Le directeur régional de l’UNFPA en visite officielle au Cameroun

Le Directeur régional du Fonds des Nations unies pour la Population (UNFPA) pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, le Docteur Sennen Hounton effectue du 9 au 17 novembre 2024 une visite officielle au Cameroun. Au cours de cette visite il va engager un plaidoyer de haut niveau avec les autorités camerounaises en vue d’accélérer l’atteinte des objectifs de développement durable(ODD), en intégrant les priorités définies dans le pacte pour l’avenir non seulement dans ce pays mais également tous les pays de la sous-région.

Le directeur régional ira dans la région de l’extrême nord du pays pour toucher du doigt le travail que mène son organisation notamment dans les domaines de la santé de reproduction et la lutte contre la fistule obstétricale, l’autonomisation des femmes et des jeunes, la lutte contre les violences basées sur le genre et la réponse humanitaire.

Soulignons qu’au moment de la visite du Dr Sennen Hounton au Cameroun, cette agence des Nations unies a mis en œuvre son 8è programme de coopération pour la période 2022-2026.

 

Prince Yassa




Mpox : l’OMS va réunir son comité d’urgence le 22 novembre

Alors que le nombre de cas de variole simienne montre une tendance générale à la hausse sur le continent africain principalement due aux cas signalés en République démocratique du Congo (RDC), au Burundi et en Ouganda, le Comité d’urgence de l’Agence sanitaire mondiale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) se réunira le vendredi 22 novembre 2024.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il s’agit de la deuxième réunion du comité d’urgence concernant la recrudescence du Mpox en 2024 afin de déterminer si la recrudescence de la variole simienne continue de constituer une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) et, dans l’affirmative, de proposer des recommandations temporaires aux États parties pour faire face à l’événement.

 

Cette réunion, précise la source, se penchera sur les efforts mondiaux en cours pour surveiller et répondre à la recrudescence de la maladie sur le continent africain.

L’OMS examinera les données épidémiologiques les plus récentes, l’évolution mondiale du virus depuis sa première réunion le 14 août 2024, et les activités de réponse entreprises par les pays touchés.

 

En attendant, le dernier décompte établi le 3 novembre dernier fait état de 11.148 cas confirmés, dont 53 décès (taux de létalité de 0,5 %) cette année dans 19 pays du continent africain. Le pays le plus touché reste la République démocratique du Congo (8.662 cas confirmés, 43 décès), suivie du Burundi (1.726 cas confirmés, aucun décès) et de l’Ouganda (359 cas confirmés, un décès).

 

Léger ralentissement dans la propagation du virus

 

Les données de ces dernières semaines pour la République démocratique du Congo pourraient suggérer que le nombre total de cas déclarés se stabilise. Mais pour l’OMS, cela doit être interprété avec prudence, étant donné les retards probables dans la déclaration et les ruptures de stock récurrentes des fournitures de test dans le pays, qui entravent la capacité de confirmer les cas de variole.

Les flambées de variole en RDC sont dues à des souches de MPXV des clades Ia et Ib, qui ont été détectées dans différentes provinces du pays. Jusqu’à présent, le clade Ib du MPXV a été détecté dans les provinces du Sud-Kivu, du Nord-Kivu, de Kinshasa, du Kasaï, de la Tshopo et du Tanganyika.

En RDC, le nombre total de nouveaux cas de variole signalés semble atteindre un plateau dans le Sud-Kivu, qui continue de signaler le plus grand nombre de cas dans le pays.  Alors que des tendances à la baisse sont observées dans le Sud-Kivu, qui continue de représenter la plupart des cas suspects dans le pays, avec plus de 700 cas suspects au cours de la dernière semaine pour laquelle des données complètes sont disponibles, cette tendance pourrait être influencée par des retards dans la notification et doit être corroborée dans les semaines à venir.

 

Au Burundi, l’épidémie reste largement concentrée dans et autour de Bujumbura

 

Des tendances stables, avec moins de 200 nouveaux cas suspects par semaine, ont également été observées ces derniers mois en Équateur, qui a toujours été la province la plus touchée par la variole dans le pays. Dans plusieurs provinces du pays, les difficultés de dépistage persistent, ce qui empêche de comprendre l’évolution de l’épidémiologie.

