Diplomatie parlementaire : Le premier vice-président José Kalala wa Kalala représente le Sénat au Forum parlementaire mondial antifasciste DE Caracas

La République Démocratique du Congo sera présente au Forum Parlementaire Mondial Antifasciste qui se déroulera, du lundi 4 au mardi 5 Novembre 2024 à Caracas, capitale de la République Bolivarienne du Venezuela. L’honneur de représenter notre pays échoit au Sénat qui a favorablement répondu à l’invitation du Président de l’Assemblée vénézuélienne, Dr Jorge Rodríguez Gomez.

La délégation du Sénat congolais conduite par le Premier Vice-Président, Honorable José Kalala wa Kalala, qui a quitté Kinshasa, le samedi 2 novembre matin, est arrivée à Caracas le dimanche 3 novembre 2024 où elle a été accueille par la Deuxième Vice-Présidente de l’Assemblée nationale vénézuélienne, Honorable America Perez Davila, accompagnée de la Présidente du Groupe Parlementaire d’amitié République Bolivarienne du Venezuela-République Démocratique du Congo, la Députée Roraima Gutierrez.

Durant quarante-huit heures, les délégués des Parlements mondiaux présents à Caracas auront d’abord une séance plénière pour suivre le discours d’ouverture qui sera prononcé par le Président de l’Assemblée nationale vénézuélienne, Dr Jorge Rodríguez Gomez, travailleront ensuite en sept panels à savoir la diplomatie pour la paix, la défense des droits de l’homme et le droit international, l’impérialisme et le fascisme, les formes de lutte contre le fascisme, l’organisation antifasciste internationale, les réseaux sociaux, la technologie et la guerre cognitive ainsi que la législation contre le fascisme et les expressions similaires. La plénière interviendra le mardi 5 novembre 2024.

Le Forum Parlementaire Mondial Antifasciste connaîtra aussi des interventions des représentants de la Russie, de l’Iran, du Cuba, du Liban, d’Afrique, de l’Europe, du Venezuela et d’autres pays.

Deux thèmes spéciaux sont également inscrits à l’ordre du jour des travaux notamment le blocus comme mécanisme d’agression de l’impérialisme contre les peuples; et le réseau parlementaire ALBA comme espace de lutte pour la dignité de l’Amérique.

Par ailleurs, au programme, il est prévu des visites de quelques sites culturels de Caracas.

La participation historique du Sénat congolais à cette rencontre diplomatique parlementaire par le biais du Premier Vice-Président du Sénat, Honorable José Kalala wa Kalala, est la concrétisation de sa promesse de faire du Sénat congolais un acteur incontournable de la diplomatie parlementaire qui s’inscrit dans la droite ligne de la diplomatie agissante du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Crise au sein de l’Udps : Le professeur J.C Tshilumbayi invite les deux camps à s’effacer pour laisser la place à l’existence du Parti

L’union pour la démocratie et le progrès social continue à traverser la zone des turbulences à cause de la crise de leadership qui la caractérise depuis un certain temps. Les deux camps opposés, celui de Augustin Kabuya d’une part et de l’autre de Deo Bizibu se regardent toujours en chien de faillence et aucun d’eux ne veut pas mettre de l’eau dans son vin pour que ce parti politique retrouve son unité d’antan. C’est dans ce cadre que l’autorité de référence du parti, le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi a confié au sein même du parti une personnalité très écoutée, pacifiste et doté d’un sens élevé des techniques de médiation , la mission de bons offices pour racoler les morceaux déchirés et faire revenir les uns et les autres au bon sens pour l’interêt   supérieur du parti. Il s’agit de professeur Isaac Jean Claude Tshilumbayi, premier vice-président de l’Assemblée nationale et président a.i de la commission électorale du parti. Pour réussir sa mission, ce dernier a réussi à rencontrer les deux camps opposés pour  leur expliquer le sens de sa démarche qui visent un seul objectif : réunifier le parti de Sphinx de Limete et mobiliser les cadres et combattants à soutenir les actions du Président de la République, Félix Tshisekedi et l’accompagner au développement du pays. C’est dans ce contexte qu’arrivé au terme de sa mission, le premier vice-président de l’Assemblée nationale s’est fait le devoir de restituer auprès des différentes bases  du parti les actions menées  quant à ce. Le week-end dernier, le président a.i de la C.E.P de l’Udps était à la rencontre de la base de la fédération de Tshangu. Cadre choisi, l’espace Talitha Rénové dans la commune de N’djili.

