Inondations: M. Sánchez remercie le Royaume du Maroc pour son soutien aux efforts de secours à Valence

Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, a remercié, vendredi, le Royaume du Maroc pour son soutien aux efforts de secours dans les zones touchées par les récentes inondations ayant affecté la région de Valence.

M. Sánchez a indiqué que des secouristes du Maroc, Portugal et de France étaient sur le terrain pour aider dans les efforts de secours à Valence.

“En ces semaines difficiles pour l’Espagne à cause de la tempête, la solidarité internationale et européenne a été énorme”, a tenu à souligner le chef du gouvernement espagnol dans un message sur le réseau social X.

“Toute l’Espagne vous remercie”, a-t-il ajouté.

Suite aux inondations qui ont ravagé plusieurs régions de l’Espagne, Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait donné Ses Très Hautes Instructions au ministre de l’Intérieur afin de s’entretenir au téléphone avec son homologue espagnol et l’informer de la pleine disposition du Maroc à dépêcher des équipes de secours et à fournir toute l’aide nécessaire à l’Espagne pour faire face à cette catastrophe naturelle.

Ainsi, un convoi marocain exceptionnel, mobilisant 24 camions autopompes aspirants et 70 opérateurs, est arrivé mercredi en Espagne pour soutenir les efforts de secours et venir en aide à la région de Valence, gravement touchée par la tempête Dana.




Eliminatoires de la CAN-2025: le match contre le Gabon sera une confrontation “très ouverte et offensive” (Walid Regragui)

Le match qui opposera vendredi la sélection nationale marocaine à son homologue du Gabon pour le compte de la cinquième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui aura lieu du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 au Maroc, sera une confrontation comme celle de l’aller, “très ouverte et offensive avec deux équipes libérées et qui veulent gagner”, a affirmé le sélectionneur national, Walid Regragui.

“Je pense que les deux équipes vont être libérées. Je m’attends à un match comme celui de l’aller très ouvert et offensif avec deux équipes qui veulent gagner”, a déclaré le sélectionneur national, jeudi soir lors de la conférence de presse d’avant-match.

Félicitant la sélection gabonaise pour sa qualification pour la CAN 2025, en lui souhaitant la bienvenue à la CAN au Maroc, Walid Regragui a rappelé qu’il y a toujours des confrontations difficiles entre les deux équipes. “On est très heureux d’être au Gabon et on connaît l’amitié qui lie nos deux peuples”, s’est-il félicité.

“Le Gabon, qui a toujours eu de très bons joueurs, a un vrai style de jeu offensif”, a-t-il précisé, ajoutant que les Lions de l’Atlas “vont participer à un très bon match et dans de très bonnes conditions”.

Selon M. Regragui, cette confrontation sera différente contre une équipe qui va être libérée et déjà qualifiée ce qui impactera le style de jeu des deux sélections. “L’objectif pour nous est d’avoir dans chaque match un challenge différent. Chaque match à l’extérieur pour n’importe quelle équipe en Afrique est difficile, ce qui représente un bon challenge pour nous”, a-t-il dit.

Concernant l’état physique de certains joueurs, le sélectionneur national a fait savoir qu’il y “a quelques soucis avec des joueurs qui ont été blessés, mais le gros de notre effectif est présent”. “on va attendre le dernier entraînement pour savoir comment s’est passé le voyage pour certains joueurs et les derniers soucis physiques pour savoir s’il vont participer, puisque on va jouer un deuxième match lundi prochain”, a expliqué l’entraîneur des Lions de l’Atlas.

Pour Walid, l’idée est de faire une revue d’effectif sans trop chambouler l’équipe. “Il faut avoir des certitudes à chaque match pour progresser ensemble”, a-t-il noté, soulignant que les nouveaux joueurs qui ont rejoint la sélection nationale depuis la dernière CAN doivent s’adapter à l’équipe.

Il a tenu à préciser que l’objectif des Lions de l’Atlas est de gagner cette rencontre et d’avoir un match à l’extérieur référence, relevant qu’”il s’agit d’un match entre deux belles équipes, deux pays qui s’apprécient”.