 

Au Burundi voisin, l’épidémie continue d’être alimentée par le clade Ib, avec plus de 200 cas confirmés en laboratoire au cours de chacune des deux dernières semaines. Depuis le début de l’épidémie de variole en juillet 2024 jusqu’au 3 novembre, le Burundi a signalé au total 1.726 cas confirmés de variole, mais aucun décès jusqu’à présent.

 

L’épidémie reste largement concentrée dans et autour de la ville de Bujumbura, avec deux principaux groupes d’âge principalement touchés, similaires à ce qui est observé dans le Sud-Kivu (jeunes enfants <5 ans et jeunes adultes entre 20-29 ans), ce qui suggère une dynamique épidémique similaire.

 

Des transmissions locales hors d’Afrique ont été observées au Royaume-Uni

 

L’épidémie s’étend rapidement en Ouganda, où plus de 100 nouveaux cas confirmés de variole ont été signalés la semaine dernière. Entre juillet et le 3 novembre 2024, ce pays d’Afrique de l’est a signalé 359 cas confirmés et un décès dans les 19 districts touchés.

Selon l’OMS, la transmission est favorisée par des contacts intimes étroits, notamment sexuels, et par les réseaux de prostitution. La grande majorité des cas signalés concernent des adultes.

Par ailleurs, une transmission locale du clade Ib du MPXV a été signalée pour la première fois en dehors de l’Afrique, au Royaume-Uni où trois (tous) membres du ménage du cas initial (qui avaient voyagé dans les pays d’Afrique de l’Est touchés par le clade Ib) ont été confirmés comme étant atteints du Mpox.

Outre ce pays européen, deux autres pays supplémentaires ont confirmé des cas de clade Ib MPXV liés à des voyages depuis le dernier rapport de situation : la Zambie et le Zimbabwe.

Prince Yassa




États généraux de la justice: Evariste Ejiba Yamapia appelle le gouvernement à un traitement équitable de toutes les confessions religieuses

Intervenant aux travaux des états généraux de la justice, ce lundi 11 novembre 2024 au centre financier, dans un panel spécial consacré aux confessions religieuses de la RDC, l’archevêque président et représentant légal de l’église du réveil du Congo et président de la plateforme des chefs des confessions religieuses de la RDC, Évariste Ejiba Ya Mapia a appelé l’Etat congolais à octroyer les différents privilèges à toute les confessions religieuses, en lieu et place d’avoir un traitement sélectif favorisant une ou deux confessions au détriment des autres du reste sont très représentatives en RDC.

Le numéro 1 de l’église du réveil du Congo a également invité le gouvernement congolais à établir une nette différence entre les églises missionnaires et celles qui sont battues et fondées par les fils du pays sans aucune aide ni appui extérieur. Avant de souligner que l’église du réveil du Congo reste la seule et grande confession religieuse actuellement en RDC regorgeant un bon nombre des fidèles et assemblées à travers le pays. « Il suffit de parcourir nos rues pour compter le nombre des églises qui sont implantées ça et là vous comprendrez que l’église du réveil est une force », a-t-il déclaré.

Osée Kalombo




DGI : Bientôt une session d’information en ligne pour les fournisseurs de système de facturation d’entreprises et les entreprises utilisant leurs propres système de facturation




65 ans d’une relation bilatérale riche et dynamique : La Russie invitée en Rdc pour célébrer en 2025   

La Ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie, Thérèse Kayikwamba Wagner, a entamé une tournée européenne. Le dimanche 10 novembre 2024, elle a participé à la 1ère conférence ministérielle du Forum de Partenariat Russie-Afrique.

Cette conférence qui réunit les ministres des Affaires étrangères de la fédération de la Russie et des États africains membres de l’ONU, intervient après le sommet des BRICS d’octobre dernier à Kazan, le plus grand événement organisé en Russie depuis la guerre avec l’Ukraine.