Mission de bons offices pour l’unité du parti

Devant les combattants et cadres du parti de cette fédération et en bon père de famille, le professeur Isaac Jean Claude Tshilumbayi a prêché l’amour et l’unité du parti, des valeurs héritées de fondateur du parti, le docteur Etienne Tshisekedi wa Mulumba d’heureuse mémoire qui ne cessait de répéter à ses combattants que l’Udps n’appartient à personne car elle est un patrimoine commun. Voilà pourquoi il a invité l’assistance à tout faire pour que le parti qui se meurt, demeure debout au-delà des divergences des points de vue qui peuvent subvenir en son sein. Pour ce faire, il a invité les deux camps qui s’opposent à s’effacer pour laisser la place à l’existence du parti qui n’est pas un bien privé. C’est d’ailleurs la motivation de la mission de bons offices lui confié par l’autorité de référence du parti, le Président de la République Felix Tshisekedi, auprès de deux camps qui se déchirent au détriment des intérêts de l’Udps. Outre les rencontres avec chaque camp de manière séparée, Isaac Jean Claude Tshilumbayi est déjà , dans son actif,  parvenu à obtenir à ce que Félix Tshisekedi s’entretienne avec chaque camp. Ce qui est déjà fait. Et au terme de sa mission , il lui  a déjà présenté le rapport dont les conclusions reviennent au pouvoir discrétionnaire du Chef. C’est ce dernier qui devra se prononcer incessamment sur les orientations à donner pour que le parti recouvre son unité. Il a toutefois regretté que certaines personnes ont tenté de vouloir lui faire certaines choses contre son idéologie, ce qu’il a refusé catégoriquement. C’est ce qui lui vaut d’ailleurs des critiques et des tirs de la part de ses détracteurs.

L’Udps et la gouvernance du pays sous l’ère Félix Tshisekedi

L’occasion était donnée aussi au premier vice-président de l’Assemblée nationale d’évoquer la gouvernance du pays sous le régime de Felix Tshisekedi qui est à son deuxième mandat à la tête du pays. Par des faits concrets , l’orateur a démontré les différentes réalisations de Félix Tshisekedi depuis son avènement au pouvoir. La révision à  hausse du budget de l’Etat qui est passé de 4 milliards de USD à 16 milliards, la construction et la modernisation de plusieurs infrastructures au pays, la mise en place de programme de développement local  des 145 territoires, la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire, la mise en œuvre de la couverture de santé universelle avec le gratuité de la maternité, la mécanisation des centaines des milliers des agents et fonctionnaires de l’Etat ainsi que l’amélioration des conditions de leur travail , etc …sont autant des réalisations évoquées par le professeur Tshilumbayi pour qui jamais le pays n’a connu une telle avancée vers son développement comme sous le règne de Félix Tshisekedi. Cependant, il a déploré que toutes ses réalisations sont en passe de ne pas être connues de la population à cause de la crise au sein du parti. C’est ainsi qu’il leur a recommandé d’être des messagers auprès de la population en ce qui concerne toutes ces réalisations. “C’est nous, les combattants, qui devons dire aux gens tout ce que le Président est en train de réaliser pendant son mandat. Notre parti doit être uni”,  leur a-t-il  lancé.

Une autre question d’actualité soulevée par le professeur Isaac Jean Claude Tshilumbayi, c’est le débat autour de la révision ou du changement de la constitution, une démarche évoquée par le Président de la République, Félix Tshisekedi lors de son adresse à la population de Kisangani. Pour le professeur Isaac Jean Claude Tshilumbayi, la constitution de la RDC qui contient beaucoup de faiblesses devra être réécrite par les Congolais eux-mêmes car elle ne garanti pas leurs intérêts . Il a invité la base de Tshangu à accompagner le Président de la République à qui revient aussi l’initiative de modification de la constitution, dans cette démarche.

RSK

 




A Kinshasa : Muyaya insiste sur la responsabilité du journaliste dans le traitement de l’information 

Le ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya a participé à la Journée internationale de lutte contre l’impunité des crimes commis contre les journalistes, célébrée le 2 novembre de chaque année, ce samedi 2 novembre 2024 dans la matinée à la salle St Pierre Claver à Kinshasa.

 

À l’occasion de cette commémoration, l’ONG Journaliste en Danger (JED) a publié son rapport intitulé “Nouvelle loi sur la presse, nouveaux abus contre les journalistes” et bien accueilli par le rapporteur adjoint du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), ainsi que par de nombreux professionnels des médias. JED a également présenté les divers cas d’atteinte à la liberté de la presse et à l’expression en l’endroit des journalistes enregistrés en 2024. Malgré le nombre élevé de violations documentées, JED a noté des avancées pour la République Démocratique du Congo comparé aux années précédentes.

