Eliminatoires CAN 2025 : Kabwit appelé chez les Léopards

C’est un appel qui sonne comme une récompense pour Oscar Kabwit Tshikomb. Le joueur de 19 ans n’a cessé de franchir les étapes dans sa progression. L’attaquant du TPM est convoqué par Sébastien DESABRE pour remplacer Gaël Kakuta, blessé de dernière minute avec son club.

Du haut de ses 19 ans, formé à la Katumbi Football Academy, Kabwit participera aux 5ème et 6èmes journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations face à la Guinée à Abidjan (16 novembre) et à Kinshasa contre l’Éthiopie (19 novembre). C’est le seul joueur évoluant au championnat de la Ligue 1 organisé par la LINAFOOT qui figure parmi les 26 joueurs convoqués

Kabwit était déjà avec les Léopards A’ (CHAN) en ce début de mois, pour un stage de préparation à Kinshasa.

Notons que la RDC compte 12 points et est déjà assurée de jouer la prochaine phase finale de la CAN prévue en 2025 au Maroc.




Tribune: Mes 9 raisons pour changer la Constitution

Une réflexion a été relancée par le Président de la République, lors de son meeting tenu à Kisangani, dans la Province de la Tshopo, au sujet de la révision ou changement de la Constitution de la République Démocratique du Congo telle que révisée par la Loi n° 11/002 du 20 janvier 2011 portant révision ou changement de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006.

Cette réflexion a emballé la toile et les médias. Les politiciens y vont chacun avec ses idées selon que l’on est pour ou contre.

 

La plus grosse erreur

 

La plus grosse erreur que d’aucuns commettent est de limiter ces réflexions sur la taille ou le costume du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi. Une erreur qui avait été commise par la Constitution actuelle où tout a été taillé sur mesure de Joseph Kabila. C’est donc une erreur de vouloir changer la Constitution pour soit permettre à Félix-Antoine Tshisekedi de briguer un troisième mandat ou de l’en empêcher.

Si tel est le cas, l’on se trompe, parce que seul Dieu connait sa destinée et la durée de sa vie sur la terre. Voilà pourquoi, dans cette réflexion qui se veut sociologique, il sera question de proposer des pistes qui orientent vers le développement à court, moyen et long terme, en fonction des réalités de notre pays. C’est aussi une erreur de limiter cette réflexion aux tendances politiques ou ethniques. Du reste, certaines raisons ne nécessitent pas le changement ou la révision de la Constitution, mais plutôt le vote de certaines lois. Mais l’on sait que nos parlementaires ne privilégient que les lois qui confortent leurs positions et non celles qui visent le développement du plus grand nombre.

Je suis partisan du changement de la Constitution et non de sa révision, et ce, depuis le débat lancé sous Kabila, après la publication de l’ouvrage du professeur Evariste Boshab Mabudj-Ma-Bileng sur ‘’Révision constitutionnelle ou l’inanition de la Nation’’, j’ai été parmi les rares journalistes et analystes politiques à avoir soutenu non la révision de la Constitution, mais plutôt son changement pour amorcer la Quatrième République pour des raisons suivantes :

 

La démocratie consensuelle

 

Nous avons depuis 2015, lancé ce concept, fruit des réflexions de l’honorable Nazem Nazembe qui tient à ce que l’on consacre dans notre Constitution la démocratie consensuelle devant permettre aux gagnants de gérer avec les perdants pour ainsi éviter les contestations postélectorales qui s’accompagnent de mort d’hommes.

Ainsi, pour éviter qu’il n’y ait pas de contestations, le pays devrait être dirigé du sommet à la base par les gagnants et les perdants proportionnellement au poids politique.

Ce consensus devrait concerner également la représentation de tous les habitants de la RDC : Bantous, Nilotiques, Pygmées, Soudanais et personnes vivant avec handicap, ce qui fait dire à Monsieur Rombaut Lumba, Secrétaire Général du parti cher à l’honorable Nazem Nazembe, Courant du Futur, de ‘’la démocratie consensuelle croisée’’.