Elle vise également à évaluer les exigences des deux déclarations adoptées lors de deux autres sommets russo-Afrique dont l’objectif était de déterminer les perspectives futures de Coopération afin de mieux répondre aux exigences et aspirations africaines.

 

Développement de la coopération russo-africaine

A Saint-Pétersbourg en juillet 2023, une résolution avait été adoptée en vue d’une Coopération accrue dans les domaines de l’approvisionnement alimentaire, de l’énergie et de l’aide au développement.

Plus tôt à Sotchi 2019, il avait été question de fixer les objectifs et orientations de développement de la coopération russo-africaine dans toutes ses dimensions : politique, sécuritaire, économique, scientifique et technologique, culturel et humanitaire.

Au cours de cette nouvelle grande rencontre, une déclaration générale et des déclarations sectorielles ont été adoptées sur plusieurs thèmes notamment la sécurité internationale, l’information de la lutte contre le terrorisme et de la prévention d’une course aux armements dans l’espace.

En marge de cette conférence, la Ministre d’Etat a eu une rencontre bilatérale avec son homologue russe Sergei Lavrov, au cours de laquelle elle a relevé la qualité excellente des relations entre la République Démocratique du Congo et la Russie.

La Cheffe de la Diplomatie congolaise a réitéré le souhait de la RDC d’amplifier cette coopération à travers de nombreux partenariats et investissements plus importants.

Tout en reconnaissant le rôle prépondérant joué par la Russie, membre influent du Conseil de sécurité des Nations Unies dans les questions africaines et particulièrement, celles de la RDC. Thérèse Kayikwamba Wagner a relevé le caractère stratégique pour la RDC de participer aux discussions autour de l’avenir du monde.

C’était l’occasion de rappeler les enjeux liés à la candidature de la RDC comme pays africain au poste de membre non permanent au Conseil de sécurité pour le mandat 2026-2027, avec entre autres objectifs de promouvoir le respect du multilatéralisme de toutes les parties et le respect des réalités de l’heure.

La Cheffe de la Diplomatie congolaise a adressé officiellement une invitation à la Russie de venir célébrer à Kinshasa en 2025, les 65 ans d’une relation bilatérale riche et dynamique. Un anniversaire qui sera, par ailleurs, célébré dans les deux pays à travers plusieurs événements commémoratifs.

Moscou, qui est sorti de son isolement, est actuellement la plaque tournante de l’émergence d’un ordre multipolaire en incarnant le rôle alternatif de l’ordre international au 20ème siècle.

L’organisation intergouvernementale BRICS joue un rôle majeur dans le renforcement du multilatéralisme pour le développement et la sécurité mondiale.

 




Errance politique polluante 

Qui a maudit les politiciens congolais ? Qui les a créés ? Telles sont les questions qui ne mériteront, peut-être pas, des réponses dans l’immédiat. Du moins pour ceux qui scrutent leurs divers faits et gestes. Qui consistent à accéder aux postes de responsabilité politique pour bénéficier de l’enrichissement illicite et sans cause, de la bombance financière, des privilèges de juridictions et d’autres avantages indus, comme il est de coutume dans la sphère politique congolaise. Une fois portés au sommet, c’est la fête…

 

De leur côté, les « déçus », dont le ciel n’a pas été clément recourent sans transition aux armes, en intégrant la marmaille de groupes armées qui écument le pays, surtout dans sa partie Est. En trahissant leur propre Pays, leur propre Nation, en tuant leurs propres familles, ils le font sans remords ni honneur.

 

Comme en République Démocratique du Congo, surtout ces cinquante dernières années, bien de citoyens se fractionnent pour s’arroger les strapontins politiques. Malheureusement, ils sont portés par le souverain primaire qui, au finish, ne trouve jamais son compte, la politique étant devenue une aubaine pour eux. On les voit arpenter les allées du pouvoir pour des postes. Le partage du gâteau se fait de façon péremptoire pour satisfaire épouses, époux, enfants, tantes paternelles et maternelles, cousins germains, garçons de course. Le peuple, qui les a portés au perchoir, est relégué au dernier plan.

