Nous ne le dirons jamais assez que le sport est une école de loyauté. Le sport renferme des valeurs. Mais lorsque le sport détruit, là il se pose un réel problème. Une histoire rocambolesque vient du Cameroun où 5 filles de moins 18 ans de l’équipe nationale de Volley-ball sont enceintes.
Ce qui fait très mal dans cette histoire, les auteurs de ces grossesses seraient les membres dirigeants de la Fédération camerounaise de Volley-ball.
Comment en est-on arrivé jusque-là ?
Selon les témoignages anonymes, les responsables de la Fédération camerounaise de Volley-ball leur avaient promis de les amener aux Jeux Olympiques de Paris, si elles venaient à jouer au sexe balle avec eux. Elles ont répondu favorablement et voilà que les conséquences sont néfastes pour elles-mêmes et pour le Volley-ball camerounais. De un, l’équipe nationale féminine de Volley-ball du Cameroun n’ira pas aux Jeux Olympiques pour la simple et bonne raison qu’elles ont manqué d’aller participer à la phase de qualification à cause des visas. Aujourd’hui, en lieu et place des Jeux Olympiques que leurs encadreurs leur ont fait miroiter, elles se sont retrouvées dans les lits de leurs encadreurs et ce qui devait arriver, arrive. Elles se retrouvent enceintes de ces derniers.
Que dire de plus ?
Ces dirigeants à la base de ce scandale devront faire l’objet d’une grande décision (sanction) d’abord de la Fédération camerounaise de Volley-ball et ensuite, de deux instances internationales de Volley-ball : la Confédération africaine de Volley-ball ‘’CAVB’’ et la Fédération internationale de Volley-ball ‘’FIVB’’. Et ici, la sanction attendue est la plus extrême, c’est la radiation. De manière qu’ils soient bannis à jamais du milieu de volley-ball.
De Bonsambo