En Afrique la démocratie ne doit pas être majoritaire, parce que selon Nazem Nazembe, la démocratie en Afrique est plus ethnique que majoritaire. Il suffit qu’un citoyen ait un des membres de son ethnie dans une institution pour sentir sa fierté et croire comme si c’était lui qui était au pouvoir. C’est ce qui justifie très souvent que quand un leader est en difficultés, ce sont les membres de sa tribu qui se soulèvent pour lui venir au secours. Et même lorsqu’un membre d’un tel ou tel autre coin est nommé ou élu à un poste, vous allez voir les membres de sa tribu adresser les messages de félicitations au Président de la République.

 

La Constitution du 18 avril 2006 est hyper-institutionnalisée et rend la République constipée

 

Les mots sont de Monsieur Jean-Pierre Lihau, Ministre actuel de la Fonction publique. Nous avons trop d’institutions budgétivores qui n’apportent rien en termes du développement de notre pays. Et ces institutions rendent la Nation constipée à tel point que les ressources financières sont éparpillées et qu’il est difficile de s’engager sur la voie du développement.

Bien plus, chaque institution compte un personnel lourdement pris en charge par le trésor public qu’il est impossible d’allouer les fonds aux investissements.

 

Nous avons un Gouvernement national dont chaque membre dispose au moins de 50 membres du cabinet, une Assemblée nationale de 500 députés, chacun disposant d’un Assistant parlementaire, outre le personnel administratif, les membres du Bureau disposent d’un personnel politique qui souvent est versé à l’administration du Parlement après la fin de la législature. Au Sénat, c’est la même chose. Il faut y ajouter les Institutions d’appui à la démocratie, le Conseil économique et social, … où l’on observe les téléscopages avec les attributions de certains Ministères (CSAC aux côtés du Ministère du Ministère de la Communication et médias, CNDH aux côtés du Ministère des Droits humains…)

En provinces, c’est un Gouvernement provincial où chaque membre dispose également d’un Cabinet en face d’une Assemblée provinciale dont chaque Député dispose également d’un Assistant parlementaire.

 

En outre, nous avons 33 Villes, 145 Territoires, 137 Communes urbaines, 174 Communes rurales, 471 Secteurs, 267 Chefferies, 5908 Groupements.

Chaque Ville dispose d’un maire, d’un Conseil urbain, d’un Conseil Exécutif, d’un personnel politique et administratif, même chose pour les communes et les Chefferies qui sont des entités territoriales décentralisées. Les Constituants de 2006 avaient ainsi conçu pour que chaque belligérant et sa famille soient servis au détriment du peuple.

 

L’adoption de la Cinquième nationale pour les sourds-muets

 

Tout le débat tel qu’il se déroule à la télévision ou à la radio, échappe à une catégorie des personnes vivant avec handicap, principalement les sourds-muets. Et pourtant, des pays comme l’Ouganda, le Zimbabwe, le Togo et le Kenya ont déjà adopté la langue des signes et en RDC, le Chef de l’Etat avait lancé le Dictionnaire de la langue des signes pour permettre ainsi à cette catégorie de Citoyens congolais d’accéder à l’information, à l’éducation, en justice ou aux soins de santé. Attraits en justice, beaucoup de malentendants ne savent pas comment présenter leurs moyens de défense. Dans les formations médicales et dans les institutions scolaires ou académiques, ils ne savent pas être bien pris en charge.

 

Restaurer les deux tours au scrutin présidentiel

 

Pour faire face à Etienne Tshisekedi wa Mulumba qui avait décidé d’aller aux élections en 2011 et pris de panique, le régime de Joseph Kabila a supprimé les deux tours. Et pourtant, les deux tours avaient pour avantage, la consolidation de la cohésion nationale à travers les deux premiers candidats en lice et la désignation de l’Opposant principal ne pouvant encore poser un quelconque problème. Ainsi, les deux camps pouvaient facilement se dessiner sans beaucoup de peines.

 

Election des Gouverneurs et sénateurs au suffrage universel direct et réinstaurer la territoriale des non originaires

 

Les élections au second tour, ont étalé les faiblesses de favoriser la corruption à ciel ouvert. Ce qui rend les élus redevables à leurs électeurs plutôt qu’à la population. Conséquence, le développement rapide du pays bégaie. Ainsi, pour mettre fin à la corruption et rendre les Gouverneurs et sénateurs responsables en vue de répondre à leurs devoirs, qu’ils soient élus au suffrage universel direct. En outre, réinstaurer la territoriale de non originaires.

