Soucieux de voir la vie de la nation congolaise croitre de manière exponentielle, le candidat Félix Tshisekedi Tshilombo pensé à tous les secteurs de la vie nationale. Ainsi dans son programme de gouvernance pour le second quinquennat, le candidat numéro 20 a présenté un ambitieux programme regroupé en six principaux piliers qui traduisent les engagements pris par le candidat Tshisekedi : Plus d’emplois ; Plus de pouvoir d’achat ; Plus de sécurité pour tous ; Une économie plus diversifiée et plus compétitive ; Plus d’accès aux services de base ; Des services publics plus efficaces.
Le 1er pilier du programme de gouvernance (Plus d’emplois) valorise le travail. Grace au travail entamé dans l’appui à l’entrepreneuriat local, le candidat à sa propre succession s’engage à créer 6,4 millions d’emplois sur les 5 prochaines années. Dans cette philosophie, Félix Tshisekedi compte créer 2,6 millions d’emplois par la transition des entreprises, de l’informel vers le formel ; 2,2 millions des investissements dans les territoires et 1,6 million dans l’agriculture et les services.
Soucieux d’accroitre le pouvoir d’achat de ses concitoyens à travers le pilier 2 (Plus de pouvoir d’achat), Félix Tshisekedi s’est penché à l’amélioration des salaires des agents et fonctionnaires de l’Etat. Dans ce souci, il a entamé des reformes économiques. Les engagements pris dans ce domaine sont ceux de pouvoir œuvrer pour la poursuite de l’augmentation des salaires ; la réduction des dépenses des institutions de la République et la réduction des prix des produits de consommation de base.
Dans le domaine sécuritaire, Félix Tshisekedi s’est engagé à travers le pilier 3 (Plus de sécurité pour tous), à poursuivre le travail qu’il a déjà amorcé. Pour les cinq prochaines années, le candidat numéro 20 compte « restructurer profondément tout le système de sécurité et de défense du territoire national ; mettre en œuvre la Loi de programmation militaire et renforcer la sécurité des citoyens en augmentant le nombre des policiers, des magistrats et des maisons pénitentiaires.
Dans le cadre du 4ème pilier, le fils biologique et idéologique d’Etienne Tshisekedi s’engage à construire une économie plus diversifiée et plus compétitive. Les engagements pris sont ceux de Développer tout le territoire national ; Stimuler la production locale ; Améliorer davantage les recettes de l’Etat pour le rendre capable de mieux payer les fonctionnaires ; Continuer à attirer les investisseurs. Félix Tshisekedi s’engage également à améliorer l’efficacité des entreprises de l’Etat, améliorer l’accès à l’eau et à l’électricité, promouvoir la connectivité et le numérique.
Plus d’accès aux services de base constitue le pilier 5. Le candidat Tshisekedi compte poursuivre et améliorer l’accès pour tous aux services de base. Allusion faite à l’enseignement primaire et secondaire et à la couverture santé universelle. Il s’est également engagé à militer pour l’accès à l’électricité dans les territoires et villages de la RDC ; à fournir l’eau du robinet au niveau territorial.
Dans le 6ème et dernier pilier, les engagements pris sont ceux de pouvoir fournir « des services publics efficaces ». Ainsi donc, au niveau local, il sera principalement question d’identifier le citoyen, de lui fournir les services publics de base. Au niveau territorial, Félix Tshisekedi s’engage à remettre à niveau les agents territoriaux, à résoudre des conflits coutumiers.
Au niveau provincial, le candidat numéro 20 prend l’engagement d’assurer le transfert des ressources. A l’échelle nationale, Félix Tshisekedi prend l’engagement de poursuivre les réformes de la fonction publique et de la justice.
Tous ces engagements ne peuvent se matérialiser que si les congolais acceptent de renouveler leur confiance à celui qui a la charge de conduire la politique de la nation. Pour Félix Tshisekedi et toute son équipe, le deuxième quinquennat sera celui de l’achèvement des initiatives entamées au cours du premier mandat de cinq ans et en même temps, la période pendant laquelle le peuple congolais vivra une série de grandes réalisations de l’histoire de la RDC.
L’Avenir