Ndusi et Mohindo à la barre

Pour ce qui est des initiatives de contrôle parlementaire, le député Tshilumbu constate que le SMIG est fixé à 7500 Fc par jour, montant négocié depuis le 2 novembre 2017 au Conseil national du travail. A cette occasion, la tripartite avait décidé de son application au 1er janvier 2018. Mais depuis lors, aucune suite n’a été réservé à cette disposition. Aussi le député national adresse deux questions : quel est l’état des lieux du respect du taux du SMIG par les employeurs expatriés ? Quelle est la politique envisage-t-elle pour améliorer les conditions des travailleurs qui prestent chez les employeurs expatriés ?

Le ministre de l’ESU doit, pour sa part, répondre à ce questionnement lié aux conditions socioprofessionnelles du professeur d’universités. Entre autres préoccupations : quel est le taux d’exécution des engagements pris par l’Etat à Bibwa/N’Sele en faveur des professeurs d’universités ? Quelle politique envisage-t-il mettre en place pour apporter des solutions idoines et pérennes aux revendications des professeurs ? Quel est le concessionnaire désigné pour livrer les véhicules aux professeurs ? Et comment avait-il été choisi ? etc.