Réagissant à une question relative à la sélection des artistes, la ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, Catherine Furaha Katungu a expliqué que les jeux de la Francophonie sont différents d’autres jeux. Ce sont des jeux qui ont comme base, des critères pour la participation. « C’est depuis 2019 que nous avons signé le cahier des charges et il y avait tous les critères de présélection et de sélection déjà établis par le comité international des jeux », note-t-il.
Et d’affirmer que nous avons informé à la communauté nationale, nous avons donné le site et le numéro pour communiquer aux gens de participer. Ceux qui étaient intéressés, ont participé. Toutes les informations étaient sur www.fef2022-preparationrdc.org. Il y a des gens qui ont postulé.
A Kinshasa, informe-t-il, il y a eu 300 candidatures, comparativement aux provinces. « Nous avons 15 provinces qui ont participé et ce, suite peut-être à la connectivité à l’internet ou le problème d’électricité. C’est à Kinshasa où il y a eu beaucoup de candidats. Les gens sont passés par le casting et c’était au niveau de l’Académie des beaux-arts. Les gens qui ont été retenus étaient présélectionnés, avant d’être sélectionnés », dit-elle.
Disons que la liste définitive des artistes est sortie en février 2023. Cette liste a aussi été publiée dans le même site. La ministre tranche qu’il n’y pas de préférence. L’objectif était de donner à tout le monde la chance de participer et de suivre les critères qui sont déjà préétablis. La Rdc n’a rien fixée, surtout que c’est la 9ème édition et ils ont déjà été organisés ailleurs. Il y a des disciplines qui ont 5 à 8 critères et c’est question de lire et de s’intéresser.