L’opérateur économique et acteur politique Jonas Kasimba aura passé plus de 3 mois dans les geôles des services de sécurité de la République Démocratique du Congo, à Kinshasa. Depuis son retour à la maison, il ne cesse de recevoir des visites de réconfort et de compassion.
Le Kyaghanda Kinshasa, une association socio-culturelle du peuple Nande,a apporté un message de réconfort à ce digne fils du pays après sa détention arbitraire.
Conduite par le président national Cuban Lyanzenze et la vice-présidente Kavira Kambere Marie-Rose en présence du Président honoraire du dit Kyaghanda qui est devenu le Président de l’inter communautaire du Nord-Kivu à Kinshasa, la délégation du Kyaghanda dans la capitale, activement impliquée dans la demande de libération de Jonas Kasimba, était chez lui mercredi pour exprimer sa sympathie et l’encourager à poursuivre ses efforts d’aider les différentes communautés et de promouvoir la jeunesse.
En plus des discussions sur sa détention et sa libération, des sujets tels que l’unité au sein de la communauté Nande ont été discutés lors de ces échanges amicaux. L’ancien comité du Kyaghanda Kinshasa était également présent. La rencontre s’est conclue par un repas partagé dans une atmosphère chaleureuse et conviviale. Attaché aux valeurs de la coutume, une chèvre et une bouteille de boisson coutumière ont été remises au Notable Jonas Kasimba par le Kyaghanda Yira.
En début de semaine, c’est une délégation des hommes de Dieu de l’église CECA 20 Kinshasa qui est venue l’encourager et le fortifier dans la foi après la dure épreuve qu’il a traversée suite à son arrestation et sa détention arbitraire.
Sur place, ces hommes de Dieu ont rendu gloire à Dieu pour ce miracle opéré en faveur de son serviteur Jonas Kasimba car pour eux, Dieu s’est souvenu de lui, au travers des œuvres et actions qu’il pose en faveur des nécessiteux à plusieurs niveaux. Un repas de convivialité a été partagée après la prière.
Il faut retenir que c’est le Président de la République qui a ordonné la libération de l’un de ceux qui avaient battu campagne pour sa réélection au Nord-Kivu et dont aucune preuve de culpabilité n’a été apportée pour le tenir en détention.