CHAN 2022 : Ethiopie et Mozambique se neutralisent !

Après la victoire de l’Algérie contre la Libye (1-0) vendredi à l’occasion du match d’ouverture du CHAN 2022, l’Ethiopie et le Mozambique s’affrontaient ce samedi au Stade Nelson Mandela dans l’autre match du groupe A. Une rencontre qui s’est soldée par un score nul et vierge (0-0) malgré la domination des Walyas face à des Mambas qui n’ont pas cadré le moindre tir.

Ce résultat fait les affaires des Fennecs, qui se retrouvent seuls en tête et se rapprochent de la qualification en quarts de finale. La 2e journée opposera mardi le Mozambique à la Libye (17h) puis le pays-hôte à l’Ethiopie (20h).

Le classement du groupe A du CHAN 2022 : Algérie 3 points, Ethiopie 1 pt, Mozambique 1 pt, Libye 0 pt




CHAN 2022 : L’Algérie l’emporte au forceps !

Pays-hôte du CHAN 2022, l’Algérie a réussi son entrée en lice en décrochant une victoire poussive contre la Libye (1-0) vendredi.

A Baraki, en banlieue d’Alger, dans un Stade Nelson Mandela flambant neuf et acquis à leur cause, les hommes de Madjid Bougherra s’en sont remis à un penalty obtenu et transformé par Mahious (1-0, 57e) pour faire la différence.

Bien entrés dans le match, les Fennecs A’ peinaient toutefois à se montrer dangereux en début de partie, à l’image de ce tir trop mou de Mrezigue facilement capté par Allafi ou encore de ce débordement de Meziane, stoppé en pleine surface par Touhami. Alors que les Algériens plongeaient progressivement dans une possession stérile face à un adversaire bien en place, les Libyens commençaient à se réveiller et ils se procuraient la meilleure occasion sur une tête d’Abbasi qui allait mourir juste au-dessus du but de Guendouz.

Les Fennecs dans la douleur

Sous l’impulsion des latéraux et d’un Belkhiter très remuant dans le couloir droit, les locaux appuyaient à nouveau sur l’accélérateur avant la pause, mais Touhami enlevait encore le ballon dans les pieds de Kendouci, auteur d’un petit numéro, tandis que Belkhiter dévissait complètement sa frappe. Finalement, les Fennecs prenaient donc les devants à l’heure de jeu par Mahious, qui cédait très vite sa place sur blessure. Fautif sur le penalty fatal, Allafi réussissait dans la foulée sa sortie devant Meziane puis il manquait quelques centimètres à ce dernier pour inscrire le but du break à bout portant.

Le rythme faiblissait ensuite et les Algériens n’étaient pas loin de regretter leurs occasions ratées lorsque la reprise en plein cœur de la surface d’Ali Ramadhan allait heurter le poteau. Tout n’a donc pas été parfait et les Fennecs, globalement brouillons, ont tremblé sur la fin, mais ce succès suffit à les placer en position de force en vue d’une qualification en quarts de finale avant même d’affronter mardi l’Ethiopie, qui défie le Mozambique ce samedi dans l’autre affiche de ce groupe A.




Fiasco à son meeting de Bukavu : « On reproche à Aimé Boji d’être au centre d’une haine et complot politique contre Vital Kamerhe » (Me Alain Bacoke)

Le ministre du Budget Aimé Boji a plutôt choisi de mordre la poussière à Bukavu, dans la province du Sud-Kivu, le samedi 14 janvier où son meeting n’avait rien de plus qu’un fiasco, selon les images du lieu où se tenait l’activité. Les participants se comptaient au bout de doigt, alors que les organisateurs prévoyaient une foule compacte.

G-ABS en chute libre à Bukavu. Ce coin de la République a visiblement un leader politique naturel, le Docteur Vital Kamerhe, seul leader politique capable de soulever des montagnes.

Ainsi, pour Me Alain Bacoke Cicura, Coordonnateur national du Mouvement national des Kamerhistes MNK RDC et Coordonnateur national adjoint des mouvements associatifs de l’UNC (Cenaremasoc UNC), ce meeting a échoué et la population a refusé de donner le suffrage au message de Boji, attaqué en ces termes ” Boji, traître aache byake, arudie Kinshasa Ku lomba uruma, nahatukukuonaka mu tournée Amani, ulikuwa wapi”.