Le ministre Muyaya a souligné la responsabilité des journalistes dans le traitement de l’information, tout en mentionnant les défis posés par le contexte sécuritaire actuel. Il a également encouragé les journalistes à pratiquer l’autocensure.

“Il y a malheureusement dans notre contexte, des journalistes qui ne les sont pas au sens strict du terme, mais qui bénéficient de la couverture du métier et qui s’adonnent malheureusement à la désinformation, à la diffamation et c’est connu de vous. Parce que vous aussi comme journalistes, vous avez un background dans le métier, vous savez aussi qu’il y a des cas qui malheureusement nécessitent des réactions, parce qu’il n’y avait peut-être pas une structure. Heureusement que nous avons un nouveau président de l’Union nationale de la presse du Congo qui devrait, dès que ces organes seront pleinement établis, nous aider à mettre de l’ordre dans la corporation, mais toutes ces personnes-là, qu’est-ce qu’on en fait ? Nous savons tous qu’ils dérapent”, a dit le ministre.

 

D’ajouter : “Nous avons ici dans la salle, un journaliste comme Patient Ligodi, non pas qu’il dit toujours des choses gentilles, mais parce que lui-même, s’auto-censure parce que lui-même fait le travail du recoupement. Il fait le travail de vérification que les autres ne font pas toujours. Je ne voudrais pas revenir sur certains cas qui nous touchent au sein même de la profession, mais ça, c’est un contexte global. Alors, fallait-il que le Journaliste en danger interroge les personnes qui sont désignées comme des bourreaux pour avoir leurs versions des faits, sûrement qu’on n’est pas devant une instance judiciaire, mais je pense que toutes ces structures ont trouvé fort malheureusement, sûrement de bonnes raisons pour justifier l’une ou l’autre décision qui a été prise.”

Se coaliser pour bannir l’impunité

Pour avoir un environnement médiatique salubre, le ministre Patrick Muyaya appelle toutes les structures concernées sur la question de la liberté de la presse ou de la liberté d’expression à se coaliser afin de bannir l’impunité qui se gangrène dans le milieu de la presse congolaise.

“C’est le principe de la liberté d’expression, mais une liberté pour laquelle, nous devons faire une coalition pour la protéger. C’est pour ça qu’il est important et c’est pour ça que c’était un objectif majeur pour nous, dans le cadre du gouvernement de la première ministre Judith Suminwa, d’accompagner l’installation d’une nouvelle UNPC et d’entrevoir avec JED notamment, comment cette fois-ci, nous allons travailler pour une meilleure compréhension de ce que dit la loi. Parce que le journaliste professionnel, je suis désolé, ce n’est pas des journalistes qui aiment des droits de réponse parce que cela suppose qu’en amont, ils ont pris toutes les précautions parce que moi, je reçois des journalistes et d’autres qui m’écrivent, ils disent, non… Il y a des plaintes contre nous, monsieur le ministre, est-ce que vous ne pouvez pas intervenir ? Est-ce que qu’ils n’ont pas violé votre loi, la loi qui porte votre nom ? Je suis désolé. Certains de ces journalistes ont volontairement agi en propageant ce qu’ils savaient être des fake news. Mais comment on réagit face à ce cas précis ?”, regrette-t-il.

S’agissant de la diffusion des informations de guerre ou de sécurité, le ministre de la Communication et Médias se joint à la position du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSA) qui, à travers une directive a demandé aux médias et journalistes de ne pas parler de la situation dans l’Est sans se référer aux autorités publiques ou militaires compétentes, au risque de diffamer ou de dérouter les consommateurs de leurs contenus.

Bientôt une plainte au CSAC contre TF1

“D’un point de vue, cela peut paraître comme vous le dites, une entrave, mais d’un autre point de vue, non. Parce que comment vous voulez couvrir une situation de sécurité sans que vous ne puissiez donner la parole à ceux qui sont censés en être le garant ? Vous faites un reportage, vous parlez de rébellion, vous parlez de tout ce qui s’y passe, nous sommes d’ailleurs dans un contentieux avec TFI. Je saisirai sûrement le CSAC dans un proche avenir parce que TFI a fait un reportage en RDC, il a donné la parole aux terroristes, sans donner la parole au gouvernement, ni aux services qui ont pourtant concouru à la protection des journalistes quand ils étaient dans l’exercice de leur reportage. Alors, pour des cas comme ça, que diriez-vous ? Est-ce que c’est un oubli ou ça procède d’une stratégie de liberté ?”, s’est-il interrogé.

