Iran, Algérie, Zwelivelile Mandela… l’axe du diable dans le dossier du Sahara
La relation entre l’Algérie, le polisario, l’Afrique du sud et l’Iran se confirme une nouvelle fois avec le Sahara comme intérêt partagé. Le petit-fils de Nelson Mandela, dernière recrue d’Alger pour médiatiser et ameuter les troupes autour de la théorie séparatiste sahraouie, est devenu le lien entre ces parties qui nourrissent des envies déstabilisatrices envers le Maroc.
L’Algérie met les bouchées doubles actuellement pour s’attaquer au Maroc et son Sahara en mobilisant son réseau de lobbyistes d’eurodéputés, et au sein de l’+InterGroupe pour le Sahara occidental+ (algérien) dans le Parlement européen.
Des mouvements se font en dehors de cette sphère avec l’intensification des relations entre le régime militaire algérienne et l’Iran qui coïncide avec la montée inquiétante de l’influence de l’Iran en Afrique du nord et de l’Ouest.
Cherchant à déstabiliser le Maroc et y provoquer une guerre qui se propagerait dans toute la région d’Afrique du nord en armant la milice du polisario à travers le Hezbollah libanais, l’Iran avait été sévèrement recadré par le Royaume qui a répliqué en suspendant ses relations diplomatiques.
Les Iraniens ont toujours nié leur implication, cependant le nouvel envoi d’armes aux terroristes du polisario, des drones à travers l’Algérie, et la récente visite du ministre des Affaires étrangères iranien, Houceïn Emir Abdoullahyane, en Mauritanie, partie au conflit du Sahara, acte la décomplexion du régime iranien par rapport à son intérêt au Sahara, ses liens avec le séparatisme et la promotion du terrorisme en jouant un rôle actif auprès des acteurs anti-marocains.
Cette décomplexion de l’Iran et ses liens avec l’Algérie peut être constatée par une nouvelle alliance qui comprend aussi l’Afrique du sud à présent qui se manifeste avec un acteur en commun, le petit-fils de Nelson Mandela.
Le 14 janvier, Zwelivelile Mandela a ainsi été reçu par le ministre des Affaires étrangères iranien Houceïn Emir Abdoullahyane, et le vice-président des affaires internationales du siège de la magistrature et des droits de l’homme, l’ayatollah Mohammad Hassan Akhtari.
L’homme qui vit sur le dos de la légende de son patriarche est désormais lié avec l’Algérie par un pacte pour faire la promotion du polisario et reprendre les slogans algériens qui disent que le Sahara serait le dernière colonie d’Afrique en jouant sur le statut de territoire non autonome de l’ONU alors que c’est le Maroc qui l’a inscrit sur cette liste pour définitivement clore l’épisode du colonialisme espagnol.
Avec un premier dépôt de 100.000 dollars, Little Mandela est devenu ambassadeur des causes perdues de l’Algérie. Il commence ainsi à être envoyé pour sillonner le monde en sa qualité de petit fils de Nelson Mandela, avec tout le bagage que son nom de famille implique, pour parler en lieu et place d’Alger des préoccupations d’Alger.
L’idée de faire intervenir un agent extérieur sous couvert d’un « militant » pour se substituer à l’Algérie dans la promotion du terrorisme de l’Etat algérien dans la région et son plan expansionniste, était presque parfaite si l’on ne connaissait pas le CV douteux du petits fils de Nelson Mandela et l’axe privilégié par son pays dans le conflit du Sahara.
En Algérie depuis le début du CHAN, le petit-fils de Nelson Mandela, s’est envolé mardi pour Tindouf pour rencontrer le chef des séparatistes sahraouis, Brahim Ghali pour mieux s’imprégner des discours du polisario, lui qui ne connait rien à cette histoire si ce n’est ce qu’Alger lui a soufflé.