Cette humiliation de M. Boji corrobore avec tant d’autres qui lui réclamaient de clarifier à la population sur son appartenance à l’UNC et le pourquoi de son absence à Bukavu dans la tournée Amani. Confronté aux multiples réclamations populaires de désaveu, Boji n’a pas dissipé le malentendu.

Parti en cavalier solitaire au nom de sa structure non affiliée au parti et par ricochet de la société civile du Sud-Kivu divisée par le gouverneur déchu Théo Ngwabije et au sein de laquelle règne depuis longtemps un climat malsain, Boji a échoué son meeting à Bukavu après avoir décaissé 437.749 $ pour sa mobilisation. Les responsables de cette mobilisation doivent répondre devant la justice, selon la déclaration d’un proche de Boji à la Radio Iriba FM émettant de Bukavu.

Il faut noter qu’aux dernières nouvelles, explique Me Alain Bacoke, Aimé Boji et le Docteur Vital Kamerhe seraient en procédure de divorce très avancée. Il s’agit d’un plan diabolique contre Mwalimu qui, une fois au stade de matérialisation, Boji pourrait faire allégeance pour soutenir le président Félix Antoine Tshisekedi avec le parti MONA qu’il compte officialiser à sa sortie du gouvernement.

Malgré des millions de Francs congolais distribués à plusieurs partis politiques du Sud-Kivu et à la société civile, Boji vient de faire un fiasco à Bukavu. La population du Sud-Kivu a suivi le mot d’ordre donné par le Mouvement National des Kamerhistes (MNK RDC) dans un communiqué signé par Me Alain Bacoke diffusé dans les radios locales de Bukavu, demandant à cette dernière de ne pas satisfaire à ce meeting qui corrobore à une déstabilisation progressive du parti UNC.

La population a également boudé ce meeting en suivant le communiqué de la Cenaremasoc UNC signé par le camarade Totshumany Kisombe demandant au monde associatif du Sud-Kivu de vaquer librement à leurs occupations cumulativement avec la communication des mouvements associatifs du Sud-Kivu chapeautés par l’Assistant François Mutabunga et relayé par le visionnaire des gardiens de Temple de l’UNC le camarade Sylvain Mushagalusa.

Dans plusieurs images groupées ainsi que dans une vidéo réelle de sa prise de parole, partout des vides et des véhicules passent comme d’habitude et des cris des motards humiliant Boji et lui demandant de retourner à Kinshasa pour demander pardon à son Boss, l’Honorable Docteur Vital Kamerhe qu’il veut trahir en se mesurant s’affichant publiquement contre lui.




Institut Bokeleale : Tony Mwaba la suspension des travaux

Ce samedi 14 janvier, le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a respecté sa tradition qui lui colle à la peau. L’homme de terrain, l’a prouvé encore, en abandonnant ses bureaux climatisés de la Gombe pour descendre sur terrain, dans le cadre de ses visites d’inspection dans quelques écoles de Kinshasa. Objectif, s’imprégner des conditions d’apprentissage des élèves.

Première étape de la descente du patron de l’EPST, l’Institut Bokeleale, ex Lisanga, dans la Commune de la Gombe. Sur place, le professeur Tony Mwaba a été estomaqué de constater la dégradation des conditions d’apprentissage par le bradage des espaces de l’école au profit du lucre.

Non seulement que les espaces de Lisanga, Shaumba, Bokeleale, appartenant à l’Eglise du Christ au Congo ont été cédés aux commerçants libanais qui y ont érigé toutes sortes d’activités qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses sur l’éducation des élèves, mais aussi pire, un Libanais a érigé un mur et construit un immeuble qui obstruent les égouts d’évacuation d’eaux et de la fosse septique.

Comme par surprise aussi, le ministre a trouvé sur place les parents d’élèves qui manifestaient.

On pouvait lire un papier qu’ils tenaient en mains : “Sauvez notre école monsieur le ministre”. Ces parents ont présenté au ministre la situation de l’école, spoliée par les autorités de l’Eglise du Christ au Congo qui ont vendu une grande partie de l’Ecole mettant en difficultés les élèves de l’Ecole Primaire dont le mur érigé comme bretelle empêche l’aération des salles de classe, réduisant sensiblement la lumière et exposant ainsi les élèves à l’étouffement.