De poursuivre : Alors, quand vous regardez toutes ces questions-là, c’est peut-être parce que sur les questions militaires qui engagent les troupes, qui engagent les moyens, qui engagent même le pays lui même mais lorsqu’on en parle parfois avec une certaine légèreté, lorsqu’on en parle parfois avec un certain amateurisme. Pourquoi ne voulez-vous pas que le CSAC rappelle aux journalistes ce qui devrait constituer le point minimum du travail. A savoir : croiser les sources et faire parler tout le monde.”

Cela a été suivi d’un panel sur les mécanismes à mettre en œuvre pour renforcer la liberté de la presse et la sécurité des journalistes dans le contexte actuel. Le premier intervenant, Kamanda Wa Kamanda, président de l’Union nationale de la presse du Congo, a dressé un état des lieux de la situation médiatique. Le deuxième intervenant, Poto Poto, consultant dans le secteur médiatique, a partagé son expérience de terrain pour proposer des mécanismes adaptés au contexte congolais. Enfin, le professeur et député Séverin Bamany a insisté sur la nécessité d’une co-responsabilité entre les différentes parties prenantes pour établir des mécanismes opérationnels sur le terrain.




CULTE DOMINICAL AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH/ DIMANCHE 03 NOV 2024




Abuja: Participation du Maroc à une réunion ministérielle sur le projet de Gazoduc Africain atlantique

Une réunion de travail au niveau des ministres de l’énergie des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), dédiée au projet unique de Gazoduc africain atlantique (Nigéria- Maroc), a démarré, vendredi à Abuja, avec la participation du Maroc.

La délégation marocaine participant à cette réunion est conduite par la ministre de la transition énergétique et du développement durable, Mme Leila Benali, accompagnée de la Directrice Générale de l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM), Mme Amina Benkhadra, et de l’ambassadeur du Maroc au Nigéria, Moha Ouali Tagma.

Cette réunion à laquelle a été invitée également la Mauritanie, a pour objectif l’adoption de l’accord intergouvernemental sur le Gazoduc Africain Atlantique (Nigéria- Maroc) qui sera soumis à la signature des Chefs d’Etat des pays membres de la CEDEAO, du Maroc et de la Mauritanie.

Organisée par la commission de la CEDEAO, cette réunion conjointe des Ministres en charge de l’Energie et des Hydrocarbures, élargie aux Ministres en charge des Hydrocarbures du Maroc et de la Mauritanie, a été précédée d’une réunion des experts sectoriels.

La réunion s’inscrit dans le cadre du processus statutaire d’adoption des textes communautaires à la CEDEAO. Les sujets qui seront portés à l’examen et l’adoption des Ministres en charge des Hydrocarbures portent sur le Projet d’Accord Intergouvernemental (IGA) concernant le Gazoduc Africain Atlantique (AAGP) et le Projet d’Accord avec le Gouvernement Hôte (HGA) concernant le Gazoduc Africain Atlantique (AAGP) annexé à l’IGA.

La réunion d’Abuja intervient après un atelier régional d’examen et de validation de l’Accord des Etats hôtes (HGA- Host Government Agreement), organisé du 8 au 11 octobre dernier à Lagos au Nigéria et qui fait suite à moult rounds de négociations des dispositions de l’Accord Intergouvernemental (IGA) et de l’Accord de Gouvernement Hôte (HGA), organisés à Rabat, Marrakech et à Abidjan. L’organisation de ces réunions de travail et d’ateliers régionaux sur le projet d’Accord Intergouvernemental (IGA) et le projet d’Accord du Gouvernement Hôte (HGA) s’insère dans le cadre du projet stratégique de Gazoduc Africain Atlantique, lancé suite à l’initiative visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et l’ancien Président du Nigéria Muhammadu Buhari, et soutenue par l’actuel Président nigérian Bola Tinbu. Ces réunions offrent l’occasion de finaliser les dispositions des projets de textes de l’IGA et du HGA, suite aux commentaires et recommandations partagés et discutés par les différents pays traversés par ce Gazoduc.

Il sied de souligner que l’Accord Intergouvernemental (IGA) et l’Accord avec les Pays Hôtes (HGA) constituent des documents clés qui définissent outre les règles régissant les relations juridiques entre les Etats Parties, les règles de gouvernance du projet, les relations contractuelles entre ces Etats et les investisseurs du projet.

