Jeune star, gros impact : Doha El Madani porte l’AS FAR vers une victoire écrasante

Le show de Doha El Madani a eu lieu samedi soir à El Jadida, où la jeune star a contribué à la victoire écrasante de 3-0 de l’AS FAR contre les Aigles De La Médina. Avec un doublé à son actif et un penalty réussi par la capitaine vétérane Aziz Rabbah, l’équipe locale a confortablement emporté le match 3-0, dans le but de récupérer son titre. Dans l’après-midi, le TP Mazembe a déjà remporté une victoire contre l’University of the Western Cape, permettant ainsi aux hôtes et aux nouveaux venus de s’affronter dans le deuxième match du groupe A au même endroit.

Comme anticipé, l’AS FAR a dominé la rencontre dès le coup d’envoi, sous la houlette de l’entraîneur Mohamed Amine Alioua qui a opté pour une stratégie offensive. Les joueuses n’ont pas tardé à ouvrir le score grâce à la jeune Doha El Madani, bien placée pour reprendre un ballon repoussé et marquer le premier but. Confiance accrue, El Madani a ensuite ajouté un second but à la 29e minute suite à une belle passe de Sanaa Mssoudy, portant ainsi le score à deux buts d’écart. Ce léger avantage n’a pas suffi à calmer les ardeurs des hôtes, qui ont intensifié leurs attaques. Soumises à la pression, les Aigles de La Médina ont finalement concédé un penalty converti sans difficulté.

De retour sur le terrain après la pause, les Aigles ont montré une meilleure organisation et moins d’erreurs dans leur zone de jeu. Néanmoins, cela ne s’est pas accompagné d’une construction efficace de leur jeu, car ils ont eu du mal à sortir de leur moitié de terrain. Hajar Said a presque marqué un quatrième but pour l’équipe locale après un duel pour le ballon en défense, mais son tir a heurté le poteau.




Ligue des Champions Féminine : Le FC Masar surprend le champion et s’impose

Mamelodi Sundowns contre le FC Masar, le champion face au rookie – cette affiche inédite de la Ligue des Champions Féminine de la CAF a tout pour captiver les spectateurs, du stade Laarbi Zaouli de Casablanca. Bien qu’on aurait pu anticiper une domination des Sud-africaines, ce sont finalement les Égyptiennes qui prennent les devants et poussent leurs rivales à commettre des erreurs.

À l’instar de l’incident causé par Letososo sur Amira Mohamed, la capitaine du FC Masar, il faudra patienter avant qu’elle ne puisse rejouer sur le terrain. Toujours très dynamique, l’attaque formée par Sandrine Niyonkuru et Mahira Ali représente un véritable défi pour la défense des Mamelodi Sundowns. Juste avant la mi-temps, l’attaquante burundaise est poussée dans la zone de réparation par Makhubela. L’arbitre désigne le point de penalty. La numéro 9 du FC Masar s’en charge et offre l’avantage à son équipe, 1-0.

Revenues des vestiaires, face à l’urgence de la situation, les protégées de Jerry Tshabalala intensifient leurs attaques offensives mais se heurtent à la solidité défensive des vice-championnes de l’UNAF. Ni le coup de tête de Mali, ni le tir de Ramelepe ne parviennent à marquer.

Les minutes défilent et le FC Masar s’approche d’un exploit mémorable dans l’histoire de la Ligue des Champions Féminine : réussir à battre le club le plus titré dès son entrée dans la compétition.

Les joueuses de Ramadhan résistent et offrent un récital défensif qui captivent les Mamelodi Sundowns. Un corner signe de derniere chance pour les Sundowns, mais elles ne cadrent pas. Le FC Masar tient son exploit, la formation égyptienne bat les Mamelodi Sundowns.




Ligue des Champions Féminine : Les Edo Queens ne se ratent pas   

Pour leur entrée en lice, les Edo Queens ont signé le carton de la journée en battant 3-0 le Commercial Bank of Ethiopia, au stade Laarbi Zaouli à Casablanca.

Une chose est claire : arriver en retard n’était pas une option. À la cinquième minute, lors de leur première réelle offensive, les Edo Queens ont marqué le tout premier but de leur histoire dans cette compétition. Cette réalisation a été faite par l’inévitable Emem Peace Essien, qui s’est déjà distinguée comme la meilleure buteuse des qualifications de l’UFOA B avec 5 buts et qui n’a pas mis de temps à se faire remarquer pour cette phase finale de la Ligue des Champions Féminine.