 

Instaurer le multipartisme à trois où les partis répondent aux idéaux bien définis même à travers les dénominations

 

La RDC compte aujourd’hui plus de 900 partis politiques qui en réalité et en pratique ne constituent que deux blocs. Ce n’est que la Constitution et les lois du pays qui illustrent ce multipartisme à mille. Mais en réalité, nous avons le parti au pouvoir et un parti à l’Opposition. On pourra peut-être ajouter un parti au Centre. L’adhésion restera libre. Si on maintient le nombre illimité des partis politiques, ils devraient porter des dénominations aux objectifs bien définis. Par exemple, le parti des infrastructures, le parti de la foret, …

 

Rendre le pouvoir judiciaire indépendant

 

Pour permettre à la justice d’être réellement au service du peuple, rendre le Conseil Supérieur de la Magistrature indépendant, sans un Ministère de la Justice. Ainsi, le pouvoir judiciaire pourra disposer de son autonomie financière et administrative avec un budget qu’il va seul gérer sans attendre du Gouvernement.

 

Imposition de l’apprentissage de toutes les langues nationale dans toutes les provinces afin de favoriser la cohésion nationale et lutter contre le tribalisme.

 

Ici, il sera question que toutes les autres langues nationales soient enseignées dans toutes les provinces en vue de permettre la cohésion nationale et lutter contre le tribalisme, la langue étant un facteur d’intégration et de socialisation.

 

Supprimer les facultés importées diverses facultés importées de l’Europe pour les transformer en Ecoles Spécialisées qui s’occupent des enseignements spécifiques, devant booster le développement du pays dans différents domaines.

 

La RDC compte plusieurs Universités dont l’apport ne se justifie plus au regard des objectifs du développement. Ainsi, il sera loisible d’avoir des Universités aux Facultés spécifiques, à l’instar de l’Université Mapon qui organise les enseignements spécialisés des Nouvelles Technologies. On peut créer des Universités qui s’occupent essentiellement des bois, des infrastructures, de la Santé, de l’eau, de l’environnement.

Joël Cadet NDANGA

Journaliste, Internationaliste et Juriste




RDC: Willy Mulamba nommé directeur général de l’Equity BCDC 

La banque Equity BCDC a un nouveau directeur général. Il s’agit de Willy Mulamba. Il a été nommé directeur général de la banque Equity BCDC et membre du conseil d’administration sous reserve de l’approbation de la Banque centrale de la République Démocratique du Congo, a en croire un communiqué.

 

«Je suis honoré d’avoir été nommé par le conseil d’administration d’Equity BCDC en tant que nouveau directeur général congolais. L’opportunité de mener la transformation des vies et moyens de substance des habitants de la RDC en leur offrant des services financiers de confiance», a dit dans le communiqué Willy Mulumba.

Pour rappel, Mulamba est l’ancien directeur général de la City Bank RDC et ancien président de l’association des banquiers, avec plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie mondiale des services financiers.

 

 

Mboshi




RDC : Kinshasa accueille la 10 ème session ordinaire de la commission spéciale défense et sécurité entre la RDC et le Congo Brazzaville 

Le Ministre de l’Intérieur Congolais Zephirin Mboulou est arrivé ce dimanche en début d’après-midi dans la ville province de Kinshasa en République Démocratique du Congo .

A son arrivée au beach Ngobila, le patron de la territoriale du Congo Brazzaville a été accueilli par son homologue de la RD Congo, Me Jacquemin Shabani Lukoo avant de passer les troupes d’ honneurs en revue.

Les deux personnalités vont prendre part à la 10 ème session ordinaire de la commission spéciale défense et sécurité entre la République Démocratique du Congo et la République du Congo qui se tiendra du 11 au 13 novembre à Kinshasa.

 

Avant l’ouverture de ces assises, les deux chefs d’experts de ces deux pays vont se rencontrer pour harmoniser les angles afin de parvenir au bon déroulement de ces travaux , qui a pour but d’évaluer et adopter le projet d’ordre du jour de cette 10 eme session.

Ces assises s’inscrivent dans le cadre d’assainir et entretenir les relations de bons voisinage entre les deux pays.

