Kipushi : La population soutient l’idée d’une future révision constitutionnelle 

Dimanche, après avoir lancé les activités minières de l’usine Kico (Kipushi corporation), le Chef de l’État a tenu un meeting populaire pendant plus d’une demi-heure au stade de Kipushi.

Majoritairement consacré à la jeunesse, le discours du Président de la République a appelé cette couche de la population à la vigilance. « Ne vous laissez pas manipuler par ceux qui veulent déstabiliser notre pays », a lancé le Président Tshisekedi.

Comme lors de son adresse la veille à Lubumbashi, le Chef de l’État a été plusieurs fois interrompu par la foule réclamant la révision de la Constitution. À ce sujet, le Président Félix Tshisekedi a maintenu sa position : « je considère que c’est une injure à l’endroit de l’élite congolaise de nous interdire de réfléchir sur notre Constitution.», a-t-il répondu.

Pour conclure son propos, le Chef de l’État a affirmé : « en tant que garant de la nation, je vais instituer une commission pour réfléchir sur la révision ou le changement de la Constitution de notre pays. »




A Kipushi : Felix Tshisekedi relance la production de zinc

Au deuxième jour de son itinérance dans le Haut-Katanga, le Président Félix Tshisekedi a relancé, ce dimanche à Kipushi, la production du Zinc à la mine de Kico ( Kipushi Corporation) située à 30 km de Lubumbashi.

 

À l’arrêt depuis 1993, Kico qui est la mine de Zinc à la teneur la plus élevée au monde, soit 36 % de teneur en moyenne, découle d’une joint-venture entre la Gécamines (38%) et Ivanhoe Mines (62%).

Avec une production mensuelle de 45 000 tonnes de Zinc, Kico réalise une production annuelle de 540 000 tonnes et entend augmenter sa production d’ici au premier trimestre 2025.

Dans son allocution de bienvenue au Chef de l’État, le Grand Chef traditionnel Kaponda Lubenge s’est dit heureux et honoré d’accueillir le Président de la République.

« Longtemps plongé dans la pauvreté , Kipushi retrouve à nouveau la vie gràce à votre vision de développement », s’est exclamé le Grand Chef en langue Bemba.

Pour sa part, la présidente du groupe Ivanhoe s’est réjoui de voir le Chef de l’État lancer la plus grande usine de production de Zinc en Afrique.

La mine de Kico, a-t-elle dit , s’inscrit dans la suite de gros investissements de leur groupe.

Le président du conseil d’administration de la Gecamines s’est réjouie de voir l’État congolais diversifier sa production minière.

« Dans 12 ans , l’État congolais deviendra l’actionnaire majoritaire de la mine de Kico avec des parts de 80% contre 32 actuellement », a-t-il precisé.

Dans la même lancée, le ministre des mines Kizito Pakabomba a fait savoir que le lancement de la production de Zinc est le résultat de l’amélioration du climat des affaires prônée par le Président Tshisekedi.

« Cette mine va améliorer sensiblement les recettes d’exportations et contribuer à l’accroissement du budget national », a dit le ministre des mines .

« Je m’engage à veiller à ce que les retombées profitent à la population congolaise en général et à la population de Kipushi en particulier », a-t-il conclu.

De son côté, le ministre du portefeuille Jean Lucien Busa a fait savoir qu’avec Kico, l’État congolais voit son portefeuille s’éteindre de plus en plus pour le grand bonheur du peuple congolais.

Grâce à sa politique de responsabilité sociétale, Kico œuvre dans le secteur de l’éducation. Cette mine octroie depuis 6 ans des bourses d’études aux élèves de Kipushi pour une enveloppe globale de 100 000 Usd.

D’autres actions sociales au crédit de la mine de Kico, à savoir l’adduction d’eau potable gratuite à la cité minière de Kipushi, des activités agro-alimentaires avec la pisciculture avec 105 étangs, l’aménagement d’un poulailler qui produit 2 500 oeufs par jour et le système d’irrigation automatique pour la production de maïs, tomates, oignons et choux.

Enfin, la Kipushi corporation promeut l’entrepreunariat des jeunes à travers des contrats de sous-traitance.

La mine de Kico a été créée en 1924 par le pouvoir colonial. Autrefois propriété de l’Union minière du Katanga, c’est depuis 1966 qu’elle est passée sous administration de la Gecamines.




L’Office National du Tourisme honore Dieu à travers un culte d’actions de grâces à son siège

L’Office National du Tourisme à travers ses autorités, cadres et agents, a rendu un vibrant hommage à Dieu, via un culte d’actions de grâces, en son siège, le vendredi dernier.