Au cours de la première période, les échanges semblent s’équilibrer. Les Éthiopiennes relèvent avec succès le défi physique lancé par les Nigérianes, qui conservent leur léger avantage.

Néanmoins, après la mi-temps, les Edo Queens creusent l’écart grâce à l’intermédiaire de Folashade Ijamilisi. Cela offre à Grace Dakurobo, avec le soutien de Moses Aduku en tribune, l’occasion d’effectuer quelques ajustements, y compris le remplacement par Osigwe. Trois minutes après son entrée, la numéro 10 âgée de 17 ans se distingue en alourdissant le score d’une frappe puissante.

Grâce à ce succès, les Nigérianes prennent la tête du Groupe B, avec un total de trois points, à égalité avec le FC Masar, vainqueur contre les Mamelodi Sundowns. Les championnes d’Afrique en titre se situent en troisième position avec un total de zéro point, tout comme le CBE qui ferme la marche du classement.




TPM-UWC 2-0 : Belle entrée des Dames, Marta Lacho brillante et honorée

Les experts de la CAF ont décerné sans contestation, le trophée de “Woman of the match” à Marta Flora Lacho, auteure d’une éblouissante performance. L’Angolaise a été l’élément majeur de la victoire du TPM pour son entrée en phase finale de Ligue des Champions face à University of the Western Cape. Une partition de haute voltige sur les deux buts.

Dynamique dans le jeu, Lacho montre la voie aux siennes. En seconde période, sur une récupération haute de Elena Obono, elle est trouvée dans la surface. Contrôle orienté du pied droit puis frappe du gauche rasante au second poteau. Inarrêtable pour la gardienne sud-africaine.

Lacho sort ensuite une masterclass à la 76ème minute. Prise de balle subtile, coup de reins pour mettre au supplice son adverse. Elle lève la tête et réalise un amour de centre dosé pour un coup de tête victorieux de Merveille Kanjinga.

Marta Lacho, 25 ans veut inscrire son nom dans les annales de cette compétition, bien sûr en contribuant au rêve du titre du FCF TPM.

Dans le même groupe, les marocaines de l’AS FAR se sont facilement imposée, 3-0, face aux Sénégalaises de Médina. Le mardi 12 novembre à 17h00, l’opposition Mazembe-FAR fera des étincelles dans la ville d’El Jadida.




Eliminatoires CAN 2025 : Kabwit appelé chez les Léopards

C’est un appel qui sonne comme une récompense pour Oscar Kabwit Tshikomb. Le joueur de 19 ans n’a cessé de franchir les étapes dans sa progression. L’attaquant du TPM est convoqué par Sébastien DESABRE pour remplacer Gaël Kakuta, blessé de dernière minute avec son club.

Du haut de ses 19 ans, formé à la Katumbi Football Academy, Kabwit participera aux 5ème et 6èmes journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations face à la Guinée à Abidjan (16 novembre) et à Kinshasa contre l’Éthiopie (19 novembre). C’est le seul joueur évoluant au championnat de la Ligue 1 organisé par la LINAFOOT qui figure parmi les 26 joueurs convoqués

Kabwit était déjà avec les Léopards A’ (CHAN) en ce début de mois, pour un stage de préparation à Kinshasa.

Notons que la RDC compte 12 points et est déjà assurée de jouer la prochaine phase finale de la CAN prévue en 2025 au Maroc.




Tribune: Mes 9 raisons pour changer la Constitution

Une réflexion a été relancée par le Président de la République, lors de son meeting tenu à Kisangani, dans la Province de la Tshopo, au sujet de la révision ou changement de la Constitution de la République Démocratique du Congo telle que révisée par la Loi n° 11/002 du 20 janvier 2011 portant révision ou changement de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006.

Cette réflexion a emballé la toile et les médias. Les politiciens y vont chacun avec ses idées selon que l’on est pour ou contre.

 

La plus grosse erreur

 

La plus grosse erreur que d’aucuns commettent est de limiter ces réflexions sur la taille ou le costume du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi. Une erreur qui avait été commise par la Constitution actuelle où tout a été taillé sur mesure de Joseph Kabila. C’est donc une erreur de vouloir changer la Constitution pour soit permettre à Félix-Antoine Tshisekedi de briguer un troisième mandat ou de l’en empêcher.

