Judo: A propos de l’article : ‘’Se passant pour représentant du ministre aux 9è jeux de la Francophonie, Me Apoto Kiala donne sa version de faits
A propos de notre publication ‘’Se passant pour représentant du ministre aux 9è jeux de la Francophonie, Me Apoto Kiala écroué au cachot pendant 24 heures, l’intéressé a saisi la rédaction pour faire son droit de réponse que voici :
‘’Monsieur le journaliste, j’ai lu avec intérêt votre publication me concernant. D’entrée de jeu, les faits s’étaient autrement que ce qu’on vous a raconté. Tout a commencé de cette manière. Eux sont partis dans la salle pour tenir leur réunion en rapport avec le test Event judo. Ils ont tenu leur réunion et sont arrivés à la fin. Ayant remarqué que M. Michel Huet était resté tout seul, je suis entré et je l’ai vu à côté de Dr Athos, je me suis assis et on a commencé à causer. Je lui ai expliqué que si la compétition a lieu le jour suivant, ce n’est pas un problème. Mais il faudra qu’on le fasse après parce qu’à 10h00, le ministre des sports devrait recevoir M. Michel Huet et qu’à 12h00 ça devait être le tour du président Amos du Comité Olympique Congolais de le recevoir. Comme la compétition devait commencer à 13h00, nous serons de retour et ça ne poserait aucun problème. Et il pourra donner le go de la compétition. Par après, nous étions assis. Nico Lianza Me Patrick et un garçon sont entrés et nous étions tous ensemble à l’intérieur. Me Nico Lianza m’a dit : ‘’Apoto tu ne marches pas bien. Comment est-ce que toi tu as déjà pris des rendez-vous pour Huet sans que moi je puisse le voir ? Et je lui ai répondu : ‘’Depuis le matin on était avec lui, toi tu ne t’ai pas fait voir. Et lui devait rencontrer toutes ces personnes. Où est le mal si je l’ai conduis et pris des rendez-vous pour lui ?’’ Et il a rétorqué que non, tu es en train de causer la zizanie au judo’’. Et moi, j’ai répliqué : ‘’Je créé la zizanie comment ?’’ Et il me lance : ‘’Tu es un aventurier’’. Et j’ai répondu : ‘’Prouve-moi que je suis un aventurier’’. Et c’était le début des vociférations de Me Nico et ceux qui étaient là. Comme quoi Mbayo et le conseil d’état ne sont pas arrivés à bout. Si le ministre est fort, qu’il prenne un arrêté suspendant la Coordination nationale des activités de judo. Et j’ai répliqué : ‘’Comment être contre le ministre, d’autant plus que ce dernier et moi, marchons ensemble et nous faisons de notre mieux pour que les choses marchent bien ? Si le ministre et le Dircab n’étaient pas d’accord, la Conaju n’allait pas exister à l’heure actuelle. Nous nous sommes enflammés dans la discussion. Par-là, je me suis dit il faut que je me mets à l’extérieur où un garçon continuait à m’injurier. J’ai appelé le Dircab du ministre à qui j’ai expliqué la situation. Ce dernier m’a prié de ne pas suivre ceux qui s’en prenaient à moi. J’ai appelé un ami Colonel qui a promis de m’envoyer une jeep. Il le fallait parce que j’ai constaté qu’il y avait une intention suspecte des enfants qui étaient autour de moi. Et les grandes personnes qui étaient prévoyaient de m’attaquer. Et certaines personnes m’ont dit qu’il faut faire attention. J’ai observé et dit ok d’accord. J’attends que cette jeep arrive et après je vais retourner à la maison. Quand la jeep est arrivée, je croyais qu’elle est arrivée pour me prendre et me protéger. Mais également identifier les personnes qui avaient l’intention de troubler l’ordre public. J’ai suivi la jeep jusqu’à la porte d’entrée et suis monté à bord. Et par là que j’ai constaté que cette jeep, c’est M. Nico Lianza qui l’avait fait venir. Et je ne me suis pas posé beaucoup de questions et j’ai estimé qu’il était bon pour ma protection et pour ma sortie du traquenard. Et nous sommes partis et j’ai appelé le Directeur du cabinet donner témoignage comme on a prétendu que j’usurpe de titre. Leur accusation selon laquelle je fais usage du nom du ministre, que je ne suis pas son représentant et que je mentais. Par là, le Dircab a appelé le colonel Charly avec qui Nico Lianza avait échangé pour leur confirmer que oui, je travaille avec le ministre en privé concernant le judo. Et c’est là qu’il y a eu apaisement que le dossier était classé sans suite. Cela s’est passé sans que je sois verbalisé. Rien du tout. Je n’ai pas été verbalisé et j’étais avec les OPJ jusqu’à ce qu’on me libère.
Donc, il n’y a pas eu l’intervention de Nico Lianza pour dire lâcher-le. Ça, c’est faux et archifaux. C’est le Dircab qui a échangé lui-même avec le Colonel Charly. Leur motif, comme j’utilise le nom du ministre, ce dernier ne connait rien. Or, c’est vrai et je le confirme, je suis toujours avec le ministre concernant le judo. Et en plus, je confirme qu’il n’y avait aucun dossier créé me concernant. Pas d’interdiction, il n’y a rien. Donc, je serai bel et bien à la francophonie’’.
Antoine Bolia