D’autre part, le sélectionneur national a affirmé que l’objectif du Maroc au cours des éliminatoires était de se qualifier, malgré le fait que le Royaume est déjà qualifié en tant que pays hôte, précisant que l’équipe nationale a des objectifs à court, moyen et long termes.

La conférence de presse a été suivie d’une séance d’entraînement au stade de Franceville ouverte à la presse lors des 15 premières minutes.

Le Maroc, leader du groupe B avec 12 points, affronte le Gabon vendredi à 20H00, avant de recevoir le Lesotho, lundi prochain au stade d’honneur d’Oujda.

Le Gabon, qui occupe la deuxième place avec sept points, s’est qualifié pour la CAN 2025 avant de disputer la cinquième journée des éliminatoires contre le Maroc, profitant de la victoire du Lesotho sur la République Centrafricaine (1-0).




Aigles Medina – TPM ce vendredi : Défaite et nul interdits!

Ce vendredi 15 novembre à Casablanca, le FCF TPM joue son joker, le seul entre ses mains, pour atteindre les demi-finales de la Ligue des Champions Féminine. Il faut gagner, et rien d’autre, face aux Aigles de la Medina du Sénégal à l’occasion de la troisième journée dans le groupe A.

Le faux pas contre l’AS FAR est oublié, les yeux sont rivés sur ce deuxième duel historique entre le TPM et un club de la région UFOA. Pour ce faire, les Dames doivent être plus efficaces et plus lucides devant le but.

Petite stat : En tout, Mazembe a tenté 45 tirs au but lors de ses deux rencontres pour… trois buts marqués

Lamia Boumehdi, entraîneure du TPM était en conférence de presse d’avant-match. Voici l’essentiel : “Même si l’équipe de Medina à zéro point, nous n’allons pas la négliger. Le match s’annonce compliqué, nous allons courir derrière le résultat et le nombre de buts. Ça ne sera pas un match facile.

J’espère aussi que mes joueuses seront efficaces devant le but. Nous nous créons des occasions mais nous ratons beaucoup. Nous devons nous qualifier pour penser aux demi-finales. Pour gagner la coupe, il faut être prêtes à jouer contre n’importe quelle équipe.”

Aigles de la Médina – TP Mazembe au Stade Larbi Zaouli de Casablanca, ça passe ou ça casse, un victoire s’impose pour se qualifier en demi-finale.

Coup d’envoi à 17h00 GMT, 18h00 à Casablanca et 19h00 à Lubumbashi.




CAN CAF TotalEnergies 2025 : L’Afrique du Sud s’impose, le Botswana persiste

L’Afrique du Sud s’empare de la première place du groupe D des éliminatoires de la CAN CAF TotalEnergies 2025 après un succès maîtrisé 2-0 face à l’Ouganda, vendredi, en déplacement.

Cette victoire permet aux Bafana Bafana de détrôner les Cranes en tête du classement, bien que les deux sélections aient déjà validé leur ticket pour la CAN CAF TotalEnergies 2025 au Maroc.

Dans le groupe C, le Botswana a arraché un nul 1-1 contre la Mauritanie, gardant ainsi un mince espoir de qualification pour la compétition continentale.

L’Égypte, autre poids lourd du groupe C et déjà qualifiée, croisera le fer avec le Cap-Vert lors de l’ultime rencontre de la cinquième journée.

Une maîtrise sud-africaine à Kampala

Sur la pelouse du stade national Nelson Mandela à Kampala, l’Afrique du Sud a pris l’ascendant sur l’Ouganda, surtout lors d’une seconde période décisive.

Après une première mi-temps verrouillée et marquée par une prudence tactique des deux côtés, les Bafana Bafana ont frappé dès le retour des vestiaires. Thapelo Morena a fait trembler les filets d’un geste plein de sang-froid au cœur de la surface, permettant aux visiteurs de prendre l’avantage.

Malgré quelques velléités offensives, les Cranes ont buté sur une arrière-garde sud-africaine bien en place et portée par des cadres solides.

