En ce moment difficile à maîtriser la circulation effective de la population kinoise, la police de circulation routière et autres unités chargées de contrôle se lancent dans les bavures en allant au-delà de leurs tâches prévues par les autorités de l’État.
En effet, la police de circulation routière, a une lourde tâche de permettre aux conducteurs de toutes les tendances confondues de bien respecter les règles et les ordres établis pour éviter les embouteillages qui coulent incessamment comme les eaux de la pluie.
Une caractéristique contournée que déplore les conducteurs des véhicules et des motos dans la ville province de Kinshasa.
Dans la commune de Barumbu, au croisement des avenues Kasaï et Itaga, la situation va de mal en pis, les agents de la police de circulation routière font sourds d’oreilles aux embouteillages et autres abus pour ne s’intéresser qu’à la saisie des motos et à la demande de petits riens aux taximen.
Même acte qui se passe le long de l’avenue Luambo Makiadi ex-Bokassa).
Selon les conducteurs de ces moyens de transport, la situation s’aggrave avec comme conséquence, la difficulté de passage.
” Nous en avons Marre, il n’y a plus de passe sur ces tronçons, alors que la commune de Barumbu n’a que ces deux artères comme des principales routes pouvant amener la population au grand marché et à la Gombe.
Si vous ne vous familiariser pas avec eux, vous aurez toujours en infraction même si vous êtes en ordre.
Nous faisons appel autorités de nous aider afin que nous soyons aussi reconnus en qualité des ayants droit et des étrangers alors que nous sommes chez nous” dit un des conducteurs de taxis bus usagers de ces tronçons dans la commune de Barumbu.
Il sied de dire que le respect du code de la route mérite le consentement et la conscience de tous les conducteurs en général, afin de montrer la maturité et faire taire des emballages devenus un défi majeur et difficile d’évacuer dans la capitale congolaise.
Ce, en plaçant des agents de la police de circulation routière qui agissent dans la discipline pour but de vendre une bonne image de la capitale.
Jean-Luc Lukanda