A rappeler que le projet du Gazoduc africain atlantique vise à stimuler le développement économique et à faciliter l’accès des pays traversés aux sources énergétiques mais également, à renforcer la coopération Sud-Sud entre ces pays conformément à la vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour un développement énergétique durable et intégré en Afrique, particulièrement sur la façade atlantique.

Depuis le lancement du projet suite à l’initiative du Souverain et de l’ancien président du Nigéria, Muhammadu Buhari en décembre 2016, plusieurs étapes importantes ont été achevées notamment, la signature des MoU entre le Maroc, le Nigéria et les autres Etats traversés, outre la finalisation des études techniques cruciales pour le développement de ce projet.




Concours photo et vidéo Chine-Afrique “Mon histoire avec la Chine” : une autre façon de raffermir la coopération Sino-Africaine 

La cérémonie de remise des prix du concours photo et vidéo Chine-Afrique “Mon histoire avec la Chine” s’est tenue vendredi 1er novembre 2024 à Beijing, capitale de la Chine.

Au total, cent (100) lauréats venus d’Afrique, de Chine dont deux RD-Congolais ont été primés pour leurs œuvres qui selon les organisateurs, ont porté le témoignage vivant sur l’historique des échanges amicaux Sino-Africains transmettant ainsi la fraternité de deux parties en faveur d’un avenir radieux de solidarité.

Ce concours photo et vidéo qui s’est focalisé sur des histoires réelles et des moments émouvants, relate l’amitié profonde entre les deux peuples à travers des images, met en scène la compréhension mutuelle et la relation gagnant-gagnant entre les deux parties dans le domaine de la culture, de l’économie, de l’éducation, etc, indiquent ses initiateurs.

L’ambassadeur du département des affaires africaines du ministère des affaires étrangères de la Chine qui a salué cette initiative, a indiqué que ce concours relie à travers chaque image, des instants vivants, d’échanges amicaux entre les peuples Africains et Chinois et immortalisent des moments mémorables de leurs interactions.

Tout en martelant sur l’importance de cet événement, Lei Kezhong a affirmé que « la Chine et l’Afrique vont à l’avenir, continuer de renforcer leurs échanges culturels, de favoriser l’inspiration mutuelle entre les civilisations et de raconter ensemble les belles histoires de coopération pragmatiques entre les deux peuples ».

Le directeur des ressources humaines de l’entreprise Chinoise CREC 9 évoluant dans la province du Haut-Katanga, DINA MPATA, qui a remporté l’un des prix de la meilleure vidéo, salue pour sa part l’échange culturel entre les ressortissants de son pays la RDC et ceux de la Chine.

« Les chinois avec la patience, ils ont fait ce que nous, on voit et j’ai foi que si on a la bonne conscience, on sera comme eux » a-t-il lancé avec un sourire aux lèvres.

Sachez que ce concours a été organisé par le média Global Times Online et sponsorisé par le secrétariat du comité de suivi Chinois du Forum sur la coopération Sino-africaine et l’association de la diplomatie publique de Chine

dans le cadre du Forum sur la coopération Sino-Africaine tenu au mois de septembre dernier.

Plus de 800 créateurs ont participé à ce concours et plus de 2 600 œuvres enregistrées dans 58 pays du monde.

Derick Katola depuis Beijing, capitale de la Chine




Intervention du Prof Mampuya : Voici la réaction de Me Bettens Ntumba 

J’ai suivi avec un intérêt l’intervention du Professeur Mampuya sur Top Congo qui affirme être parmi les rédacteurs de la constitution du 18 février 2006.

En 2005, le même professeur rédacteur a battu campagne au référendum contre la constitution du 18 février 2006 à laquelle il était parmi les rédacteurs et voulant à tout prix réécrire (changer) la constitution suite à d’innombrables imperfections, incohérences (Espoir et déception de la quête constitutionnelle congolaise. Clés pour comprendre le processus constitutionnel du Congo Kinshasa, Nancy-Kinshasa, AMA-BNC, 2005pp99-112).

C’est paradoxal de voir le même professeur rédacteur de la constitution du 18 février 2006 faisant la peau neuve sur Top Congo disant que cette constitution n’a pas été rédigée par les étrangers et il n’y a pas d’opportunité de réviser la constitution au moment où en 2005, il avait demandé à la population congolaise de voter NON au référendum, car cette constitution contient des incohérences et trouve qu’il faut la réécrire, surtout qu’elle ne répond pas à la réalité congolaise.

Que direz vous à vos collègues professeurs que vous avez dénoncé ensemble en 2005 la manière dont la constitution du 15 février 2006 a été rédigée et adoptée?