 Voilà pourquoi, ils ont gardé leurs enfants à la maison, ont-ils expliqué au ministre.

À en croire Gabriel Majimba, premier Vice-président du Comité des parents, cette situation déplorable cause des dégâts sur les infrastructures de l’école, parmi lesquels on note l’inondation au niveau du terrain de football et des salles de classe, la destruction de la fosse septique, l’obstruction de l’éclairage et l’aération des salles des classes.

Sur le champ, la décision de la suspension des travaux a été prise par les services du ministère de l’Urbanisme et habitat, grâce au leadership du ministre de l’EPST qui tient à l’amélioration de la qualité de l’enseignement.

“Même si les infrastructures appartiennent au Promoteur, il y a des conditions de viabilité de l’école que tout promoteur doit respecter. La nature et l’ampleur de la construction telles que visiblement décrite, démontrent qu’il y aura des sérieux problèmes. Déjà au moment où nous parlons, il existe une décision de suspension des travaux du service de l’Urbanisme et habitat. Et nous avons déployé les forces de l’ordre pour veiller sur cette décision”, a déclaré le ministre Tony Mwaba.

Sans attendre, le ministre a promis d’inviter ce mercredi 18 janvier 2023, les gestionnaires de l’école, le Comité des parents, les acheteurs de l’espace où est érigé la bretelle de 15m/75 et les responsables de l’Eglise à son Cabinet pour échanges et examen des voies de sortie dans le but de sauver la viabilité et les conditions d’apprentissage des élèves.

Deuxième étape de la ronde du ministre, le Lycée Shaumba. Là aussi, le ministre s’est rendu compte du bradage de la servitude du Lycée Shaumba où un acquéreur construit au préjudice des parents qui n’ont de parking au point de provoquer les embouteillages.

Enfin, le Ministre de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi s’est rendu à l’Athénée de la Gombe où une école privée a construit un terrain de basketball sur l’espace de l’Etat et interdit aux enfants des écoles officielles d’y accéder. Là également, le ministre a instruit le Secrétaire général ai a inviter en son cabinet les parties pour échanges et solutions à ce problème.




Kagame s’étant autoexclu : Tshisekedi parraine la 1e vente d’un lot d’or aux Emirats Arabes Unis

Le partenariat entre l’État congolais et les Emirats Arabes Unis produit déjà ses premiers effets dans le secteur minier. Ce vendredi 13 janvier a eu lieu au chapiteau de la Cité de l’Union Africaine, à Kinshasa Ngaliema, et ce, en présence du Président Félix Tshisekedi, la première expédition d’or équitable, par la République Démocratique du Congo, vers les Emirats Arabes Unis par le biais de sa nouvelle société de droit congolais (Primera Gold RDC SA).

Il s’agit là d’un tournant historique dans les relations entre les deux pays avec, à la clé, la vente d’un premier lot d’or issu du commerce équitable.

L’accord précité a l’avantage de garantir des bonnes conditions de travail et de vie aux creuseurs artisanaux vivant dans l’Est du Congo plus précisément ceux du Sud-Kivu réunis en coopérative. Ceux-ci pourront dès lors vendre directement au client final, sans intermédiaire, devenant ainsi partie prenante au processus.

Plus concrètement, Primera Gold garantira un salaire décent aux orpailleurs artisanaux, et elle va leur assurer un revenu régulier, la bancarisation, l’accès aux soins de santé et l’éducation pour leurs familles. Cela, à en croire les experts, fait partie des exigences qu’imposent les règles du commerce équitable fondé sur le principe “gagnant-gagnant” (Win-win).

À cela s’ajoute le fait que ce nouveau système d’exploitation de l’or permet de renforcer le partenariat économique direct entre les deux parties et lutter contre l’influence des groupes armés qui sèment la violence et la désolation dans cette partie de la RDC depuis des décennies et éviter l’or sale, l’or du sang.

Enfin, cet accord sur l’établissement d’une chaîne d’approvisionnement équitable en or entre les deux pays se veut un exemple concret du partenariat diplomatique, économique et commercial qui les lie désormais dans l’intérêt de leurs peuples respectifs. Voilà un schéma économique avec un partenariat pour réduire très sérieusement la contrebande d’or et faire profiter aux populations Congolaises les fruits de leurs minerais.




