Docteur Gilbert Kabanda Kurhenga, ministre de la Défense nationale et des anciens combattants, se déploie, lui-même, sur le terrain, dans le cadre de la campagne de vulgarisation de la nouvelle politique de défense de la RDC. A chaque rencontre avec différentes personnalités nationales et étrangères, responsables dans les instances de prise des décisions au sein des armées comme aussi dans les administrations civiles, le numéro un de la Défense nationale ne rate aucune occasion de mettre en valeur les différents enjeux de ce document.
Dans le même élan et dans le même ordre d’idées, le patron de la Défense congolaise a partagé ses préoccupations de l’heure avec ses homologues de la République du Burundi, de la RCA et du Cameroun.
L’immeuble intelligent a servi de cadre pour ces différents échanges, et cela en marge de la 10eme session extraordinaire des travaux des ministres de la Défense et des experts sectoriels ; travaux préparatoires au sommet des chefs d’Etat des pays membres de la CEEAC.
Tour à tour, d’abord avec le ministre camerounais délégué à la présidence de la République Unie du Cameroun en charge de la Défense, Joseph Bati Assomo. Pour lui, la RDC et le Cameroun vivent une situation sécuritaire similaire.
En outre, Gilbert Kabanda a échangé avec le ministre burundais de l’Intérieur, du développement communautaire et de la sécurité publique, honorable Niteretse Martin. Les deux hommes ont échangé sur l’évaluation des avancées du projet de partenariat pour la sécurisation des frontières de deux pays.
Enfin, c’était le tour du ministre centrafricain de la Défense, Rameau Claude Bireau d’être reçu par le docteur Gilbert Kabanda. A en croire le ministre centrafricain de la Défense, leurs échanges ont tourné autour de la mutualisation des efforts des deux États afin de relever les défis auxquels ces deux pays sont confrontés.
A l’intention de ces trois hôtes de marque, le ministre de la Défense nationale et anciens combattants a mis l’accent sur fond de la nouvelle politique de défense, sur cette autre initiative qui lui tient à coeur à savoir, la mutualisation des forces armées entre les différents pays de la CEEAC, rapporte sa cellule de communication.
De même, pour l’installation des industries militaires dans tous ces pays selon la stratégie initiée par la RDC qui regorge suffisamment des matières premières conséquentes et très compétitives ; histoire de réduire sensiblement sinon de mettre fin à la dépendance extra africaine dans ce domaine.
BM