 

 

Mboshi




Sahara marocain: Sainte Lucie réitère son soutien à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire

Sainte Lucie a réaffirmé, vendredi dernier à Rabat, son soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire, y compris la région du Sahara, et a réitéré son appui au Plan marocain d’autonomie comme la seule solution crédible, sérieuse et réaliste pour la résolution définitive du différend régional autour du Sahara marocain. Cette position a été exprimée dans le communiqué conjoint signé à l’issue des entretiens du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, avec le ministre des Affaires extérieures, du Commerce international, de l’Aviation civile et de la Diaspora de Sainte Lucie, M. Alva Romanus Baptiste.

En outre, Sainte Lucie s’est félicitée du consensus international croissant et de la dynamique impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en faveur du Plan

d’Autonomie et de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Dans ce communiqué conjoint, M. Alva Romanus Baptiste a, également, salué les efforts des Nations Unies en tant que cadre exclusif pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable à ce différend régional.

Enfin, Sainte Lucie, en tant que membre de l’Organisation des Etats de la Caraïbe Orientale (OECS), s’est félicitée de l’ouverture d’une Ambassade de l’OECS à Rabat (18 octobre 2018) et d’un Consulat Général à Dakhla (31 mars 2022), qui offrent une opportunité significative pour renforcer davantage les échanges entre le Royaume du Maroc et les six Etats de la Caraïbe Orientale.




Nord-Kivu : Clôture à Béni de la réunion des experts des FARDC et UPDF sur les directives de Kampala 

Des experts des Forces Armées de la RDC (FARDC) et de l’UPDF ont clôturé samedi 09 novembre à Beni, la réunion préliminaire sur les directives arrêtées par les chefs d’état de la RDC et de l’Ouganda le 31 octobre dernier à Kampala.

D’après le colonel Mak Hazukayi, porte-parole de l’opération Solola secteur Grand Nord, la réunion a été présidée par le Sous – chef d’état major chargé des Opérations et Comamandant Front Nord, le GenMaj Chicko Tshitambwe. Ces assises de trois (3) jours avaient réuni à Béni, le Commandant des Ops sokola IGN, le GenMaj Bruno Mandevu, le commandant des Ops en Ituri, le GenMaj Nyembo Abdallah et le GenMaj Richard Otto, Commandant de la Division de Montagne de l’UPDF, tous à la tête de la délégation de leurs états-majors respectifs.

La primeur des résolutions de ladite réunion est réservée à la haute hiérarchie des deux armées, ajoute la même source.

Rappelons que l’Armée Ougandaise et Congolaise unissent les efforts ensemble dans les opérations de traque des groupes armés dont les ADF à Beni et Lubero au Nord-Kivu, ainsi qu’à Mambasa et Irumu en Ituri.

 

 

Alain Wayire depuis Beni




CULTE DOMINICAL AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH/DIMANCHE 10 NOV 2024




RPDC: « Nous sommes les plus heureux du monde !»

Le Peuple de la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et des soins médicaux, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR),

chante, de génération en génération depuis plus de 60 ans, le Chant «Nous sommes les plus heureux du monde!» ou «Nous n’avons plus rien à envier au monde!» dont voici la 1ère strophe:

  • Le ciel est bleu et je me sens heureux,
  • Que l’on joue de l’accordéon,
  • J’aime, infiniment, mon Pays où l’on vit en harmonie,
  • Notre père est le Maréchal (depuis 1953 et le Généralissime depuis 1992, NDLR) KIM IL SUNG,
  • Et, notre maison le giron du Parti du Travail de Corée (PTC existant le plus longtemps au pouvoir socialiste dans le monde, NDLR),
  • Nous tous, on est frères et sœurs,
  • Et, nous n’avons plus rien à envier au monde!

