Répondant à une question sur la particularité des jeux de Kinshasa, Mme Zeina a rappelé que les jeux ont été attribués à la Rdc en 2019. Et depuis lors, l’OIF a accompagné plusieurs comités des jeux. « Nous n’avons pas baissé de bras. Depuis 4 ans, nous venons avec des experts. A la Rtnc, nous avons 23 personnes satisfaites de la Rtnc et de son environnement qui a mis tout à leur disposition. Au final, nous avons 20 concours et compétitions qui se déroulent au même moment. Nous avons des repreneurs sur le plan international », souligne-t-elle.
Selon elle, c’est le pays hôte qui a mis à disposition les moyens techniques. J’ai un regard de satisfaction. Le pays hôte a relevé le défi et a réussi à organiser les jeux de qualité qui répondent aux normes internationales.
Pour M. Kwandja, le regard que le monde extérieur a aujourd’hui de la Rdc, il y a beaucoup de respect. « On a suivi les commentaires internationaux, ceux qui ne croyaient pas trouvent qu’aujourd’hui la Rdc est en mesure d’organiser une compétition internationale. C’était une fierté pour tout le monde. Le regard est celui de respect », martèle-t-il.
Réagissant à une question de la presse, M. Isidore Kwandja pense que même si on est victime de notre succès, la cérémonie se clôture ce dimanche. « Nous devons nous en tenir à l’ordonnance qui créait le comité national des jeux de la Francophonie, qui nous a confié le mandat d’organiser les jeux pendant 10 jours. C’est conformément au cahier des charges que le gouvernement a signé avec l’OIF », dit-il.
Il a reconnu que c’est vrai qu’il y a engouement de la population. Je me rends compte que Kinshasa en avait besoin. Je trouve que c’est une bonne idée, mais je n’ai pas le pouvoir de dépasser le nombre des jours. Si après les jeux, le gouvernement trouve qu’on peut organiser une autre activité, tant mieux. Mais mon mandat se termine aujourd’hui dimanche.