Dans les ultimes minutes, Patrick Maswanganyi a scellé le sort du match. Servi avec précision par Iqraam Rayners, il a doublé la mise à la 89e minute, offrant à l’Afrique du Sud une victoire convaincante et la première place du groupe. Les deux nations se retrouveront désormais au Maroc pour disputer la phase finale.

Le Botswana maintient l’espoir face à la Mauritanie

Du côté du groupe C, le Botswana accueillait la Mauritanie à Francistown, avec la pression d’une victoire impérative pour rester en course.

Les Mourabitounes ont pris un départ tonitruant, ouvrant le score dès la 7e minute grâce à un missile longue distance signé Aboubakary Koïta, qui n’a laissé aucune chance au portier adverse.

Mais les Zèbres n’ont pas baissé les bras et ont répondu dix minutes plus tard. Gilbert Baruti, bien placé dans la surface, a repris victorieusement une combinaison travaillée sur coup franc, remettant les deux équipes à égalité.

Le second acte a vu les locaux intensifier la pression pour décrocher un but salvateur. Tumisang Orebonye et Segolame Boy ont multiplié les tentatives, mais la défense mauritanienne, bien regroupée et épaulée par des interventions décisives de son gardien, a résisté jusqu’au coup de sifflet final.

Avec ce partage des points (1-1), le Botswana reste dans la course mais devra impérativement s’imposer lors de son dernier match et espérer un résultat favorable dans le duel entre l’Égypte et le Cap-Vert pour continuer à rêver de la CAN.




Etats généraux de la justice: Me Bettens Ntumba plaide pour le droit des victimes et l’intégration des chefs coutumiers à la composition des juges de la Cour constitutionnelle

Cette prise de conscience de guérir la justice congolaise d’une maladie endémique me pousse à émettre un avis pour contribuer à l’efficacité de notre justice, malgré que je ne fais pas partie des invités aux assises des Etats généraux de la justice.

Il faut une thérapie d’ensemble pour parvenir enfin de changer l’image de notre justice.

La République démocratique du Congo depuis son accession à l’indépendance en 1960 est le premier pays au monde qui a connu des victimes des crimes nationaux et internationaux après la deuxième guerre mondiale.

L’État congolais doit avoir une attention particulière sur une justice réparatrice ou restauratrice des victimes, étant une maladie spéciale qui demande aussi une loi spéciale.

Curieusement, la République démocratique du Congo applique les vieux textes de la réparation des lois héritées de la colonisation qui ne sont pas adaptés aux réalités actuelles et aux instruments internationaux.

En plus, les professionnels judiciaires congolais (magistrats et avocats) ne font pas régulièrement recours aux instruments juridiques internationaux.

Le droit international est considéré comme droit ésotérique.

Il y a nécessité de revoir les dispositions de articles 258 et 259 du Code civil livre3 en vue de les remplacer par la loi d’indemnisation ou réparation des victimes et la mise en place par l’État congolais une structure d’aide et du fonds au profit des victimes à caractère social.

Le droit évolue, les victimes ne doivent pas être pris seulement les acteurs des infractions, mais aussi par l’État congolais en mettant en place une structure organisée au profit des victimes de nature sociale, car les Congolais sont victimes par l’État lui-même, soit des personnes agissant à son nom (policiers, militaires et d’autres agents de l’État), soit des personnes privées, soit les pays prédateurs (agresseurs).

L’accès à la justice doit être gratuit pour les victimes

Concernant l’intégration des chefs coutumiers à la composition des juges de la Cour constitutionnelle, la justice congolaise ne doit pas tout copier de l’occident.

Une justice importée est confrontée à des pesanteurs d’ordre sociologique et culturel.

Cette composition des juges de la Cour constitutionnelle héritée du droit français doit être revue pour son adaptation aux réalités et aux valeurs ancestrales de notre pays.

Les chefs coutumiers incarnent les valeurs ancestrales ayant déjà fait preuve d’une justice de la paix sociale avant la colonisation.

Ils doivent s’adapter à la réalité actuelle du droit écrit, car il y a des chefs coutumiers intellectuels qui savent bien trancher le litige.

La loi congolaise reconnaît le pouvoir ancestral.

