Présidentielle 2023 : le Révérend Bravo Yoka voit en Félix Tshisekedi la dimension biblique, prophétique et chrétienne digne d’un dirigeant
Avec un œil de prophète, le Révérend Bravo Martin Yoka, président exécutif du Forum des Intellectuels de l’Eglise du Réveil (FICHER) découvre en Félix Antoine Tshisekedi un candidat à la dimension biblique, prophétique et chrétienne pour la présidentielle du 20 décembre 2023.
Approché ce weekend par le média en ligne, le quotidienrdc.com, le Révérend Bravo Martin Yoka a clairement démontré avec les passages bibliques à l’appui comment la gestion de Félix Tshisekedi correspond à celle de son homonyme cité dans les écritures saintes. Abordant la dimension prophétique, il a épinglé le livre de Deutéronome 17, 15 prouvant comment le candidat Félix Tshisekedi est tiré du milieu de ses frères Congolais, contrairement à certains de ses challengers.
« Le Président Félix Tshisekedi, c’est un candidat ayant le profil des dirigeants prophétiques. Je prends d’abord Deutéronome 17, 15 que (tu mettras sur toi un roi que choisira l’Eternel ton Dieu et tu prendras ce roi du milieu de tes frères, tu ne te permettras pas de te donner un étranger comme roi qui ne soit pas ton frère comme dirigeant) et le Président Félix Tshisekedi refuse d’abord l’histoire de père et de mère. Il libère tout le monde et sous son mandat, il n’y a aucun candidat qui a été rejeté pour le problème de nationalité, mais lui parce que Dieu nous l’a donné selon le combat de son père qui était un combat de la non-violence, donc c’est quelqu’un qui est pris du milieu de ses peuples. C’est un profil des dirigeants prophétiques », explique Bravo Martin.
Évoquant la dimension biblique, le président exécutif du FICHER a poussé plus loin ses réflexions pour dénicher un autre aspect de la paix que plusieurs Congolais, victimes des affres de guerre dans la partie Est du pays ignorent. Il a vanté les prouesses réalisées par le Président de la République en cinq ans de mandature se conformant au livre des Actes des apôtres 24, 3.
« Maintenant, il a un profil de dirigeants bibliques et là je donne le passage des Actes des apôtres chapitre 24, 3 de ce texte qui dit : “très excellent Félix, tu nous fais jouir d’une paix profonde, et cette nation a obtenu des salutaires réformes par tes soins prévoyants. C’est ce que nous reconnaissons en tout et partout avec une entière gratitude “.
Quelles sont ces choses qui donnent la paix ? Parce que quand on parle de la paix, les gens voient directement la guerre de l’Est. Ce n’est pas la guerre de l’Est qui enlève la paix aux gens. Les gens n’ont pas la paix quand ils ne peuvent pas envoyer leurs enfants à l’école. Ils n’ont pas de paix quand les femmes partent pour accoucher, c’est-à-dire toutes les femmes-là n’ont pas de paix. Les enseignants-là qui enseignent qui sont en train de pleurer, il n’y a pas de paix. Donc, il y a beaucoup de choses que le Président Félix a fait », renchérit-il.
Parlant de la dimension chrétienne, Bravo Yoka voit en Félix Tshisekedi un président obéissant à la volonté divine. Il a fait appel au livre de Psaume 33, 12 pour prouver comment Félix Tshisekedi a dédié le pays à Dieu, contrairement à ses prédécesseurs.
« Un dirigeant chrétien, c’est celui qui obéit à la volonté de Dieu. Il y a quelque chose qui est très importante ici, ce que nous nous retrouvons avec des richesses incroyables, des minerais et toutes ces choses-là, on se pose la question, est-ce que Dieu les a déposées ici pourquoi ? On se retrouve avec un Président qui dit aux gens ne continuez pas de voler. Maintenant où se trouve le profil là d’un chrétien qui obéit ? C’est dans Psaume 33, 12 qui dit (heureuse la nation dont l’Eternel est Dieu et le peuple que Dieu prend pour héritage). Donc Dieu dépose tout l’héritage dans les minerais. Ici et maintenant Félix prend le pays, il le donne à Dieu, il dit à Dieu que prend, dirige maintenant. Il se fait que quand Dieu commence à diriger le pays, ce n’est plus Félix », soutient-il.
Par ailleurs, le Révérend Bravo Yoka a invité la communauté chrétienne à s’approprier cette élection pour réélire Félix Tshisekedi qui brigue un second mandat constitutionnel. Encore que rappelle-t-il, le Chef de l’État avait pris l’ordonnance dans laquelle il donne un jour férié pour le combat du prophète Kimbangu, pour ainsi couronner la lutte de la foi chrétienne.