Un journaliste a voulu faire croire à la presse que c’est parce qu’on a retiré la signature du Directeur Isidore Kwandja Ngembo, que les travaux sont en train de patiner. « Je n’ai pas un compte à la BCC, mais le Cnjf à un compte dans une banque privée », rétorque-t-il. Et d’expliquer que lorsqu’on pays accepte d’organiser les jeux, il signe un cahier des charges et créé le Cnjf qui est l’intermédiaire entre le gouvernement hôte et l’Organisation internationale de la francophonie.
Il a l’obligation de rendre compte au gouvernement et à l’OIF. Chaque trois mois, il y a un auditaire qui passe pour auditeur. Après les jeux, on fera un bilan… Quand je suis arrivé au CNJF, j’ai demandé qu’on m’affecte les inspecteurs de l’Igf qui sont là jusqu’à aujourd’hui. Ma gestion est transparente. Ma rigueur a fait qu’il y ait ces infrastructures, se vante-t-il.