Il s’agit du professeur Victor Mboyo Empenge, qui a qualifié cette constitution du 18 février 2006 d’exteriste (lettre ouverte adressée le 15 décembre 2005 à la nation congolaise et à la communauté internationale), professeur Jacques Djoli reproche de manque d’identité, le professeur Mukadi Bonyi y voit une copie à refaire (projet de constitution de la République démocratique du Congo plaidoyer pour une relecture, Kinshasa CRDS,2005,pp.7-35).

Sur ce, beaucoup de congolais sont morts dans les marches marathons organisées en 2005 pour dire non à cette constitution.




RPDC: « Leurs sanctions, pressions et menaces n’ont fait que nous rendre plus forts ou puissants loin d’arrêter notre propre programme !»

Selon une leçon de l’Histoire, le déséquilibre des forces entre ennemis conduit, justement, à une guerre. Les adversaires les plus hostiles à la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée de 123.214km2, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR)

lancent, à toute heure, les propos menaçants contre la RPDC. Cela fait frémir l’Armée Populaire de Corée et le Peuple du Pays entier d’une colère insupportable et d’une volonté de vengeance. En voici la réaction (01/11/2024) des Autorités de la RPDC:

 

1. Déclaration du porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères* (AE)

 

Le lancement (31/10/2024) d’essai du missile balistique intercontinental (ou ICBM ou intercontinental ballistic missile) dernier modèle Hwasongpho-19 (l’ultime version de l’ICBM ayant battu le record mondial, NDLR) effectué par la RPDC fait partie, d’un bout à l’autre, de l’exercice légitime et juste du droit à l’autodéfense de l’Etat souverain dans le cadre de la réaction pratique contre les provocations des forces hostiles qui cherchent à:

  • perturber, ouvertement, la paix et la stabilité de la Péninsule coréenne
  • porter atteinte à la souveraineté, à la sécurité et aux intérêts de notre Etat.

Pourtant, les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GIs coiffés des Casques Bleues censées être ôtées grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845: les dommages et intérêts dûs aux actes criminels contre la RPDC s’estiment à plus de 78.203,704 milliards de $US depuis le 08/09/1945 jusqu’ici, NDLR) et les forces à leur remorque:

  • calomnient, de façon scélérate, l’exercice légitime de la souveraineté de la RPDC
  • livrent les exercices aériens conjoints de nature agressive dans la Péninsule coréenne et à ses alentours
  • révèlent leurs tentatives provocatrices visant à convoquer une réunion du Conseil de Sécurité de l’ONU portant gravement atteinte à notre droit à l’autodéfense.

Le Ministère des AE de la RPDC:

  • exprime ses préoccupations sérieuses à la démarche de confrontation des forces hostiles qui cherchent à créer une situation dangereuse à l’environnement sécuritaire de notre Etat avec le double standard illégal et le sophisme qui fait allusion au voleur qui crie au voleur
  • la condamne vertement comme la violation de la Charte de l’ONU ayant pour noyau l’égalité de la souveraineté et la non-ingérence dans les affaires intérieures et d’autres droits internationaux reconnus, comme le défi sérieux contre la paix et la sécurité internationales.

On ne peut trouver, nulle part ailleurs dans le monde, une région pareille à la Péninsule coréenne où:

  • persiste l’état de confrontation nucléaire critique
  • sévissent les provocations militaires arbitraires contre l’Etat souverain et les menaces rhétoriques extrêmement malveillantes et provocatrices comme l’«Extermination du Pouvoir (RPDC)».

Rien que cette année, les USA et la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre du rejet de la Résolution ou Entente 19/04/1948 intercoréenne – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner plusieurs fois la RPDC comme Etat hostile ou antagoniste radical: d’où la condamnation des millions de leurs manifestants locaux, NDLR) ont organisé, à plus de 20 reprises, les complots de guerre de toutes sortes pour l’utilisation des armes nucléaires contre notre Etat, comme:

  • 10/06/2024; la 3ème réunion du Groupe Consultatif Nucléaire
  • 04/09/2024; la 5ème réunion du Groupe de Stratégie et de Consultation pour Dissuasion Elargie

en vue de concrétiser, davantage, le scénario de guerre nucléaire bien dangereux. Suivant ce scénario, toutes sortes des avoirs stratégiques US à savoir:

  • 22/06/2024; l’USS Theodore ROOSEVELT (CVN-71), porte-avions polyvalent à propulsion nucléaire, faisant partie de la classe Nimitz: navire de tête de la sous-classe Theodore ROOSEVELT, faisant partie des 11 porte-avions géants de l’US Navy
  • 23/09/2024; l’USS Vermont (SSN-792), sous-marin nucléaire d’attaque rapide de classe Virginia
  • 02/04/2024; l’US Boeing B-52H Stratofortress, ultime version du bombardier B-52 stratégique nucléaire subsonique à réaction et à long rayon d’action

ont été déployés, à une dizaine de fois, dans la Péninsule coréenne et à ses alentours, et toutes formes de simulacres de guerre tels que:

  • 04-14/03/2024; Freedom Shield (ou bouclier de la liberté)
  • 19-29/08/2024; Ulchi Freedom Shield
  • 27-29/06/2024; Freedom Edge (ou bord de la liberté)
  • 30/07-01/08/2024; Iron Mace (ou masse de fer)
  • 05-06/09/2024; le simulacre du Groupe Consultatif Nucléaire
  • 25-31/10/2024; Freedom Flag (ou drapeau de la liberté)

ont été livrés, sans cesse, au courant de l’année. Les manoeuvres de confrontation militaire insensées des forces hostiles qui dépassent loin la sphère de menace habituelle constituent:

  • un gros défi contre la sécurité de notre Etat
  • la cause de la destruction éventuelle de l’équilibre des forces non seulement dans la Péninsule coréenne mais aussi en Asie du Nord-Est et en Asie-Pacifique.

Opposer la force écrasante et absolue aux menaces militaires des USA et des Pays à leur remorque en évolution dangereuse au fil des jours pour juguler, parfaitement, le danger d’éclatement d’une guerre nucléaire et contrôler, puissamment, la situation politico-militaire de la Région est notre choix et notre volonté stratégiques immuables. En toute circonstance, la RPDC:

  • sauvegardera, fermement, ses droits souverains et ses intérêts de la sécurité et du développement
  • redoublera d’efforts pratiques pour garantir, avec responsabilité, la stabilité durable de la Péninsule coréenne et de la Région
  • fera face, résolument, à tous les menaces et défis du présent et de l’avenir.

Si les forces hostiles recourent à la provocation malgré notre avertissement-ci sérieux, elles seront confrontées à notre riposte plus puissante.

2. Communiqué de presse de KIM Yo Jong, Directrice adjointe de département du Comité Central du Parti du Travail de Corée

 

Ce 31 octobre, le Secrétaire Général (SG Antonio Manuel de Oliveira GUTERRES 2017-2026, NDLR) de l’ONU a rendu publique, par l’intermédiaire de son porte-parole, sa position qui conteste, de manière déraisonnable, le récent (31/10/2024) tir d’essai d’une arme stratégique mené par la RPDC. Moi, je:

  • exprime mon profond mécontentement pour rejeter, catégoriquement, l’attitude injuste et partiale du SG de l’ONU, qui conteste, de nouveau, l’exercice légitime par la RPDC de son droit à l’autodéfense
  • me permets de souligne une fois de plus que l’activité de la RPDC en question fait partie de l’exercice obligatoire et légitime de notre droit à l’autodéfense, afin d’envoyer un avertissement clair sur l’influence négative récente à la sécurité de la RPDC et sur les diverses actions et plans des forces extérieures qui l’aggravent de manière planifiée, et de défendre la souveraineté et la sécurité contre des menaces potentielles qui augmentent de jour en jour.

Le SG de l’ONU:

  • ne cesse de garder son silence sur la rhétorique anti-RPDC des USA et de leurs Alliés (la ROK et le Japon, etc., NDLR) et sur leurs actes à forte coloration agressive qui deviennent la principale cause de l’escalade de la tension militaire, mais il s’en tient aux efforts partiaux et stupides pour contester, uniquement et quoi qu’il en soit, le droit de la RPDC à la légitime défense et l’obliger à y renoncer: je ne peux qu’exprimer mon regret face à un tel comportement
  • pense-t-il peut-être que si jamais nous en retenons unilatéralement dans un environnement où les Pays hostiles à notre égard ont formé un Bloc Militaire basé sur les armes nucléaires pour porter un grave préjudice à la sécurité de notre État par leurs provocations politico-militaires sans précédent, la paix pourra être assurée dans la Péninsule coréenne ?

