Le DG de l’ARSP, Miguel Kashal, dans les viseurs des laboratoires des prédateurs

Un nouveau système de déstabilisation et d’attaque contre les autorités qui excellent dans leur domaine de travail se met en place et se dénomme «Enquête journalistique».

On recrute des personnes se présentant comme «journalistes», on les stipendie et on leur donne de fausses informations pour discréditer les adversaires. Des prétendues enquêtes à sens unique, sans les sons de cloche des incriminés, sont balancées sur la toile. L’IGF Jules Alingete a été attaqué depuis le début de l’année via deux pseudos enquêtes présumées payées par un ancien ministre des Finances décrit comme le pire ennemi de l’Inspecteur général chef de service de l’IGF.

Le très informé et pertinent «Africa Intelligence» a, dans un article intitulé «Les coulisses d’une opération destinée à déstabiliser Jules Alingete, a démonter ce travail assis sur des soupçons invérifiables avec des faux grossiers, notamment un faux RCCM attribué à Prodimpex, une société du groupe Rawji. Les mêmes documents avaient servi à un précédent travail similaire, également sujet à caution, signé par Litchani Choukran.

Le CSAC n’a pas hésité d’interdire de diffusion, dans les médias et les réseaux sociaux, le prétendu rapport produit par Mills Tshibangu, lui reprochant son caractère injurieux, diffamatoire et criminel, interdisant à son auteur tout commentaire durant tout le temps du black-out sur sa production.

Les mêmes laboratoires des prédateurs sont soupçonnés de vouloir produire une autre enquête bidon mais les sources hésitent encore sur l’identité de leurs prochains relais. Leur nouvelle cible: le DG de l’ARSP, Miguel Kashal, dont le poste, selon certaines indiscrétions, serait envié par certains conseillers à la Présidence de la République.