Si tel est le cas, l’on se trompe, parce que seul Dieu connait sa destinée et la durée de sa vie sur la terre. Voilà pourquoi, dans cette réflexion qui se veut sociologique, il sera question de proposer des pistes qui orientent vers le développement à court, moyen et long terme, en fonction des réalités de notre pays. C’est aussi une erreur de limiter cette réflexion aux tendances politiques ou ethniques. Du reste, certaines raisons ne nécessitent pas le changement ou la révision de la Constitution, mais plutôt le vote de certaines lois. Mais l’on sait que nos parlementaires ne privilégient que les lois qui confortent leurs positions et non celles qui visent le développement du plus grand nombre.

Je suis partisan du changement de la Constitution et non de sa révision, et ce, depuis le débat lancé sous Kabila, après la publication de l’ouvrage du professeur Evariste Boshab Mabudj-Ma-Bileng sur ‘’Révision constitutionnelle ou l’inanition de la Nation’’, j’ai été parmi les rares journalistes et analystes politiques à avoir soutenu non la révision de la Constitution, mais plutôt son changement pour amorcer la Quatrième République pour des raisons suivantes :

 

La démocratie consensuelle

 

Nous avons depuis 2015, lancé ce concept, fruit des réflexions de l’honorable Nazem Nazembe qui tient à ce que l’on consacre dans notre Constitution la démocratie consensuelle devant permettre aux gagnants de gérer avec les perdants pour ainsi éviter les contestations postélectorales qui s’accompagnent de mort d’hommes.

Ainsi, pour éviter qu’il n’y ait pas de contestations, le pays devrait être dirigé du sommet à la base par les gagnants et les perdants proportionnellement au poids politique.

Ce consensus devrait concerner également la représentation de tous les habitants de la RDC : Bantous, Nilotiques, Pygmées, Soudanais et personnes vivant avec handicap, ce qui fait dire à Monsieur Rombaut Lumba, Secrétaire Général du parti cher à l’honorable Nazem Nazembe, Courant du Futur, de ‘’la démocratie consensuelle croisée’’.

En Afrique la démocratie ne doit pas être majoritaire, parce que selon Nazem Nazembe, la démocratie en Afrique est plus ethnique que majoritaire. Il suffit qu’un citoyen ait un des membres de son ethnie dans une institution pour sentir sa fierté et croire comme si c’était lui qui était au pouvoir. C’est ce qui justifie très souvent que quand un leader est en difficultés, ce sont les membres de sa tribu qui se soulèvent pour lui venir au secours. Et même lorsqu’un membre d’un tel ou tel autre coin est nommé ou élu à un poste, vous allez voir les membres de sa tribu adresser les messages de félicitations au Président de la République.

 

La Constitution du 18 avril 2006 est hyper-institutionnalisée et rend la République constipée

 

Les mots sont de Monsieur Jean-Pierre Lihau, Ministre actuel de la Fonction publique. Nous avons trop d’institutions budgétivores qui n’apportent rien en termes du développement de notre pays. Et ces institutions rendent la Nation constipée à tel point que les ressources financières sont éparpillées et qu’il est difficile de s’engager sur la voie du développement.

Bien plus, chaque institution compte un personnel lourdement pris en charge par le trésor public qu’il est impossible d’allouer les fonds aux investissements.

 

Nous avons un Gouvernement national dont chaque membre dispose au moins de 50 membres du cabinet, une Assemblée nationale de 500 députés, chacun disposant d’un Assistant parlementaire, outre le personnel administratif, les membres du Bureau disposent d’un personnel politique qui souvent est versé à l’administration du Parlement après la fin de la législature. Au Sénat, c’est la même chose. Il faut y ajouter les Institutions d’appui à la démocratie, le Conseil économique et social, … où l’on observe les téléscopages avec les attributions de certains Ministères (CSAC aux côtés du Ministère du Ministère de la Communication et médias, CNDH aux côtés du Ministère des Droits humains…)

En provinces, c’est un Gouvernement provincial où chaque membre dispose également d’un Cabinet en face d’une Assemblée provinciale dont chaque Député dispose également d’un Assistant parlementaire.

 

En outre, nous avons 33 Villes, 145 Territoires, 137 Communes urbaines, 174 Communes rurales, 471 Secteurs, 267 Chefferies, 5908 Groupements.

Chaque Ville dispose d’un maire, d’un Conseil urbain, d’un Conseil Exécutif, d’un personnel politique et administratif, même chose pour les communes et les Chefferies qui sont des entités territoriales décentralisées. Les Constituants de 2006 avaient ainsi conçu pour que chaque belligérant et sa famille soient servis au détriment du peuple.