La preuve en est qu’après la prise du pouvoir par le président de la République aux élections de 2023, les chefs coutumiers ont investi coutumièrement le chef de l’État.

Il est important d’intégrer les chefs coutumiers comme juges à la Cour constitutionnelle au lieu de 9 juges, c’est mieux 11 juges en ajoutant 3 chefs coutumiers qui doivent représenter les valeurs ancestrales dans la justice congolaise.




RPDC: « En aucun cas, ne doit pas être espéré le changement de Ligne de conduite de notre part!»

Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC existant le plus longtemps au pouvoir socialiste dans le monde, NDLR) et Président d’État de la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et des soins médicaux, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR)

a clairement réaffirmé, même le jour (31/10/2024) du tir d’essai de l’ultime version du missile balistique intercontinental (ou ICBM ou intercontinental ballistic missile) dernier modèle Hwasongpho-19 ayant mis à jour les récents (décembre 2023) records (dépassant les toute dernières données mondiales), la position du Gouvernement de la RPDC et le voici (jeudi 14/11/2024) sur le chemin du perfectionnement de la Ligne de conduite (la Politique Byongjin ou double-poussée ou progrès en tandem ou codéveloppement engagée depuis le 31/03/2013 pour le développement de l’économie nationale en même temps que celui des forces nucléaires, NDLR).

 

1. Visite au chantier de construction des usines d’industrie locale

KIM JONG UN a visité le chantier de construction des usines d’industrie locale dans l’Arrondissement Jaeryong de la Province Sud-Hwanghae:

  • accompagné de JO Yong Won, KIM Yong Su, KIM Yo Jong et PAK Song Chol, hauts cadres du Comité Central (CC) du PTC, et PAK Kwang Ju, Général de l’Armée Populaire de Corée (APC)
  • accueilli, sur le terrain, par le Ministre de l’Industrie Locale (JO Yong Chol), le Secrétaire-en-chef du comité du PTC et le Président du Comité Populaire tous les 2 dudit Arrondissement, et les commandants de l’Unité de l’APC engagée dans les travaux de construction.

Grâce à la lutte vigoureuse des militaires de l’APC farouchement déterminés à réaliser, à tout prix et admirablement, l’énorme tâche historique d’application de la Politique 20×10 de Développement des Provinces (proposée dans une réunion 23-24/01/2024 du PTC, consistant à construire, chaque année, les usines d’industrie locale modernes dans les 20 arrondissements du Pays pour porter à un palier supérieur, en 10 ans, la vie matérielle et culturelle élémentaire de la population des villes et arrondissements, cela en priorisant les habitations évidemment, NDLR) de la nouvelle Epoque, les usines d’industrie locale symbolisant la Civilisation et la prospérité à la coréenne surgissent comme les pousses de bambou après la pluie dans les 20 Villes et Arrondissements du Pays, révélant, de plus en plus nettement, leurs aspects au fil des jours.

En vue d’appliquer, strictement, les directives du CC du PTC consistant à assurer la meilleure qualité dans la construction des usines d’industrie locale, les militaires-bâtisseurs envoyés dans ledit Arrondissement remportent, eux aussi, les succès en mettant l’accent sur l’amélioration de la qualité des travaux de finition et en impulsant pour de bon les travaux.

Faisant le tour des chantiers d’une fabrique alimentaire et d’une usine d’articles d’usage courant, KIM JONG UN a:

  • pris le pouls en détail de l’état de construction et de celui de fabrication et de montage d’équipements
  • noté en appréciant grandement et exprimant ses remerciements sincères: Les militaires-bâtisseurs, infiniment fidèles à leur devoir de haute responsabilité qu’ils assument dans la lutte de la 1ère année de la Révolution du développement local, digne de fierté, créent les constructions précieuses et irréprochables qui se transmettront à jamais comme biens du Peuple, en donnant toute la mesure de leur force, de leur intelligence et de leur ardeur dans la construction méritoire visant à produire un changement immense et séculaire.
  • affirmé: Comme l’on approche de la fin de l’année et que la construction des usines est entrée en phase de finition, il est important que tous les bâtisseurs se redynamisent plus que jamais dans leurs responsabilités et leur rôle; dans ce sens, j’insiste, une fois de plus, pour qu’ils assurent, jusqu’au bout, la meilleure qualité de la construction en maîtrisant l’impatience et en poussant aux travaux de façon plus minutieuse.
  • dit en se renseignant sur l’état de fabrication et de montage d’équipements: Cette entreprise ne doit pas être menée seulement pour obtenir un résultat. Il faut fabriquer, au mieux, tous les équipements afin qu’ils puissent fonctionner à plein rendement dès le début de la mise en service des usines, et procéder de façon responsable à leur installation et à leur essai (Il s’est informé, en détail, des préparatifs de gestion des usines, y compris de l’état de formation de techniciens et d’ouvriers qualifiés, de celui d’agriculture dans la base de production de matières 1ères et de celui de stockage des matériaux nécessaires à la normalisation de la production, avant de préciser l’orientation et les moyens scientifiques pour résoudre les problèmes en suspens.).
  • poursuivi: En même temps que l’achèvement des usines, celles-ci doivent commencer leur production et produire leurs effets. Il faut promouvoir, avec fermeté et sérieusement, tous les préparatifs pour qu’elles puissent fonctionner littéralement à plein rendement pour ainsi engendrer un changement réel dans la vie de la population provinciale grâce au brillant succès remporté dès la 1ère année de la Révolution du développement local de 10 ans. La construction des usines d’industrie locale est, plutôt qu’une simple construction, la grandiose politique de notre PTC aussi bien qu’une tâche historique pour réaliser le vœu séculaire de la population provinciale. C’est pourquoi il est plus important dans la construction des usines d’y consacrer une conscience pure que de calculer, uniquement, le nombre de résultats. Si, chaque jour, l’on sue par patriotisme et consentit ses efforts loyaux, l’époque éblouissante du changement des provinces ne manquera pas d’être réellement ouverte.
  • exprimé son espoir et sa certitude: La lutte inlassable et audacieuse des militaires-bâtisseurs animés d’une grande loyauté patriotique et d’une ferme détermination à exécuter, à tout prix, la politique du PTC permettrait de terminer, brillamment, la 1ère année de l’application de la Politique 20×10.

Les officiers et soldats de l’Unité ont pris leur ferme résolution de marquer, profondément par leur patriotisme, la lutte révolutionnaire sacrée pour la richesse, la puissance et la prospérité de leur Patrie ainsi que pour le bonheur de la postérité en manifestant, pleinement sur tous les chantiers de construction, l’esprit de l’APC toujours et infiniment fidèle à la direction de KIM JONG UN et du grand PTC.

2. L’essai de performances de diverses sortes de drones militaires

KIM JONG UN a dirigé, sur place, l’essai de performances de diverses sortes de drones pour opération suicide fabriqués par un centre de recherches et des entreprises relevant du Combinat d’Aéronautique Télécommandée, accompagné des cadres du CC du PTC, dont:

  • RI Pyong Chol et JO Yong Won, membres du Présidium du Bureau Politique du CC du PTC
  • le President-Directeur Général du Combinat d’Aéronautique Télécommandée.

Il s’est informé de nouveaux modèles de drones d’attaque en cours de développement, avant d’assister à leur essai. Ces drones pour opération suicide pouvant être utilisés dans la sphère de différentes frappes sur terre et sur mer ont pour but d’attaquer, avec précision, toutes les cibles ennemies. Au cours de l’essai, les drones de diverses sortes ont plané suivant la ligne tactique déterminée d’après diverses frappes et procédé à une frappe de précision sur les objectifs indiqués. Se montrant satisfait de leurs caractéristiques et éléments tactiques et techniques, KIM JONG UN a:

  • apprécié, hautement, le Combinat d’Aéronautique Télécommandée qui obtient les réalisations tangibles dans l’accomplissement des objectifs du secteur de l’industrie de guerre, sujets décidés et ordonnés par les sessions plénières du CC du PTC et la Commission Militaire Centrale du PTC, tout en insistant sur la nécessité d’établir, au plus tôt, un système de production en série et de se mettre pour de bon à la production à grande échelle.
  • dit entre autres: Une concurrence destinée à l’emploi de drones comme moyen essentiel des forces militaires grâce à l’application de techniques innovatrices gagne en ampleur à l’échelle mondiale; la sphère de leur usage s’élargit de plus en plus dans les activités militaires; pour leurs moindres frais de production et leur processus de fabrication simple, l’utilisation de drones comme un des constituants de la frappe dans un nouveau domaine devient de plus en plus facile; toutes les Autorités militaires du monde, peut-on l’affirmer, reconnaissent que les drones enregistrent des succès notables dans des conflits de grande ou petite envergure; c’est la tendance d’aujourd’hui qui s’érige en une exigence indispensable sur le plan militaire.
  • poursuivi: Un tel changement objectif nécessite, urgemment, de rénover la plupart des théories, des pratiques et de l’éducation militaires, et propose à nos secteurs des sciences et de l’enseignement de défense nationale de redoubler d’actions pratiques promptes et d’efforts. Nous avons suffisamment de possibilités et de potentiels de produire et introduire des drones variés, et rechercherons dans la perspective d’avenir de nouvelles tactiques prometteuses à combiner et à utiliser du point de vue de méthodes de combat conformes aux exigences de la guerre moderne. Ces derniers temps, notre PTC a fait grand cas de l’orientation consistant à combiner, parfaitement, les systèmes d’armements téléguidés avec les plans d’opérations et les principes de combat à la lumière de la politique militaire, pour la supplémenter et la perfectionner.
  • exprimé le dessein du CC du PTC en matière de développement des armements téléguidés et défini une orientation stratégique importante pour sa réalisation.

La direction de KIM JONG UN sur le travail du Combinat d’Aéronautique Télécommandée est une occasion marquant un jalon qui a revitalisé, de nouveau, la lutte pour sauvegarder, de pied ferme, la souveraineté et la sécurité de la RPDC:

  • en donnant une forte impulsion au développement qualitatif des systèmes d’armements téléguidés, systèmes pratiques et essentiels pour le renforcement du potentiel de défense nationale
  • en jugulant et en contrôlant, par leur supériorité absolue, les défis et menaces latents dans tous les espaces de défense nationale.




Avec la re-visitation de la Constitution, Tshisekedi renvoie Bemba, Kamerhe, Bahati et Muzito à après 2042 !

Ainsi, il vient faire ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’a osé : empêcher ses trois alliés de devenir président de la République avant 80 ans, et avec eux ses adversaires actuels dont Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Denis Mukwege… Né en 1962, Bemba aura 80 ans en 2042. Né en 1959, Kamehre 83 ans. Né en 1956, Bahati aura 86 ans. Né en 1956, Fayulu aura également 86 ans. Né en 1957, Muzito aura 85 ans. Tandis que Katumbi, né en 1964, aura 78 ans pendant que lui-même Tshisekedi “sortant” en aura 81. Bref, le Chef de l’Etat en fonction va devoir convaincre chacun à ajouter 14 ans de patience (deux septennats) à partir de 2028. On ne sait pas trop si à l’Udps, il y a encore de têtes pensantes pour développer et croire dans un tel schéma. A moins que celui ne soit dicté par un agenda caché…

Affaire de realpolitik

Il n’est meilleur stratagème (pour nous) ou meilleure stratégie (pour les initiés) que d’inciter ces présidentiables à réagir à la manière de Jules César, auteur de la célèbre phrase : “J’aimerais mieux être le premier dans ce village que le second à Rome”.

Car ces 14 ans de plus, d’abord évoqués dans l’audio prêté au fédéral de l’Udps/Katanga – du reste jamais démenti par la hiérarchie du parti présidentiel – ensuite par une obscure ONG ayant instrumentalisé le drame des déplacés de guerre à l’Est pour obtenir les 100.000 signatures d’une pétition basée sur l’article 218 de la Constitution, sont quelque chose de trop.

C’est vrai que les présidentiables de l’Usn savent qu’ils n’ont pas tous la chance de s’installer au Palais de la Nation. Mais, au moins, sont-ils convaincus que dans les fameux 14 ans, il y a tout de même trois quinquennats. En jouant bien, un ou deux alliés peuvent y accéder.