Avec une attitude de reconnaissance à Dieu pour ses merveilles accomplies le long de l’année 2024, mais aussi et surtout pour le don de vie accordé à l’ensemble du personnel, Mme le Directeur général, Yombo Mukendi Jolie, accompagnée de son Directeur général adjoint, M. Diakiese Paul, ont témoigné, via ce culte, leur gratitude à Celui qui appelle à l’existence ce qui n’existait pas, Celui auprès de qui rien n’est impossible et qui, par sa main salvatrice et triomphante, fait échouer les plans des méchants, en y accordant la victoire à ses élus.

Ainsi, vêtus tous en blanc, signe de pureté et de paix, les personnels de cet établissement public ont bénéficié d’une homélie tirée du livre de Luc 17:11-19, retraçant le récit des dix lépreux guéris par Jésus-Christ et dont l’un, se voyant guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix.

Cette prédication libellée par la servante de Dieu Berthe Walo, a débouché sur le partage de la sainte scène, un moment crucial qui a permis à l’assemblée de s’approcher de la table du Seigneur.

La journée a été également ponctuée d’une part, du mot de la représentante du personnel, Mme Nadine Kuka qui, de manière succincte a retracé les différentes réalisations positives qui poussent tous les agents à rendre les actions de grâce à Dieu ; et d’autres part, les témoignages de quelques cadres et agents qui se sont souvenus de cet Office non prometteur à l’époque, à celui d’aujourd’hui où les avancées sont très significatives.

Par ces témoignages plus d’un se sont empressés à offrir à Dieu leurs offrandes d’actions de grâces, bien avant que les deux autorités le fassent au nom de tout l’ONT. Ceci répond, il y a lieu de le relever, à ce que l’apôtre Paul dit au livre des Colossiens 3:17 ” Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâce à Dieu le Père”

Un repas servi en toute convivialité a permis de clôturer la dite journée.

Sylvie Bambi




RDC : Le gouvernement rassure de la délivrance bientôt de la carte d’identité à la population 

La question de la délivrance de la carte d’identité aux peuples congolais a été traitée au conseil des ministres tenu le vendredi dernier.

La note d’information présentée par le Vice-Premier ministre en charge de l’intérieur à cette 22 ème réunion du conseil des ministres, a évoqué la problématique de la constitution du fichier général de la population et de la délivrance de la carte nationale d’identité.

Maître Jacquemin Shabani a fait savoir que des avancées significatives sont déjà enregistrées au sujet de la délivrance de la carte d’identité nationale.

Selon le patron de la territoriale, les travaux préparatoires à l’identification des différentes couches de la population pourront bientôt atteindre la phase de l’opérationnalisation.

Il a signalé qu’au stade actuel, l’Office National d’Identification de la Population (ONIP) a déjà produit le cahier des charges en cinq modules et la feuille de route des différentes opérations à mener dans les prochains jours.

Rappelons que c’est depuis 1984 que les congolais n’ont pas encore obtenu la carte d’identité.

 

 

Mboshi




Changement ou modification de la Constitution: Tshisekedi sur ses bottes à Lubumbashi

Décidément, le Président de la République, Félix Tshisekedi n’entend pas reculer face à l’idée de modifier ou voire changer la constitution de la République. Comme dans la ville martyre de Kisangani, Félix Tshisekedi a réaffirmé le samedi dernier à Lubumbashi où il séjourne actuellement son initiative de voir la loi fondamentale subir de modifications ou carrément être changée à cause de certaines de ses dispositions devenues non adaptée au contexte actuel.

Cette fois-ci, le Président de la République a utilisé un ton ferme et menaçant face à tous ceux qui s’y opposent ou veulent lui empêcher d’user de ses prérogatives constitutionnelles en tant que celui à qui revient l’initiative de la révision constitutionnelle en les qualifiant des manipulateurs. Ceci avant de préciser que son adresse faite dans la ville boyomaise n’avait aucun lien avec un troisième mandat qu’il veut briguer à la tête du pays et en accédant au pouvoir, il n’est pas venu s’y éterniser. Allusion faite à l’opposition politique et certaines organisations de la société civile. Il en est aussi le cas des évêques de la Conférence épiscopale nationale du Congo, Cenco qui selon lui devraient être au milieu du village.

« Permettez- moi de dénoncer la manipulation et le danger de certains discours qui sont même prononcés par des personnes qui normalement devaient être au milieu du village. Je suis très inquiet quand j’entends des ministres de Dieu sortir des énormités pour dire que les Congolaises et les Congolais n’ont pas le droit de réfléchir sur le bien-fondé de leur constitution”, s’est-il exclamé.