 

L’adoption de la Cinquième nationale pour les sourds-muets

 

Tout le débat tel qu’il se déroule à la télévision ou à la radio, échappe à une catégorie des personnes vivant avec handicap, principalement les sourds-muets. Et pourtant, des pays comme l’Ouganda, le Zimbabwe, le Togo et le Kenya ont déjà adopté la langue des signes et en RDC, le Chef de l’Etat avait lancé le Dictionnaire de la langue des signes pour permettre ainsi à cette catégorie de Citoyens congolais d’accéder à l’information, à l’éducation, en justice ou aux soins de santé. Attraits en justice, beaucoup de malentendants ne savent pas comment présenter leurs moyens de défense. Dans les formations médicales et dans les institutions scolaires ou académiques, ils ne savent pas être bien pris en charge.

 

Restaurer les deux tours au scrutin présidentiel

 

Pour faire face à Etienne Tshisekedi wa Mulumba qui avait décidé d’aller aux élections en 2011 et pris de panique, le régime de Joseph Kabila a supprimé les deux tours. Et pourtant, les deux tours avaient pour avantage, la consolidation de la cohésion nationale à travers les deux premiers candidats en lice et la désignation de l’Opposant principal ne pouvant encore poser un quelconque problème. Ainsi, les deux camps pouvaient facilement se dessiner sans beaucoup de peines.

 

Election des Gouverneurs et sénateurs au suffrage universel direct et réinstaurer la territoriale des non originaires

 

Les élections au second tour, ont étalé les faiblesses de favoriser la corruption à ciel ouvert. Ce qui rend les élus redevables à leurs électeurs plutôt qu’à la population. Conséquence, le développement rapide du pays bégaie. Ainsi, pour mettre fin à la corruption et rendre les Gouverneurs et sénateurs responsables en vue de répondre à leurs devoirs, qu’ils soient élus au suffrage universel direct. En outre, réinstaurer la territoriale de non originaires.

 

Instaurer le multipartisme à trois où les partis répondent aux idéaux bien définis même à travers les dénominations

 

La RDC compte aujourd’hui plus de 900 partis politiques qui en réalité et en pratique ne constituent que deux blocs. Ce n’est que la Constitution et les lois du pays qui illustrent ce multipartisme à mille. Mais en réalité, nous avons le parti au pouvoir et un parti à l’Opposition. On pourra peut-être ajouter un parti au Centre. L’adhésion restera libre. Si on maintient le nombre illimité des partis politiques, ils devraient porter des dénominations aux objectifs bien définis. Par exemple, le parti des infrastructures, le parti de la foret, …

 

Rendre le pouvoir judiciaire indépendant

 

Pour permettre à la justice d’être réellement au service du peuple, rendre le Conseil Supérieur de la Magistrature indépendant, sans un Ministère de la Justice. Ainsi, le pouvoir judiciaire pourra disposer de son autonomie financière et administrative avec un budget qu’il va seul gérer sans attendre du Gouvernement.

 

Imposition de l’apprentissage de toutes les langues nationale dans toutes les provinces afin de favoriser la cohésion nationale et lutter contre le tribalisme.

 

Ici, il sera question que toutes les autres langues nationales soient enseignées dans toutes les provinces en vue de permettre la cohésion nationale et lutter contre le tribalisme, la langue étant un facteur d’intégration et de socialisation.

 

Supprimer les facultés importées diverses facultés importées de l’Europe pour les transformer en Ecoles Spécialisées qui s’occupent des enseignements spécifiques, devant booster le développement du pays dans différents domaines.

 

La RDC compte plusieurs Universités dont l’apport ne se justifie plus au regard des objectifs du développement. Ainsi, il sera loisible d’avoir des Universités aux Facultés spécifiques, à l’instar de l’Université Mapon qui organise les enseignements spécialisés des Nouvelles Technologies. On peut créer des Universités qui s’occupent essentiellement des bois, des infrastructures, de la Santé, de l’eau, de l’environnement.

Joël Cadet NDANGA

Journaliste, Internationaliste et Juriste




RDC: Willy Mulamba nommé directeur général de l’Equity BCDC 

La banque Equity BCDC a un nouveau directeur général. Il s’agit de Willy Mulamba. Il a été nommé directeur général de la banque Equity BCDC et membre du conseil d’administration sous reserve de l’approbation de la Banque centrale de la République Démocratique du Congo, a en croire un communiqué.