 

Comme allier l’acte aux paroles, le discours change. Le social, la santé, l’éducation, bref le développement du pays tant évoqué lors des campagnes électorales, on en connaît plus. Il est rabroué. En lieu et place, c’est plutôt le gain, le goût du lucre qui comptent. La fête autour du gâteau national, autour du banquet avec leurs maîtres à penser qui sont enjôlés, vénérés et qui reçoivent des saluâtes dignes d’un dieu. Difficilement vaincus, certains rampent même, par leurs discours, par leurs interventions frivoles à travers les médias, pour défendre la cause de leurs maîtres. Tout se passe pour le meilleur du monde.

 

Mais, dès que la roue tourne, c’est la trahison. Ils sont nombreux et se comptent par centaine. Ceux-là qui pactisent et bouffent avec le pouvoir le jour, mais préparent leur lit pour aller passer la nuit dans la rébellion ; non contents d’avoir accès au faste festin. En âme et conscience, ils abandonnent leurs anciens lieutenants pour se rallier aux ennemis de la République. La rhétorique est toujours la même : « le pays est mal dirigé ». Une errance qui pollue l’environnement politique, car, ils renient tout. Ces revirements spectaculaires donnent de la nausée aux esprits lucides qui croient qu’il faut renouveler la classe politique congolaise.

 

Si j’étais cet ancien ministre congolais des Sports, j’aurai dit ceci : « ceux qui quittent le camp du pouvoir pour la rébellion sont des adultes. Ils le font en âme et conscience. Ils préfèrent prouver leur adultère dans la rébellion, après avoir amassé avantages et privilèges ».

 

Mais, sont-t-ils au courant du sort qui les attend ?

Willy Kilapi




Eliminatoires de la CAN-2025 (5è et 6è journées) : Reda Belahyane remplace Amir Richardson

Le sélectionneur national Walid Regragui a convoqué le milieu défensif du club italien Hellas Vérone, Reda Belahyane, pour remplacer le joueur de Fiorentina, Amir Richardson, blessé, indique mardi la Fédération royale marocaine de football (FRMF).

L’international marocain, Amir Richardson s’est blessé lors des entraînements de l’équipe nationale, qui effectue actuellement un stage de préparation au Complexe Mohammed V de football.

Les Lions de l’Atlas poursuivent leur préparation, en prévision des éliminatoires de la CAN-2025 (5è et 6è journées) face au Gabon, le 15 novembre à Franceville et au Lesotho, le 18 du même mois au stade d’honneur d’Oujda.




“La concurrence est rude pour faire partie de l’équipe nationale” (Walid Regragui)

Le sélectionneur national, Walid Regragui a affirmé, mardi, que la concurrence est rude entre les joueurs pour faire partie de l’effectif de l’équipe nationale de football.

“Il y a de la concurrence entre les joueurs que nous avons à disposition et plus la concurrence est rude plus j’ai de choix, en tant que sélectionneur, pour avoir l’effectif le plus exemplaire possible”, s’est réjoui Regragui lors d’une conférence de presse tenue au Complexe Mohammed V de football de Salé, en prévision des matches de la sélection marocaine face au Gabon, le 15 novembre à Franceville et au Lesotho, le 18 du même mois au stade d’honneur d’Oujda, pour le compte des éliminatoires de la CAN-2025 (5è et 6è journées).

“L’équipe nationale a grandi avec un super effectif et nous sommes devenus la nation de football que nous voulions. Nous sommes au Top 13 mondial depuis 2 ans est c’est un point fort qui attire des joueurs talentueux”, a ajouté le sélectionneur national.

S’agissant de la préparation de la CAN-2025, le coach a souligné qu’il reste quelques matches à l’équipe nationale pour peaufiner le travail, notant que “l’important pour nous est d’être prêts lors de la CAN, à domicile, parce que nous avons le devoir des résultats et d’être à un bon niveau”.

Concernant l’absence de Hakim Ziyech, Regragui a fait remarquer que “Ziyech a presque deux mois sans compétition. Il doit travailler avec son équipe et à partir du moment qu’il atteint son niveau, il sera avec nous”.

