L’Asbl pour la promotion et la défense des droits de l’enfant, « face à l’enfant », tient à exprimer son indignation à la suite des décès des élèves Rayan Badila Soki de l’école Sévigné et Elongo Russel du collège Boboto, survenu à Kinshasa, respectivement le 11 septembre 2024 à la suite d’un meurtre commis par son camarade et par auto pendaison , le lundi 30 septembre 2024.
Dans un communiqué signé par Michael Manzambi, Coordonnateur de l’Asbl, tout en reconnaissant le caractère pénible de ces pertes, interpelle les parents autant que les enseignants au contrôle systématique des enfants, lorsqu’ils sont à l’école ou à la maison, de leurs jeux, de ceux avec lesquels ils sont et de leurs activités. Beaucoup plus celui de leurs sacs afin de savoir ce qu’ils apportent à l’école ou emporte de l’école.
En outre, l’accent doit être mis aussi sur le quotidien de la famille : les actes, les paroles, les commentaires, les programmes télévisés, l’usage du numérique, les attitudes, …. Ainsi que la moralité des enseignants qui sont appelés à être des exemples autant que les parents, par leurs faits et gestes.
Face à l’enfant saisit cette occasion pour solliciter des ministères de l’Epst, du Genre, famille et enfants ainsi que des affaires sociales, l’organisation des états généraux des comités des parents et des responsables des écoles du Congo, autour de la question de la question de l’éducation de l’enfant pris dans son ensemble, tout en considérant bien évidemment celle de la responsabilité civile des parents et enseignants ainsi que la sécurité des enfants à l’école, à la maison et sur le parcours entre l’école et la mais
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