CHAN 2022 : le Sénégal dompte la Côte d’Ivoire!

Pour son grand retour dans le tournoi 12 ans après sa dernière participation, le Sénégal a réussi son entrée au CHAN 2022 en venant à bout de la Côte d’Ivoire (1-0) samedi à Annaba.

Les hommes de Pape Thiaw ont eu une première occasion de prendre les devants à la 73e minute sur un penalty sifflé après une faute de main ivoirienne, mais Lamine Camara a manqué sa tentative.

Pas de quoi décourager les Lions, qui ont poussé et fini par prendre les devants dans la foulée grâce à Moussa Ndiaye, entré en jeu et buteur après un coup-franc de Camara (77e). Après le 0-0 un peu plus tôt entre la RD Congo et l’Ouganda, le Sénégal prend seul les commandes du groupe B avant de défier les Cranes mercredi.




A travers l’USAID : Les USA lancent un nouveau projet en vue de promouvoir les droits des peuples autochtones en Rdc

Le gouvernement des États-Unis, à travers l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) a signé un nouveau partenariat avec la Wildlife Conservation Society (WCS) pour lancer un nouveau projet en vue de promouvoir les droits des peuples autochtones en RDC. Ce nouveau projet s’aligne sur l’engagement pris par le gouvernement des États-Unis lors de la Conférence des États parties (COP 26) dans le cadre de l’accord de Paris sur les changements Climatique et qui concerne les droits de propriété sur les forêts reconnus aux peuples autochtones et aux communautés locales (PA et CL), ainsi qu’une plus grande reconnaissance et des récompenses pour leur rôle de gardiens des forêts et de la nature.

Conçu en partenariat avec les communautés locales et la société civile autour de trois aires protégées, ce Projet, dénommé « USAID – Protégeons nos droits et notre environnement (Tulinde Haki na Mazingira Yetu) », vise quatre objectifs principaux : renforcer les capacités et promouvoir l’autonomisation des peuples autochtones et de leurs organisations en matière d’autodétermination ; améliorer la cohésion sociale et réduire la marginalisation des peuples autochtones dans la société, afin qu’ils soient impliqués dans le processus de prise de décision ; renforcer l’engagement des peuples autochtones et les communautés locales dans la conservation des ressources naturelles afin d’améliorer les résultats de la conservation, de réduire les conflits liés à la terre et aux ressources naturelles et de diminuer l’utilisation non durable des ressources naturelles ; et renforcer l’accès des peuples autochtones aux services sociaux et à la sécurité financière. Dans le cadre de ce projet intégré, 18.000 femmes et hommes bénéficieront d’un accompagnement diversifié selon les priorités des PA et CL, notamment en termes de moyens de subsistance tels que l’agriculture et la conservation ; d’éducation via l’alphabétisation, les stages et les bourses d’études ; ainsi que de services de santé de base, entre autres.

Selon le directeur de mission de l’USAID/RDC, John Dunlop, : « C’est une étape importante qui appuie la politique de l’USAID en matière de promotion des droits des peuples autochtones (PRO-IP), l’engagement du gouvernement des États-Unis à la COP 26 pour mieux reconnaître et récompenser les peuples autochtones en tant que gardiens des forêts et de la nature et la loi récemment promulguée par la RDC pour protéger les droits des peuples autochtones. Nous espérons qu’un consortium dynamique de partenaires locaux et internationaux travaillera ensemble pour promouvoir les droits des peuples autochtones et une pratique de la conservation basée sur les droits. »

Jean-Paul Kibambe, directeur national de WCS RDC, a renchéri : « Pendant trop longtemps, les droits humains des peuples autochtones et leurs besoins en termes de justice, de renforcement des capacités et d’autodétermination ont été ignorés. Maintenant, grâce à la première loi de la RDC en faveur des peuples autochtones, nous sommes honorés de jouer un rôle modeste en abordant conjointement ces questions autour des thèmes clés de la biodiversité qui sont importants non seulement pour les peuples autochtones, mais aussi pour tous les Congolais. »