La chanson a été mise en scène pour la 1ère fois lors des représentations nationales des cercles artistiques des écoles des enfants des Martyrs et des écoles primaires pour orphelins (de la Guerre de Corée 1950-1953), données en septembre 1961 à l’occasion du 4ème Congrès du PTC. Les orphelins de l’Ecole des Enfants des Martyrs de Haeju (chef-lieu de la Province Sud-Hwanghae) l’ont chantée alors en chœur. Reflétant véridiquement:

  • le vrai aspect de la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme ou frais avec le soleil brillant», désignée sous le nom des «fleuves et montagnes brodés dans la soie» ou de la «Nation orientale du décorum», et fière de sa Civilisation de 4.357 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion armée par les Pays étrangers comme les USA, le Japon et la République de Corée – ROK -, etc., tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, de la spécificité géopolitique et du paysage éblouissant du terrain, NDLR) socialiste où le Pays entier formait une grande famille harmonieuse avec pour son père KIM IL SUNG
  • le bonheur du Peuple qui menait une vie véritable dans le giron du PTC,

la chanson s’est diffusée rapidement à travers tout le Pays, produisant une tempête d’échos. Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC et Président d’Etat de la RPDC:

  • a dit dans son Message à la Nation à l’occasion du Nouvel An 2017: Je m’engage, solennellement, à travailler avec abnégation pour que mon Peuple entier puisse chanter le Chant «Nous sommes les plus heureux du monde!», comme il l’était en envisageant son avenir avec optimisme, le fait qui ne doit pas rester un simple souvenir du passé.
  • se dépense même aujourd’hui, sans compter, pour le bien de son Peuple, faisant remarquer: C’est la détermination et la volonté de notre PTC que de permettre, à notre Peuple, de jouir d’une vie heureuse sans avoir plus rien à envier au monde. Si je pense à ce slogan «Nous n’avons plus rien à envier au monde!», même le travail dur devient facile pour moi.

Et, voici les 2 événements de ce vendredi 08/11/2024.

 

 1. Les soins affectueux continuels en faveur des victimes de l’inondation

Le PTC vient d’envoyer, pour la 2ème fois (la 1ère en octobre 2024), les vêtements d’hiver et les sacs ou cartables à l’adresse des 15.467 victimes de l’inondation (fin juillet), en séjour (depuis mi-août) à Pyongyang (Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans, NDLR), sous de bons soins du PTC et de l’État.

 

Les habitants des zones (une partie des 3 provinces frontalières d’avec la Chine) touchées par l’inondation ont exprimé leurs sincères remerciements à KIM JONG UN pour sa profonde affection paternelle. Les victimes de l’inondation, y compris les écoliers, regorgent de la forte volonté de devenir:

  • de véritables Citoyens patriotiques en travaillant davantage
  • des piliers de l’avenir en étudiant dur

tout en se souvenant, toujours, de l’attention aimante manifestée par le PTC, même rentrés dans leurs villages en voie d’être urbanisés irréprochablement jusqu’avant la fin de l’année en cours.

 2. La sortie de l’hôpital en bonne santé

Viennent de sortir de la Maternité (ou Palais des Bébés le plus grand du Pays, entré en service depuis 1980 avec la superficie bâtie de 60.000m2 et la capacité de plus de 1.500 lits, NDLR) de Pyongyang les 549èmes triplés depuis 44 ans ou dès l’inauguration dudit établissement sanitaire, témoin de la naissance d’autres dizaines de quadruplés.

  • KIM Hyang Mi, domiciliée à la 21ème inmin-ban (subdivision communale ou comité de voisinage regroupant plusieurs dizaines de foyers), Commune Puksam-ri de l’Arrondissement Phihyon dans la Province Nord-Phyongan, est la mère des triplées.
  • KIM Chun Kil, père de ces filles, travaille à la Ferme Puksam-ri.

Diagnostiquée enceinte de triplées, l’accouchée a été, immédiatement, hospitalisée à la Maternité de Pyongyang pour y bénéficier de toutes sortes de toniques et d’aliments nutritifs ainsi que de soins médicaux intenses du personnel de santé. Grâce aux efforts dévoués des médecins et infirmières de la Maternité, l’accouchée a enfanté, sans douleur, ses triplées. Les nouveau-nées qui pesaient, à peine, respectivement 1,9, 2,0 et 1,9 kg à leur naissance, sont devenues bébés ordinaires pesant, toutes, plus de 4 kg avant la sortie de la Maternité ou après 60 jours de soins médicaux.

 

Le jour de la sortie de la Maternité, les médecins et infirmières ont accompagné, chaleureusement, les triplées en bonne santé ayant bénéficié des cadeaux de KIM JONG UN comme les 3 bagues d’or, sous la présence de leurs parents émotionnés et déterminés, également, à faire leur devoir de maître dans l’anticipation d’une nouvelle ère de la promotion provinciale, une fois rentrés à la maison.




