Lequotidien
La ministre provinciale du Genre famille et enfant du Haut Katanga, a en marge de la journée internationale de la femme africaine, célébrée le 31 juillet dernier, lancé un message de paix et de réconfort à toutes les femmes congolaises en général et Katangaises en particulier, pour le grand défi féminin de l’heure.
Par la même occasion, Gisèle Ngungua, a salué les efforts engagés par le chef de l’État, en faveur de l’autonomisation et le leadership féminin en Rdc.
Lesquels efforts sont compris et accomplis fidèlement au Haut Katanga par le gouverneur de province, Jacques Kyabula Katwe.
En référence au thème international retenu pour cette année et les différents engagements de l’ONU en faveur des droits des femmes, mais aussi aux enjeux électoraux, elle a encouragé la détermination des femmes Katangaises, pour faire face à ces enjeux.
« Il ressort que la date du 31 juillet est souvent négligée tout au long de ses 49 ans d’existence. Le but de cette journée n’est autre que d’unir les forces, de travailler ensemble sans interférences, malgré les divergences géopolitique, éthique et, linguistique», souligne la patronne du genre Katanga.
Pour cette année 2023, l’accent a été mis, pour la province du Haut Katanga, sur les enjeux électoraux, et surtout la participation de la femme Haut Katangaise.
«Il serait donc opportun de partager quelques expériences avec les femmes des communautés sœurs, des pays africains vivant dans notre province, tout ceci pourrait permettre aux femmes de notre province d’améliorer les scores des candidates qui demeurent encore préoccupantes, car, ne dit-on pas que l’avenir de l’Afrique dépend de l’avenir des femmes», a-t-elle martelé
Gisèle Ngungua Sangua, ministre provinciale du Genre, famille et enfant Haut Katanga, invite les femmes Africaines en général et congolaises en particulier à se serrer les coudes pour construire ensemble la paix, qui facilitera d’après elle a accélérer la mise en œuvre de la zone du libre-échange africain, dans laquelle les échanges économiques et culturels pourront être une réalité.
Hugo Matadi