Pour Diel Mochire, directeur du Programme intégré pour le développement du peuple pygmée au Kivu (PIDP), « Ce projet arrive à point nommé, car il ira de pair avec la loi N°22/030 du 15 juillet 2022 relative à la protection et à la promotion des droits des peuples autochtones pygmées, récemment promulguée par le Président de la RDC. Cette loi constitue le premier texte juridique du pays en faveur des peuples autochtones, qui vise à sauvegarder les droits spécifiques des peuples autochtones vivant en forêt, en facilitant un meilleur accès à la justice et aux services sociaux, en reconnaissant les droits civils et politiques, tout comme les droits sur les terres et les ressources naturelles qu’ils occupent, utilisent ou possèdent. »

Collaborant avec plus de 20 partenaires locaux, WCS, International Alert, Catholic Relief Services etWelthungerhilfe formeront des alliances pour renforcer et promouvoir les droits des peuples autochtones et les communautés locales dans et autour de trois des aires protégées de l’est de la RDC :

La réserve faunique de Kabobo, le parc national de Kahuzi-Biega, et la réserve de faune à okapis – des sites où WCS et l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) sont actuellement actifs. Les objectifs de ce projet seront aussi soutenus par une subvention du Bezos Earth Fund à la WCS en 2022, dans le cadre de l’engagement de 100 millions de dollars US pris à la COP 26 de Glasgow et de l’engagement pour les forêts du Bassin du Congo.

Les bases solides du partenariat ont été posées tout au long d’un processus de co-conception participatif et collaboratif sur un an avec les peuples autochtones et les communautés locales, de la note conceptuelle à l’élaboration des propositions. Le soutien aux peuples autochtones autour des aires protégées et leur implication dans les efforts de conservation sont essentiels pour la protection de la riche biodiversité de la RDC et indispensables à la survie des peuples autochtones.

À propos de l’USAID

L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) est la première agence de développement international au monde et un acteur catalyseur des résultats du développement. L’USAID contribue à l’amélioration des vies, à la consolidation des communautés et à la promotion de la démocratie. Le travail de l’USAID démontre la générosité américaine et favorise la voie vers l’autonomie et la résilience des bénéficiaires. Le président John F. Kennedy a créé l’USAID par décret en 1961 pour diriger le développement international et les efforts humanitaires du gouvernement des États-Unis.

À propos de WCS

La Wildlife Conservation Society (WCS) est une ONG américaine fondée en 1895 qui a pour objectifs de protéger les espèces et les espaces sauvages dans le monde entier à travers la science, les actions de conservation, de l’éducation et en incitant les gens à apprécier la nature. Forte de plus d’un siècle d’expérience, WCS est établie en RDC depuis 1985 et a accumulé des connaissances biologiques, une compréhension culturelle et des partenariats bien établis afin de s’assurer que les espaces et les espèces sauvages prospèrent aux côtés des communautés locales.




Lutte contre la rougeole à Tshopo : Plus de 6.973 enfants de 6 mois à 10 ans doivent recevoir le vaccin

Un grand nombre d’enfants, soit 6.973 dont l’âge varie entre 6 mois à 10 ans sont ciblés pour recevoir le vaccin contre la rougeole du 11 au 16 janvier 2023, dans la ville de Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo.

Selon le médecin chef de zone de santé de Kisangani, le docteur Lolo Ofoili, qui s’est exprimé ce vendredi à la presse locale, plusieurs cas de rougeole ont été répertoriés depuis le mois de mars 2022 à ce jour dans cette ville.

Pour les statistiques, au total 480 cas ont été enregistrées au courant de cette période, parmi lesquels un décès. D’où l’appel de la zone de santé à la vaccination maximale.

« Nous appelons les parents à aller faire vacciner leurs enfants des âges concernés pour les protéger de la rougeole », a déclaré le médecin de cette zone de santé.

Il faut signaler que cette campagne bénéficie de l’appui financier des Médecins, a-t-on appris.

Jean -Luc Lukanda




Lukunga : Obed Kambale s’enrôle et demande à la population de suivre son exemple

C’est ce samedi que Obed Kambale, Président de la fondation portant son nom accompagné des centaines de ses membres s’est enrôlé au centre du complexe scolaire Mobateli au quartier Ngomba-Kikusa, communément appelé Buadi-Masisi, dans la commune de Ngaliema à Kinshasa.