 

«Je suis honoré d’avoir été nommé par le conseil d’administration d’Equity BCDC en tant que nouveau directeur général congolais. L’opportunité de mener la transformation des vies et moyens de substance des habitants de la RDC en leur offrant des services financiers de confiance», a dit dans le communiqué Willy Mulumba.

Pour rappel, Mulamba est l’ancien directeur général de la City Bank RDC et ancien président de l’association des banquiers, avec plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie mondiale des services financiers.

 

 

Mboshi




RDC : Kinshasa accueille la 10 ème session ordinaire de la commission spéciale défense et sécurité entre la RDC et le Congo Brazzaville 

Le Ministre de l’Intérieur Congolais Zephirin Mboulou est arrivé ce dimanche en début d’après-midi dans la ville province de Kinshasa en République Démocratique du Congo .

A son arrivée au beach Ngobila, le patron de la territoriale du Congo Brazzaville a été accueilli par son homologue de la RD Congo, Me Jacquemin Shabani Lukoo avant de passer les troupes d’ honneurs en revue.

Les deux personnalités vont prendre part à la 10 ème session ordinaire de la commission spéciale défense et sécurité entre la République Démocratique du Congo et la République du Congo qui se tiendra du 11 au 13 novembre à Kinshasa.

 

Avant l’ouverture de ces assises, les deux chefs d’experts de ces deux pays vont se rencontrer pour harmoniser les angles afin de parvenir au bon déroulement de ces travaux , qui a pour but d’évaluer et adopter le projet d’ordre du jour de cette 10 eme session.

Ces assises s’inscrivent dans le cadre d’assainir et entretenir les relations de bons voisinage entre les deux pays.

 

 

Mboshi




Sahara marocain: Sainte Lucie réitère son soutien à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire

Sainte Lucie a réaffirmé, vendredi dernier à Rabat, son soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire, y compris la région du Sahara, et a réitéré son appui au Plan marocain d’autonomie comme la seule solution crédible, sérieuse et réaliste pour la résolution définitive du différend régional autour du Sahara marocain. Cette position a été exprimée dans le communiqué conjoint signé à l’issue des entretiens du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, avec le ministre des Affaires extérieures, du Commerce international, de l’Aviation civile et de la Diaspora de Sainte Lucie, M. Alva Romanus Baptiste.

En outre, Sainte Lucie s’est félicitée du consensus international croissant et de la dynamique impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en faveur du Plan

d’Autonomie et de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Dans ce communiqué conjoint, M. Alva Romanus Baptiste a, également, salué les efforts des Nations Unies en tant que cadre exclusif pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable à ce différend régional.

Enfin, Sainte Lucie, en tant que membre de l’Organisation des Etats de la Caraïbe Orientale (OECS), s’est félicitée de l’ouverture d’une Ambassade de l’OECS à Rabat (18 octobre 2018) et d’un Consulat Général à Dakhla (31 mars 2022), qui offrent une opportunité significative pour renforcer davantage les échanges entre le Royaume du Maroc et les six Etats de la Caraïbe Orientale.




Nord-Kivu : Clôture à Béni de la réunion des experts des FARDC et UPDF sur les directives de Kampala 

Des experts des Forces Armées de la RDC (FARDC) et de l’UPDF ont clôturé samedi 09 novembre à Beni, la réunion préliminaire sur les directives arrêtées par les chefs d’état de la RDC et de l’Ouganda le 31 octobre dernier à Kampala.

D’après le colonel Mak Hazukayi, porte-parole de l’opération Solola secteur Grand Nord, la réunion a été présidée par le Sous – chef d’état major chargé des Opérations et Comamandant Front Nord, le GenMaj Chicko Tshitambwe. Ces assises de trois (3) jours avaient réuni à Béni, le Commandant des Ops sokola IGN, le GenMaj Bruno Mandevu, le commandant des Ops en Ituri, le GenMaj Nyembo Abdallah et le GenMaj Richard Otto, Commandant de la Division de Montagne de l’UPDF, tous à la tête de la délégation de leurs états-majors respectifs.

La primeur des résolutions de ladite réunion est réservée à la haute hiérarchie des deux armées, ajoute la même source.

Rappelons que l’Armée Ougandaise et Congolaise unissent les efforts ensemble dans les opérations de traque des groupes armés dont les ADF à Beni et Lubero au Nord-Kivu, ainsi qu’à Mambasa et Irumu en Ituri.

 

 

Alain Wayire depuis Beni