Contrôle économique : un premier faux agent arrêté

Le 21 octobre, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, Daniel Mukoko Samba, lançait l’opération de Contrôle économique et cela, sur instruction du chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi.

Jusque-là, tout se passait très bien sur terrain et alors que les entreprises se montrent coopératives face au professionnalisme des inspecteurs et analystes du Ministère déployés, certaines brebis galeuses et faussaires tentent de saboter les efforts du patron de l’Economie nationale en émettant de faux ordres de mission.

Ainsi, grâce au dispositif de vérification mis à la disposition des opérateurs économiques, notamment via l’adresse e-mail controle.economique@economie.gouv.cd, et à l’efficacité de la Police de la Brigade criminelle, un premier faussaire a été arrêté et mis en détention. Ce faux contrôleur était arrêté le Vendredi 8 novembre, dans la commune de la Gombe, près de la Gare centrale, dans les locaux d’une entreprise qui a collaboré avec l’équipe de coordination du contrôle économique

Déterminé à redonner au contrôle économique sa dimension d’outil de régulation économique, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, Daniel Mukoko Samba promet de traquer sérieusement ceux qui tentent de saboter les efforts du gouvernement.




Agora 1ère édition : Judith Sumwina à l’écoute des plaidoyer et recommandations des femmes pour une gouvernance inclusive et participative 

Près de 500 femmes provenant de différentes couches sociales de la République Démocratique du Congo se sont réunies autour de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka, ce samedi 09 octobre 2024, à l’occasion de la 1ère édition d’AGORA. Cette journée a été dédiée à la réflexion stratégique sur la bonne gouvernance et l’émergence socio-économique de la RDC.

Vers une gouvernance inclusive et participative : Un appel à l’action !

Cette première édition vise des objectifs ambitieux : discuter des stratégies durables pour une gouvernance inclusive et participative, sensibiliser divers acteurs sur la lutte contre les violences basées sur le genre, et réfléchir aux mécanismes à créer pour combattre efficacement tant les violences que l’exclusion des femmes dans les espaces décisionnels. Les participantes se sont ainsi organisées en plusieurs groupes thématiques, notamment : les femmes de la santé, les femmes maraîchères, les femmes enseignantes, les femmes politiques, les femmes journalistes, et les femmes actives dans le secteur de la sécurité, entre autres, afin d’exprimer leurs attentes à la cheffe de l’exécutif central.

Accès au Financement : Un lien essentiel pour le développement

Lors des discussions, les femmes maraîchères, pêcheuses, commerçantes, coiffeuses et artisanes ont plaidé pour une attention accrue sur les nombreuses difficultés auxquelles elles font face, comme les conditions de travail précaires et le manque d’infrastructures. Elles ont recommandé que le Gouvernement facilite leur accès au financement et assure un accompagnement technique, notamment via la Banque mondiale, pour soutenir les microfinances et les projets innovants portés par ces femmes.

Ensemble pour l’éducation : Création d’un futur meilleur

Les femmes enseignantes ont sollicité le soutien du Gouvernement Suminwa pour la création d’une banque de développement dédiée à l’éducation. Elles demandent également l’octroi de bourses aux personnels académiques de l’enseignement supérieur et la mise en place d’un fonds de promotion pour l’enseignement supérieur, afin d’enrichir le système éducatif et assurer un avenir meilleur pour la jeunesse congolaise.

Santé des femmes : Priorité à la vie et au bien-être

Les professionnelles de la santé ont fait entendre leur voix concernant la mortalité prénatale et la santé mentale des femmes. Elles recommandent le renforcement des capacités des prestataires de soins, en intégrant une approche psychologique et psychosociale touchant à la santé mentale, afin que la politique de gratuité de la maternité porte réellement ses fruits et contribue au bien-être de la population.

Engagement de la Première Ministre : Un leadership participatif visionnaire

La Première Ministre s’est engagée à promouvoir un leadership participatif incluant les femmes. Elle a affirmé que son Gouvernement prend en compte tous ces enjeux et mettra en place des solutions durables.

Au-delà des mémos qui lui ont été présentés, la Première Ministre Judith Suminwa a eu un échange constructif avec les membres de 13 groupes thématiques, afin de recueillir les propositions cruciales retenues par ces femmes engagées.