Et d’ajouter: « Ce que j’avais déclaré à Kisangani n’avait absolument aucun lien avec un quelconque troisième mandat. Vous avez entendu parler de la fameuse opposition qui cherche à manipuler la population en disant non au troisième mandat. Qui leur a parlé de troisième mandat ?”, s’est-il interrogé. Pour étayer sa pensée de réviser ou changer la constitution, le Président de la République a fait allusion à l’article 217 de la constitution relatif à la possibilité pour la RDC de conclure des traités ou des accords d’association ou de communauté comportant un abandon partiel de sa souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine.

Felix Tshisekedi a réitéré d’avant la population lushoise sa volonté de réunir l’année prochaine une commission multidisciplinaire pour réfléchir sur la modification de la constitution dont les conclusions seront présentées d’abord au parlement et si cela est nécessaire la population sera consultée pour se décider lui-même si elle doit s’arrêter à la modification ou aller au changement de la constitution. La déclaration de Félix Tshisekedi vient de galvaniser le camp des « Pro changement de la constitution « à la tête duquel se trouve l’Udps / Tshisekedi qui devra mobiliser davantage ses militants pour obtenir le changement de la constitution et ouvrir la voie à la nouvelle république.

Martin Fayulu et Delly Sesanga contredisent Félix Tshisekedi

L’adresse du Président de la République à Lubumbashi n’a pas laissé indifférent certains acteurs politiques de l’opposition à l’instar de Martin Fayulu de l’Ecide et Lamuka et Delly Sesanga de l’Envol. Concernant l’article 217 de la constitution auquel a fait allusion le Président de la République, Martin Fayulu s’est interrogé dans son compte X : « Comment Félix Tshisekedi peut-il prétendre que l’article 217 de notre Constitution consacre la vente de notre souveraineté à certains États africains ? Pour le leader de Lamuka, c’est une absurdité manifeste et une interprétation grossièrement erronée d’un article dont la clarté ne nécessite même pas l’expertise d’un éminent professeur en droit constitutionnel ».

Ainsi, il invite tous ceux qui ont eu l’opportunité d’étudier, même au niveau secondaire, à lire cet article ; ils comprendront que le libellé de cet article, qui figure dans plusieurs Constitutions africaines, a pour objectif de « promouvoir l’unité africaine ». Que Félix Tshisekedi lise le dernier alinéa de l’article 214, qui stipule : « Nulle cession, nul échange, nulle adjonction de territoire n’est valable sans l’accord du peuple congolais, consulté par voie de référendum. »

De son côté le président national de Envol, Delly Sesanga accuse aussi Félix Tshisekedi de manipulation de l’article 217 de la constitution. En effet, dans une vidéo partagée dans les réseaux sociaux, rejette les accusations de Félix Tshisekedi contre les opposants qu’il a qualifiés des manipulateurs. « La manipulation, c’est lorsque vous versez dans une interprétation iconoclaste de l’article 217 de la Constitution par un faux bruit, en faisant croire que cet article dispose et expose le Congo à céder les territoires à des États voisins », a déclaré Sesanga. Pour le leader du mouvement dénommé « Sursaut national contre le changement de la constitution « les menaces de Félix Tshisekedi ne feront reculer nullement le peuple congolais. «Vous aurez face à vous tous les patriotes qui veulent aujourd’hui que le Congo devienne, à jamais, une République, un État au service de l’intérêt général », a-t-il prévenu.

RSK




Le tirage au sort de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine CAF TotalEnergies Maroc 2024 aura ce vendredi 22 novembre

La Confédération Africaine de Football (CAF) a le plaisir d’annoncer que le tirage au sort de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine CAF TotalEnergies 2024, qui se tiendra au Maroc, aura lieu le vendredi 22 novembre 2024 au Centre Technique Mohammed VI, situé à Salé, au Maroc.

La cérémonie débutera à 20h00 (heure locale) soit 19h00 (GMT), et sera retransmise en direct sur les principales chaînes de télévision en Afrique ainsi qu’à l’international. Elle sera également accessible sur la plateforme de streaming numérique de la CAF, CAF TV.

Ce tirage au sort revêt une importance capitale, car il déterminera les groupes des 12 meilleures sélections nationales féminines du continent africain.

La 13e édition de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine CAF TotalEnergies se déroulera du 5 au 26 juillet 2025 au Maroc, offrant une nouvelle occasion de célébrer l’excellence du football féminin sur le continent.

Il convient de rappeler que l’Afrique du Sud, tenante du titre, avait triomphé lors de l’édition précédente, organisée également sur le sol marocain, en 2022.