Si l’équilibre des forces stratégiques est détruit dans la Péninsule coréenne en raison de l’autorisation ou permission illimitée du SG de l’ONU au profit des forces hégémoniques de renforcer leurs forces militaires en vue de la Supériorité de la Force, est-ce que le SG peut faire face aux conséquences catastrophiques qui en résulteraient ? Le SG de l’ONU ne doit plus:

  • rester un spectateur passif des tentatives des USA et de leurs Alliés visant à accumuler des armes contre la RPDC, qui ne cessent d’augmenter en battant le record maximal, mais plutôt comprendre clairement que sa position partiale sur la question de la Péninsule coréenne agit comme un facteur d’aggravation de la situation de la Région et incite les USA et leurs partisans à agir de manière hostile contre la RPDC
  • perdre son impartialité dans l’accomplissement de son devoir assez important, mais avoir honte de se porter volontaire pour agir en tant que porte-parole du Département d’État US.

Notre Chef de l’État a clairement réaffirmé, même hier, la position du Gouvernement de la RPDC («Je réaffirme clairement que notre RPDC ne changera jamais sa ligne de conduite consistant à renforcer ses forces nucléaires!», 31/10/2024, NDLR): il ne peut y avoir de changement de ligne de conduite (la Politique Byongjin ou double-poussée ou progrès en tandem ou codéveloppement engagée depuis le 31/03/2013 pour le développement de l’économie nationale en même temps que celui des forces nucléaires, NDLR). Les sanctions, les pressions et les menaces:

  • nous ont-elles arrêtés ou modérés ?
  • n’ont fait que nous rendre plus forts ou puissants !

A moins d’être idiot, lui il ne devrait pas être assez idiot pour espérer un changement de notre part.

La RPDC ne tolérera jamais aucune tentative de menacer l’environnement sécuritaire de l’État.




Chine : L’industrie des véhicules électriques est en plein essor dans la ville de JinHua à Zhejiang

L’industrie des véhicules électriques est un secteur qui développe sur une vitesse exponentielle dans toute la Chine, particulièrement dans la ville de JinHua, une municipalité de la province du Zhejiang.

Cette ville est l’une des quatre principales bases de production de véhicules de la province et l’un des cinq grands groupements industriels de pièces automobiles traditionnelles. Elle compte environ 1500 entreprises liées aux véhicules électriques.

En 2023, l’industrie des véhicules électriques a atteint une production totale de 87,45 milliards de yuans, avec une croissance de 17,6%.

Un accent a été mis ces derniers temps par la ville de Jinhua sur l’industrie des véhicules électriques comme un levier crucial pour transformer son secteur manufacturier. Sa zone de développement, en tant que plateforme clé pour les industries émergentes, accélère la construction d’un système industriel moderne centré sur les véhicules électriques et la fabrication d’équipements haut de gamme.

Avec l’implantation de projets majeurs comme Leapmotor, Jinfei Kaida, et Wanliyang, la zone de développement montre une forte résilience et un dynamisme de croissance. En 2021, la production industrielle des véhicules électriques dans la zone a dépassé les 10 milliards de yuans, devenant ainsi le premier secteur à atteindre ce seuil dans la ville.

Le Jinhua Electric Vehicle Town est le pôle provincial le plus dense en entreprises de véhicules électriques et le plus complet en termes de soutien industriel. Ce pôle, centré sur Leapmotor, rassemble plus de 50 entreprises de pièces automobiles, couvrant des composants clés tels que les roues, transmissions, batteries, moteurs, et phares LED.

La croissance de l’industrie des véhicules électriques dans la zone de développement de JinHua a atteint un modèle dynamique où le leader guide et les autres suivent en harmonie.

Derick Katola depuis la ville de Jinhua dans la province de Zhejiang




66 produits concernés par le régime commercial simplifié signé par la Rdc et le Burundi 

Le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya a au cours du conseil des Ministres présidé vendredi 1er novembre 2024 à la cité de l’Union Africaine par le Président de la République, Félix Tshisekedi informé le Gouvernement sur la consolidation de la coopération commerciale entre la République Démocratique du Congo et le Burundi avec le lancement officiel depuis mercredi dernier du Régime Commercial Simplifié (RECOS) entre ces deux pays voisins et membres du Marché Commun pour Afrique Orientale et Australe (COMESA).

Il a signifié que 66 produits sont concernés par le RECOS qui vient désormais simplifier les procédures de dédouanement et la réduction du coût des transactions commerciales permettant ainsi aux petits commerçants transfrontaliers de bénéficier des droits de douane, mais aussi le passage rapide, clair et rapide.

Le Ministre du Commerce Extérieur a indiqué que Marché Commun pour Afrique Orientale et Australe (COMESA) contribue à faciliter le financement de grandes transactions réelles entre les pays membres de la région.