Lequotidien
Operateur économique, Patron d’entreprises de presse, plusieurs fois député national avant de servir son pays en tant que ministre d’État, l’homme qui n’est jamais heureux tout seul, n’a laissé aucune élévation l’éloigner du souverain primaire. Les relations Pius Muabilu-population sont demeurées intactes. Ce grand mariage entre le leader majeur et ses semblables s’est consolidé au fil des années devenant inséparable. La complicité, l’amour sincère, l’esprit de partage et d’écoute en sont les principaux atouts.
Sans tenir compte du rang social des uns et des autres, l’Empereur du Mont Amba est peut-être le seul acteur politique à rester le même, entretenant des rapports souvent amicaux avec tous ceux qui l’ont connu ou continuent de le connaître. Cela, malgré le changement de statuts. Il pose des actions désintéressées à l’endroit du citoyen ordinaire sans rien attendre en retour. Pius Muabilu est toujours guidé par l’amour patriotique, le respect des lois du pays et le souci de servir les autres.
Les échos des actions de Pius Muabilu ont traversé les frontières nationales comme l’attestent plusieurs témoignages du genre de la femme Samaritaine dans la bible. Beaucoup de Congolais lui sont sympathiques sans l’avoir jamais vu. Ses actions parlent à sa place. Certains compatriotes lui ont même dédié les noms de leurs enfants sans l’avoir vu physiquement.
L’histoire de Israël Monsengo Ndima et Jacques Nkanu Nzati s’inscrit dans ce grand livre de témoignage de l’empereur du Mont-Amba.
Les deux sont élèves en 5ème à l’Académie des beaux-arts. L’un habite Matete et l’autre Maluku. Ils sont âgés de 16 ans. Ces jeunes gens disent suivre et apprécier les actions du ministre Muabilu dans les réseaux sociaux sans l’avoir jamais vu physiquement. Et dans le cadre de leurs travaux pratiques, ils ont décidé de lui faire deux portraits à partir des photos prises dans les réseaux sociaux. Portraits achevés, ces jeunes gens inspirés décident de convoyer leurs cadeaux à qui de droit (mission difficile car, n’ayant aucun contact disent-ils.
Ils vont alors décider de se rendre à son cabinet de travail après cours et, en uniforme. Aussitôt informé de la présence de ces jeunes, Pius Muabilu n’a pas mis du temps pour les recevoir et comprendre la motivation de cette visite. Touché par le témoignage de jeunes artistes, le MINETAT leur a demandé de dessiner d’autres tableaux payants pour le ministère, avant de saluer l’esprit du travail qui les caractérise. Lorsque que c’est bien, c’est bien. Nafingi Mutu ?