Convaincus (lisez déçus) d’avoir en réalité servi de marchepied à Félix Tshisekedi, ils ont du mal à comprendre les pressions exercées sur eux pour se prononcer ici et maintenant sur cette question délicate pendant qu’aucune réunion de l’Union sacrée de la nation n’est encore convoquée à cet effet et, en plus, annoncée pour 2025 par Félix Tshisekedi à Kisangani le 23 octobre dernier, la commission ad hoc censée plancher sur la re-visitation de la Constitution n’est même pas encore mise en place. Pire, ces pressions arrivent de la part de l’Udps sans même que le parti présidentiel ne se soit réuni aux mêmes fins. D’ailleurs, il se révèle incapable de se déterminer officiellement entre la révision de la Constitution (dont les mécanismes y sont prévus) et le changement de la Constitution qui, par nature selon Pr Bob Kabamba, procède du coup d’État constitutionnel.

Les alliés majeurs de l’Usn sont conscients du fait que ce n’est ni une affaire de sous, ni une affaire de dignité. C’est une affaire de “realpolitik” !

Une autre dynamique pourrait s’installer au pays

En effet, il faut être un “nain” politique pour ne pas comprendre que Lamuka Genève de 2018 pourrait se reconstituer avec Bemba, Kamerhe, Katumbi, Fayulu et Muzito (re)mis sous pressions. Il n’est pas exclu non plus de voir les soit-disant “candidats de l’étranger” Moïse Katumbi et Denis Mukwege renforcer les rangs des mécontents.

Bien plus, 2028, c’est aussi l’échéance convenue avec Joseph Kabila. Pour mémoire, le deal passé entre Félix Tshisekedi et Vital Kamehre était d’un double quinquennat au sein de Cach : 2018-2023 ; 2023-2028.

C’est, du reste, pour cette raison que depuis la rupture de la coalition Fcc-Cach en 2020, Joseph Kabila a enjoint les siens à s’éloigner de la scène politique active. Ni comme Opposition dans le sens réel du terme, ni comme partenaire.

C’est pour dire qu’en 2028, une autre dynamique pourrait s’installer au pays ! Un véritable front contre lequel l’Udps va devoir se battre peut-être seul.

A-t-il assez de crâne pour tenir le front ?

Ironie du sort : un Tshisekedi est en train de réécrire l’Histoire à l’envers comme le fit un autre Tshisekedi !

S’il faut en croire leurs proches, Etienne Tshisekedi avait obtenu de Joseph Mobutu (le général alors démocrate) l’assurance de lui succéder à la magistrature suprême. Aussi, fit-il le sale boulot d’asseoir le pouvoir de son “ami” sans réaliser qu’un autre Mobutu se construisait au sein du Mpr avec particulièrement l’aide de la coterie. Celui qui deviendra le maréchal tenté par une présidence de la République à vie sous couvert du Mpr Parti-Etat.

Déçu, Étienne Tshisekedi usa de son devoir d’ingratitude, et on connaît la suite. C’est l’épée (qui lui tomba entre les mains) sous forme de Lettre des 13 Parlementaires du 1er novembre 1980.

“Chasser le naturel, le naturel revient au galop”, dit-on.

C’est maintenant Félix Tshisekedi chef d’Etat démocrate qui est soupçonné, lui, d’utiliser l’épée de la re-visitation de la Constitution pour renvoyer à 2042 la succession, laissant sur le territoire alliés et adversaires. Serait-il “victime” de l’emprise “coterique” ?

A-t-il assez de cran pour tenir le front ? Peut-être oui, peut-être non.

Le jeu n’en vaut pas la chandelle

Mais ce qui est sur, c’est que la re-visitation de la Loi Fondamentale pourrait ne concerner que deux articles : le 8 relatif à la nationalité (question de faciliter la réintégration des Congolais de l’étranger, entendez la Diaspora) et le 220 pour l’élection du Président de la République au second degré (comme en Afrique du Sud et en Angola avec possibilité d’un septennat à la place du quinquennat).