Des informations complémentaires, notamment sur les modalités du tirage au sort, seront communiquées dans les jours à venir.




La Chine, un pays multipartiste avec huit autres partis politiques au-delà du Parti Communiste Chinois 

Le saviez-vous qu’il existait d’autres partis politiques en Chine, le pays que le monde occidental qualifie d’Etat non démocratique ? Non sans nul doute.

Contrairement à la mauvaise image véhiculée par l’Occident, la Chine est un pays multipartiste où existent plusieurs partis politiques qui participent d’ailleurs à la gestion du pays. Bien sûr que cette information vous surprend !

Il y a au total 9 partis politiques en Chine, à savoir le Parti Communiste Chinois qui a le plus grand nombre d’adhérents, le Comité Révolutionnaire du Kuomintang, Ligue Démocratique de Chine, Association pour la Construction Démocratique de Chine, Association Chinoise pour la Promotion de la Démocratie, Parti Démocratique des Ouvriers et des Paysans de Chine, Parti Chinois pour l’intérêt National, Société de Jiusan et la Ligue de l’Autonomie Taiwanaise.

Ces faits contrastent avec la propagande occidentale qui refuse d’admettre les progrès réalisés par l’Empire du milieu en termes de démocratisation de la gouvernance.

Selon le professeur Ding Yifan, chercheur au centre Chinois des recherches du conseil des Affaires d’Etat pour le développement, « la population Chinoise constate le progrès de la Chine en matière de démocratie ».

En Chine, ne devient pas Président qui veut !

Les caractéristiques du système de gestion Chinoise, est le système de fonction publique professionnelle intégrant l’industrie, le monde universitaire et le gouvernement. Ce système à la chinoise permet aux personnes d’origines différentes, de gravir les échelons, changer leur propre destin grâce à leurs propres efforts et performances, note le professeur Ding Yifan.

« C’est un système qui permet de maintenir la grande mobilité sociale sans courir le risque de propulser des personnes ambitieuses mais sans expérience de gouvernance publique ».

Depuis un certain temps, sont élus présidents de la République, ceux ayant déjà brigué un mandat du niveau local au niveau national.

Prenant l’exemple de l’actuel président Chinois Xi Jinping qui a gravi tous les échelons, le professeur Ding Yifan, précise que les dirigeants Chinois « connaissent les rouages de la fonction publique ».

La démocratie « participative » est de mise en Chine où le peuple a son mot à dire dans le processus décisionnel contrairement à la démocratie Occidentale où les dirigeants ne sont presque pas redevables vis-à-vis de leurs électeurs.

Derick Katola depuis Beijing capitale de la Chine

 

 




RPDC: «A atteint ses extrêmes la colère de notre Peuple contre les cabots ou clébards hybrides de la ROK!»

Ce dimanche 17 novembre, KIM Yo Jong, Directrice adjointe de département du Comité Central du PTC (Parti du Travail de Corée, existant le plus longtemps au pouvoir socialiste dans le monde, NDLR), a rendu public son communiqué de presse suivant:

Ce samedi 16 novembre, diverses sortes de tracts de démagogie politique et d’objets sales envoyés par les racailles de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre du rejet de la Résolution ou Entente 19/04/1948 intercoréenne – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner plusieurs fois la RPDC comme Etat hostile ou antagoniste radical: d’où la condamnation des millions de leurs manifestants locaux, NDLR) ont été largués dans de nombreuses régions proches de la Frontière Sud et même dans les profondeurs de la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et des soins médicaux, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR).

Hier tout au long de la journée, les rapports continus à ce sujet m’ont été parvenus à partir de diverses zones où les organismes de sécurité publique et de sûreté nationale:

  • ont bloqué les quartiers concernés
  • sont en train de mener les travaux de recherche, de collecte et d’élimination.

Nous dénonçons, fermement, les actes honteux et sales des racailles de la ROK qui, une fois de plus, a commis sa provocation en dispersant les matériels de démagogie politique et conspiratrice contre notre RPDC, au mépris de nos avertissements réitérés (le dernier remonte au 02/11/2024 à travers le Livre Blanc du Centre de Recherche sur les Ennemis, NDLR). Figurez-vous; est-ce qu’il y a un propriétaire de maison qui ne soit pas en colère contre les déchets aussi sales éparpillés fréquemment dans sa cour propre, que même un cabot ou clébard n’aime pas toucher? Le Territoire sacré ou inviolable de notre RPDC est pollué et il a fallu beaucoup de travail pour éliminer ces déchets.

