Le président du Sénat salue le premier sommet trilatéral Brésil, Rdc et Indonésie
La lutte contre le réchauffement climatique concerne toute la planète. La République Démocratique du Congo, pays solution, contribue au maintien de l’augmentation de la température mondiale en dessous de 1,5 degré Celsius d’ici la fin du siècle en trois volets par la conservation de ses massifs forestiers intacts dans leur capacité de séquestration de toutes les pollutions des années antérieures et actuelles émises à travers le monde ;
le réseau hydraulique dont le fleuve Congo et tous ses affluents constitue la réserve mondiale d’eau douce et permet le développement de la capacité de l’hydroélectricité. De ce fait, d’autres pays africains proches pourraient bénéficier de cette énergie propre, diminuant ainsi la pression sur les forêts qui s’exerce notamment avec l’utilisation du bois de chauffe ; la possession et l’exploitation des minerais stratégiques qui permettent de réduire la pollution émise par les industries de par le monde.
C’est dans ce contexte que la République Démocratique du Congo a opté pour l’économie écologique qui nous plonge dans la mobilisation des ressources et la valorisation de notre économie par le lien de l’environnement.
A cet effet, le président du Sénat salue le premier sommet trilatéral Brésil, République Démocratique du Congo et Indonésie, tenu à BELEM au Brésil, qui a visé la protection des forêts tropicales et l’action climatique.
Cette alliance de coopération est créée en vue de renforcer non seulement les capacités de protection de ressources forestières et de la biodiversité, mais aussi le travail d’ensemble pour des positions communes lors des négociations sur le climat au niveau international.
Il y a lieu de rappeler que ces trois pays détiennent les plus grandes forêts tropicales et manifestent leur volonté de lutter ensemble contre le réchauffement climatique.
A ce stade, une question mérite d’être posée, à savoir pourquoi faut-il agir et quelle en est la contrepartie? Le Gouvernement doit agir parce que les répercussions du changement climatique sont grandes et elles le seront encore davantage.
C’est la raison pour laquelle, Modeste Bahati encourage les chercheurs à plus d’assiduité et d’innovation dans leur quête des solutions nouvelles pour rendre la planète plus rés
iliente.