Depuis quelque temps, les adversaires politiques du patriarche Christophe Mboso ne ratent pas l’occasion de tirer bout portant sur lui.
Toutes ces affaires farfelues qu’on cherche désespérément à exhumer sont comme la fumée de paille.
La dernière trouvaille, c’est ce dossier tiré sur les cheveux autour d’une affaire de dilapidation des fonds publics dont on ne détermine pas le montant. Des accusations gratuites, sans preuves, simplement pour se faire plaisir et nuire à l’honorabilité du vénérable patriarche, le seul de sa génération qui a appris, dès son jeune âge, de vivre sa vie pas au-delà de ses ressources, sans extravagances, le speaker de la Chambre basse est tout, sauf ce feuille de chou-fleur raconte, avec mauvaise foi et haine viscérale.
Le patriarche n’a jamais trempé dans des combinés loufoques et sordides, ayant trait à un détournement ou une concussion. Interrogez l’histoire et apportez la preuve contraire pour convaincre au lieu de se livrer à distiller des balivernes qui montent des intestins faméliques de chiens de chasse que le maître affame pour le besoin de la cause avant de les lâcher pour mordre les premiers passants.
Vos méthodes sont connues, mais elles ne passent pas par le vénérable patriarche Christophe Mboso N’Kodia Pwanga qui reste serein et résolument attaché à la ‘matérialisation de la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Tout le reste est bruit des sirènes et cygnes annonçant l’hivernage.
La campagne contre le speaker Mboso est orchestrée par des individus nostalgiques et malintentionnés bien identifiés.
Trop, c’est trop, il vient un moment où chacun sera appelé a répondre de ses forfaitures devant les juridictions compétentes.