La patience a toujours ses limites. A atteint ses extrêmes la colère du Peuple de notre RPDC contre ces cabots ou clébards hybrides les plus dégoûtants. Les racailles devront payer cher.




RPDC: « Le Japon doit bien savoir que notre Etat n’est nullement un Pays faible qu’il a su coloniser autrefois !»

Le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat hostile ou antagoniste par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8.400.000 de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 1.000.000 des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200.000 Coréennes, etc.: les dommages et intérêts dûs aux criminalités contre la RPDC s’estiment à plus de 30 milliards de $US depuis 1905 jusqu’ici, NDLR) qui avait fait flèche de tout bois pour coloniser toute la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme ou frais avec le soleil brillant», désignée sous le nom des «fleuves et montagnes brodés dans la soie» ou de la «Nation orientale du décorum», et fière de sa Civilisation de 4.357 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion armée par les Pays étrangers comme les USA et le Japon, etc., tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, de la spécificité géopolitique et du paysage éblouissant du terrain, et surtout l’objet de la partition artificielle et déplorable en 1945 par les Puissances dont les intérêts égoïstes visaient la stratégie ambitieuse ou avide de la division pour mieux régner, vue la faiblesse du potentiel militaire du Pays d’alors, au lieu de choisir le Japon en Asie comme l’Allemagne était admise docilement ou fatalement en Europe, NDLR) s’acharna de plus belle à cette fin dès 1905.

 

Arrivé à Keijo ou Hanseong (Capitale de l’Empire de Corée ou l’Empire de Daehan 13/10/1897 – 29/08/1910) en novembre 1905, en qualité d’envoyé spécial de l’Empereur du Japon (Meiji Tenno ou Mutsuhito 1852-1912), Ito HIROBUMI (1841-1909; 4 fois 1er Ministre japonais et le tout 1er Résident-Général de Corée assassiné 26/10/1909 par un patriote coréen, NDLR) tenta de faire croire, à l’opinion internationale, que les Coréens faisaient au Japon la «pétition» d’un «protectorat». Ce complot étant confronté à une opposition catégorique, il pénétra en plein jour dans le Palais impérial de la Corée à la tête de ses troupes d’agression et imposa à l’Empereur Kojong (1852-1919; le 26ème et le dernier Roi de la Dynastie, et le tout 1er Empereur, NDLR) la conclusion d’un Traité en lui transmettant la Lettre personnelle de l’Empereur du Japon. Pourtant, Kojong rejeta la demande du Japon visant à usurper la souveraineté de la Corée. Alors, Ito HIROBUMI:

  • ordonna au Commandant général (Hasegawa) des troupes japonaises stationnées en Corée, de faire encercler, complètement, le Palais impérial
  • fit irruption, de nouveau, dans la chambre de Kojong
  • força le dernier à accepter, sans condition, le projet du Traité qu’il lui présentait.

Comme Kojong refusait toujours sa demande, Ito HIROBUMI:

  • fit bloquer, le 17 novembre, le Palais impérial
  • convoqua, à sa guise, une réunion des Ministres du Gouvernement coréen (Or, certains d’entre eux aussi s’opposèrent, résolument, à la conclusion du Traité.)
  • introduisit, à 23h, les soldats japonais dans la salle de réunion
  • interrogea les Ministres coréens l’un après l’autre
  • eut le toupet de déclarer, unilatéralement, la conclusion du Traité, malgré une opposition manifeste de HAN Kyu Sol, (1848-1930), Chef du Gouvernement a.i., et des autres
  • apposa, lui-même au bas du texte du Traité, le sceau du Ministre des Affaires Etrangères, qu’il avait fait voler à ses hommes.

Fut forgé d’une telle manière on ne pouvait plus brutale et frauduleuse le «Traité en 5 points de l’An Ulsa (1905)» dont l’original ne portait même pas la signature de l’Empereur ni le sceau de l’Etat ni le titre du document. Ayant privé ainsi la Corée de sa souveraineté, le Japon la colonisa et infligea, au Peuple coréen pendant 40 ans, les malheurs et souffrances incommensurables. Cependant, au lieu de faire son mea-culpa pour ses crimes passés, le Japon cherche à réaliser, à tout prix, son ambition d’une nouvelle agression contre la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et des soins médicaux, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR).

Le Japon devrait bien savoir que la RPDC n’est nullement un Pays faible qu’il a pu coloniser autrefois en s’emparant de sa souveraineté à coups de fusil et de baïonnette.




CLOTURE DE SERVICE: LES ALLIANCES CACHEES DE NOS FAMILLES ET LEURS CONSEQUENCES/DIMANCHE 17 NOV 2024