ciblées et répétées dans l’intention de nuire. Son nom est traîné injustement dans la boue. Tout cela indique très clairement qu’il est devenu un homme à abattre à tout prix.
Ainsi, pour parvenir à leur objectif de ternir à tout prix l’image d’un « homme honnête et rigoureux » qui a travaillé d’arrache-pied pour relever le défi de l’organisation d’un événement d’envergure internationale dans un temps record, tous les coups sont permis, même s’il faut passer outre le respect des principes éthiques fondamentaux du journalisme qui sont notamment de fournir des informations exactes, vérifiables et dignes de crédit, dans le respect de la déontologie journalistique.
Et notre source de préciser que certains professionnels des médias qui ne savent même pas faire un distinguo entre la personne et l’institution qu’elle dirige, se sont évertués à publier de façon éhontée des articles mensongers sur la personne, sans même prendre la peine de contacter l’intéressé et de lui donner la possibilité de s’exprimer et de rétablir la vérité concernant des fausses nouvelles, comme l’exigent les règles de base de la déontologie journalistique.
Et pourtant, ceux qui connaissent Isidore Kwandja ou qui l’ont déjà côtoyé, savent pertinemment bien que c’est une personne honnête, rigoureuse, d’une intégrité irréprochable et digne de confiance.