Revenant sur la convocation de Adam Masina, le sélectionneur national a expliqué vouloir voir l’évolution du joueur de Torino qui a changé de poste pour devenir défenseur central. “Nous sommes dans une progression de travail et nous pouvons voir d’autres profiles rejoindre l’équipe nationale”, a-t-il ajouté.




Karaté: La RDC s’impose largement à la 4è édition du Tournoi des Grands Lacs à Goma 

Comme souligné dans la dernière édition, la 4e édition du Tournoi d’Amitié des Grands Lacs ‘’TAGL’’ s’est clôturée le dimanche 10 novembre 2024 dans la ville touristique de Goma, au Nord-Kivu. Sur les 10 pays participants, les Léopards qui étaient plus déterminés à récupérer le trophée Fatshi détenu par le Cameroun, ont réussi brillamment leur pari.

Tableau des médailles

1. RDC 44 médailles (22 or, 18 arg, 4 br)

2. Congo/Brazza 2 médailles en or

3. Kenya 8 médailles (1 or, 2 arg, 5 br)

4. Angola 2 médailles (1 or, 1 arg)

5. Ouganga 5 médailles (3 arg, 2 br)

6. RSA 2 médailles en argent

7. Tanzanie 2 médailles (1 arg, 1 br)

8. Burundi 1 médaille en bronze

9. Zambie 1 médaille en bronze.

Antoine Bolia

 




Taekwondo: Dans le cadre de son cinquantenaire, Le Taekwondo Club Bandal se prépare à célébrer ses anciens des années 70, 80 et 90 

Dans le cadre de ses 50 ans d’existence, le Taekwondo Club Bandalungwa projette organiser une grande célébration pour ses anciens des années 70, 80 et 90, le dimanche 15 Décembre 2024 à partir de 14h00 au Jardin Moto na Moto de Bandalungwa.

Ce jour-là, parmi les anciens qui seront à l’honneur figure Me Roberto Djambo installé en Europe depuis des lustres. Ce dernier, depuis de nombreuses années ne cesse de mettre sa main à la patte chaque fois que le besoin se fait sentir pour le bien de Taekwondo Club Bandalungwa.

Me Roberto Djambo remettant un cadeau au Gd Me Kimfuta

Pour la petite histoire, TC Bandal fut fondé le 06 avril 1974 par le Grand Me Nkosso wa Mokho Django décédé depuis 2004. Grand maître Gabon Bosobi, aujourd’hui capitaine du club et maître Api Biongo, aujourd’hui vice-capitaine, sont les deux premiers élèves du TC Bandalungwa. Après eux s’en est suivi d’autres maîtres : Lubaki Kismbila, Nsonika Rufin, Mafumba Anicet, Parram Ize, maître Makonkon Philippe, Yalebe Ngamaware, Lebruno Kongo, Roberto Djambo, Ilunga Domi, Zang Odon, Gauthier Masueki, Georges Mukwenga, Kitima Mbongo, Coco Bosobi (alias Lokolo ya Bandalungwa), Jean Api, Mambu, Kabala Francis+, Katotola Trésor, Katotola Carlos, Jonathan Mpandi, Gladdy Mwenga, Djerba Djenga, Kabose Badibanga (alias Boudraguena), Bokondo Bumba etc.

Des entrailles de TC Bandal sont sortis plusieurs athlètes dont plus ou moins 70 ceintures noires : Gd Me Bosobi Gabon CN 7è Dan, Me Mafumba 6è Dan, Me Yalebe CN 6è Dan, Me Kongo CN 5è Dan, Me Roberto Djambo CN 5è Dan etc. Me Willy Makengo, actuel président de la Fetaeco/ITF est aussi athlète de TC Bandal. Il en est de même pour Me Augustin Dinganga, actuel SG de la Fetaeco/ITF qui est passé aussi dans ce club.

Le Dojo de TC Bandal est situé dans l’enceinte du Jardin Moto na Moto Abongisa voir maison communale de Bandalungwa. TC Bandal a donné naissance à TC Santiago depuis 1978 et ce club est entrainé par Me Bosobi Gabon.

Antoine Bolia