Palais du peuple : Des individus prétendant soutenir le sénateur Sanguma à la base du désordre
L’opinion nationale a été désagréablement surprise ce mercredi 28 février en voyant des personnes non autrement identifiées au Palais du peuple se faire passer pour des agents du Sénat !
Ces individus visiblement instrumentalisés qui prétendent soutenir le sénateur Sanguma comme président intérimaire de la Chambre haute du Parlement, alors que le règlement intérieur du Sénat ne lui pas octroyé cette qualité malgré la démission du Président Modeste Bahati Lukwebo. Celui-ci, on le sait, par respect de la loi sur le cumul des fonctions, a opté de siéger à l’Assemblée nationale après sa brillante élection aux législatives du 20 décembre dernier.
Selon le règlement régissant le Sénat dans son article 12, indique une source proche du président Modeste Bahati, le bureau sortant de cette institution, dans le contexte actuel, ne peut faire la remise et reprise qu’avec le bureau provisoire après l’élection des nouveaux sénateurs.
Là où le bât blesse encore, c’est lorsque ces individus recrutés déclarent que le bureau Bahati aurait mal géré le Sénat, alors que la délégation syndicale qui est censée représenter le personnel administratif de cette institution a publiquement jeté des fleurs au professeur Modeste Bahati Lukwebo pour sa bonne gouvernance et l’orthodoxie dont il a fait montre dans la gestion du Sénat durant les 3 ans que son bureau a passés à la tête du Senat.
Cette cabale montée de toutes pièces contre Modeste Bahati par ses détracteurs dans le but malsain de nuire à l’image de ce digne fils du pays qui s’est toujours distingué dans la gestion de la chose publique, n’est qu’un pétard mouillé.
Pour rappel, pendant le mandat, renseigne notre source, le salaire des administratifs du Sénat a été sensiblement amélioré, et l’administration de cette institution a été modernisée et dotée de nouveaux bureaux, pour ne citer que ces réalisations
Pour confirmer la bonne gestion de Bahati, les agents et cadres du Senat l’avaient accueilli en triomphe quelques jours avant sa démission pour lui témoignagner leur reconnaissance.
Modeste Bahati qui a toujours été respectueux des textes a eu à payer régulièrement les salaires, y compris la gratification communément appelée 13 e mois.
Ne pas reconnaître tous ces bienfaits relève de la cécité et de la mauvaise fois de la par du sénateur Sanguma, pasteur de son état, qui joue maladroitement au manipulateur de ces prétendus agents, alors qu’il fait partie, jusqu’à preuve du contraire, du bureau présidé par Modeste Bahati.