Le pantin « raïs » de la République d’Algérie, a mis fin, dans la nuit du 5 au 6 juin, aux fonctions de Mohamed Bouakkaz, son conseiller chargé de la Direction générale du protocole.
Selon une annonce de la Présidence, « le président de la République a mis fin, ce jour, aux fonctions de Mohamed Bouakkaz, conseiller auprès du président de la République chargé de la Direction générale du protocole, pour fautes graves et manquement à la déontologie de la profession », est-il dit dans le document succinct qui ne précise guère la nature de ces fautes.
Les dessous d’un limogeage
Dans les arcanes feutrés du pouvoir algérien, un scandale éclate, résonnant bien au-delà des murs du palais présidentiel. Le raïs a récemment pris une décision qui a stupéfié les cercles politiques et médiatiques : le limogeage de son conseiller en charge de la Direction générale du protocole de la présidence. La cause ? Une amourette discrète, mais dévastatrice, avec la fille du président.
La présidence algérienne n’est pas coutumière des scandales sentimentaux, et cette affaire constitue une première de cette ampleur. Le conseiller, un homme jusque-là respecté et discret, a été pris dans la tourmente de sentiments qui, malheureusement pour lui, n’ont pas su rester dans l’ombre. La découverte de cette liaison aurait provoqué une colère froide chez le président au nom imprononçable, prompt à protéger l’intégrité et la réputation de sa famille ainsi que celle de son administration.
Selon des sources proches du dossier, les échanges entre les deux tourtereaux auraient été découverts fortuitement, révélant une relation clandestine qui se serait développée depuis plusieurs mois. Cette révélation a déclenché une réaction immédiate de la part du président, connu pour sa poigne de fer et son intolérance aux écarts de conduite au sein de son cercle rapproché.
Un bras-de-fer en coulisses
Mohamed Bouakkaz a fait les frais d’un bras-de-fer qui l’opposait au secrétaire particulier du président algérien, le dénommé Amirouche Hamadache. Ce dernier a confectionné un rapport préfabriqué dans lequel il est reproché à Mohamed Bouakkaz une liaison amoureuse et intime avec une « fonctionnaire » de la Présidence, pour ne pas préciser qu’il s’agissait de la fille du « chef de l’Etat ».
Ces accusations farfelues avaient pour seul objectif de dézinguer Mohamed Bouakkaz et de fournir un prétexte pour justifier son limogeage brutal. En fait, Mohamed Bouakkaz gênait ces derniers temps énormément les intérêts du secrétaire particulier Amirouche Hamadache et ses acolytes au Palais Présidentiel d’El Mouradia. Ces conflits purement personnels autour du pouvoir d’influence dans l’entourage propre du raïs ont entraîné la présidence algérienne dans des manœuvres de complot politique qui jettent le discrédit sur cette institution névralgique de l’Etat algérien.
La vie privée au cœur du pouvoir
Il est bien rare que la vie privée des dirigeants s’invite de manière aussi fracassante sur la scène publique. Cette affaire, bien que semblant sortir tout droit d’un scénario de soap-opéra, révèle une facette humaine des dirigeants, souvent perçus comme inaccessibles et déconnectés des préoccupations communes. Mais, ici, c’est bien une histoire de cœur, intemporelle et universelle, qui vient perturber les rouages bien huilés de la machine étatique.
Cette relation, si elle avait été rendue publique par d’autres moyens, aurait pu engendrer des spéculations malveillantes et des rumeurs nuisibles pour l’image du président et de sa famille. En prenant cette décision drastique, le sénile du balcon du Muppets show made in Algeria a sans doute voulu couper court à toute polémique et montrer qu’il reste maître de la situation, même face à des événements touchant sa propre famille.
Réactions et implications
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Dans les médias, les spéculations vont bon train. Certains y voient un acte de rigueur et de moralité exemplaire de la part du président, d’autres critiquent une décision précipitée et émotionnelle, peu compatible avec la sérénité requise à de tels niveaux de responsabilité. Les analystes politiques, quant à eux, se demandent quelles pourraient être les implications à plus long terme de ce scandale sur la stabilité et l’image de la présidence algérienne.
Certains commentateurs évoquent également les possibles tensions internes au sein de l’équipe présidentielle, où la loyauté et la discrétion sont des valeurs cardinales. La mise à l’écart d’un conseiller de cette envergure pourrait générer des méfiances et des réajustements de loyauté parmi les autres membres du cercle rapproché du président mal élu.
Ce scandale au palais présidentiel algérien marque une rupture dans la discrétion habituelle des affaires de l’État. Il nous rappelle, avec une ironie mordante, que même les plus puissants ne sont pas à l’abri des tourments amoureux. Le pantin des marionnettistes kaki d’Alger, en limogeant son conseiller, a voulu protéger l’honneur de sa famille et de son administration, mais il a aussi mis en lumière la fragilité des équilibres humains au sommet du pouvoir.
Mohamed Jaouad El Kanabi
Scandale à El Mouradia : l’amourette fatale!
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