Déjà, il n’est pas évident que la nomination des gouverneurs des provinces obtienne l’adhésion populaire.

Les autres articles “querellés” ne sont que pour amuser la galerie.

Au regard de ce qui précède, on devrait se demander ce que gagnerait en réalité Félix Tshisekedi d’une bataille rangée à la fois contre ses alliés majeurs et contre ses adversaires (opposants ya nzala).

_”Le jeu n’en vaut pas la chandelle_”, dit le proverbe. A nous de renchérir : _”Ni d’ailleurs les enjeux_”, ce au regard de la fragilisation gratuite de l’unité nationale suscitée par une initiative pour le moins inopportune.

PROCHAINEMENT : _”‘Félix Tshisekedi aurait pu être le Mandela de la RDC… Hélas, c’est raté !_”

Omer Nsongo die Lema




Innovation technologique : Gilbert Kabanda prend part à la 33 ème session ordinaire du conseil des Ministres d’AfricaRice à Madagascar 

La République Démocratique du Congo a été bien représentée à la 33 ème session ordinaire du conseil des ministres d’AfricaRice à Antananarivo par le ministre de la Recherche scientifique et innovation technologique Gilbert Kabanda Kurenga.

Le patron de la recherche a laissé entendre que la collaboration multisectorielle permettra d’améliorer la résilience du système alimentaire. La nécessité des parties prenantes à cette 33 ème session, est de respecter les engagements pris en faveur de l’autosuffisance en riz grâce à la transformation des systèmes agroalimentaires basés sur le riz.

 

 

Mboshi




Communiqué officiel n°01/045/DGI/DG/DESCOM/CD/NC/2024

 




Amélioration des conditions de travail : Une initiative conjointe de l’IGF et du ministère de l’emploi

Le gouvernement de la République démocratique du Congo renforce son engagement envers la justice sociale et la protection des droits des travailleurs. Sous l’impulsion du Président Félix Tshisekedi, le Ministre de l’Emploi et du Travail, Akwakwa Nametu Epraim, et l’Inspecteur Général des Finances, Jules Aligente, ont lancé une initiative visant à améliorer les conditions de travail des Congolais employés par des expatriés, à travers la création d’une commission mixte d’inspection et de contrôle.

Le Ministre de l’Emploi et du Travail, Akwakwa Nametu Epraim, a reçu ce jeudi dans son bureau de l’hôtel du Gouvernement, Jules Aligente, Inspecteur Général des Finances et chef de service de l’Inspection Générale des Finances (IGF). Cette rencontre, organisée à la demande du ministre et sur recommandation du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, marque le début d’une initiative visant à renforcer les contrôles des conditions de travail des Congolais employés par des expatriés.

Au cours de cette réunion, il a été convenu de la mise en place d’une commission de travail chargée d’examiner les conditions de travail au sein des établissements dirigés par des expatriés, conformément aux directives du Chef de l’État. Cette commission intégrera des représentants du Ministère de l’Emploi et du Travail ainsi que de l’IGF, afin de mener des contrôles sur le terrain et d’identifier toute infraction aux normes de travail en vigueur.

Cette décision, qui s’inscrit dans le cadre des résolutions du dernier Conseil des ministres, témoigne de la volonté du gouvernement de protéger les droits des travailleurs congolais et de réprimer toute forme d’abus dans le secteur de l’emploi. En appui à cette démarche, l’IGF déploiera un nombre important d’inspecteurs pour soutenir les opérations de contrôle et s’assurer de la bonne mise en œuvre des mesures prises.

« Nous avons réfléchi autour des mécanismes à mettre en place et nous allons évoluer la semaine prochaine. L’autorité prendra une décision pour créer une commission permanente regroupant toutes les structures impliquées, avec le soutien de l’IGF, afin de répondre aux attentes du gouvernement », a affirmé Jules Aligente.

L’IGF s’engage ainsi aux côtés du Ministère de l’Emploi et du Travail pour garantir de meilleures conditions de travail aux employés congolais. Cette démarche vise non seulement à améliorer la situation des travailleurs, mais aussi à instaurer un environnement de travail plus équitable et transparent au sein des entreprises opérant dans le pays.

DMK