L’Église du Christ au Congo (ECC) condamne avec la plus grande fermeté ces actes irresponsables qui défient le Trône de Dieu et attirent la malédiction générationnelle a ces auteurs moraux et matériels.
Ceci fait suite au saccage et à l’incendie de l’Église locale CBCO/Cité des anciens combattants à Binza/Ozone vandalisée par les “forces du progrès” qui poursuivaient le candidat Franck Diongo qui s’y serait retranché.
Dans un communiqué publié ce samedi 16 décembre, l’ECC renseigne que plusieurs dégâts collatéraux sont documentés notamment le pillage de l’Institut Technique Professionnel entièrement pillé, et plusieurs autres biens de l’Église emportés.
“C’est pourquoi, il est inacceptable et intolérable que le temple du Seigneur, construit grâce aux multiples efforts et sacrifices des fils et filles de l’Église, ainsi que l’Institut Technique Professionnel qui forme l’élite de notre Pays, fassent l’objet des actes de vandalisme en pleine ville de Kinshasa, au vu et au su de tout le monde.” a écrit le révérend Docteur André Bokundoa, président de l’ECC.
L’ECC exige à la “force du progrès, une réparation immédiate du temple et invite les autorités politiques et judiciaires à se saisir de ce dossier.
“L’ECC demande aux autorités politico-administratives et judiciaires, notamment le Vice Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, le Ministre d’Etat en charge de la Justice et Garde des Sceaux ainsi que le Procureur Général de la République de prendre, chacun en ce qui le concerne, des mesures nécessaires en vue de réhabiliter l’Église locale susmentionnée dans ses droits et de diligenter des enquêtes afin que les auteurs de ces actes ignobles répondent devant la Justice”.
L’église du Christ au Congo interpelle pour se faire tous les leaders politiques au sens de responsabilité et à l’encadrement de leurs militants.
Derick Katola