Obtenant sa carte d’électeur, Obed Kambale qui se distingue davantage dans les œuvres à caractère communautaire pour la promotion de l’auto-prise en charge  pour le développement  de Lukunga en général et Buadi-Masisi en particulier, a appelé la population des communes de Mont-Ngafula, Ngaliema, Kintambo, Gombe, Lingwala, Kinshasa et Barumbu  à suivre son exemple en s’ enrôlant massivement  pour soutenir leur fils qui doit aller faire entendre ses différents problèmes au niveaux des décideurs .

« Nous venons d’obtenir notre carte d’électeur, une manière de prêcher par l’exemple en appelant la population de Lukunga à s’enrôler. 2023, si la population s’enrôle massivement, elle aura un Bic rouge pour sanctionner. Si on ne s’enrôle pas, on ne saura pas élire les futurs dirigeants. C’est pourquoi je profite de votre micro pour appeler la population à s’enrôler massivement. La carte a beaucoup d’importance. On ne va pas gaspiller inutilement les voix, il faudra désormais les donner à ceux qui prêchent déjà par l’exemple », explique-t-il.

Après son enrôlement, Obed Kambale, accompagné de Tonny Atsongya, qui est aussi l’homme du développement et des plusieurs membres de sa fondation a fait le tour de quelques avenues du de Ngomba-Kikusa avant de s’adresser à la population mobilisée pour écouter leur champion.




Le BUREC fête son 11e anniversaire et promet de se battre pour la réélection de Félix Tshisekedi

Le BUREC invite le peuple congolais ainsi que les membres du parti à s’enrôler massivement pour participer aux élections de décembre 2023, afin de donner la majorité écrasante au président de la République et permettre au BUREC de produire plus d’élus.

Célébrant ce samedi son 11e anniversaire d’existence sous le thème : ” BUREC et élections : défis et enjeux pour le parti à sa 2ème expérience électorale”, le Bloc Uni pour la Renaissance et l’Émergence du Congo-BUREC, parti cher à Julien Paluku Kahongya, ministre de l’Industrie réitère la grande résolution prise lors de son 2e congrès tenu à Bukavu, celle de soutenir la candidature du Président de la République, Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de décembre 2023.

Ce parti cher à Julien Paluku Kahongya invite la population congolaise et ses militants à s’enrôler massivement pour avoir plus d’élus et donner une majorité au Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi Tshilombo.

Par ailleurs, le BUREC appelle la population de l’Est pays à la résistance et condamne avec la plus grande fermeté l’agression rwandaise.

Le BUREC a fait entendre sa voix au cours d’une déclaration politique qui a sanctionné la célébration de son 11e anniversaire d’existence qui a été marquée par les différents exposés dont celui sur les innovations de la loi électorale.

« Cet anniversaire est célébré sous le thème : BUREC et élections et enjeux pour le BUREC à sa deuxième expérience électorale. Déclarons ce qui suit : Lors de la tenue du 2ème congrès à Bukavu, le BUREC a pris la plus grande résolution à savoir : le soutient du président de la République Félix Tshisekedi à la magistrature suprême en 2023 et à ce jour, réitérons son soutien indéfectible ; Invitons le peuple congolais ainsi que les membres du parti à s’enrôler massivement pour participer aux élections de décembre afin de donner la majorité écrasante au président de la République et permettre au BUREC de produire plus d’élus », a indiqué l’honorable Mutuele Muroro, porte-parole du BUREC qui a lu la déclaration politique.

La même déclaration poursuit, sommes solidaires avec la population de l’Est victime de l’agression barbare des pays voisins. L’invite à la résistance totale afin de bouter hors du territoire national les terroristes rwandais du M23 et la rassurons que le Gouvernement dont fait partie M. Julien Paluku, ministre de l’Industrie et Autorité morale du BUREC, se bat aux côtés du Commandant suprême de nos Forces armées pour le rétablissement total de la paix sur l’ensemble du territoire national. Ainsi, invitons la communauté internationale à exercer la pression possible sur le Rwanda de quitter les terres congolaises et de lui priver de tout soutien financier et logistique.

Le député a terminé par demander aux responsables des structures d’accompagner les candidats BUREC aux échéances électorales.

Signalons que cette cérémonie a été présidée par Jean- Marie Katokolyo, Président intérimaire entouré de la Secrétaire générale, Joséphine Mbombo